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Lisa, Théo et les autres

Chapitre 2

Inceste
II. – Amours et trahisons
Le repas fut assez vite expédié pour Théo qui retourna s’enfermer dans sa chambre et, une fois qu’il fut parti, Arnaud et Eveline voulurent savoir ce que Lisa et lui s’étaient dit.
— Vous avez discuté longtemps, remarqua Arnaud, qu’est-ce qu’il t’a dit ?— Oh, plein de trucs, commença Lisa évasive. Mais je peux vous assurer qu’il n’est pas gay. Enfin, il a déjà eu des expériences avec Max et Karim mais depuis qu’ils ont des copines, il ne les voit plus trop et pas pour ça en tous cas.— Ah tien, j’aurais juré qu’il était pédé, déclara Arnaud méchamment.— Bon, tant mieux, dit Eveline pour faire bonne figure, mais pourquoi il n’a pas de copine, alors ? Il n’a pas besoin de s’enfermer autant pour travailler ! Il devrait sortir un peu.— Je lui ai dit, Maman, et je te promets que, la semaine prochaine, je m’occuperai un peu de lui ; on ira au cinéma et peut-être en boite. Ça dépendra de lui.— Pourquoi pas le week-end prochain ? Demanda Arnaud qui pensait qu’Eveline le souhaitait aussi.— Parce que, Papa, j’ai déjà un programme chargé vendredi et samedi soir, répondit Lisa en faisant un clin d’œil discret à sa mère. Vous vous inquiétez pour Théo parce qu’il travaille sans arrêt mais, en vrai, ce n’est plus pour son bac. Théo travaille des programmes de classes supérieures et envisage une carrière universitaire. Si vous voulez mon avis, il sera docteur en science avant que je sois docteur en lettres.— C’est complètement idiot. L’excellence jugée par les maths, il est vraiment comme tous les incultes de son espèce ! Déclara Arnaud péremptoire. Il a bien le temps !— Chéri ! Arrête de le dénigrer parce qu’il a un esprit scientifique. Toi, ce n’est pas ton truc mais la culture scientifique n’est pas moins importante qu’une culture littéraire ou artistique.— Les scientifiques ne connaissent rien en dehors de leurs équations inutiles ; la preuve, il est nul en musique !— Oh, Papa ! C’est toi qui es insupportable ! Si Théo est nul en musique, c’est peut-être parce que tu n’as jamais fait d’effort pour lui transmettre correctement ton art. Tu voulais qu’il joue du clavecin envers et contre tout alors que c’était la trompette qui lui plaisait et tu lui as fait vivre un enfer en lui apprenant le solfège ! Par contre, il a un super coup de crayon et en modelage, c’est une tuerie ! Mais ça, c’n’est pas grâce à toi ! Et tu t’en moques royalement.— Bon, ça va ! J’assume ! Je suis un père nul et absent un tiers de mon temps et alors ? Je contribue quand même grandement à votre train de vie et au confort de ce petit crétin.— C’est bon, Papa, tu m’énerves ; j’me casse. Pauline doit m’attendre de toute façon.— Non, Lisa, reste encore un peu pour moi, s’exclama Eveline paniquée, j’ai encore un peu besoin de ma petite fille !— Ça va, Maman, je reste pour toi et je vais t’aider à débarrasser la table, si Papa nous fout la paix !— OK, j’ai compris, je vous laisse. De toutes façons, il faut que j’aille encore travailler quelques adaptations pour la première à New-York. Tu viendras me faire un bisou avant de partir ?— Je ne sais pas ! Joue nous une jolie sonate et si elle m’apaise je viendrais peut-être mais ne t’attends pas à un miracle.
Arnaud savait parfaitement quelle était la sonate préférée de sa fille chérie et il se mit au clavecin en remettant au lendemain son travail. Il était un peu troublé et ne comprenait pas la colère de Lisa qu’il trouvait injustifiée.Il avait toujours été jaloux de son fils, si doué et si parfait. Il s’était opposé par deux fois à un saut de classe quand Théo était au primaire et il avait toujours pris un malin plaisir à l’humilier gratuitement en lui apprenant le solfège et la musique mais il n’en concevait ni remords ni honte. Il sourit en repensant au jour où il avait décrété que Théo ne pouvait pas apprendre autre chose que le clavecin alors qu’il avait offert une harpe à Lisa. Son cœur s’allégea et il se laissa porter par la musique tandis que dans la cuisine, Lisa et Eveline pouvaient parler tranquillement à l’abri de la musique.
— Bon, tu as dit que ton frère n’était pas gay mais tu n’as pas dit pourquoi il n’avait pas de copine. S’il sortait avec une fille, il pourrait retrouver ses amis. — C’est un peu spécial, mais il m’a expliqué qu’il avait un pénis tellement énorme que ça effrayait les filles.— Comment ça ? J’imagine que s’il est monté comme son père, ça peut impressionner une pucelle mais aujourd’hui, quelle fille est encore pucelle à 18 ans ?— Maman ? Je peux te choquer ?— Je crois que tu l’as déjà fait en me disant que ta copine voulait un enfant de ton père…— Oui, c’est vrai. Bon quand on a discuté, j’ai un peu poussé Théo et il s’est un peu énervé. Il m’a expliqué que les deux femmes qui lui plaisent sont inabordables et j’ai cru comprendre que celle dont il est vraiment amoureux lui est totalement inaccessible. Théo n’a pas résolu son complexe d’Œdipe. Il m’a avoué l’amour qu’il te voue et l’attirance que je lui suscite. Dans sa colère, il a baissé son pantalon et m’a montré son sexe.— Il n’a pas fait ça ?!— Oh si, il l’a fait et je peux te garantir que c’est un truc énorme. Je n’avais jamais vu une bite aussi grosse et aussi longue. Je… j’étais tellement impressionnée que j’ai pas résisté.— Tu… tu n’as pas touché ton frère, quand même. Demanda Eveline horrifiée.— Si, Maman, et j’ai fait pire. Je l’ai sucé et masturbé pendant qu’il reniflait et léchait une de tes culottes sale. Même ses couilles sont énormes et la dose est en proportion avec le reste. Un vrai régal, si tu veux tout savoir. Ajouta la jeune femme avec un franc sourire.— Oh, mon dieu ! Mais c’est de l’inceste, Lisa, tu ne peux pas faire une chose pareille !— Et bien, je sais que c’est immoral mais, en vrai, aucune loi ne condamne personne pour des rapports incestueux entre adultes consentants. Théo va avoir 18 ans la veille du départ de Papa, mais si il était né un mois plus tard, je n’aurais pas attendu, et je compte bien essayer sa grosse bite pendant que Pauline s’enverra en l’air avec Papa.— Lisa !— Oh, mais, ne t’en fais pas, Maman. Avant, je vais m’en tenir à ma proposition de t’accompagner en club Vendredi et samedi soirs. Théo peut bien attendre jusqu’à dimanche.— Ma fille, tu es une obsédée…— Tu mouilles ? Parce que moi ma culotte est à tordre. Alors ? On va en club vendredi.— Tu resteras près de moi ?— Je ne te lâcherai pas d’une semelle, je n’ai jamais été dans ce genre d’endroit alors tu vas me servir de guide et on se fera baiser côte à côte.— Ne me laisse pas t’embrasser sur la bouche, Lisa… j’ai moi aussi quelques penchants lesbiens et quand on partouze je me retiens difficilement.— Je ferai de mon mieux, Maman et si je n’y arrive pas, on n’en mourra pas.— Oh, mon dieu, mais qu’est-ce qu’on va faire ? Ça m’excite… J’ai honte mais ça m’excite.— Je ne te laisserai pas toucher ma chatte ce soir, Maman.— Oh, tais-toi ! Et la bite de ton frère, elle est vraiment très grosse ?— Tu vois le concombre qui traine depuis deux jours dans le bac à légumes ? Et bien c’est à peu près la même chose.— Oh, mon dieu, c’est impossible…— Je te jure, Maman, je ne pouvais pas prendre beaucoup plus que son gland dans la bouche et ma main ne se fermait pas sur sa hampe. C’est pour ça que les filles de son âge s’enfuient et je suis sûre que bien des adultes partiraient en courant aussi.— Oh, mon dieu, pourvu que je ne la voit jamais…— Tu ne diras pas à Papa que j’ai sucé Théo.— Pour qui tu me prends ? Mais si il me questionne, je lui dirais que tu l’as vue parce qu’il se branlait quand t’es rentrée dans sa chambre.— Ce ne serait pas très loin de la vérité mais je crois que Papa s’en fout de ce que peut vivre ou ressentir Théo… Bon ! Faut que je rentre chez Pauline maintenant.
Lisa dit au revoir à ses parents et fit un petit détour par la chambre de son frère dans laquelle elle entra sans frapper. Il était en train de se masturber dans la culotte de sa mère et sursauta en la voyant. Sa frayeur passée il proposa à Lisa de le sucer encore mais elle refusa en lui promettant de le déniaiser dans la journée du dimanche à venir.
— Je ne veux pas aller plus loin avec toi avant que Pauline soit partie.— Mais, ils partent vendredi matin.— Oui, mais je suis déjà prise vendredi soir et samedi… Par contre, dimanche, je serai toute à toi et, si tout se passe comme prévu, tu ne le regretteras pas. Faut que je file parce que Pauline m’attend mais avant, je vais te laisser ma culotte ; elle est trempée et si tu la laisses sécher un peu, elle sera savoureuse.
Théo regarda sa sœur retirer son jean et son string en dentelle rouge, découvrit sa chatte parfaitement épilée et exigea d’embrasser sa sœur sur le pubis pour lui dire au revoir. Lisa le Laissa faire et, quand elle sortit de chez ses parents, son frère jouissait dans la culotte de sa mère en tétant le jus intime qui imprégnait la sienne.

Pauline commençait à s’inquiéter sérieusement car Lisa avait près d’une heure de retard par rapport à ce qu’elle lui avait dit et ça ne lui ressemblait pas. Elle s’apprêtait à l’appeler quand la porte de son petit studio s’ouvrit. Elle sauta dans les bras de sa chérie en lui faisant part de toute l’angoisse qu’elle avait ressenti.
— Pardon, ma Chérie, j’aurais dû t’appeler quand j’ai compris que je ne pourrais pas partir aussi vite que je le souhaitais. Mes parents étaient en pleine crise.— Pourquoi ? À cause de moi ?— Pas seulement ; à cause de mon frère aussi. Ma mère flippe parce qu’il ne sort plus de sa chambre et ne fait que bosser. Mais t’as tenu une bonne place. J’ai dit à Maman que tu voulais que Papa te fasse un bébé. Elle m’a demandé un temps de réflexion pour donner ou non son accord.— Ton père n’est pas au courant, j’espère.— Non, t’inquiètes ! Il était devant la télé et nous dans la cuisine quand on en a parlé.— Tu sais, ma Chérie, j’ai beaucoup réfléchi quand tu étais chez eux et je comprendrais que ta mère refuse et même qu’elle ne veuille pas me voir…— Ne t’en fais pas. Quand Maman a su que tu m’avais fait une demande en mariage, elle s’est un peu calmée à ton sujet et, en faisant à manger, je lui ai beaucoup parlé de toi. En plus, comme dès ton retour on partagera tous nos amants et bien Papa ne pourra pas te sauter sans me passer dessus aussi…— Et ça, ça t’excite à mort, cochonne ! Mais t’as pensé à ta mère ?— Écoute, mon père, qui te fait tant craquer, est quand même un beau salop en vrai. OK, il est sexy et il n’y a qu’à le regarder pour se dire que c’est un bon coup mais en tant que mari et que père, il est nul.— Mon Amour, ça je l’ai parfaitement compris et je le laisse volontiers à ta mère. Je veux juste qu’il me fasse un môme. Après, je ne dis pas qu’il ne pourra pas me sauter une fois de temps en temps sauf si ça doit faire du mal à ta mère et à toi. Je te le promets.— Je sais, ma Chérie… Il y a aussi autre chose dont je dois te parler ; un truc pas très clair.— Vas y, je t’écoute. Ce n’est pas grave, j’espère ? Demanda Pauline en voyant la mine un peu honteuse de sa compagne.— Ça va dépendre de ton ouverture d’esprit… Je t’ai dit que mes parents étaient inquiets par rapport à mon frère, commença Lisa avant de raconter ce qu’il s’était passé.— Non ! Tu déconnes ! S’exclama Pauline après avoir écouté Lisa. Mais il a vraiment une bite aussi grosse ?— C’est rien de le dire… Je t’ai dit qu’elle fait peur aux filles de son âge alors j’ai décidé de le dépuceler.— Et bien laisse toi aller, ma Chérie. Tu baiseras avec le fils et moi avec le père !— Je ne crois pas que celle de Papa soit aussi impressionnante même si Maman m’a confirmé qu’il est plutôt bien monté.— Pourquoi ? Ta mère aussi a vu la bite de ton frère ?— Non, mais il y avait un concombre dans le frigo qu’avait à peu près la même taille…— La vache ! Tu vas te la prendre dans le cul ?— Je rêve où ça t’excite que je baise avec mon frère ? Non, je ne la prendrai pas dans le cul… enfin pas la première fois. Mon frère est encore puceau alors il doit d’abord apprendre à pénétrer une chatte avec son gros machin. Quand il aura appris à s’en servir, il pourra passer à la sodomie mais là, il faudra trouver un trou du cul habitué aux gros calibres, crois moi.— Et toi, tu vas te dévouer totalement à son éducation sexuelle pratique, Vilaine.— Pas toute seule ! J’espère bien amener ma mère à participer… Ses copains échangistes lui font faux bon ce week-end alors je lui ai proposé de l’accompagner en club. Elle n’aime pas y aller seule ; je crois que d’habitude elle se fait sauter à côté de Karine et elles doivent sortir plus ou moins ensemble parce qu’elle m’a demandé de ne pas l’embrasser sur la bouche.— Tu ne vas pas me tromper avec ta mère, quand même ?— J’en sais rien, Pauline… Ça n’a rien à voir avec toi mais c’est ma mère. Je l’aime, je la trouve belle et si je la vois jouir, je risque d’avoir envie d’elle.— Mmm, ce n’est pas très correct ; tu m’avais promis fidélité mais je veux bien accepter une exception et considérer que, si tu couches avec ta mère, c’est juste une expression d’amour filial. Par contre, si après mon retour je veux recoucher avec ton père, je ne me gênerai pas !— Et moi, je devrais obligatoirement coucher avec lui, c’est ça ?— C’est le deal mais ne fait pas cette tête Lisa. Tu verras que, en matière de baise hétéro, rien ne vaut une bonne baise avec son père.— Ça ne me gêne pas que tu baises avec le tien et je suis d’accord pour avoir mon premier  enfant avec lui dans quelques années, comme tu le souhaites mais je pensais que notre accord m’éviterait de le faire avec le mien. Tu avais dit qu’après votre séjour à New-York ce serait fini.— Oui, mais tu veux te faire sauter par ton frère et niquer avec ta mère alors tu peux bien ajouter ton père au tableau.— Je ne le ferai ni par plaisir ni par envie mais uniquement parce que vous m’y contraindrez. Par contre, je ne le ferai que si ma mère se fait sauter régulièrement par mon frère et si Théo te fait ton deuxième enfant.— T’es dure en affaire, ma Chérie, mais je n’ai aucune crainte. Si tu sors avec ta mère et avec ton frère, t’arriveras bien à les mettre tous les deux dans ton lit et à pousser la grosse queue de ton frangin dans la chatte de « Mamam ».— C’est mon projet depuis ce soir… Et pour mon frère ? Tu veux bien qu’il soit le père de ton deuxième enfant ?— Oui, ma Chérie, si ça peut te faire plaisir mais attends un peu ; je n’ai pas encore le premier et je n’ai encore jamais couché avec ton père. En plus, je te signale que rien ne dit que ça marche du premier coup.— On a fait le calcule, Pauline ! Tu seras en pleine ovulation alors, normalement, ça doit marcher. En plus, je te rappelle qu’on avait banni les amants trop réguliers et si ça rate, ma mère devra accepter qu’il te voie souvent et, moi, je devrais écarter les cuisses aussi. En plus, j’ai oublié de te dire un truc…— Un autre ?— Oui, et ça n’a pas tout a fait rien à voir. Notre recherche d’appartement est potentiellement terminée. Mes parents possèdent un appartement identique au leur à l’étage du dessus et ils nous le laisseraient l’habiter contre le paiement des charges. Enfin ça c’est ce qu’a généreusement proposé Papa. Je n’ai pas relevé parce que je me serai énervée mais, en vrai, il n’a pas son mot à dire ; c’est Maman qui a acheté les appartements avec l’héritage de ses parents. En plus, c’est sans doute ce qu’elle m’aurait proposé d’elle même. Mais si ce qu’elle m’a dit est juste, on pourrait diviser par deux ton loyer d’ici. Il y a trois chambres, ce qui laisse de quoi me faire un bureau et te faire une sale de musique. On aura aussi un grand salon, une grande cuisine et un balcon de quinze mètres carrés sans vis à vis.— Et ta famille juste en dessous…— C’est ça le problème ! Parce que si tu continues ton petit jeu avec mon père, il n’aura qu’un étage à monter pour tremper sa nouille dans ta chatte et il ne s’en privera pas.— Mmm, ça peut être intéressant… Tu crois qu’il bande pour toi ?— Tu m’énerves. Si tu continues comme ça tu vas devoir assurer un max pour te faire pardonner. On va se coucher ?— Je vais te faire ta fête…
Lisa ne quitta pratiquement pas le lit pendant les trois jours qui précédèrent le départ de Pauline et Arnaud pour New-York. Sa seule escapade fut la veille pour aller souhaiter un bon anniversaire à son frère. Elle profita de deux heures pendant lesquelles elle savait que Théo était seul chez leurs parents. Pauline était au conservatoire, elle était partie pour répéter quelques morceaux avec son Père et lui avait envoyé un message pour lui dire qu’elle ne rentrerait pas avant 18 heures.Lisa, après avoir déjeuné et s’être pomponnée, s’habilla d’une robe légère, d’un petit gilet de coton et de chaussures en toile, sans mettre ni culotte ni soutien-gorge. Dans la rue, elle était joyeuse et excitée  par ce qu’elle prévoyait de faire. Les caresses de l’air sur sa moule fraiche et celles de sa robe souple sur sa poitrine libre, électrisaient ses tétons et la faisait mouiller.Elle entra chez ses parents sans faire de bruit et se dirigea jusqu’à la chambre de Théo. Elle manœuvra la poignée avec douceur et ouvrit la porte en grand.
— Bon anniversaire ! Frangin ! Cria-t-elle en se jetant à son cou. Ça y est, t’es majeur !— Merci, Lisa, je croyais que t’avais dit à Maman que tu ne serais pas là ce soir.— Oui, c’est vrai ; je n’ai franchement pas envie de voir Papa, je t’avoue, et je veux passer du temps avec Pauline mais ça ne m’empêche pas de venir faire un petit cadeau à mon petit frère adoré.— Tu m’as fait un cadeau ? Il est où ?— Là ! Devant toi ! L’emballage est très léger, facile à défaire et tu peux même tout découvrir sans rien enlever.— Tu… tu m’offres ton corps ?— Gagné ! Alors ? Tu déballes ou tu joues les coquins.— Je vais jouer les coquins d’abord, dit-il en passant sa main sous le jupe. Wow, tes cuisses sont super douces… Eh ! Mais, tu n’as pas de culotte ?! C’est… c’est ta chatte ?— Oui, que veux tu que ce soit ? Mmmm… tu sens comme elle est douce et mouillée ? Oooh, pas trop vite, on a le temps et puis tu ne m’as pas fait de bisous.
Théo se releva, serra fort sa sœur dans ses bras et l’embrassa tendrement sur la joue. Il rougit en se disant qu’il aurait pu mieux faire et déposa un second baiser sur les lèvres de Lisa. Elle y répondit en embrassant les siennes et leurs bouches s’ouvrirent. Lisa glissa ses mains vers la fermeture du jean de son frère qu’elle dégrafa de ses mains expertes et extirpa du caleçon le barreau de chaise qui s’y trouvait coincé.
— Tu dois être un peu plus à l’aise comme ça, non ?— Je serais encore plus à l’aise à poil…— Ah oui, tu veux que je te déshabille ?— Oui, s’il te plait… Répondit-il avant de l’embrasser à nouveau.
Lisa commença par lui retirer son t-shirt pour découvrir son corps solidement musclé par plusieurs années de natation et que Théo se faisait épiler consciencieusement pour améliorer son coefficient de pénétration dans l’eau. Lui aussi avait la peau douce et elle ne résista pas à caresser et embrasser ses pectoraux. Son corps sentait le mâle en rut et elle en conclut que son frère avait encore dû zapper une ou deux douches. Ce constat l’excitait encore plus, elle aimait les odeurs et elle l’embrassa une nouvelle fois avant de s’accroupir à ses pieds pour lui retirer ses baskets. Une forte odeur de pieds envahit ses narines quand les chaussures furent ôtées et elle déposa un bisou sur les chaussettes de son frère avant de les enlever.Théo était un peu rouge de honte en réalisant qu’il n’avait pas pris de douche depuis plus de trois jours, mais le comportement de sa sœur lui imposait de se taire et de ne surtout pas proférer d’excuses. Une fois ses pieds dégagés, Lisa lui retira son pantalon et son caleçon en deux temps.Bien que le temps leur était compté, Lisa ne voulait pas brûler les étapes et souhaitait découvrir, elle aussi la douceur de ses jambes puissantes. Elle remonta progressivement ses mains vers le maillot ; la seule partie du corps de son frère où la pilosité n’avait pas été retirée. Elle embrassa ses lourdes couilles et, caressant ses fesses velues, remonta avec sa langue le long de la verge, embrassa le gland décalotté et se releva pour reprendre la bouche de son frère. Ce petit effeuillage l’avait définitivement décidée et elle était prête à prendre au fond d’elle la verge de son frère.
Théo lui retira sa robe en la faisant passer par dessus sa tête et embrassa tout de suite sa poitrine et le bout de ses seins qu’il malaxait entre ses mains. Ils étaient bien ronds et gros comme des melons, les tétons lui paraissaient gros et bien durs au contact de sa bouche alors, instinctivement, il les lécha et les téta tendrement. Il s’agenouilla ensuite pour dénouer les lacets des chaussures de sa sœur qu’il retira délicatement. Il lui embrassa les pieds et remonta lentement ses lèvres vers sa vulve brillante et entrouverte de désir. Lisa écarta un peu les cuisses pour l’aider dans son exploration et poussa un gémissement de plaisir quand le bout de sa langue toucha son clitoris. Elle profita quelques instants de ces caresses buccales avant de se décider à attirer Théo vers son lit.C’était la première fois que son petit frère allait faire l’amour avec une fille et il était important qu’il prenne le temps de la découvrir. Une fois allongée, Lisa l’invita à reprendre là où il s’était arrêté et Théo replongea sa bouche entre ses cuisses bien écartées. Elle lui caressait sa belle tignasse blonde en lui faisant comprendre ce qu’elle aimait par des « oh oui, là, c’est trop bon » ou des « Aah ! Non, un peu plus haut » et des « Aah, oui, ton doigt dans ma chatte, c’est merveilleux ». Théo se laissait guider, il bandait de plus en plus dur, son sexe n’avait jamais été aussi gros et il se demandait si ça pourrait rentrer tellement le coquillage qu’il découvrait lui paraissait fragile. Il poursuivit ses caresses en ajoutant un deuxième doigt et, après avoir longuement apprécié la caresse, Lisa décida qu’il était temps pour lui de se déniaiser.
— Viens sur moi, Chéri, n’aies pas peur. Tout va bien se passer, laisse toi faire.— Elle n’a jamais été aussi dur, précisa Théo inquiet.— Oh la la ! Quel barreau de chaise… Mais t’inquiètes pas je mouille tellement que ça va passer tout seul. Dit-elle en positionnant le gland à l’entrée de sa chatte gourmande. Voilà, tu n’as plus qu’à pousser tout doucement. Mmm, oui, comme ça, laisse ma chatte prendre la mesure de ta queue. Oooh, c’est énorme, ressort un peu et revient plus doucement. Aaaah… Aah oui, c’est bon.— Oh putain, je… je te pénètre, frangine ; il ne reste plus grand chose. Ça va ?— Aaah, mon dieu, oui, ça va. J’n’ai jamais rien pris d’aussi énorme… Vas y doucement, pousse encore, je te dirais si ça fait mal. Aaaah putain, ça y est, je sens tes couilles sur mon cul. Ooh que c’est bon… Avant que tu bouges, Théo, il faut que je te dise que je ne prend pas la pilule alors essaye de contrôler un peu et de sortir de ma chatte avant d’éjaculer.— Je n’sais pas si je pourrais ; j’n’ai jamais fait ça.— Pas de panique, petit frère, tu le sens quand ça vient alors t’as le temps de sortir. Tu vas y arriver. Tu pourras même jouir dans ma bouche si tu veux.— Co… comme dans les films de cul ?— Oui Chéri, comme dans les films de cul. Baise moi, maintenant. Aaaah… Aaah oui, ramone moi comme ça. Aaah oui, pas plus vite, fais durer, s’il te plait. Aaaah ! Aaaaah… Aah c’est bon…— Oh putain ! J’baise ma sœur ! Mmm, j’n’y crois pas… Je… je suis en train de te baiser Sœurette.— Aah oui, cochon, baise moi encore, t’arrêtes pas…
Respectant les rythmes imposés par sa grande sœur, Théo se montra très endurant et, même s’il manquait encore d’expérience et que ses mouvements avaient la régularité lassante d’un métronome, sa bite la remplissait tellement bien que Lisa jouissait. Elle prit son pied plusieurs fois avant de l’inviter à aller plus vite et à se lâcher. Théo n’attendait que ça, il accéléra, Lisa jouissait, criait et lui même exprimait son plaisir par des grognements sauvages. Sa sœur se cramponnait à lui, l’enserrait de ses jambes. Théo accélérait encore ses mouvements, Lisa avait les yeux fermés et de sa bouche ouverte sortait un râle continu de plaisir. Il sentit poindre sa délivrance et, se rappelant de ce que lui avait demandé sa sœur, il se retira juste à temps pour éjaculer. Lisa se précipita sur sa verge palpitante, reçut le premier jet au visage et goba le gland pour recevoir en bouche les cinq suivants. Elle avait la bouche pleine et le montra bien à Théo avant d’avaler en le regardant amoureusement.
— Joyeux anniversaire, frangin ; c’était vraiment super.— Merci, Lisa, c’est le plus beau cadeau de ma vie. On recommence quand tu veux.— Attends que Papa soit parti et, surtout, tu ne dis rien à personne, d’accord ?— Évidemment ! Qu’est-ce que tu crois ? Je n’veux pas passer pour un pervers.— Oh, mais ça tu l’es déjà ; se branler dans les culottes sales de sa mère ou de sa sœur c’est très pervers, tu sais. Et franchement, ça m’étonne que Maman n’ait jamais rien remarqué.— Je les remets toujours dans le panier à linge après ; je suis très discret, tu sais.— Ah oui ? Et les machines, c’est toi qui les rempli ?— Euh, non, la seule fois où j’ai essayé pour aider Maman, j’ai fait une catastrophe. Il y a un truc qui a déteint et tout a rétréci.— Je m’en souviens très bien et comme Papa ne s’occupe pas du linge et que moi je lave la moitié de mes fringues chez Pauline, et bien c’est Maman qui s’y colle. Vu ce que tu balances comme sauce, ça ne peut pas passer inaperçu.— Tu crois qu’elle le sait ? T’es sure ?— À 99,9 %, mais laisse moi tirer ça au clair et peut-être que tu pourras profiter de deux femmes pendant quinze jours.— Tu veux dire : avec Maman ? Elle ne voudra jamais ; je suis son fils.— Oh, il va falloir lui forcer un peu la main mais j’ai un plan. Et puis, je vais te dire, Maman et moi, on parle assez facilement de femme à femme et je sais qu’elle est incapable de résister à une grosse bite.— Un peu comme toi, ah ah !— Oh non, elle est pire que moi, je crois. Si tu en avais eu une petite, j’aurais aussi fait l’amour avec toi. Moi, c’est de coucher avec mon frère qui m’excite.— Et avec Papa ? T’y songes aussi ?— Eh ! Tu ne vas pas t’y mettre, toi aussi ! Connard !— Pourquoi tu dis ça ? Pardon, je ne voulais pas te fâcher.— Ouf, non, c’est moi qui m’emporte, oublie ! Mais ne me reparle jamais de ça… Ça ne te regarde pas mais je t’expliquerai peut-être un de ces jours, si tu es sage et que tu continues à bien me baiser.
Lisa rentra chez Pauline guillerette, se doucha et se remit au lit  pour attendre son amie. Quand celle-ci arriva, elle lui fit le reproche de la trouver encore au plumard et Lisa lui apprit qu’elle se trompait.
— En fait, je viens juste de rentrer ; je suis aller porter un cadeau à mon petit frère pour son anniversaire.— Ah bon, tu ne m’avais pas dit ; tu lui as offert quoi ?— Un Kamasoutra parfaitement illustré. Répondit Lisa— Et ça lui a plus ? C’est un ouvrage technique en prévision de son dépucelage, c’est ça ? Ou vous avez déjà mis en pratique ?— Et toi, avec mon père ? C’était comment ? Demanda Lisa après avoir embrassé sa compagne. Vous avez modifié le contrat ? Tu portes encore l’odeur de son parfum et tu sens le sexe.— À ce point ?! S’étonna Pauline rouge de confusion. Je… c’était un accident ; je sais que ça ne devait pas arriver avant d’être à New-York. C’est arrivé comme ça, je te jure.— C’est ça, à d’autres ! Depuis le temps que tu mouilles pour lui, je me demande même comment t’as fait pour résister aussi longtemps. Mais je pensais qu’à la veille du départ, tu respecterais notre accord. Et tu lui as dit que tu ne prenais pas la pilule et que tu voulais qu’il te fasse un môme ?— Oui, bien sûr ! Pour qui tu me prends ?— Et il a réagi comment ?— Sur le coup, il n’a rien dit… Il s’est contenté de me remplir la chatte en me disant qu’il n’y avait rien de meilleur sur Terre que d’engrosser une gamine…— Il a fait ça comme ça ? C’est vraiment un salop ! Et toi, tu viens de trahir notre accord. Heureusement que Maman m’a envoyé un SMS ce matin pour me dire qu’elle ne t’en voudrait pas même si ça ne lui plait franchement pas.— Pardon, Chérie, ne te fâche pas. Je t’ai dit que ça c’est fait comme ça— Aah ! Ne me touche pas ! Tu pues mon père ! Vas te laver !
Pauline se précipita sous la douche pour retirer toute trace de ses ébats de l’après midi. Ils avaient passé la matinée à répéter avec Arnaud et à chacune de leur pose ils avaient parlé de cul. C’est pendant le déjeuner qu’elle lui parla de son envie de bébé ; Arnaud n’avait pas relevé et lui avait juste proposé d’aller à l’hôtel l’après-midi pour commencer tout de suite. Elle avait vraiment pris son pied pendant trois heures avec sa belle bite et la réputation d’Arnaud d’être un sacré queutard n’était pas usurpée. Il l’avait sautée magnifiquement bien, l’avait faite jouir un nombre incalculable de fois et avait remis le couvert trois fois sans difficulté. Mais Pauline comprenait ce que ressentait Lisa. Son père n’avait eu aucun scrupule à la prendre sans protection, en sachant qu’il pourrait l’engrosser, et cela prouvait qu’il n’avait aucun respect pour sa femme et sa famille. Sa copine avait raison, son futur beau-père était peut-être un salop, mais un salop bien foutu qui baisait bien et elle était bien coupable de cet « accident ».Pauline se sécha sans savoir comment éteindre la crise naissante avec Lisa et c’est toute penaude qu’elle retourna auprès d’elle.
— Tu m’en veux beaucoup ?— Oui, je t’en veux ! Tu n’pouvais pas attendre encore une journée de plus ? Vous n’étiez plus à ça près, non ? Mais bon, je suis sans doute trop conne pour ne pas te pardonner… Par contre, je te préviens que t’as intérêt à ce que ça marche, parce que ça me ferai mal de me retrouver obligée de vous voir baiser dans notre lit et, pire que tout, de me retrouver à le partager avec toi. J’imagine que c’est un bon coup. Pour que tu sentes la baise et que tu t’imprègnes de son odeur à ce point, il a fallu que ça dure un peu, non ?— C’est un super coup, performant, endurant et capable de rebander très vite et plusieurs fois. Pour être franche, jamais un mec ne m’avait aussi bien sautée…— Ça me dégoûte ! Je te préviens que si ma mère doit souffrir à cause de toi, je t’arrache les yeux. Mon père a peut-être quelques qualités mais il a beaucoup de défauts et, avec elle, il s’est toujours comporter comme un salop. Elle a toujours pensé que ses infidélités s’en tenaient à ses déplacements mais là tu viens de me prouver le contraire. En plus, j’avais espéré que cette enflure aurait quelques scrupules à engrosser une femme de notre âge dans une relation d’adultère mais, visiblement, ça l’excite ! Tu te rends compte de ce que ça signifie ? C’est à vomir !— Je comprends et je ne tiens pas à faire souffrir ta mère. Je te l’ai dit, ça n’est pas mon objectif.— Si mon père plaque Maman pour toi, je vous tue tous les deux et le bébé avec !— Eh, ça va ! Calme toi ; je t’ai dit que je comprenais et que je ne ferai pas de mal à ta mère. Si ton père la plaque, il pourra toujours se brosser pour se mettre en ménage avec moi, tu le sais parfaitement. Je n’ai pas envie de vivre avec un mec et, pour être très franche, j’appréhende vraiment de devoir partager une chambre avec lui pendant quinze jours. Je n’ai jamais tenue aussi longtemps. Et puis je sais bien que c’est un salop et, s’il a toujours manqué de respect pour ta mère, comment pourrait-il en avoir pour moi. Je n’ai absolument pas envie de partager ma vie et mes enfants avec une telle personne.— Franchement, je me pose la question… Pourquoi c’est lui que t’a choisi ?— Pour que notre enfant partage la moitié de son patrimoine génétique avec toi. Je t’aime, Lisa et je ne veux pas te perdre…
Cet aveu apaisa la colère de Lisa qui se laissa aimer par Pauline. Son amante se fit tendre et patiente pour faire renaitre en elle le désir. Elle se montra douce, attentive et entreprenante, et mena Lisa lentement vers un orgasme puissant et réparateur.
— Je t’aime, ma Chérie, dit Pauline tandis que Lisa revenait de sa jouissance. Et je te demande pardon pour aujourd’hui et pour les quinze jours à venir mais, fais moi confiance, ton père ne prendra pas mon cœur.— Chut, laisse ça ; n’en parlons plus. Moi aussi je t’aime et j’ai confiance en toi. Tu sais, je n’ai pas vraiment offert un Kamasoutra à mon frère…— Je m’en doutais tu sais, tu mens très mal. Et c’était bien ? Raconte.— Oh tu sais, mon but était simplement de lui offrir son dépucelage le jour de son anniversaire ; avec Maman, on a parié que Papa n’y penserait pas alors on a dit à Théo que je ne dinerais pas avec eux. Il était un peu déçu mais la surprise lui vraiment plu.— Ta mère sait que tu l’as fait ?— Non ! T’es folle ? Elle l’apprendra en temps voulu mais pas avant que j’ai réussi à la décomplexer et lui avoir fait accepter que des relations incestueuses entre adultes consentants n’était pas un crime.— Tu la partageras avec moi ?— On verra… — Bon, raconte ! Vous avez fait ça dans toutes les positions avec ton frère ?— Non, idiote ! On a été très classique pour un dépucelage. On s’est déshabillés, il m’a fait une minette et il m’a pénétrée en missionnaire. Il a des progrès à faire, tu sais, mais sa bite est tellement énorme que j’ai vraiment pris mon pied, et puis il est très attentif et sait bien se maitriser. Dès qu’il aura un peu d’expérience, ce sera une vraie bête de sexe.— J’imagine que tu lui prévois un entrainement intensif.— Clairement ! Vendredi soir ou au pire samedi, je couche avec ma mère en rentrant du club et, dans la foulée, je mets Théo dans son lit. Pendant une semaine, on se le partage et, le week-end suivant, on l’emmène en club pour qu’il connaisse d’autres chattes.— Raconté comme ça, ça paraît simple mais bon, j’imagine que tu sais déjà comment tu vas t’y prendre.— Tu sais, Théo se branle dans les culottes de Maman depuis deux ans et vu comment il éjacule, elle le sait forcément et laisse faire. D’ici à imaginer qu’elle fantasme un peu, voir beaucoup, sur lui, il n’y a qu’un pas. J’espère bien une confession sur l’oreiller. Tu ne diras rien à mon père, d’accord ?— Je n’ai pas l’intention de lui parler de ta mère ou de tes petits secrets on aura d’autres choses en tête.— Très bien ! Parce que j’aimerai bien lui rendre un peu la monnaie de sa pièce. Il a tellement fait de mal à Maman et tellement humilié Théo…— À propos de ton père, je lui ai dit que si ça ne marchait pas cette fois, il faudrait recommencer mais que ça impliquait…— Tu n’as pas fait ça ? S’il te plait…— Je sais, j’ai gaffé mais j’étais encore sur mon petit nuage après notre deuxième partie de galipettes.— Et alors ? Il a dit quoi ?— Il a bandé comme un âne ! Et il a dit qu’il ferait abstraction du fait que tu es sa fille.— Ouai, tu parles ! Tant que c’est jeune et bien foutu, il n’a aucune gêne pour tremper sa nouille mais, moi, ça fait des années qu’il me chouchoute et ça m’étonnerait qu’il fasse abstraction. Il en rêve, c’est sûr ; il ne fera pas du tout abstraction et ne se demandera jamais si c’est ce dont j’ai envie.— Tu sais, il baise vraiment très bien.— Peut-être, mais c’est un salop !— On s’en fout ! On fait comme lui ; il est bien foutu et il baise bien alors on écarte les cuisses et après basta !— Mouai, tu veux vraiment me convaincre de coucher avec lui, c’est ça ? Mais ça ne marchera pas.— Écoute, si on veut être sûre de notre coup, le mieux c’est quand même de pratiquer l’insémination jusqu’à la date théorique de mes prochaines règles.— Et remettre le couvert un mois de plus si ça n’a pas marché… Arrête ! Ça va encore m’énerver. T’as pensé au près avis pour ton studio ?— Bien sûr, la lettre est déjà postée.
Les deux femmes refirent l’amour plusieurs fois ce soir là et, le lendemain matin, Lisa n’avait pas envie de voir sa compagne s’en aller. Du coup, elle décida de rester nue auprès d’elle jusqu’à l’arriver du taxi qui devait mener Pauline à l’aéroport. Elle la taquinait et faisait des efforts pour l’exciter avec le faux espoir de la retenir et Pauline se laissait aller à la toucher et la caresser sans la contrarier.
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