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Lisa, Théo et les autres

Chapitre 9

Inceste
IX. Soirée au club et autres nausées.
Maxime, amusé par les désir des deux jeunes gens et, prenant très au sérieux le besoin colossale de sexe de sa compagne, appela Georges pour le prévenir.
— Tu dis à ton gorille d’en sélectionner au moins vingt, d’accord ? Mais pas des tocards ! Elle est plus chaude que l’Etna ; faut de la bonne queue qui dure longtemps.— Vous faites chier ! C’était une soirée pour couples au départ. Je vais devoir sortir des bracelets pour ces gars.— Et bien tu sors tes bracelets, je m’en branle. T’as peur de quoi ? Qu’un couple pique un mec que t’auras fait rentrer pour Eveline ?— Exactement ! J’aime quand les choses sont claires. En plus, il va falloir que je réserve l’alcôve pour elle et que j’ajoute Gang-bang d’Eveline sur l’ardoise à l’entrée.— Comme ça ce sera très clair, répondit Maxime amusé. Ce n’est quand même pas la mer à boire. Et comme ça urge, je te garanti qu’on sera là à l’ouverture.— OK, ça va… C’est tout ? Tu n’as besoin de rien d’autre ?— Si Georges, j’ai encore besoin d’un petit service, ajouta Maxime en faisant un clin d’œil à Lisa et Théo. Tu te souviens de la cousine d’Eveline.— Si je m’en souviens, quelle bombe ! Ne me dit pas qu’il lui faut vingt mecs aussi parce que sinon elles iront se faire sauter ailleurs !— Non, elle veut venir avec son copain mais le pauvre garçon à baisé toute la journée et, franchement, il n’est plus bon à rien. Alors il lui faudrait deux ou trois bon gaillards, pas trop croulants et, si possible, bien montés pour elle et autant pour lui. Il est bi et plutôt passif avec les hommes alors si tu avais deux ou trois gays ou bi actifs pour s’occuper de son petit cul…— Six jeunes, bien montés et endurants… Tu me demandes la lune ou quoi ? Je ne suis pas un rabatteur.— Je n’ai pas dit jeune ; j’ai dit pas trop croulants. Du genre 25-45 ans, tu vois. Trois gays et trois hétéros, ne me dis pas que tu ne peux pas leur trouver ça.— Si, je vais leur trouver ça… C’est quand même plus facile pour elle, je n’te l’cache pas. Pour lui, je vais voir ce que je peux faire mais, dans tous les cas, il va falloir qu’ils passent un petit moment au bar pour que je les mette en  relation. Pff, ma soirée couples est morte ; bravo !— T’en fais cinq soirs par semaine des soirées réservées aux couples. Tu ne vas pas nous en chier une pendule ! Et ça va, j’ai compris ; j’offre les deux premières consos des jeunes et des gars que tu leur trouveras et j’offre aussi une coupe de champagne à tous les types qui viendront baiser ma femme.— Ta femme ? Parce que ça y est ? Vous êtes ensemble ! Pourquoi tu n’me l’as pas dit plus tôt ? Ça change tout ! C’est jour de fête ! Par contre, plus j’y pense et moins je vois de mecs pour le copain de Lisa… Il y en a un que je vois qui conviendrait bien mais je ne me souviens plus de son nom. Un petit jeune sympa et c’est marrant parce qu’on on aurait dit toi en brun. Par contre, c’était un vrai gay. Il était venu avec un couple plus âgé que lui dont le mec était bi et je crois qu’ils se sont fait une soirée un peu du genre de celle que prévoient tes p’tit jeunes. C’était il y a un peu plus de six mois. Oh, je me souviens bien de lui ; il avait une sorte de mise en pli et des mèches blondes mais alors son prénom…— Une mise en plis et des mèches blondes, tu dis ? Il ne s’appelait pas David, par hasard ?— Si ! C’est ça ! Il s’appelait David ! Un vrai type sympa ! Tu le connais ?— Un jeune gay qui me ressemble, les cheveux bruns, qui s’était fait faire des mèches blondes il y a six mois et se prénommant David ; je n’vois que mon fils ! C’est bon Georges, j’aurai pu y penser plus tôt ; je me charge de trouver les partenaires pour Théo et toi, tu t’occupes de trouver trois mecs virils, bien montés et endurants pour Lisa. Ça marche ?— C’est parfait ! Dis leur de se présenter directement à Pedro et de lui dire qu’ils viennent pour… Théo, c’est ça ?— Oui,  c’est ça et David et Théo se connaissent déjà.
Lisa, Maxime et Théo discutèrent encore un moment après ce long coup de fil à Georges et Eveline, Pierre et Claude arrivèrent dans la cuisine trois quarts d’heure plus tard. Ils mangèrent ensemble mais les deux hommes ne les accompagnèrent pas au club.
Eveline mit robe semblable à celle qu’elle portait la première fois en moins sage encore. Elle était composée d’une résille fine qui était moins opaque  au niveau des seins du pubis et des fesses que sur les côtés. Lisa fouilla avec son frère dans les tenues osées de sa mère et le laissa choisir. Il la voulue un peu provoquante et se décida pour un bustier qui rehaussait sa poitrine sans cacher ses seins, un string ouvert qui ne masquait que son pubis et des bas autofixants qui allaient bien avec l’ensemble.
— Tu veux que je me fasse violer, ma parole… Déclara Lisa en s’admirant dans un miroir.— Non, mais je veux que tu excites les hommes. En fait je crois que ça va m’exciter de te voir baiser avec ces trois inconnus.— Ah oui ? Et seulement ce soir ou d’autres fois aussi ?— Je te dirais ça après…— Moi, je peux déjà te dire que ça m’excite quand tu fais l’amour avec un homme devant moi et avec trois, je ne te dis même pas.
David avait trouvé deux copains plutôt mignons et bien montés qui trouvèrent aussitôt Théo très à leur goût et Georges avait bien fait les choses pour Lisa. Ils auraient pu aller directement dans une cabine à l’instar d’Eveline qui ne traina pas pour rejoindre l’alcôve mais ils préférèrent faire un peu plus connaissance au bar et s’allumer un peu en dansant sur la piste. La soirée qui était à l’origine destinée uniquement aux couples était devenue une soirée à pluralité masculine, George avait corrigé son ardoise et envoyé un mail à tous ses habitués du mardi soir. Il pensait sa soirée foutue mais ce fut plutôt le contraire car, sans compter les hommes recrutés pour Eveline et Lisa, les couples qu’il voyaient généralement étaient là et il y avait environ trois hommes par femme. En se dirigeant vers une cabine, Lisa, son frère et leurs futurs amants passèrent devant l’alcôve mais ils ne purent qu’entendre Eveline car la masse des hommes serrés autour du lit, était trop dense. Le couloir était plein d’hommes en recherche de partenaires ou de bonnes baises à mater en se branlant. La cabine que Lisa avait découverte lors de sa première visite était libre et ils s’y enfermèrent tous les huit. Leurs amants savaient que Lisa et Théo étaient en couple mais il n’y avait que David qui connaissait leur lien de parenté. Au début, ils réussirent à s’embrasser pendant que leurs amants respectifs se relayaient en eux mais, après quelques minutes, des bites se firent voir par les trous des cloisons et ils s’en occupèrent avec gourmandise. Ils baisèrent longuement et Théo connut ses premières doubles et triples pénétrations anales. Durant tous leurs ébats, Lisa et son frère s’efforcèrent, tant que possible, de faire jouir les bites inconnues avec leurs mains et leur bouches. Le sperme fusait de tous les côtés et la couche sur laquelle ils s’ébattaient en fut rapidement couverte. Eux même en avaient plein la figure et les cheveux et leurs amants, à chaque orgasme, en rajoutaient encore sur leurs ventres, leurs pubis ou leurs culs.
— Je crois, finalement, que je suis une belle salope, moi aussi, conclut Théo en essuyant son visage.— Ça fait du bien de temps en temps, tu n’crois pas ?— Oh si ! Répondit Théo en embrassant sa sœur.
Ils avaient bien baisé, toutes les bites étaient à plat sauf quelques unes qui attendaient encore une gâterie au travers de la cloison. Généreusement, ils voulurent les satisfaire aussi alors leurs amants les laissèrent à leur boulimie mais David promit à Théo de le rappeler très vite.Lisa et Théo suçaient des bites qui se faisaient toujours aussi nombreuses alors une idée un peu bizarre germa dans l’esprit du garçon.
— Tu veux que j’en laisse rentrer un ou deux ? Demanda-t-il à Lisa.— Mmm, t’as encore envie de me voir baiser avec des inconnus, vilain.— C’est que j’étais très occupé moi aussi alors je n’ai pas bien vu mais oublie. C’était juste une proposition un peu stupide.— On est là pour nous amuser et je veux bien être stupide mais pas plus d’un à la fois comme ça on arrête quand je veux.
Théo ravit de l’acceptation de sa sœur alla ouvrir la porte et laissa passer le premier homme qui se présenta. Il était assez moche, un peu vieux mais il bandait bien et ne s’embarrassa pas de préliminaires. Lisa refusa de l’embrasser, il n’insista pas et prit son plaisir rapidement en remplissant sa capote au fond du ventre de la jeune femme. Théo le laissa sortir et en laissa rentre un autre, moins moche, moins vieux et mieux monté qui procura davantage de plaisir à sa sœur. Cinq hommes se relayèrent ainsi et, à l’exception du premier, ils firent jouir Lisa et réveillèrent l’excitation de Théo. Il referma la porte derrière le dernier et s’approcha de sa sœur qu’il embrassa tendrement avant de lui faire l’amour avec toute sa passion. Ils ne s’occupaient plus des bites éventuelles qui tentaient leur chance mais les gars restaient à les observer derrière les miroirs sans teint ou par les trous du gloryhole. Leurs voyeurs se branlaient énergiquement et ils jouirent ensemble sous une pluie de sperme.
Il y avait beaucoup moins de monde dans l’alcôve, Eveline avait arrêté de se faire prendre et laissait les derniers hommes présents se branler sur elle. Ils s’approchèrent, elle leur sourit ; elle avait enfin l’air apaisée et Maxime leur fit signe d’approcher.
— On va pouvoir rentrer ensemble finalement. Il n’y en a plus pour longtemps ; elle est enfin rassasiée.— Il y avait vraiment beaucoup d’hommes tout à l’heure, on ne pouvait même pas vous voir.— Si tu veux savoir, elle vient de battre le record du club. Georges m’a passé un compteur pour que je ne me trompe pas et il indique cinquante-sept. Sa chatte et son cul risquent d’être un peu sensibles quelques jours…
Eveline avait effectivement comblé son appétit et les huit jours suivant elle ne se consacra qu’à Maxime. Lisa et Théo aussi éprouvèrent le même besoin de se retrouver et même entre eux il n’y eut aucun échange durant cette période.Par ailleurs, comme il était pris par ses épreuves de baccalauréat, Théo préférait se coucher tôt pour des soirées câlines avec sa sœur. Lisa en était plutôt satisfaite car ça la rassurait sur la sincérité et la réciprocité de leurs sentiments. Ils vivaient vraiment sur un petit nuage et tous leurs gestes quotidiens étaient tendres et chargés d’amour. Cependant, le lendemain des dernières épreuves de Théo, alors qu’ils faisaient l’amour avec la toujours la même passion, Lisa fut de nouveau prise de nausées. Elle interrompit brutalement leur accouplement pour se précipiter aux toilettes avec Théo inquiet derrière elle.
— Ça va Lisa ?— Oui, ça va… enfin si on veut. J’ai joué avec le feu et j’ai gagné.— Comment ça ?— J’ai cinq jours de retard. J’ai jamais voulu que tu te retires et je… je suis peut-être enceinte.— C’est une blague ?! Quel con ! Pourquoi je n’y ai pas pensé ? Merde ! Mais qu’est-ce qu’on va faire ?— Je n’sais pas… Il faut qu’on en parle à maman et Maxime ; si on a un bébé, on va avoir besoin de leur aide.— Tu crois qu’il pourrait être de Maxime ? Ce serait peut-être mieux…— Non, il est de toi ; c’est sûr. Maxime n’a jamais éjaculé dans ma chatte durant les quelques partouzes qu’on a faites tous les quatre. Il n’y a que toi mais je préfèrerais vraiment, si on va au bout de la grossesse que l’enfant soit de toi.— Tu vas avorter, c’est ça ? C’est la seule solution, c’est évident.— Mais, n’importe quoi ! J’n’ai pas dit ça ! S’écria Lisa les larmes aux yeux. On peut le garder aussi ! Pourquoi tu parles d’avortement ?!— Pardon, Lisa, je ne sais pas, je… On va demander conseil à Maxime mais je crois qu’entre frère et sœur ça donne des enfants anormaux.— C’est ce qu’on dit mais peut-être pas toujours ! T’en sais quoi d’abord ?!— Calme toi, Lisa, ça va aller… En plus t’as peut-être juste un retard ; tu veux que j’aille à la pharmacie chercher un test ?— Tu ferais ça ?— Bien sûr, ma chérie ; je t’aime. Je veux être avec toi quoi qu’il arrive, mais enlève moi ces larmes, s’il te plait.— Va chercher le test. Tu sais quand Maman rentre ?— 17 heures comme Maxime, répondit Théo en s’habillant. Elle avait un truc à voir avec lui à l’hôpital ; j’n’ai pas trop compris mais visiblement ça la concerne et j’espère que ce n’est pas grave…— C’est la journée !
Théo revint rapidement avec un test de grossesse et des médicaments contre les nausées. Il espérait que le résultat soit négatif et Lisa aussi. Elle suivit le protocole, Théo resta près d’elle et ils attendirent le temps indiqué pour interpréter le résultat. Après avoir relu deux fois chacun la notice, ils durent admettre que les deux barres bleues très nettes confirmaient l’état de grossesse de Lisa.
— Qu’est ce qu’on va faire… Demanda Lisa un peu désemparée.— Un gros câlin, lui répondit Théo en la prenant dans ses bras. Pour l’instant, on ne peut rien faire d’autre. Maxime et Maman rentre dans trois heures alors on en parlera avec eux.— J’espère que Maman n’a pas de problème de santé ; ça tomberait mal…
Ils firent donc ce qu’ils avaient décidé : un long et gros câlin. Très sages pendant plus d’une heure, Lisa et Théo eurent besoin d’évacuer leur stress et de se rappeler l’intensité de leur amour. Eveline et Maxime arrivèrent alors que les enfants sortaient de la douche ; ils venaient de décider que Lisa n’avorterait qu’en cas d’absolue nécessité. Eveline ne semblait pas mal mais elle avait quand même son visage des mauvais jours. Elle ne leur laissa pas, cependant le temps de s’inquiéter car elle voulu leur parler tout de suite.
— Faut que je vous parle, les enfants ; venez au salon on sera mieux.— C’est grave ? Demanda Lisa en aparté à Maxime.— Oui et non, ça dépend de quel point de vue on se place…— Les enfants, j’ai un problème un peu rare ; mon stérilet n’a pas fonctionné ce mois ci.— Et donc ? Demanda Théo inquiet. Ça veut dire quoi ?— Ça veut dire que je suis enceinte, Théo. Je suis allé à l’hôpital aujourd’hui pour voir un collègue de Maxime qui à confirmé le diagnostique et qui m’a retiré le stérilet. Physiologiquement, je suis parfaitement bien et c’est un peu la grossesse ultime mais le problème c’est qu’il est fort probable, même si ce n’est pas certain à 100%, que ce soit toi le père. La date de la fécondation correspond à la première fois où nous avons fait l’amour toi et moi et Maxime utilisait encore des capotes.
Théo n’en croyait pas ses oreilles ; il resta nigaud deux minutes, regarda sa sœur dans les yeux et ils explosèrent de rire tous les deux.
— Parce que ça vous fait rire ?! Lisa, voyons ! Tu ris parce que je suis enceinte de ton frère ? Et toi, Théo ? Tu ne trouves pas ça problématique ?— Ouh ! Si Maman, très mais… Excuse nous, c’est nerveux. Lisa, je vais le chercher ou tu y vas ?— On y va tous les deux, mon Roudoudou, il faut que je respire ! Ouf.
Eveline et Maxime restèrent comme deux ronds de flan tandis que Lisa et Théo se précipitaient vers la salle de bain. Il n’avaient pas cessé de rire et en avait encore les larmes aux yeux sur des sourires radieux lorsqu’ils revinrent avec quelque chose posé sur leurs quatre mains.
— Tam, tam, tatam ! Tam, tata, tatata, tamtum !— Vous nous chantez la marche nuptiale, s’amusa Maxime, c’est une affaire sérieuse, vous savez.— On est très au courant, Maxime. J’ai de nouveau des nausées et je n’ai rien pu avaler de la journée. Pour faire l’amour, c’est mieux que j’ai le ventre vide mais tu te doutes bien que ce n’est pas dû au stress du départ de Papa et Pauline de ma vie. C’est un peu plus profond physiologiquement.— Qu’est-ce que vous portez comme ça si religieusement ? Demanda Eveline intriguée.— Un test de grossesse ! Annonça Lisa heureuse.— Vous êtes allé fouiller dans la poubelle de la salle de bain ?! S’écria Eveline fâchée.— Non, Maman, c’est le nôtre ! Enfin, celui de Lisa pour être précis…— Le vôtre ?! Ne me dite pas que Lisa aussi est enceinte ! Et de qui ?— Pas de toi, Maxime, répondit l’intéressée. Il n’y a aucune chance. Les seules fois où nous avons fait l’amour ensemble ce mois-ci, tu as éjaculé dans mon cul trois fois et quatre fois dans ma bouche.— Ce n’est pas vrai l’autre fois j’ai joui dans ta chatte.— C’était déjà deux jours après la date présumée de mes règles ; tu n’avais aucune chance.— Lisa ?—Oui, Maman ?— Tu l’as fait exprès ?— Oui et non. J’ai juste eu envie de jouer avec le feu et peut-être que, comme Pauline voulait un bébé, ça m’a donné envie aussi. Par contre, j’aime Théo, et je sais qu’il m’aime aussi fort, alors aucun autre que lui ne pouvait être le père. Ce n’était pas vraiment conscient mais c’est sans doute pour ça que j’ai insisté pour que Maxime, Max et Karim ne jouissent pas dans ma chatte. Pendant un mois, il n’y a eu que Théo, trois fois par jours sans retrait et sans protection pour me remplir la chatte. Il n’y a rien de meilleur que de le sentir jouir en moi alors j’ai joué et on a gagné.— On veut le garder si possible, Maman, mais on a plein de questions à poser à Maxime sur les vrai danger pour le bébé conçu lors d’un rapport incestueux. Ajouta Théo très sérieusement.— La seule chose qui pourrait me déterminer à avorter, poursuivit Lisa en se rapprochant de sa mère, c’est que l’enfant soit anormal.— C’est une évidence, répliqua Eveline alors que sa fille s’agenouillait sur ses cuisses. Pourquoi crois-tu que l’inceste est tabou ?— Parce que ce sont les frustrés qui ont créé les tabous. Avec Théo, on a commencé par flipper. On s’est fait un gros câlin pour nous consoler. Après, on a fait l’amour une première fois avant d’aller poster nos questions sur le net. On a lu plein de trucs contradictoires mais sur un blog qui nous a paru sérieux, on a lu que, au-delà du risque, les enfants nés d’incestes n’étaient pas si différents des autres.— C’est vrai et ce n’est pas vrai, la contredit Maxime avec un ton professoral. Les relations incestueuses augmentent les risques de faire apparaître des tares cachées qui augmentent avec le degré de consanguinité. Par contre, c’est vrai que, même dans le cas d’une relation entre un parent et son enfant ou entre un frère et sa sœur, qui sont les situations qui nous concernent, le risque de donner naissance à un enfant affecté d’une tare génétique n’atteint jamais 100%. Quand je parle de tares, il ne s’agit pas de trisomies mais bien de choses cachées dans vos patrimoines génétiques qui ne se révèleront souvent que bien après la naissance. Il peut s’agir de dégénérescences physiques ou mentales dont vous seriez porteurs sains et qui s’exprimeraient dès lors que deux chromosomes identiques se retrouvent appareillés. Les chances restent inférieures à celles de donner un enfant parfaitement normal.— Maxime, c’est quoi le risque ? Parle nous franchement. On n’a aucun moyen pour savoir avant ? Demanda Lisa collée sur sa mère.— Il faudrait demander à Pierre ; c’est lui le spécialiste. Mais, si je ne me trompe pas, en ce qui te concerne, le risque pourrait être de 25 ou 30% et c’est énorme face à une grossesse standard. Dans le cas d’Eveline, il est à peine moindre mais compte tenu de son âge, le risque de voir apparaître une trisomie est accru.— Et qu’est-ce qu’on doit faire de ça ? Demanda Eveline en caressant le dos de sa fille. Tu sais très bien ce qui nous arrête !— Si vous me demandez de choisir pour vous, c’est impossible. Je ne suis pas une femme, je n’ai jamais porté d’enfant et n’en porterai jamais. Je n’ai aucune leçon à donner et mon avis reste très médical mais, en ce qui me concerne l’âge est très important. Pas uniquement pour tout ce que je viens d’évoquer… Si nous avons un nouvel enfant maintenant, quand il aura vingt ans, Eveline en aura plus de soixante et moi j’aurai allègrement passé les soixante-dix.— C’est vrai et c’est pour ça que je dois absolument avorter, conclut Eveline attristée. Parce qu’on est trop vieux. Je n’ai pas envie d’être mère à l’âge où je pourrais devenir grand-mère.— Et moi je ne veux plus être père ! Confirma Maxime. Même pour David et Sarah, j’avais trouvé ça un peu limite alors maintenant…— Et si on l’adoptait ? Demanda Théo enthousiaste. Si je suis son père, je peux le reconnaître et m’en occuper avec Lisa, non ?— C’est vrai ! C’est une bonne idée. Si tu nous le donnes, on sera les parents de deux enfants et vous leurs grands-parents ! C’est génial !— Votre couple ne pourra jamais avoir de reconnaissance légale, vous vous en rendez compte ?— Bien sûr, Maman, mais personne ne peut nous empêcher de vivre ensemble et on a déjà le même nom de famille alors on s’en moque. Rétorqua Lisa avant d’embrasser sa mère.— Vous ne croyez pas que vous êtes un peu jeunes ? Théo a tout juste dix-huit ans et toi vingt ! Leur dit Eveline. Comment voulez-vous vous occuper de nos enfants ?— Tu n’étais pas beaucoup plus vieille que moi quand tu m’as eue. T’as fait comment ?— Il y avait les parents d’Arnaud qui m’ont beaucoup aidée… Si je le garde et que je le porte pour vous, vous me promettez de l’aimer comme le vôtre ?— Comment pourrais-je ne pas aimer un aussi beau cadeau, Maman ? Répondit Lisa en lui caressant le visage. Et Théo est déjà son Papa…— Je rêve ou tu es en train de mouiller sur ma cuisse ?— Ça m’excite, Maman… Ça m’excite terriblement qu’on attende toute les deux un bébé de Théo.
Eveline soulagée de n’avoir pas eu à choisir parce que ses enfants venaient de le faire pour elle se laissa aller à aimer sa fille devant Maxime et Théo. Elles leur donnèrent un show très sensuel et se donnèrent du plaisir en se frottant leurs moules l’une contre l’autre. Lisa faisait jouir sa mère et lorsqu’elle la sentit partir, elle lui dit que c’était sa participation à leur bébé. Bien entendu, Maxime et Théo n’étaient pas restés de glace et c’est avec des bites bien raides qu’ils rejoignirent leurs compagnes pour les aimer côte à côte.
Théo eut son bac très brillamment et décida, finalement, de s’orienter vers des études de médecine. Lisa eut des nausées durant les trois premiers mois. Au cinquième mois de grossesse, pour éviter toute tracasserie post-accouchement, Théo, Lisa et Eveline se rendirent chez un juge pour reconnaître leurs relations incestueuses et se plier à une rapide enquête de mœurs qui se solda par une condamnation symbolique. Plus rien, cependant, ne s’opposait à la reconnaissance des deux enfants par Théo qui assista avec Maxime aux deux accouchements.

Epilogue
Comme tous les vendredi soir, Lisa et Théo attendaient ensemble devant la grille de l’école pour récupérer leurs enfants avant de partir en week-end chez Eveline et Maxime. Jeanne et Laura avaient maintenant sept ans, elles étaient blondes toutes les deux, et se ressemblaient tellement qu’elles passaient pour des jumelles. Cependant, nées avec cinq jours d’écart, elles n’ignoraient rien de leurs origines scabreuses et Jeanne appelait parfois sa sœur « Tata » pour la faire rager. Pour éviter toute nouvelle grossesse avec sa sœur, Théo avait choisi de subir peu après la naissance des fille une vasectomie mais Lisa avaient quand même eu deux autres enfants conçus avec Maxime. Le premier avait quatre ans et s’appelait Léo et le second, âgé de dix huit mois, s’appelait Bastien. C’était des enfants désirés et Maxime s’était prêté avec plaisir et assiduité à son rôle de fécondateur.Pour le grand soulagement de tous, Jeanne et Laura n’avaient jamais présenté aucun problème d’aucune sorte, elles faisaient preuve d’intelligence et étaient généralement beaucoup plus sages à l’école qu’à la maison. Pourtant, ce jour là, elles faisaient la tête et leur maitresse semblait assez agacée. Elle les gardait près d’elle pour parler aux parents.
— Il y a un problème ? Demanda Lisa en s’approchant avec Bastien dans les bras. Ne me dite pas qu’elles ont fait des bêtises.— Elles se sont révoltées, Madame, et je suis heureuse de vous voir tous les deux ! Aujourd’hui, nous avons travaillé sur la famille et, pour seul exercice à faire durant le week-end, j’ai demandé à la classe de compléter un arbre généalogique très simple en inscrivant les prénoms des parents, des grands-parents et rajouter éventuellement des cases pour un oncle, une tante, un frère ou sœur… Rien de très difficile. Mais Jeanne et Laura ont refusée de prendre la feuille que j’ai distribuée. J’ai dû insister et elles les ont déchirées en me disant qu’elles ne feraient pas ce travail. C’est pourquoi je leur ai donné une punition et que je vais vous remettre deux nouveaux arbres généalogiques vierges pour qu’elles fassent leurs devoirs !— Et nous les refusons ! Répondit sèchement Lisa en serrant les deux fillettes.— Elles ne feront pas non plus leur punition, rajouta Théo tenant Léo par la main, et si vous souhaitez qu’on en parle, je préfèrerai que ce soit ailleurs que sur le trottoir.
L’institutrice précéda toute la famille jusqu’à sa classe pour entendre leurs explications.
— Nos filles ne feront pas ce travail, Madame, car notre famille ne rentre pas dans vos cases.— Mais enfin, il suffit de mettre quatre prénoms pour les grands parents, deux pour les parents et en rajouter quelques cases pour les oncles, tantes, frères ou sœurs éventuels ! Ne me dites pas que c’est insurmontable.— On peut vous le faire tout de suite si vous voulez, intervint Laura, mais on n’le dira pas devant la classe.— Même si on doit écrire plein de lignes ! Ajouta Jeanne— Alors moi, mon Papa, c’est Théo, expliqua Laura en remplissant la feuille, ma vraie maman c’est Eveline qui est aussi ma mamie...— Et moi, ma maman c’est Lisa, mon papa, Théo, la maman de papa c’est Eveline, son papa c’est André. La maman de maman c’est Eveline et son Papa c’est Arnaud…— Tu ne trouves pas que ça fait beaucoup d’Eveline ? Remarqua l’enseignante qui refusait de comprendre.— Ben non, la maman de maman, c’est la maman de papa et la maman de Jeanne. Il n’y a qu’une mamie Veline et c’est la plus gentille mamie du monde. — En fait je suis un peu la tata de Jeanne.— Mais c’est horrible ! s’exclama l’institutrice en mettant ses mains sur sa bouche. Ne me dites pas que…— Que nos filles sont le fruit des relations incestueuses entre mon frère, moi et notre mère ? Et bien si, c’est le cas et comme Théo est le fils de mon grand-père paternel il est aussi mon oncle. Laura, en plus d’être la fille de mon frère est également notre sœur et la tante de jeanne. Quand à nos deux autres enfants, puisque vous les regardez bizarrement sachez que je les ai conçus avec le compagnon de notre mère puisque Théo a subit une vasectomie pour devenir stérile.— Vous comprenez pourquoi nos filles ne se prêteront pas à votre petit exercice de généalogie familiale ? Demanda Théo en donnant à la maitresse les feuilles remplies à la va vite par les deux fillettes.— Et pourquoi elles n’écriront pas plus cent fois « je fais les devoirs qu’on me donne».— Vous êtes des monstres ! Dit la maitresse en regardant les deux filles. Je…. Je ne peux pas le croire.— Alors ne le croyez pas, Madame, c’est peut-être mieux ainsi car elles n’ont rien de monstrueux. Ce sont des enfants et elles sont le fruit d’actes d’amours sincères. Nous n’avons pas spécialement choisi de les avoir mais une fois qu’elles étaient là, ma mère et moi n’avons pas souhaité avorter. Il n’y a aucun monstre dans notre famille ; nous sommes juste… différents.— Vous venez les filles, on va être en retard chez Papi et Mamie !— Oui, Papa ! À lundi Maitresse !— À lundi…
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