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Lisa, Théo et les autres

Chapitre 7

Inceste
VII. – Vengeance, vengeances et autres petits plaisirs
Théo sortit du lycée à dix-sept heures en compagnie de ses amis Max et Karim lorsqu’il aperçut son père qui guettait depuis le trottoir d’en face. De toute évidence il ne souhaitait rien d’autre que de le filer jusqu’au nouveau logement de sa femme. Les trois garçons pressèrent le pas et prirent des chemins détourné mais Arnaud ne les lâchaient pas. En passant dans le quartier piéton, Théo eut l’idée de rentrer dans un grand magasin disposant de deux entrées assez séparées pour le perdre et rompre la filature peu discrète de son père. En ressortant, ils l’aperçurent attendant non loin de l’autre porte. Ils se crurent tirés d’affaire et terminèrent leur chemin en se baladant tranquillement. Ils n’avaient pas repéré Pauline qui avait pris le relai du père de Lisa et qui les suivit jusqu’à la porte de l’immeuble.
Théo proposa à ses amis de monter avec lui et, dans l’éventualité où sa mère et sa sœur seraient nues, il sonna à l’interphone pour annoncer qu’il était accompagné de Karim et Max.
— Tu sonnes souvent pour rentrer chez toi ? Ou c’est juste parce qu’on est là ? Demanda Karim.— C’est parce que vous êtes là ; depuis quelque temps, on a un peu tendance à vivre à poil…— Moi, ça m’aurait pas gêné, tu sais, répondit Max en rigolant, j’ai toujours trouvé ta mère canon…— Et ta sœur, c’est une vraie bombe, ajouta Karim. Rien que de l’imaginer à poil, j’en bande !— Ouai, et bien calme toi. C’est ma frangine ! Répondit Théo avec une pointe de jalousie.
Eveline et Lisa avaient juste passée, l’une comme l’autre, une robe d’été sans rien mettre dessous. La jeune fille n’allait pas beaucoup mieux et regrettait que Théo ne soit pas seul. Comme Eveline, elle accueillit quand même Max et Karim le plus joyeusement possible mais, à l’instar de sa mère, elle fut saisie d’effroi en apprenant qu’Arnaud les avait suivi.
— Pas de panique, Maman. Puisqu’on te dit qu’on l’a largué devant la première entrée de MMH. Il n’a pas vu qu’on sortait de l’autre côté.— Il était seul ?— Bien sûr, Lisa, qu’est-ce que tu crois ?— C’est impossible ! Je suis sûre que Pauline était avec lui.— Tu sais, je n’l’ai vue qu’une fois alors comment veux-tu que je la reconnaisse ?— Elle est quand même assez identifiable ! C’est la seule personne brune aux yeux verts que je connaisse, répondit Lisa un peu fâché.— Alors c’est la meuf qu’est passée devant l’entrée de l’immeuble quand tu sonnais.— Là, c’est le pompon ! S’exclama Eveline en se laissant tomber dans un fauteuil du salon. Ils vont chercher à venir jusque là.— Et bien, s’il monte jusqu’ici, je lui casse la gueule ! Déclara Théo sur de lui. Rien a foutre que ce soit mon père.— Et s’il ne l’était pas ? Demanda Eveline tremblante.— Alors ce serait plus facile encore.
— Et si t’as besoin d’un coup de main, dit Karim à son ami, on est là.— Merci, c’est cool…— On n’est peut-être pas obligé d’en venir aux mains, dit Lisa pensive.— Eh, t’as vraiment pas l’air d’aller bien, petite sœur. Remarqua Théo en réalisant à quel point elle était blanche.— Oh non, je n’vais pas bien du tout, même… Il y a un truc qui n’passe pas, mais je ne peux pas t’en parler maintenant. Tu comprends ?— C’est parce qu’on est là, c’est ça ? Demanda Max qui comprenait que c’était des choses assez intimes. On peut partir si vous voulez.— Ce n’est pas à cause de vous, répondit Lisa en se mettant à pleurer. Mais c’est un peu trop personnel.— Moi, je préfèrerai que vous restiez encore un peu… Au moins jusqu’à ce que mon compagnon rentre mais c’est vrai que pour expliquer la situation à Théo c’est moins facile.— Tu sais, Eveline, depuis le temps qu’on connaît Théo, on a bien compris que vous étiez tous un peu bizarre dans cette famille. Mais franchement, moi ça m’fait du bien, expliqua Karim. Alors si vous avez des trucs à vous dire qu’on ne doit pas entendre, on peut aussi aller sur le balcon pour surveiller ce que font les deux tarés en bas.— Vous serez prudents ? Demanda Lisa en esquissant un sourire. Il ne faut pas que mon père vous voie.— T’inquiète pas, répondit Max, et on ne vous dérangera que si on les voie s’approcher de l’immeuble.— Il sont sur le trottoir d’en face, annonça Karim en ouvrant la porte-fenêtre. Mais ils regardent les péniches.
Les deux garçons refermèrent la porte-fenêtre du balcon et s’installèrent de façon a ne pas être vu à son extrémité la plus lointaine. Lisa, Eveline et Théo pouvaient enfin discuter.
— Bon, tu me dis ce qui t’arrive, maintenant, excuse-moi mais t’as l’air d’un cadavre. C’est parce que Papa et Pauline sont en bas ?— Non et oui un peu, mais avant que t’arrive ça allait mieux… T’as pas relever vraiment la question de Maman ; t’en penses quoi ?— Quelle question ?— Si tu n’étais pas le fils d’Arnaud, Chaton, en dehors de ton envie de lui casser la figure…— Tu m’as dit un truc comme ça, après l’enterrement de Papet et Mamet, et je n’veux pas le savoir !— Pourtant il le faut, Théo, lui répondit Lisa, c’est indispensable si on veut lutter à armes égales. Papa m’a raconté l’histoire à sa façon ce matin et vu le peu d’estime qu’il a pour toi il va te la balancer à la figure. Si tu n’écoutes pas la version de Maman, il va être en position de force. Il m’a fait le coup ! Tu sais comme il est doué pour retourner les situations !— Mais j’n’aurai plus de Papi !— Bien sûr que si ! Imbécile ! Parce que c’est ce qu’il a toujours été pour nous mais t’aura aussi un géniteur un peu plus sympa que ton père.— C’est vraiment vrai, alors ? Maman ? Dis moi que ce n’est pas vrai…— Si Chéri et ta sœur a raison, il faut que tu saches. Ne m’interromps pas s’il te plait. Lui dit-elle avant de lui raconter toute l’histoire.— Le salaud ! Il a cinq gosses ailleurs… Mais pourquoi il m’a reconnu s’il ne voulait pas de moi ?— Il n’a pas eu le choix, on est mariés alors la reconnaissance est automatique à moins de faire un scandale. Arnaud ne pouvait pas se le permettre…— Pourquoi ? Demanda Lisa intriguée.— Parce que son clavecin du dix-huitième, c’est mon père qui l’a payé contre reconnaissance de dette. S’il avait fait un scandale, en plus d’une séparation inévitable, votre Papet aurait exigé un remboursement immédiat et Arnaud en était incapable. Son intérêt c’était de t’accepter et de se réconcilier avec moi.— Et il l’a remboursé ? Demanda Théo en se doutant de la réponse.— Bien sûr que non ! Il n’a pas rendu un centime.— Ça veut dire qu’il te le doit encore, remarqua Lisa énervée. Et il a le toupet de te réclamer une table de nuit.— Je m’en moque, Lisa ; si pour me débarrasser de lui je dois m’asseoir la dessus, c’est un moindre mal.— Mais nous pas ! Rétorqua Théo l’air sévère. Ce qu’il te doit, il nous le doit aussi ! et ça va du respect au clavecin !— On peut au moins utiliser ça pour le faire flipper, remarqua Lisa moins vindicative. Mais s’il le remboursait ce serait assez juste. Pas seulement pour nous mais aussi pour tonton et les cousins.— Je crois qu’ils n’en savent rien, tu sais. C’est moi qui ai la reconnaissance de dette.— Mais ce n’est pas une raison.— Et pourquoi était-il si nécessaire que je sache que Papi est mon père ?
Lisa prit une longue respiration et raconta sa matinée à son frère sans oublier un détail et reconnut que si elle n’avait pas repris un cachet elle en aurait encore vomi.
— Ils sont vraiment pourris tous les deux, déclara Théo écœuré. T’aurais jamais dû aller au studio ; fallait la quitter, c’est tout.— Je l’aime, Théo ! J’avais besoin de la voir et de savoir. Bien sûr qu’il y avait un gros risque pour que Papa soit là aussi mais s’ils m’avaient cru à l’appart pour le trouver vide sans moi et sans Maman, ça aurait été pire et je n’aurais rien su.— Ça ne change rien puisqu’ils l’ont trouvé après.— Oui mais je savais ! Je savais quel programme ils avaient pour eux, leur futur bébé et moi… J’ai pu l’entendre me demander pardon de te détester en m’expliquant qu’il ne pouvait pas faire autrement. J’ai pu l’entendre dire qu’il voulait divorcer de Maman et Pauline rajouter que nous pourrions alors être heureux tous les trois !
Elle allait continuer quand Karim et Max frappèrent à la porte fenêtre.
— Ils arrivent ! Ils sont entrés avec une petite vieille.— Ils attendaient la bonne occasion pour éviter de sonner à l’interphone, comprit alors Théo.— Ça va aller, Lisa ?— Oui, Maman. Au pire, je leur vomis sur les pompes. Répondit la jeune fille en esquissant un sourire. Quelques instants plus tard, Arnaud tambourinait comme un sourd sur la porte en hurlant comme un malade. Théo voulut aussitôt ouvrir pour lui casser la tête mais ses amis s’interposèrent entre lui et la porte.
— C’est moi qui ouvre, dit Karim très sérieusement. Vous ! Vous restez derrière et toi tu te calmes ! Max si Théo s’excite, tu le retiens, et si son père s’énerve, c’est moi qui le sèche.— Ça marche !— C’est quoi le problème, Arnaud ? Tu viens foutre la merde ?— Ça ne te regarde pas ! Laisse moi passer !— Certainement pas ! C’est chez moi ! Et je ne te permets pas de venir me harceler ni ici ni ailleurs !
Derrière Arnaud, Pauline fusillait Lisa du regard. Elle ne lui pardonnait pas d’avoir filé en douce et de l’avoir plaqué avec cinq lettres sur un SMS. Elle lui aurait volontiers sauté à la gorge mais elle avait promis à Arnaud de le laisser régler ses problèmes avec Eveline.
— Ah oui ?! Parce que je te harcelle ? Qui a filé en douce pendant que j’étais en tournée ?— Eh dis donc ! T’as pas dit à Lisa que tu voulais divorcer ?! Et bien voilà ! C’est fait ! Ma demande est en cours !— Mais ça ne va pas se passer comme ça ! Je ne veux pas !— Et nous on veut ! Dit Lisa pour soutenir sa mère. Et ce qu’on veut surtout c’est que tu disparaisses de nos vies ! De celle de Théo, de celle de Maman et de la mienne !— Théo peut bien disparaître de ma vie ! Ce n’est pas mon fils ! C’est bien pour ça que j’envisageai le divorce. Mais on aurait pris le temps de faire ça proprement ! Et puis tu as beau dire ; tu n’étais pas malheureuse en écartant les cuisses ce matin.— T’es venu faire la pute ? C’est ça, Salope ?! Hurla Pauline en se retenant pour ne pas se jeter sur Lisa. Tu m’as bien roulée… Quand je suis partie, on devait prendre l’appartement du dessus et quand je reviens tu me la joues à l’envers ! T’aurais pu me prévenir quand je t’ai appelée de New-York.— Le jour où tu m’as raconté comment mon père était un mec génial ? Tu ne m’as appelée qu’une fois ! Tu m’as laissée sans nouvelle et tu reviens en me proposant un ménage à trois ! C’était ça le plan ?— Ça pourrait marcher, Lisa, répondit Pauline implorante. Je t’aime ! Ne m’abandonne pas comme ça…— Oh oui, tu m’aimes, mais uniquement dans ton intérêt. T’es beaucoup plus amoureuse de mon père que de moi ! Ça crevait les yeux ce matin. Le problème, Pauline, c’est que mon père a fait tellement de mal à Maman, à Théo et à moi qu’on en est venu à le haïr ! On ne veut plus le voir et, comme il maintenant bien implanté dans ta vie, je ne veux plus te voir ! De toute façon, vous êtes pareil, tous les deux ! Papa reproche à Maman de le mettre à la porte de notre ancien appart et toi tu me reproches de ne plus pouvoir profiter de la générosité de Maman en occupant l’autre à peu de frais. Il faut qu’on soit à votre service, qu’on supporte vos frasques perverses et qu’on écarte les cuisses à la demande ! C’est à vomir et j’en ai encore mal au cœur. Je t’ai dit « Adieu » alors dégage !— Non, Lisa… Pas comme ça, s’il te plait.— Dégage !— Et toi aussi, Arnaud ! Ajouta Eveline et je te laisse quinze jours pour vider les lieux.— Ah mais non ! Tu ne peux pas faire ça ! On est encore mariés ! Tu ne peux pas me mettre à la rue !— Vous permettez ? J’aimerai passer, dit Maxime en arrivant derrière Pauline et Arnaud. J’imagine que vous êtes le virtuose… Je vous voyais plus grand.
Arnaud ouvrit des yeux immenses en voyant l’homme pénétrer dans l’appartement, embrasser amoureusement Eveline et faire la bise à Théo et Lisa dont il s’inquiéta aussitôt de la pâleur.
— Haha ! J’n’y crois pas ? S’exclama Arnaud abasourdi. Tu m’as déjà remplacé… Tu ne perds pas de temps ! C’est pour t’installer avec lui que tu me mets à la porte, c’est ça ? Mais tu vas devoir attendre ; j’ai des droits et je vais les faire valoir ! Tu ne me vireras pas comme ça !— Je te déconseille de faire le malin, mais si tu veux conserver l’appartement, tu peux l’acheter. Tu ne gagnes pas trop mal ta vie ; avec ma paye d’agrégée hors classe, je fais office de pauvre !— Je n’ai pas les moyens de l’acheter ; tu le sais !— C’est sûr qu’avec toutes les pensions que tu verses à ta progéniture mondiale, tu as du mal à mettre des ronds de côté.— En quoi ça te regarde ? J’assume mes enfants ! Je n’ai pas à en avoir honte.— Oh, je n’avais pas remarqué à quel point tu étais si généreux et si soucieux… Répondit Eveline avec une poussée d’adrénaline. Théo ? Dans mon bureau, deuxième tiroir de gauche, tu trouveras une pochette jaune et, dedans, une enveloppe en papier kraft avec écrit dessus « clavecin ». Tu veux bien l’amener.— Qu’est-ce que ça veut dire ? Demanda Arnaud désemparé. Tu ne peux pas me faire ça !— Ah non ? Pourquoi ? Parce que lui aussi tu ne peux pas le payer ? Alors qu’est-ce que tu veux, Arnaud ? Tu veux me quitter mais tu ne veux pas que je te quitte. Tu veux vivre chez moi à condition que ce soit avec ta maitresse et ta fille. Tu prétends assumer tous tes enfants, ce qui est sans doute faux d’ailleurs, mais tu ne veux pas assumer tous les miens. Alors, si tu veux garder mon clavecin, tu vas devoir le payer. Pour info, je n’avais pas l’intention de te le réclamer si tu me foutais la paix mais Lisa et Théo n’étaient pas d’accord.— Eveline, non ! S’il te plait ! Pas le clavecin… Lisa, Théo ! Mes enfants !— Tes enfants ? Releva aussitôt Théo en ouvrant l’enveloppe. T’as vraiment du toupet !— Tu peux sortir les papiers, il y a la facture et la reconnaissance de dette.— Théo ?... S’il te plait.— Ah quand même ! S’exclama Théo avant de montrer la facture à sa sœur.— Tu vas honorer ta dette, Arnaud. Tu remettras la moitié du montant à mon frère et l’autre, tu la remettras pour part égale à Lisa et Théo.— Tu ne peux pas me faire ça, Eveline… Pas le clavecin. S’il te plait…— Ça ne me concerne plus, Arnaud, tu vois ça avec eux.— Lisa, Théo, vous savez à quel point c’est important ! Ne me retirez pas le clavecin !— Oh oui, c’est bien plus important que tes enfants, en fait ! Répondit Lisa haineuse. De toute façon, tu paieras Tonton la moitié qui lui revient parce que c’est juste. Ensuite, Théo fera ce qu’il veut mais mois je veux bien oublier les 20.000 euros qui me reviennent sous certaines conditions.— Tout ce que tu veux, Lisa, je te promets de faire tout ce que tu veux…— Alors je veux te voir à genoux !... Et je veux que tu présentes des excuses sincères à Maman pour tout ce que tu lui as fait vivre depuis votre mariage et n’oublie rien, surtout !— Tu n’vas pas faire ça ! Arnaud ?! S’étonna Pauline incrédule. Tu ne vas pas te mettre à genoux devant cette pute ! Des clavecins, il doit bien y en avoir des moins cher !— Tu ne peux pas comprendre ! Il a appartenu à Duphly ! C’est un instrument parfait ! Vociféra Arnaud avant de commencer à présenter ses excuses.
Il égraina tous les torts qui lui venait à l’esprit et finit en reconnaissant qu’il ne l’avait sans doute pas rendue heureuse.
— T’as oublié pas mal de trucs, lui dit Lisa sèchement. Maman, t’en penses quoi ?— Pour moi, ça ira. Il est incapable de faire mieux, de toute façon… Mais j’aurai bien aimé entendre quelques mots pour Théo.— Je veux te voir à plat ventre ! Déclara le garçon animé de vengeance. Je veux que tu me présentes des excuses pour toutes les brimades et les humiliations que tu m’as imposées. Je serais beaucoup moins tolérant que Maman pour tes oublis. Je sais que tu me détestes et que ça ne changera pas mais je veux que tu me le dises droit dans les yeux et que tu me dises depuis quand.— Théo… Pitié.— Parce que tu te couches, maintenant ! S’exclama Pauline outrée.
Folle de colère, la jeune fille s’enfuit par les escaliers tandis qu’Arnaud se pliait à l’exigence de Théo. Il espérait la clémence du garçon et fit des efforts pour se remémorer toutes les petites misères et franches humiliations qu’il lui avait infligé. Il bégayait, tremblait de tout son corps et il se mit à pleurer en reconnaissant détester Théo depuis le premier jour de sa conception. Il n’avait rien oublié mais Théo ne lui accorda pas son pardon.
— Je ne peux pas te pardonner de me détester depuis toujours car ma clémence ne changerait rien entre nous. Je ne veux plus te voir, c’est tout, et je veux aussi que tu laisses Maman tranquille et que tu ne fasses pas d’histoire pour quitter l’appart…— Et pour le clavecin ?...— C’est vraiment tout ce qui t’intéresse ? Tu t’es mis à plat ventre pour ton instrument chéri… Il n’y a aucune sincérité chez toi ! Tu es pitoyable. Ma part du clavecin, je ne t’en ferai pas cadeau.— Théo…— Dis toi que c’est mon dédommagement pour les dix-huit années de souffrance que tu m’as infligées. Après ça, nos comptes seront réglés…— Tu devrais te relever, Arnaud, lui dit Eveline calmement. Il est grand temps que tu nous laisses maintenant.— Et si tu veux récupérer Pauline, ajouta Lisa moqueuse, t’as intérêt à courir vite.
Max et Karim eurent droit quand même à quelques explications car ils avaient entendu des choses un peu troublantes et promirent de garder tout ça pour eux avant de rentrer chez eux. Lisa eut encore des nausées après le repas et Maxime s’en inquiéta un peu mais il mit ça sur le compte des émotions et du stress de sa journée. Il lui prescrit un calmant léger et leur soirée fut très calme.
Le lendemain, elle se sentait mieux et reprit le chemin de l’université tandis que Maxime partait pour son service à l’hôpital. Théo n’était plus qu’à quelques jours de sa première épreuve de bac, il n’avait plus de cours et se savait prêt  alors il décida de feignanter un peu au lit avant de se lever. Il se croyait seul et fut surpris de trouver sa mère en train de bouquiner dans le salon.
— Comment va ma marmotte ? Ce n’est pas si souvent que tu te lèves si tard.— Il faut croire que j’avais besoin de me reposer, répondit il en l’embrassant sur la bouche. Lisa a encore vomi cette nuit mais elle m’a juré qu’elle allait mieux, ce matin.— Oui, en comparaison à hier elle était radieuse.— N’empêche que je m’inquiète vraiment pour elle… Et toi ? Ça va ? Demanda-t-il en prenant sa mère dans les bras. Je suis content que tu sois là.— Je n’ai jamais cours le mardi. On a une belle journée pour nous deux. Dit-elle en posant une main sur sa verge.
Théo se pencha aussitôt vers sa mère qu’il embrassa amoureusement tandis que sa verge se redressait. Son petit déjeuner attendrait bien encore. Ses mains parcoururent le corps de sa mère qui le masturbait tendrement. Leur baiser ne s’arrêta que pour permettre à Eveline de prendre en bouche la belle bite qu’elle avait en main. Elle le suça quelques minutes avant de l’emmener vers son lit où il l’aima longuement avec passion dans la position classique du missionnaire. Théo aimait la prendre ainsi car il pouvait la voir jouir sous lui et l’embrasser à loisir. Il n’était pas rare qu’ils fassent l’amour ensemble mais, le plus souvent, en présence de Maxime et Lisa. Eveline s’accrochait à lui de tout son corps, et jouissait de cet instant fabuleux. Elle s’était réveillée avec une envie de baiser terrible, Maxime l’avait déjà satisfaite une fois avant de se lever et, depuis qu’il était parti, elle avait résisté à l’envie d’aller réveiller son fils.Théo la prenait avec toute la fougue de son jeune âge, il la faisait jouir et il finit par la rejoindre dans un orgasme intense. Il émit un grognement sourd en maintenant sa verge bien au fond de la chatte de sa mère et y répandit son foutre abondant tandis qu’elle s’accrochait à lui en criant de plaisir.
Eveline n’était pourtant pas rassasiée. Elle était dans un état qu’elle connaissait bien et qui l’amenait, dans ses soirées en club, à chercher des rapports multiples jusqu’à épuisement. Les deux rapports qu’elle avait eus dans ce début de matinée n’avaient fait que renforcer son besoin boulimique de bites. Sa chatte pleine des éjaculations de ses deux hommes préférés en réclamait davantage et elle en prenait conscience tandis que Théo se préparait son petit-déjeuner.
— T’as l’air toute bizarre, Maman, ça ne va pas ? Demanda Théo en se servant des céréales.— Ça va, c’est juste que je me suis réveillée avec une envie de baiser terrible et ça ne me passe pas… Il me faut des bites, Théo. Plein de bites ! Il faut qu’on me foute, qu’on me baise.— Et bien, tu as déjà la mienne, et je pourrai faire quelque chose pour toi après avoir mangé un peu.— J’en serai ravie mais j’ai peur que ça ne me suffise pas… Je me suis réveillée excitée, je l’étais encore plus après que Maxime m’ait fait l’amour et maintenant c’est encore pire.— Tu lui as dit que t’avais besoin de bites ?— Oui, il a dit qu’il m’emmènera en club ce soir si ça ne passe pas. Mmm, mange vite, Chaton… Ajouta Eveline en portant ses mains à sa chatte.— Euh, là, Maman, je dois avouer que je n’t’ai jamais vue comme ça… Mais bon, ça peu se comprendre ; la journée d’hier était plutôt morose.— Aaah… Oui, regarde ma chatte comme elle est mouillée, Aaaah ! Aah oui.— Mets toi sur la table, Maman, je vais te la bouffer.— Aaah oui, Chéri, viens me lécher… Aaah ! Aah oui, branle moi aussi.— Mmm, t’es pleine de foutre ; j’adore.— Oh oui, et elle en veut encore plus, aah… Aah oui, écarte moi la chatte avec tes doigts. Aaah.— Oh putain, J’en ai mis trois et ta chatte s’ouvre encore…— Aaah… Mets les tous ! Aaah… Enfonce les tous, Aaah ! Aah Oui ! Aaaah, c’est gros…— Maman, ça va ? J’ai toute ma main dans ta chatte. — Aaaah, ah oui, baise moi avec ta main. Aaah…! Aaah…! Aah, oui ! Fiste moi la chatte !
Théo fit jouir sa mère avec cette masturbation hors norme puis il remplaça sa main par sa bite bien raide. La chatte d’Eveline était bien élargie et sa chatte détrempée ; Théo la prenait avec vigueur en s’éclaboussant de le pubis et les couilles de projection de mouille. Sa mère s’agrippait à la table qui se déplaçait légèrement à chaque poussée. Il pataugeait dans sa moule affamée et il voulu se sentir un peu plus à l’étroit alors il sortit sa verge et le présenta un peu plus bas.
— Oh oui, Théo ! Encule-moi ! Encule moi fort ! Cria Eveline en remettant ses doigts dans sa chatte.— Aah ! Ah oui ! Maman, han ! Han ! Aah oui !
Eveline jouissait en en redemandant encore et en disant qu’elle voulait être baisée et couverte de foutre. Du coup, au moment de jouir, Théo sortit sa bite du cul de sa mère et lui aspergea le visage de cinq ou six jets de foutre épais.
— Excuse moi, Maman, je… je n’en ferai pas une habitude mais j’ai cru que c’était ce que tu voulais.— Ne t’excuse pas ; c’est exactement ce que je voulais. Je veux m’en prendre plein la gueule ; j’en veux partout. J’veux des bites et du foutre…— Ne me dis pas que t’as encore envie ?— Si… Ça n’a jamais été aussi fort ! Tu dois me prendre pour une folle mais j’ai encore envie. Tu crois que Karim ou Max ?— Vu comment ils t’ont maté hier soir quand on leur a expliqué notre façon de vivre,  c’est sûr qu’ils viendraient au pas de course mais c’n’est pas certain qu’ils soient disponibles et leur copines sont super jalouses.— Elles n’en sauront rien ; appelle les, Chaton, j’ai vraiment besoin. Lui demanda sa mère en recommençant à se masturber.
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