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Lisa, Théo et les autres

Chapitre 3

Inceste
III. – Esprit de vengeance et dépravation
Arnaud avait promis d’appeler Pauline dès que leur taxi serait en bas de son immeuble mais, en chemin, il se ravisa et décida de monter la chercher et d’en profiter pour embrasser sa fille. Ils avaient largement le temps et il renvoya le taxi. Il gravit les escaliers quatre à quatre et frappa à la porte de Pauline.Lisa resta cachée dans le coin cuisine tandis que Pauline allait ouvrir en pensant qu’il s’agissait d’une erreur.
— Surprise ! Dit Arnaud fière de lui.— Mais ! Qu’est-ce que tu fais là ?! S’exclama Pauline, tu devais m’attendre en bas avec le taxi.— Je sais mais je l’ai renvoyé ! On a presque trois heures avant le décollage et je voulais embrasser Lisa… On en prendra un autre.— Je… Lisa n’est pas vraiment visible. Expliqua Pauline sans parvenir à empêcher Arnaud d’entrer chez elle.— Papa ! Je suis à poil ! S’exclama Lisa en voyant son père.— Mon dieu ! La belle affaire ! J’en ai vu d’autres, tu sais et tu es très jolie comme ça. Viens dans mes bras. Dit-il en posant sa valise.
Lisa ne s’avança pas vers lui mais elle n’eut pas le courage de le repousser. Elle embrassa son père qui l’étreignit sans se gêner pour lui caresser les fesses.
— Tu es magnifique et très douce, ma Chérie ; aussi belle que ta mère.— Mouai, raccroches toi aux branches… t’as pensé à l’anniversaire de Théo ? Demanda Lisa en le laissant continuer ses caresses.— Je sais que ça a surpris tout le monde mais oui ! Par contre comme je ne savais pas trop quoi lui offrir, je lui ai donné des sous. Pourquoi tu n’es pas venue ?— J’étais certaine que tu oublierais… Maman ne t’aurai pas mis la puce à l’oreille ?— Non, absolument pas ! Mais ta mère avait inscrit « bougies d’anniversaires » sur son tableau de courses et comme ça ne pouvait pas te concerner…— T’es nul… Et elle sait que tu l’as trompée hier avec Pauline ?— C’est la première chose que je lui aie dite en rentrant ; j’aime bien lui raconter mes aventures. C’est Pauline qui te l’a dit ?— Je l’ai senti ! Ton parfum est vraiment infect ; pourquoi tu ne mets pas celui que je t’avais offert ?— Parce que je suis habitué à celui là ; c’est un peu mon odeur maintenant.— T’en mets trop… Eh ! Qu’est-ce que tu fais avec ton doigt ?— Excuse-moi, ça m’a échappé… c’est l’envie d’explorer ton corps. Répondit Arnaud en continuant de lui forcer l’anus.
— Et tu bandes comme un cochon… Constata Lisa en se serrant contre lui.— Dites donc, tous les deux ! Vous n’allez pas baiser maintenant ! On a un avion à prendre.— Ce n’est pas toi qui rêves de voir mon père me sauter ? Demanda Lisa en colère. Il a dit que vous aviez trois heures pour prendre votre avion et l’aéroport est à moins d’une heure. En plus, c’est conforme à notre contrat.— Oula, je retire mon doigt…— Non, laisse le, puisque t’en rêves !— À quoi tu joues, Lisa ? Notre contrat de partage commence à mon retour.— Tu as raison, répondit Lisa en glissant sa main vers la braguette de son père, mais, le contrat, tu l’as démarré hier avec lui alors puisqu’il est venu me dire au revoir et qu’il en profite pour me doigter le cul et bien il va devoir me la mettre vite fait pendant que t’appelles un taxi.— Tu sais, ma Chérie, on n’aura pas le temps ; Pauline a raison.— Mais je ne te demande pas de me faire jouir ; tu sors ta bite, tu me la mets dans le cul et tu me ramones vite fait, à la hussarde et comme ça le contrat est respecté. Tu serais capable de jouir en moins d’un quart d’heure ?— Bien sûr, pour qui tu me prends ?— Je rêve ! Tu ne vas quand même pas l’enculer maintenant !— Puisque c’est ce qu’elle veut… Elle me caresse déjà la bite et j’ai deux doigts dans son cul ; ça ne sera pas long, je te le promets.— Allez Papa, fais toi plaisir, dit Lisa en se mettant à quatre pattes sur le lit. Avec Pauline on partage tout maintenant !
Pauline n’en croyait pas ses yeux, Arnaud avait baissé son pantalon et son slip sans se poser de question et il pointait sa queue directement sur la rosette de sa fille avec un plaisir évident. Lisa s’écartait les fesses et fit la grimace quand la verge de son père s’enfonça d’un coup dans son cul. Sans attendre, Arnaud se mit à bouger comme un soudard en complimentant le cul de Lisa qu’il fessa au passage.
— Aaaïe ! Vas y Papa, tu peux faire mieux ! Baise mon cul comme un salop ! Aaïe ! Parce que c’est ce que tu es, tu sais ? Aaah !— Aah oui, c’est possible… Et toi, t’es une bonne salope ! Oh, putain !— Eclate lui la rondelle, dit Pauline en s’approchant après avoir appelé le taxi. Lisa ne voudra jamais jouir avec toi… Tu n’auras pas d’autre choix que de la forcer et de prendre un plaisir solitaire. Dépêche toi, on doit être en bas dans vingt minutes
Arnaud se mit à sodomiser Lisa rageusement ; elle avait mal au cul, des larmes coulaient sur ses joues et elle retenait ses cris. Pauline avait mal pour elle et pleurait silencieusement en encourageant Arnaud à jouir rapidement ; ce qu’il fit dans un râle de plaisir.
— Alors, heureuse ? C’était bon ? Demanda Arnaud fier de lui en remontant son slip et son pantalon.— Tu comprends vraiment rien ! Lui dit Pauline en se précipitant vers Lisa. Ça va ? Oh, mon dieu, pourquoi t’as fait ça ? J’avais déjà compris tu sais. Tu as très mal ? Pardon, Chérie, je…— Chut ! Lui dit Lisa les yeux pleins de larmes. J’ai mal mais ça va passer.— C’est de ma faute ? Demanda Arnaud ahuri.— Oui Papa, c’est de ta faute mais ne comptes pas sur moi pour t’expliquer quoi que ce soit. Tu vas devoir faire des efforts personnels sinon, chaque fois que tu seras contraint de me sauter, je ferai en sorte pour que tu me fasses mal et alors ma colère et ma haine à ton égard ne feront que grandir.— Dans ce cas je ne te toucherais pas et me contenterais de Pauline.— Mais ça ! Ce ne sera pas possible, expliqua cette dernière. Si tu ne fais pas l’amour avec Lisa, tu ne pourras pas le faire avec moi. On ne te le permettra pas ; ce sont les termes de notre contrat de couple. On partage tous nos amants qu’ils nous plaisent ou non. On a pensé à ça parce que nos goûts en matière d’hommes sont légèrement différents ; elle les aime plus jeunes que moi et j’ai vraiment du mal avec les minets. Mais maintenant, à cause de ce qu’on a fait hier, ça t’inclut dans le lot.— Ce coup-ci vaut pour les quinze jours à venir, Papa. Tu t’en vas en m’ayant fait mal au cul et tu as toute la durée de ton séjour à New-York pour réfléchir, comprendre et te remettre en cause.— Mais enfin, j’ai toujours été tendre et généreux avec toi, je ne comprends pas ! Tu m’expliqueras, Pauline ?— Je ne suis pas certaine d’en être capable… je n’ai pas toutes les cartes !— Et t’as pas intérêt ! Dit Lisa courroucée à son amie. Ce serait une trahison de plus.— Je t’ai vraiment fait mal, Chérie ? Qu’est ce que je dois comprendre ? Qu’est-ce que je dois faire ?— Dégage, Papa, t’as eu ce que tu voulais, votre taxi va arriver et je voudrais un peu d’intimité pour embrasser Pauline.
Arnaud était vraiment perplexe en descendant les escaliers et la haine de sa fille lui semblait sortie de nulle part. Il attendit cinq bonnes minutes avant que le taxi n’arrive exactement en même temps que Pauline sortait de son immeuble. Une fois en voiture, il tenta de relancer sa jeune maitresse sur le sujet.
— Mais enfin, Pauline, tu ne veux vraiment pas m’expliquer ?— Non, Arnaud ; ce n’est pas mes affaires mais les tiennes, je suis désolée… lui répondit gentiment Pauline. Par contre si tu me fais part de tes réflexions, je pourrai peut-être te dire si tu es sur la bonne voie où si tu suis une fausse piste.— C’est parce qu’on a couché ensemble hier ? C’est ça ?— Non, pas vraiment… enfin, pas du tout. Mais ne réfléchis pas comme ça. C’est très profond et, pour comprendre, tu vas devoir te mettre à sa place, penser comme elle et te triturer les méninges mais je ne t’en dirais pas plus maintenant. Il faudra aussi que tu trouves un petit moment pour te laver la queue parce que celle que tu as rangée dans ton slip n’était pas très propre… Tu crois qu’on peut faire l’amour dans un avion ?— Il paraît qu’il y a des gens qui le font mais on n’est pas sur un vol de nuit.
Après le départ de Pauline, Lisa se doucha longuement et massa son anus avec une crème apaisante avant de ranger le studio, prendre ses affaires et se rendre chez sa mère. Ça faisait quelques jours qu’elle n’était pas allée à la fac et elle décida d’y retourner pour récupérer ses cours manqués. Elle suivit les ceux de l’après midi en guettant le SMS de Pauline lui annonçant qu’elle était bien arrivée à New-York et sourit en lisant que sa compagne et son père avaient réussi à tirer un coup dans les toilettes de l’avion.
En rentrant chez elle après ses cours, Lisa retrouva sa mère qui lisait au salon en l’attendant.
— Ah ! Te voilà, ma Chérie, ta journée s’est bien passée ?— J’espère qu’elle finira mieux qu’elle n’a commencé… J’étais assez triste de voir Pauline partir ce matin.— Que veux-tu, c’est la vie… Nous voilà célibataires toutes les deux.— On n’va pas se laisser abattre ! Ce soir, on sort.— Tu es sûre que c’est une bonne idée ? Il n’y a qu’au sauna où je vais seule, d’habitude.— Mais tu ne seras pas seule puisque je serais avec toi et puis j’n’ai jamais mis les pieds dans une boite à partouzes. J’aimerai découvrir ce genre d’endroit mais je n’irais pas toute seule. Emmène moi, Maman, s’il te plait.— Tu te rends compte que tu vas me voir…— Et toi aussi, tu me verras ; c’n’est pas grave. Je trouve même ça un peu excitant.— Lisa !— Et bien quoi ? C’est vrai, je ne vais pas me voiler la face. Ça m’excite de faire l’amour avec des inconnus à côté de toi. Je suis sûre que tu es très belle quand tu jouis.— Arrête, Lisa, tu vas me faire rougir. Mais, franchement, je ne sais pas si c’est une bonne idée.— Maman ! Tu me l’as promis l’autre jour, qu’est-ce qui te fais peur ?— Je… j’ai peur d’avoir envie de toi aussi ; avec Karine, généralement, on fait l’amour ensemble pour exciter les mecs et en même temps qu’ils nous baisent.— Et si moi j’avais envie aussi ? Ce serait si grave que ça ?— C’est impossible, Lisa, je suis ta mère. Je n’ai pas le droit d’avoir ce genre de désirs pour toi… C’est mal.— On en a déjà envie, sinon tu ne dirais pas ça et on n’est pas obligées de dire que tu es ma mère.— Tu me ressembles quand même beaucoup trop pour pouvoir mentir sur notre parenté.— Alors on fera ça en rentrant, répondit Lisa en approchant ses lèvres de la bouche de sa mère.— Lisa, je t’en prie… dit Eveline sans se retirer.
Le baiser qu’elles échangèrent devint rapidement torride et leurs mains se mirent à courir sur leurs corps et sous leurs jupes. Eveline s’abandonna avec une facilité déconcertante à l’amour de Lisa. La jeune femme masturbait sa mère qui se pâmait de plaisir en lui rendant ses caresses.
— Je t’aime, Maman, et je veux te voir heureuse. Laisse moi m’occuper de toi, oublie un peu ce que tu fais pour Papa et fais les choses pour toi. Laisse toi aimer par ceux qui t’aiment vraiment…— Tu me fais faire des bêtises…— Tu en as envie autant que moi et c’est de l’amour, pas des bêtises.— Aaah, Lisa, tu… Tu me fais jouir.— Oui, Maman, c’est bien, laisse toi aller, lâche toi.— Aaaaaah ! Aaah, oui !! Cria Eveline foudroyée par un orgasme fulgurant. Mmm, c’était délicieux… Criminel mais délicieux.— Oui, Maman, c’était délicieusement criminel, répondit Lisa en embrassant sa mère.— Mmm, vilaine ! Tu me fais faire des bêtises mais t’as raison, j’adore ça. J’en ai honte mais j’adore ça. Et toi, ma chérie, je t’ai abandonnée en route ; tu n’as pas joui.— Ce n’est pas grave, je me rattraperai plus tard.  Où est mon frère ? T’as crié tellement fort que j’ai eu peur qu’il me surprenne avec ma main sous ta jupe.— Ton frère a des copains bien plus fidèles qu’il ne le prétend. Max et Karim lui ont préparé une soirée d’anniversaire à laquelle il n’a pas pu se défiler.— Il t’a dit que j’étais passée lui souhaiter un bon anniversaire hier après midi ?— Oui, et je ne sais pas ce que tu lui as dit mais il est transformé.— Oh, je ne lui ai pas dit grand-chose, en fait. On n’avait pas beaucoup de temps…— Ne me dit pas que tu lui as encore taillé une pipe.— Non, je ne te le dis pas parce que je ne l’ai pas prise en bouche.— Tu n’as pas… Non ?! Tu l’as fait ? C’est ça ?— Si tu entends par là que j’ai dépucelé mon petit frère de 18 ans dans un acte criminel consenti, et bien si ! C’était très tendre, terriblement érotique et monstrueusement jouissif.— Lisa tu es…— Je suis ?— Tu es monstrueusement merveilleuse… Tu devrais avoir honte.— Ah oui ?! S’exclama Lisa amusée en enfourchant les jambes de sa mère. Et c’est tellement bon d’avoir honte. Ajouta-t-elle avant de rouler un patin à sa mère.
Une demie heure plus tard, elles se retrouvaient nues et enlacées sur le canapé après avoir joui délicieusement l’une et l’autre. Elles restèrent nues tout le temps du diner puis elles passèrent ensemble sous la douche avant de se préparer pour sortir.
— Tu as des trucs sexy pour t’habiller ? Demanda Eveline à sa fille.— Ça dépend, c’est quoi sexy pour ce genre de lieux ? Très court ?— Moi, je dirais plutôt très pute. Ce serait drôle d’être habillées pareil.— Genre sœurs jumelles ? Hi hi, ça me va.— Euh, je ne me fais pas d’illusion, je n’ai plus mon corps de vingt ans.  Et avec la ménopause, j’ai du mal à garder un ventre plat.— Arrête, Maman, tu es superbe ; on te donnerai à peine trente ans.— C’est gentil, mais ce n’est pas beau de mentir à sa mère. J’en ai douze de plus, je te rappelle.— Je t’assure ! Même mes copines le disent. Montre moi ta tenue sexy et allons nous faire sauter par des hordes de mâles en rut.— Je te préviens ça se porte sans rien dessous et c’est très ajouré.— Ah oui ! Carrément ! Mais ça ne cache rien…— Si, Ça cache un peu, les mailles son un peu plus serrées au niveau du sexe et sur la pointe des seins, regarde. Expliqua Eveline en enfilant le vêtement. C’est facile à enfiler et à retirer, ça a le mérite d’annoncer la couleur et c’est suffisamment court pour inciter des hommes entreprenants à te glisser leur bite entre les jambes sur la piste de danse. Mais si tu as peur d’être totalement nue dessous, je peux te prêter un mini string.— Non, ça va, t’es à poil mais c’est vrai qu’on voit à peine ta chatte et tes tétons… Ça me plait, on va s’en prendre plein l’cul ! Reste à trouver les chaussures pour aller avec et un manteau assez long pour cacher tout ça jusqu’à là bas, parce que là, il y a attentat à la pudeur.
Une fois habillées et maquillées, Lisa et sa mère appelèrent un taxi pour se rendre au club. Quand le chauffeur les vit prendre place à l’arrière de sa voiture, il faillit s’étrangler et rougit franchement en entendant leur destination. Discrètement, il modifia le réglage de son rétroviseur intérieur pour essayer de se rincer l’œil mais son manège n’échappa pas à Lisa qui prévint sa mère.
— T’as vu, il essaye de nous mater dans son rétro. Chuchota-t-elle à sa mère.— Avec nos manteaux fermés et nos jambes croisées, il ne doit pas voir grand-chose…— Oui, mais du coup, il ne regarde pas trop la route. Tu permets que je lui fasse la remarque gentiment ?— Si tu veux, mais ça ne me gêne pas qu’il nous regarde.— Monsieur ? J’ai l’impression que votre rétroviseur n’est pas très bien réglé et que votre regard est plus attiré par celles que vous transportez que par votre route.— Non, Mademoiselle, pas du tout, enfin… C’est vrai qu’avec votre sœur, vous êtes ravissantes et puis vous savez ce qu’on dit : « C’est pas parce qu’on est au régime qu’on n’a pas le droit de regarder le menu ».— Oh, parce que vous êtes au régime ? Ironisa Eveline. Mais là, vous n’en êtes même pas aux entrées…— Peut-être que, ma cousine et moi, on pourrait vous en montrer un peu plus au prochain feu rouge si d’ici là vous faites preuve d’une conduite exemplaire.— On pourrait même vous faire découvrir le dessert, ajouta Eveline. Pas vrai, ma Chérie ?— C’est évident, mon Amour, répondit Lisa en embrassant sa mère sur la bouche.— Oh putain… soupira le chauffeur en remettant son rétroviseur en place.
Conduire sans voir ce qu’il se passait à l’arrière, était une vraie torture pour le chauffeur qui entendait les deux bombes glousser et s’embrasser. Il approchait d’un carrefour, le feu était vert, il ralentit, deux voitures le dépassèrent en trombe et il ralentit encore. Le feu était de plus en plus proche et semblait ne pas vouloir changer de couleur, trois voitures lui passèrent devant, le feu passa à l’orange, ouf. Il s’arrêta et se retourna pour admirer les deux femmes sexy qu’il transportait. Elles avaient retiré leurs manteaux et la plus âgée des deux caressait la chatte de la plus jeune dont la robe en maille était remontée au dessus de ses seins. Lisa avait les jambes très écartées et les fesses posées au bord de la banquette. Elle regardait le chauffeur qui ne pouvait retirer ses yeux de sa chatte ouverte.
— Ce plat de résistance semble vous plaire, remarqua Eveline moqueuse, mais le feu vient de passer au vert ; vous devriez reprendre la route.— Euh, oui, pardon, Mademoiselle. Répondit-il, n’imaginant pas que cette belle femme soit la mère de l’autre.
La voiture repartit mais, malgré ses efforts, le chauffeur n’eut pas d’autre feu rouge et il n’était plus très loin de la destination des jeunes femmes. Quand il s’arrêta devant l’établissement pour indiquer le montant de sa course, Lisa et sa mère avait remis de l’ordre dans leurs tenues et sortirent en lui souhaitant une bonne soirée.
— T’as vu Maman que tu peux passer pour ma sœur, Dit Lisa en prenant sa mère par le bras, mais « cousine », c’est bien mieux.— Ah oui ? Pourquoi ça ?— Parce que c’est moins grave de se gouiner entre cousines qu’entre sœurs.— Ou qu’entre mère et fille. Ajouta Eveline en embrassant sa fille.
Cela faisait près de trois mois qu’Eveline n’était pas revenue au club et elle n’en suivait pas l’agenda. Devant l’entrée, des hommes seuls faisaient la queue dans l’espoir de rentrer dans la boite mais le vigile ne les laissait passer qu’au compte-gouttes. Plusieurs hommes les matèrent quand elles passèrent à côté du groupe pour accéder à la porte. C’était une soirée à pluralité masculine et Georges, le patron du club, laissait entrer trois hommes par femmes sans tenir compte des conjoints.
— Mon dieu, Eveline ! s’exclama-t-il en voyant entrer les deux femmes. Tu es en belle compagnie à ce que je vois. C’est ta sœur ou ta fille ?— C’est ma cousine, Répondit Eveline en souriant. Franchement, regarde moi ! Je suis trop jeune pour être sa mère ! qu’elle âge j’ai à ton avis ?— Ben, je ne t’ai jamais demandé mais t’es clairement plus jeune que Karine et je sais qu’elle a quarante ans ; elle les a fêté ici. Alors je dirais, je n’sais pas, moi trente-deux ou trente-trois ans. C’est ça ?— Tu as vu juste, trente-trois ans ; mais bon, il faut dire que tu en vois passer alors t’as l’œil.— Oui, c’est vrai ! Et toi, la petite cousine, t’es encore bien jeune ; je dirais que t’as entre dix-neuf et vingt et un ans. C’est bon ?— Bravo ! J’aurai vingt ans dans deux mois. Et pour info, je m’appelle Lisa.— Enchanté, Lisa. Vous me laissez vos manteaux pour le vestiaire ?... Oh mon dieu ! S’exclama-t-il en les découvrant dans leurs robes ajourées. Eh ! Pedro, laisse entrer dix mecs de plus et bien triés ; on a du lourd ce soir ! Bonne soirée les filles, je passerai vous voir plus tard.
Lisa ouvrait de grands yeux, en découvrant les lieux. Ça ressemblait à une boite de nuit normale, avec un bar, une piste de dance avec des banquettes et des tables tout autour. Il y avait pas mal de monde et vraiment beaucoup d’hommes qui se dandinaient sur la piste ou se tenaient seuls au bar tandis que les couples occupaient plutôt les banquettes. La soirée ne faisait que commencer et il y avait encore peu de rapprochements. Eveline salua plusieurs couples et hommes seuls qu’elle connaissait en présentant tout le temps sa fille comme sa jeune cousine. Lisa faisait sensation, comme toute nouveauté, et plusieurs connaissances de sa mère n’eurent aucun scrupule à lui poser une main aux fesses en lui faisant la bise. Elles se dirigeaient ainsi vers le bar lorsqu’elles rencontrèrent Maxime, un bon ami d’Eveline qui était venu avec trois copains à lui. Eveline sauta au coup de cet homme avant de lui présenter Lisa et tandis qu’elle embrassait ses amis, il se colla dans son dos.
— Oh ! S’exclama Eveline tout à coup, Maxime, tu veux brûler les étapes ?— Que veux-tu, ma Chérie, tu m’as manquée. Ça fait au moins trois mois qu’on t’a pas vue alors j’ai pas résisté à me glisser un peu entre tes jolies fesses. Répondit un homme roux d’environ cinquante ans.— Tu ne veux pas, plutôt nous offrir un verre ? On vient d’arriver et on n’a pas encore atteint le bar. Tu pourras t’amuser avec mon cul autant que tu veux un peu plus tard.— Asseyez-vous avec nous, répondit Maxime en retirant sa bite bien raide de l’entrecuisses d’Eveline. Je vais vous chercher deux coupes pour partager notre bouteille.
La banquette sur laquelle elles s’assirent avait la forme d’un U et était déjà partiellement occupée par trois hommes habillés de manière très chique. Il y avait un métis antillais qui s’appelait Pierre, un grand brun, assez séduisant, qui répondait au prénom de Claude et Jean-Louis, un petit gros à la mine joviale. Ils devaient avoir quarante-cinq ou cinquante ans comme leur ami Maxime grâce à qui ils avaient pu rentrer facilement. Maxime revint rapidement avec une nouvelle bouteille et deux coupes pour les Eveline et sa « cousine ».
— Tu sais, Maxou, il n’est pas nécessaire de nous saouler pour pouvoir nous sauter plus tard.— Oh mais si ! Depuis le temps que je te connais, je sais comment tu fonctionnes. Ah ah ! — Goujat ! Je ne bois jamais plus d’une coupe ou deux et tu le sais, vilain.— Oui, je te charrie mais c’est tellement bon ; à six, cette bouteille ne nous aurait pas donné plus d’un verre par personne ; il en fallait bien une deuxième. Et bien, Pierre, tu consommes avant de trinquer ? Demanda Maxime à son ami qui s’occupait avec Lisa.— Oh, il ne consomme pas ! Le défendit Lisa qui avait une main enfoncée dans la braguette de l’antillais. Il est juste en train de regarder le programme, tout comme moi d’ailleurs…— Lisa Chérie, si tu les épuises tout de suite, ils ne pourront plus nous servir convenablement après. Expliqua Eveline enjouée. La soirée ne fait que commencer.
Ils trinquèrent ensemble, parlèrent de manière frivole et allèrent se dandiner un peu au son de la musique. Maxime, Pierre, Claude et Jean-Louis ne les lâchaient pas d’une semelle, elles passaient l’un à l’autre en se laissant embrasser, peloter les fesses et caresser la chatte ou le trou du cul.D’autres hommes, attirés comme des mouches, entouraient le groupe un peu chaud et Lisa et Eveline durent repousser quelques lourdingues qui restèrent à distance. Pour finir, elles dansèrent ensemble dans un zouk très collé-serré durant lequel elles se caressèrent et s’embrassèrent avec fougue. En les voyant enlacées, leurs mâles bandaient comme des taureaux et Maxime et Pierre se joignirent à elle tandis que Claude et Jean-Louis retournèrent s’asseoir. L’antillais se mit derrière Lisa en ouvrant sa braguette pour glisser sa bite entre les cuisses de la jeune fille tandis que le rouquin faisait de même avec Eveline.
— Mmm, Mam… Chérie,  Chuchota Lisa en manquant de gaffer, j’ai un barreau de chaise qui se frotte à ma chatte.— Moi aussi et j’ai la chatte détrempée. À la fin du morceau, on les embarque tous les quatre dans un endroit plus approprié.
Eveline abandonna les bras de sa fille pour embrasser Maxime et le ramener vers ses amis, suivie de près par Lisa et Pierre. Durant les danses, leurs robes étaient remontées au dessus de leurs hanches et elles exhibaient leurs chattes lisses et leurs fesses bien rondes. En reprenant un verre, elles se laissèrent caresser et déshabiller et Lisa prit en bouche le sexe de Pierre en se laissant lécher le cul par Jean-Louis.
— Messieurs, je crois qu’il est temps pour vous de passer au vestiaire, nos chattes ont faims de vos bites. Déclara Eveline caressée et léchée par Claude et Maxime.— J’emmène vos robes, dit Jean-Louis très galamment.— Revenez vite parce que ça se bouscule au portillon, fit remarquer Lisa en voyant le nombre d’hommes qui les mataient à distance respectables.
Pendant que leurs quatre amis étaient partis se déshabiller, certains voyeurs tentèrent leur chance en présentant leurs membres en érection au deux femmes mais Eveline leur fit signe de reculer. Lisa fut surprise du respect de ces hommes qui ne cherchaient pas à les forcer et se contentaient finalement de se branler en les regardant se gouiner pour maintenir leur excitation. Pierre, Maxime, Jean-Louis et Claude revinrent dans la tenue d’Adam et accompagnèrent les filles jusqu’à une cabine assez grande pour eux six. Un lit très large et assez haut prenait presque toute la place. Il était bordé par deux cloisons percées de trou et une troisième constituée par un miroir sans teint. Près de la porte se trouvaient des réservoirs de capotes, de gel et un distributeur d’essuie-tout.
— Ferme la porte, Maxime, dit Eveline en s’allongeant, tu la rouvriras quand vous vous serez bien vidés les couilles, si on a encore faim.— Tu doutes de nos capacités ? Lui demanda Jean-Louis en s’allongeant près d’elle.— Oh non, je ne crois pas, lui répondit Maxime mais tu ne la connais pas encore ; Eveline peut rester quatre heures à se faire sauter par toute la boite. Je l’ai vue à l’œuvre plus d’une fois et je sais qu’à nous quatre, on ne l’épuisera pas mais on a la chance d’être les premiers.— Et toi, Lisa, t’es aussi insatiable que ta cousine ? Demanda Pierre à celle qui l’excitait le plus.— C’est la première fois que je viens dans un tel endroit alors je vous dirais ça plus tard. Tout ce que je peux dire c’est que j’ai la chatte en feu.
Rapidement, Lisa se retrouva dans une joute érotique avec le bel antillais et Claude tandis que Jean-Louis et Maxime se délectaient du corps d’Eveline. La jeune fille suçait tour à tour ses deux amants et se faisait brouter le minou et le cul par eux sans vraiment s’occuper de ce que faisait sa mère. C’est Claude qui la prit en premier tandis qu’elle suçait encore Pierre et qu’elle branlait une bite fraichement apparue par un trou de la cloison. Comme son propriétaire, la queue qui allait et venait dans sa chatte humide, était fine et élancée et il la maniait avec intelligence. Son rythme était soutenu sans être brutal et elle lui procurait un plaisir intense. Claude, comme les trois autres était une personne attentive au plaisir de ses partenaires et il savait se maitriser. Bien avant de jouir, il laissa sa place à Pierre et retira sa capote pour remettre sa bite dans la bouche de Lisa qui l’avala entièrement. L’inconnu qu’elle masturbait éjacula et une autre bite remplaça la sienne dans l’ouverture ronde. Lisa s’aperçut alors que sa mère était prise en sandwich par Maxime et Jean-Louis et qu’elle avait la bouche collée à un trou de la cloison qui se trouvait près d’elle. Cette vision ne dura qu’une fraction de seconde car Pierre la poussait sur la queue de Claude qui lui maintenait la tête bien orientée pour une pénétration profonde. L’antillais n’avait pas une queue beaucoup plus longue que son ami mais elle était plus épaisse. Elle se sentait baisée des deux côtés et son plaisir s’exprimait par des sons étouffés.Pierre et Claude échangèrent encore de place mais cette fois ci, le grand brun s’occupa de son trou du cul. Elle appréhenda un peu la pénétration à cause du mal que lui avait fait son père mais il sut la préparer comme il faut avec sa langue et ses doigts avant de la prendre en douceur. Après quelques minutes, Pierre se glissa sous Lisa et pointa son dard à l’entrée de sa chatte qu’il pénétra doucement. Claude avait arrêté ses mouvements pour le laisser faire et en quelques secondes elle se retrouva écartelée par devant et par derrière. Libre de ses mains et de sa bouche, elle se rapprocha de la cloison percée d’où sortait une bite superbe. Comme sa mère, elle avait maintenant tous les trous bien occupés et sa chatte en dégoulinait de bonheur. Aucun de leurs baiseurs n’avait encore joui quand ils décidèrent de changer de femme et Lisa accueillit avec plaisir l’énorme bite de Maxime. Il l’avait prise au dessus de lui et son sexe épais remplissait bien sa chatte. Elle pensait que Jean-Louis allait se glisser dans son cul mais sa surprise fut totale lorsqu’elle sentit sa fine queue se frayer un chemin le long de celle du rouquin. Sa chatte s’écarta pour la laisser passer et elle exprima à vive voix son plaisir.
— On ne t’avais encore jamais fait ça ma cochonne ? Lui demanda Maxime.— Aaah, ah oui, non. C’est ééh… énorme. Oooooh… Répondit elle en prenant en main une bite inconnue de la cloison.
Eveline gémissait comme une sauvage ; Pierre et Claude avaient investi tous deux son trou du cul et elle adorait ça. C’est Claude qui remplit en premier sa capote peu de temps avant les trois autres.Ivres de plaisir, Lisa et Eveline se tombèrent dans les bras l’une de l’autre et après un long baiser très torride, elle basculèrent tête-bêche pour un soixante-neuf furieux. Leurs langues et leurs doigts s’agitaient et leurs orifices avaient été  tellement élargis par leurs quatre baiseurs qu’elles en finirent aux mains. Elles se fistaient mutuellement en se léchant le bouton et en se doigtant le cul.
— Putain, elles sont vraiment chaudes les deux cousines. Dit Pierre à Maxime en sentant sa verge reprendre de l’ampleur.— Ce sont les mêmes, elles me font vraiment bander et je crois que je vais me faire le petit cul de Lisa. Dans leur position, c’est le plus accessible, à moins que…— À moins que quoi ? Demanda Pierre intrigué.— À moins que je me fasse branler par Eveline dans la chatte de Lisa.— T’es fou, ça n’rentrera jamais.— Ça, je n’en suis pas sûr, répondit le rouquin en approchant sa bite encapuchonnée devant la jaune chatte inondée de plaisir.— Aaaah ! Aaah non ! Ouii ! Aaaaah ! Cria Lisa quand la grosse queue s’enfonça dans son vagin en longeant le poignet de sa mère.
Eveline arrêta de bouger sa main et, quand elle sentit la bite contre sa paume, elle l’enveloppa avec ses doigts.
— Oh, mon dieu, c’est trop bon, gémit le rouquin en fermant les yeux. Je me branle dans sa chatte.— Ça donne envie d’essayer, reconnu Pierre. Si t’es rentré, je n’aurai pas de problème.— Dès que j’aurai joui, je te laisse la place ; mais ne t’inquiète pas, c’est tellement bon que ça ira vite.
Lisa jouissait comme une dingue de cette pénétration monstrueuse et elle se cramponnait au cul de sa mère. Elle avait déjà enfoncé sa main droite dans la chatte de sa génitrice et elle glissait maintenant les doigts de sa main gauche vers son cul. Elle en rentra directement deux et ne tarda pas à en ajouter un troisième. Eveline se sentait investie totalement et plus son plaisir grandissait et plus sa main se remettait en mouvement dans le vagin de sa fille, sans pour autant lâcher la bite de Maxime. Elle poussa un grand cri quand les trois doigts furent remplacés par la main entière. Elle était fistée des deux côtés et se mit à branler Maxime furieusement dans le vagin de sa fille qui hurlait de bonheur. Maxime n’en pouvait plus, il se laissait faire et ne tarda pas à crier son plaisir avant de retirer doucement sa queue tremblante. Sans retirer leurs mains des orifices dans lesquels elles étaient plantées, Eveline et Lisa se calmèrent un peu et soufflèrent jusqu’à ce que Pierre prenne la place de son ami.Claude et Jean-Louis expérimentèrent aussi cette forme de branlette et lorsque les quatre furent passés, Lisa et sa mère retirèrent doucement leurs mains de leurs orifices dilatés. Elles s’enlacèrent tendrement et Eveline demanda à sa fille si ça allait.
— Oh oui, je crois que je n’ai jamais joui aussi fort. Je vais avoir besoin d’un peu de temps avant de reprendre quoi que ce soit dans la chatte ; c’était énorme.— Tu veux qu’on rentre ? Demanda Eveline en la serrant contre son sein.— Je n’en sais rien ; je suis bien là, avec toi alors si t’as encore envie, on reste.— Moi aussi, j’ai beaucoup joui et, très franchement, là je suis comblée. Terminer par une nuit câline me conviendrait parfaitement.— Et vous, messieurs ? Demanda Lisa poliment. Etes vous satisfait ou avez vous encore envie ?— Pour ma part, je suis comblé, répondit Maxime et j’aurais du mal à remettre le couvert ce soir.— Moi pareil, confirma Jean-Louis ; je n’avais même jamais rebandé aussi vite.— Je suis vidé, dit simplement Claude en regardant sa queue molle.— Tu es incroyable, ajouta finalement Pierre en se penchant sur Lisa, très excitante et très désirable mais, pour moi aussi, la suite  sera pour un prochain épisode.
Ils attendirent un peu que les voyeurs choisissent une autre cible avant de sortir de leur cabine. Il y avait des gémissements et des bruits de baise partout dans le coin câlin. En passant, ils jetèrent un coup d’œil discret à une grande alcôve où une femme s’offrait un gang bang sous le regard amoureux de son mari et se dirigèrent vers les douches. Une fois rhabillés, ils reprirent une coupe de champagne ensemble et Maxime proposa à Eveline et Lisa de les raccompagner.
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