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Lisa et moi

Chapitre 3

Hétéro
Nous entrons dans sa chambre, c’est une grande pièce avec un grand lit rond au milieu qui ne touche aucun mur, il est au centre de la pièce.–Pas mal dis donc.–C’est moi qui en ai eu l’idée, mon mari était réticent, après il a bien aimé, mais maintenant il ne s’en sert pas comme j’aimerais.–C’est-à-dire.–Il ne me baise plus, maintenant, c’est une fois tous les dix jours, et encore, je crève d’ennui. J’aime faire l’amour, j’aime sentir des mains parcourir mon corps, des doigts s’insinuer un peu partout, une bouche se promener sur ma peau et atterrir sur mon bouton d’amour, une belle bite me défoncer la chatte et le cul, et on est là pour ça, allez, fais-moi monter au septième ciel.Elle se jette sur le lit sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, les bras en croix.–Je suis à toi, tu peux faire de moi ce que tu veux, je sais que ce sera bien et tendre, tu sais, tu me fais aimer la douceur, j’aime de plus en plus quand tu me caresses, et que tu fais monter lentement le plaisir en moi.
A la vue de ce magnifique corps offert, ce sourire avenant, je ne résiste pas, mais en avais-je envie, je me déshabille et viens m’allonger à côté d’elle. Lisa reste immobile, elle ferme les yeux et attend que je fasse quelque chose, or je ne fais rien, je reste à côté d’elle sans bouger, elle comprend le jeu et ne bouge pas. Au bout de dix minutes, personne n’a bougé, je sens la tension monter en moi, j’ai une envie folle de cette magnifique fille, mais je ne veux pas céder, je veux gagner le petit jeu entre nous, mais je n’en ai pas les moyens, ma bite est raide et commence à ma faire mal tellement elle est tendue à côté de ce corps de femme nu et tellement désirable. Je ne peux m’empêcher de bouger mon bras et de poser ma main sur sa cuisse.–Tu as perdu, maintenant occupe-toi de moi, ou je ne réponds de rien.Je bascule sur le côté et pose ma main sur un de ses seins. Elle est parcourue d’un frisson, elle aussi elle est tendue au maximum, cette attente a exacerbé ses sens. Je vois ses narines palpiter, sa respiration est courte, son ventre est tendu. Ma main descend vers son mont de Vénus pour finir par titiller son clitoris. Mon doigt a à peine touché son bouton d’amour que son corps se raidi, son ventre se crispe, elle jouit en silence, elle intériorise.
Je vais me positionner entre ses jambes et pose ma bouche sur sa vulve, ma langue se déchaîne sur son clitoris, elle est secouée de frisons, sa tête va de gauche à droite, son ventre se soulève, elle jouit de nouveau en silence, je monte sur elle et me plante d’un seul coup de reins violent, je la pistonne comme un fou, je la défonce, elle ouvre les yeux étonnée de mon attitude inhabituelle.–Oui, j’aime me faire défoncer, comme ça, oui, vas-y, prends moi comme une pute, une chienne, une salope, je suis ta pute, ta chienne, ta salope, j’aime, j’aime, je jouis, oh oui, je jouis, je jouis, HHHHHAAAAA, tu me tue.Elle est tendue comme un arc, son sexe se serre sur le mien, et je ne peux que me vider en elle.–Oui, ton sperme, donne-moi ton sperme, je veux le garder, l’engloutir dans mes entrailles. Jouit en moi, oui, tu me tue, tu me tue, je t’aime.
Elle finit par se calmer et me serre dans ses bras.–Merci mon amour, merci, mais pourquoi d’un seul coup tu me défonce alors que je m’attendais à de la douceur.–Juste pour te surprendre, et te faire encore plus jouir, ça n’a pas marché ?–Si au contraire, mais maintenant, fais-moi l’amour comme tu aimes, en douceur, fais monter le désir en moi, fais-moi jouir avec ta bouche, j’adore ta bouche sur mon sexe, mais d’abord, j’ai envie d’une douche, viens me laver.Elle se lève, me prends la main et m’entraîne derrière elle vers la salle de bain. Elle fait couler la douche et se met dessous, je la suis, prend du gel et commence à la frotter partout. J’insiste sur ses magnifiques seins ronds, ma main droite descend doucement le long du dos et arrive aux fesses, la gauche s’occupe du devant et arrive sur son mont de Vénus. Un doigt de ma main droite s’insinue entre ses fesses pour aller titiller sa rondelle, pendant qu’un autre de ma main gauche se glisse entre ses lèvres pour exciter son clitoris. Je la savonne partout, j’insiste sur le sexe, elle se rince la vulve avec un embout spécial qu’elle a fait mettre sur la douche pour se faire des lavements. Elle se rince la vulve, se place sur un coin spécial et se l’enfonce dans l’anus, elle se fait un lavement approfondi. Je la prends dans mes bras pour la caresser sur tout le corps. Je la sens se raidir, sa respiration s’accélère, elle se laisse faire, alanguie, offerte à mes mains. Je commence à bander ferme. Je la fait se mettre face contre la paroi de la douche, coupe l’eau, lui enduit l’anus de gel et présente ma bite sur son fion. –Oui, vas-y, il n’attend que toi, je viens de le préparer.Je pousse doucement et mon vit s’enfonce lentement au tréfonds de son corps. Quand je sens ses fesses contre mon pubis, je m’immobilise et reste un petit moment sans bouger. C’est elle qui commence des mouvements d’avant en arrière pour faire coulisser mon mandrin dans ses entrailles. J’amplifie le mouvement jusqu’à sortir et rerentrer à chaque aller-retour. Je sens son sphincter se détendre de plus en plus, jusqu’à ce que je coulisse en toute liberté. –Oui, vas-y, j’aime sentir ta bite dans mon cul, j’aime cette sensation de possession.
Ma main gauche est toujours sur son clitoris et le titille, elle ne résiste pas très longtemps et éclate dans un orgasme violent, ce qui entraîne ma jouissance.–HHHHHHAAAAAA, oui, oui, encore, oui, oui.Je ne m’arrête de la pistonner que quand je sens son corps se détendre doucement. Je la serre dans mes bras, mes deux mains croisées sur ses seins dont je pince doucement les mamelons raidis.–Oh mon chéri, oui, j’aime quand tu me fais l’amour comme ça, mais je veux ta bouche sur mon sexe. Lave-moi.Je fini de la laver, elle en fait autant avec moi, mais je ne peux plus bander, deux fois de suite, je suis au taquet, je ne pourrais plus bander avant un bon moment. Nous nous séchons et retournons dans la chambre, elle se jette sur le, lit, toujours les jambes ouvertes et les bras en croix.–Ta bouche sur mon sexe, vite chéri, vite, ta bouche sur mon sexe.Je me positionne entre ses jambes, mais ma bouche se pose sur ses cuisses pour les embrasser et ma langue les lécher. Son ventre commence à onduler.–Mon sexe, mon sexe.Je ne m’occupe pas de ce qu’elle dit et continu mes baisers et coups de langue sur ses cuisses en remontant doucement vers son entrejambe. Son corps est de plus en plus tendu, elle ondule de plus en plus vite, ses mains se posent sur ma tête, essayent de me faire monter plus vite, mais je résiste.–Ta langue sur mon sexe, ta langue sur mon sexe.Je continu ma lente progression pour finir à la limite de ses lèvres. Ma bouche bifurque sur l’aine pour remonter jusqu’au nombril.–Non, non, mon sexe, mon sexe.–Plus tard.Je remonte jusqu’à ses seins que j’embrasse et dont je mordille les mamelons, mon sexe est au bord de sa vulve, je sens ses grandes lèvres sur mon gland. Elle tente de donner un coup de reins pour se planter dessus, mais comme je m’y attends, j’esquive le coup et redescends vers le bas de son corps. Elle est de plus en plus tendue, son ventre est un vrai tremblement de terre, parcouru de frissons et de spasmes. J’arrive enfin sur son mont de Vénus, ma langue s’insinue entre ses petite lèvres pour tomber sur un clitoris gonflé à bloc, érigé comme une petite bite, que j’aspire avec ma bouche et titille avec ma langue. Il n’en faut pas plus à Lisa pour exploser dans un gigantesque orgasme. –HHHHHHAAAAAAA oui, oui, oui, tu me fais jouir, je jouis, je jouis, enfin, oui, oui, oui HHHHHAAAAA.Son corps est arc-bouté, et secoué de tous les côtés, sa tête va de gauche à droite, elle se pince les mamelons. Je me positionne entre ses cuisses pour pouvoir boire son jus d’amour. Je me délecte de ce divin nectar, mes mains se plaquent sur ses fesses pour accentuer ma pression sur son sexe. Ma langue recommence à lui titiller le clitoris, un doigt s’insinue entre ses fesses et pénètre l’anus bien souple après le traitement de tout à l’heure.–Oui, je vais jouir de nouveau, oui, oui, continu.Ma langue s’active de plus belle sur son clitoris et Lisa se laisse aller à un nouvel orgasme.–Oui, oui, chéri, tu me tue, je jouis de nouveau, oh oui, je t’aime.Je commence à avoir mal à la langue, et m’allonge à côté d’elle. Elle se blotti contre moi.–Je suis si bien avec toi.–Moi aussi.Nous restons un petit moment sans bouger, juste là, l’un contre l’autre à sentir le corps de l’autre contre le sien. La sonnette d’entrée résonne.–Tu attends quelqu’un ?–Non, mais Laetitia vient souvent à l’improviste, c’est certainement elle. Elle se lève et va vers la porte d’entrée.–Tu n’as rien oublié ?–Non, pourquoi ?–Tu es nue.–Laetitia est mon amante depuis très longtemps, nous sommes toujours nues quand nous sommes ensemble.Elle va ouvrir après avoir vérifié par le judas que c’était bien Laetitia.–Bonjour ma chérie, déjà en tenue ?–Oui et tu vas te mettre en tenue toi aussi.J’entends un bruit dans le salon et leurs pas qui se rapprochent de la chambre. Je suis nu sur le dos au milieu du lit rond. Lisa apparaît suivi de Laetitia qui marque un temps d’arrêt en me voyant.–Tu n’es pas seule je vois.–Je te présente Jean, mon amant.–Ton amant, il est exclusif ?–Tu sais bien que je partage tout avec toi ma chérie, mais je l’ai épuisé, il n’est pas près de t’honorer.–Je me contenterais de toi.–Tu sais, il a une langue d’enfer.–Je peux l’essayer ?–Jean, tu es d’accord ?–Bien sûr, je ferais suivant ton désir.Laetitia est une très jolie fille d’à peu près vingt-cinq ans, comme Lisa, jolis seins bonnet B, ventre plat, de très belles fesses hautes et fermes et des jambes bien galbées. Son corps n’a pas la perfection de celui de Lisa, mais c’est une femme splendide. Elle vient vers moi, en me regardant droit dans les yeux.–Une langue d’enfer tu dis ?–Oui.Elle se couche sur moi tête bêche et me présente son sexe déjà brillant sur la bouche. Je lui saisis les fesses et plaque sa vulve sur ma bouche. Ma langue entre en action et s’occupe de son clitoris. A bouche me gobe la bite, mais dans l’état de fatigue ou je suis, elle ne réagit pas.–Putain, tu as raison, il est HS, mais sa langue est géniale, je monte chérie, je vais jouir sur sa langue, viens m’embrasser mon amour, viens m’envoyer au septième ciel. Lisa se penche pour embrasser Laetitia, elle en profite pour me malaxer les couilles, mais rien n’y fait, je ne bande pas. Par contre, Laetitia commence à s’animer sur ma langue, son ventre ondule, elle donne de petits coups de reins pour que je m’enfonce plus dans sa vulve. –Oui, oui, je viens, je vais jouir, sa langue me fait tant de bien, oui, oui, je jouis, je jouis, oui, oui, MMMMMMMMM.Je sens son corps se raidir sur le mien, je me déchaîne encore plus sur son clitoris, ce qui la fait exploser de plus belle. Que je la sens se détendre, j’arrête de lui exciter le clitoris pour me contenter de boire son jus d’amour qui coule abondamment. Elle est limite femme fontaine. Elle finit par se laisser glisser sur le côté. Je suis assez fatigué et je décide d’aller dans le salon pour me reposer, laissant les filles dans la chambre. Je m’allonge sur un divan et finit par m’endormir. Je me réveille une heure plus tard, j’entends des soupirs dans la chambre de Lisa. Je vais voir ce qui s’y passe.
Laetitia est sur le dos avec Lisa sur elle. Je ne le remarque pas tout de suite, mais elles sont reliées par un gode courbe qui est enfoncé dans leurs sexes. Laetitia lui imprime un mouvement de va-et-vient. Cette scène m’excite et je me mets à bander ferme. Je monte sur le lit, m’approche d’elles, crache sur l’anus ouvert de Lisa et présente mon sexe à l’entrée de la grotte.–Oui, vas-y, encule-moi, mais encule-moi comme tu enculerais une pute, une salope, une chienne, défonce moi la couenne.Je me plante d’un seul coup dans son fondement et m’active à grands coups de reins. Ma bite finit par sortir et entrer dans son fion comme dans du beurre, son sphincter est détendu au maximum.–Oui, oui, je vais jouir, allez-y mes chéris, faites-moi jouir, je viens, venez avec moi, je vais jouir, je vais jouir.Laetitia accélère ses mouvements, moi, je suis au maximum, quand Lisa se raidi et joui en silence.–MMMMMMMMMMMMMMMLaetitia l’imite, mais moi, je ne suis pas assez excité pour jouir tout de suite. Je me dégage pour m’allonger sur le côté, Laetitia vient se jeter sur ma bite.–J’ai soif de sperme, vide toi dans ma bouche, tu permets Lisa ?–Oui ma chérie, mais vite, il faut que Jean s’en aille dans dix minutes maxi.Elle s’active sur ma bite et finit par me faire jouir en très peu de temps. Elle mon sperme dans sa bouche et va embrasser Lisa. Elle se partage ma semence en s’embrassant goulûment.–C’est bon, tu ne trouves pas ?–Excellent, mais maintenant Jean doit partir.Je me rhabille et me dirige vers la porte. Lisa m’embrasse longuement.–A bientôt mon chéri.Je sors sur le palier pour prendre l’ascenseur, je jette un dernier coup d’œil sur ces deux filles superbes et nues sur le palier.
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