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Lise.

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Le lendemain matin, je rejoins Lise à l’arrêt de bus pour aller au lycée, on s’embrasse tendrement. Je lui tends un objet.
— Qu’est-ce que c’est que ce truc ?!— C’est ce que tu vas devoir porter dans le cul, toute la journée, ma petite chienne.
Elle regarde le plug, confuse.
— Profite qu’il n’y a personne, mets-le.
Elle le prend et le fait glisser dans son pantalon, fait une grimace.
— A sec, ça fait mal.— Courage.— Ha ! Ça y est, il est rentré.— Bien, je veux entraîner ton cul, et comme ça, tu penseras à moi toute la journée.— Oui, je vais avoir du mal à oublier que j’ai ce machin dans les fesses.— Tu as de la chance, c’est un petit.
Il fait 3 centimètres de diamètre.
Après la journée de cours, on se retrouve à la sortie du lycée.
— Ma chérie, on ne va pas pouvoir se voir ce soir, je vais à mon cours de sport.
Elle fit une mine déçue.

— On se voit demain alors ? dit-elle.— Oui.— Et le joujou, je dois le garder ?— Non tu pourras l’enlever chez toi.— Merci, ça commence à faire long.— Si tes potes savaient que tu t’es trimbalée avec ça dans le cul toute la journée !— La honte.— Ah j’oubliais, il y a deux choses auxquelles j’aimerais que tu t’entraînes ce soir. — Quoi ?— Tu te souviens, t’as eu un peu de mal à me sucer jusqu’au fond.
Elle fait une moue.
— Tu trouveras bien une banane ou un objet avec lequel t’entraîner chez toi ?— Oui.— Parfait.— Et la deuxième chose ?— J’aimerais que tu t’entraînes à bien ouvrir ton petit trou du cul.
Lise se mord les lèvres d’excitation.
— D’accord, mais comment je dois faire ?— Je te laisse trouver, tu es grande, entraîne-toi bien, ça sera tes devoirs.
Je veux une photo de ton petit trou grand ouvert à 21h.
— Une photo ?!
Je pars sans l’écouter, en espérant qu’elle le fasse.
Arrivée chez elle, Lise profite que ses parents ne sont pas là pour directement s’attaquer à ses "devoirs". Elle se déshabille et retire le plug de son cul, il est vraiment sale. Par curiosité, elle le met sous son nez pour le sentir, elle est dégoûtée et ne peut pas s’imaginer sucer une bite qui sortirait de son cul dans cet état. Une fois son petit trou et le plug nettoyés, elle réfléchit à un objet pour son entraînement. Tout d’abord, sucer profondément. Elle pense tout de suite au manche de sa brosse à cheveux avec laquelle elle se fourre la chatte depuis des années. Il fait presque 15 centimètres, mais il est assez fin. Au bout d’un quart d’heure, elle arrive tant bien que mal à passer le cap de sa gorge sans vomir.
Lise s’attaque ensuite à son deuxième devoir, celui-là est plus corsé, surtout qu’elle ne sait pas du tout comment s’y prendre. Elle met des coussins par terre en face de son grand miroir, puis s’installe dessus à quatre pattes, fesses vers le miroir. Elle pose la joue sur les coussins, tourne la tête vers le miroir et écarte ses fesses à pleines mains pour observer son anus légèrement ouvert. En contractant ses sphincters, elle parvient à le faire ouvrir davantage par à coups. Elle décide de s’enfiler un doigt dans les fesses, la facilité avec laquelle elle le fait l’étonne, le plug a bien fait son travail. Après quelques va-et-vient, elle ressort le doigt pour constater que l’ouverture commence, mais le travail va être long. Au bout de quelques minutes, elle passe à deux doigts, puis trois. Durant une demi-heure, Lise se doigte l’anus sans répit, et elle y prend un léger plaisir. Elle parvient maintenant à mettre deux doigts de chaque main et tire pour écarter.
Lorsqu’elle relâche, son cul commence à rester bien ouvert, juste la place pour y enfiler une petite bite.C’est le moment de prendre la photo, elle pose son téléphone derrière elle sur une chaise et met en marche le retardateur.
— A table ! crie sa mère.
Juste le temps de prendre la photo. Fière d’elle, Lise se rhabille et file à la salle à manger en sueur, avec l’étrange sensation d’avoir le cul ouvert.
A 21h, je reçois la photo et vois à quel point Lise a bien fait ses devoirs. Son visage est planté dans les coussins, son dos cambré pour relever son cul bien haut vers l’appareil, ses genoux sont serrés, mais le haut de ses fines cuisses ne se touche pas, ce qui laisse bien voir sa chatte baveuse, ses mains sont fermement agrippées à ses fesses dont on peut admirer le relief charnu, ses doigts sont serrés, à seulement quelques centimètres de son petit trou pour l’écarter au maximum, son anus est juste entrouvert, laissant honteusement apparaître l’obscurité du fond de son boyau.En voyant cela, je ne peux m’empêcher de me branler et je jouis en à peine quelques minutes. Je réponds à son texto "Tu as vraiment bien travaillé ma petite chienne" puis elle me renvoie "Vos désirs sont des ordres mon capitaine".
Un soir, je rejoins Lise chez elle, je sonne et elle vient m’ouvrir la porte.
— Ah c’est toi ! dit-elle en m’embrassant.— Oui, il y a personne chez toi ?— Non pas avant un moment.— J’ai pas beaucoup de temps, mais j’ai envie de te manger toute crue, fais-moi voir tes seins.
Elle se déshabille pendant que je lui lèche les seins. Puis je descends, je lui dévore le minou pendant de longues minutes.
— Mmm, c’est trop bon.— A ton tour, suce-moi un peu.
Lise suce de son mieux pour me montrer ses progrès en gorge profonde.
— Ça y est presque, tu progresses vite !
Elle continue de pomper.
— Tu es vraiment ma petite chienne ?— Oui !— Tu as soif ?— Pourquoi, tu vas jouir ? Vas-y, j’avale.— Non, j’ai envie de pisser.— Ohh non.— Tu veux pas ?— Non.— Dommage, tu n’es officiellement plus ma petite chienne alors.— Mais j’avale ton sperme autant que tu veux.— Attends, je vais pisser aux toilettes.
A mon retour, Lise est toujours à genoux sur le tapis, mais je ne bande plus.
— Tu vois, j’ai plus envie maintenant, en plus, il faut pas que je traîne, j’ai du travail.
Je l’embrasse et prends la direction de la porte.
— T’en va pas, laisse-moi finir de te sucer.— La prochaine fois.
Le soir, elle est triste, mais fait quand même ses exercices, en pensant être meilleure la fois suivante.
Le lendemain au lycée, elle a mis son plug et prête à affronter une nouvelle journée, soudain, une gamine de seconde d’une tête de moins s’arrête en face d’elle.
— Salut, je suis Jessica, la cousine de ton mec.— Mon mec ?— Oui, je suis au courant pour vous deux.— OK, qu’est-ce que tu veux ?— Regarde ce que j’ai trouvé sur le téléphone de mon cousin.
Jessica montre à Lise son téléphone sur lequel elle avait copié la fameuse photo.
— Ohhh.— Tu aimes bien écarter tes fesses, on dirait.— Salope, supprime cette photo ! dit Lise en tentant d’arracher le téléphone des mains de Jessica.— Non, je l’aime bien, et ne crie pas trop fort, sinon je la montre à tout le monde.— Petite pouffiasse, si tu fais ça, je te tue.— On verra, en attendant, tu serais bien embêtée, n’est-ce pas ?— Si c’est de l’argent que tu veux, j’en ai pas.— Hum... je pensais à autre chose.— Quoi ?— J’aimerais bien avoir quelqu’un sur qui me défouler de temps en temps.— Tu veux te défouler sur moi, ça va pas non, tu veux me faire quoi ?— T’insulter, t’humilier.— T’es une dingue.— Je sais ! dit Jessica avec un terrifiant sourire.— On fait quoi alors ?— Dis-moi que t’es une pute.— Je suis une pute.— Continue, dis-moi tout ce que t’es.— Je suis une pute qui aime se faire baiser.— Oui, c’est bien, vas-y.— Qui aime sucer, et se faire enculer bien profond.— Tu vas me montrer comme ton cul est un bon passage pour les bites, je veux te voir en vrai comme sur la photo.— T’es dingue, je me casse.— OK, tant pis pour toi.
Jessica s’éloigne et rejoint un groupe d’amies de seconde en sortant son téléphone et fit mine de le montrer. Terrifiée, Lise accourt aussitôt.
— Attends !— Tiens, qu’est-ce qui t’amène ?— Viens j’ai un truc à te dire, dit Lise qui tente d’éloigner Jessica du groupe.— Ben, vas-y, dis-le, c’est mes amies.— C’est que...— Bon, tu accouches ?
Les filles sont surprises que Lise, cette belle fille plus âgée qu’elles, bafouille et semble dominée par Jessica.
— C’est d’accord pour ta proposition.— Ahh très bien, je te rejoins dans cinq minutes.— OK.
Lise va attendre sur un banc. Quelques minutes plus tard, Jessica est de retour, toute souriante.
— Me voilà ! — On va où ?— Aux toilettes, suis-moi. Alors, tu es d’accord pour le faire ?— Je te déteste.— Oh, tu me parles sur un autre ton.— Ça va.— Allez, rentre dans celles-là, dit Jessica en désignant les toilettes des handicapés, plus grandes.
Une fois les deux filles rentrées, Jessica ferme la porte à clé.
— Alors, qu’est-ce que tu attends ?— Non, s’il te plaît.— Quoi ?— Ne me fais pas faire ça.— Donne-moi une bonne raison.— C’est la honte.— Ca, je m’en tape, grouille-toi ou j’envoie la photo à tout le lycée !— C’est bon, d’accord.
Elle déboutonne son jeans et le baisse avec son string.
— Jolies fesses ! Toutes rondes comme je les aime, montre-moi le devant... Pas un poil, c’est mignon, demi-tour, je veux revoir ton cul, penche-toi un peu et mets tes mains en place comme sur la photo. Oh, mais qu’est-ce que je vois ? Qu’est-ce que t’as dans le cul ?!— Un plug, répond Lise timidement.— Quoi ? Mais t’es complètement folle, écarte que je voie mieux.
Lise est morte de honte, elle pleure, mais obéit au doigt et à l’œil de sa maîtresse improvisée.
— A quoi ça te sert d’avoir ça dans le cul toute la journée ?— A m’entraîner pour la sodomie.— Et bien, j’en connais un qui doit se faire plaisir avec ton cul, vous faites ça souvent ?— Oui.— Tu aimes ça, te faire enculer ?— Oui.
Lise reste un moment dans cette position, debout, la joue collée contre le mur, avec son pantalon et son string à ses pieds, sans même avoir pris le temps d’enlever ses chaussures.
— Enlève-le.
Lise saisit la base du plug et le retire lentement.
— Beurk, c’est dégueulasse, dit Jessica.
Morte de honte, Lise sanglote de plus en plus, elle finit de retirer le plug et le pose sur les toilettes, puis, docilement, elle reprend ses fesses en main pour les écarter.
— Joli ! c’est vrai que ton trou semble bien entraîné, écarte encore !... Voilà.
Jessica fait garder à Lise la position une longue minute, elle lui caresse le dos et les fesses.
— Tu m’excites, tu sais, j’ai envie de te faire mal, dit-elle en lui pinçant le bas du dos.— Aie !— J’ai envie de jouer, prends ton joujou et ramone-toi le cul, je touche pas à ce truc dégueu.
Lise se saisit du plug et l’introduit entre ses fesses, puis elle commence de lents va-et-vient.
— Tu fais ça bien, c’est agréable ?— Un peu.— Mauvaise réponse, il m’a semblé te dire que j’avais envie de te faire mal.— Mais pourquoi tu veux me faire ça ?— Parce que tu fais ta belle tout le temps, ça m’énerve.— Bon, je vais le faire d’une façon qui fait mal, mais après, tu me laisses tranquille OK ?— Discute pas, fais-le !
Lise prend le plug et l’enfonce d’un coup dans son anus, le laisse une seconde le temps de reprendre son souffle, puis le ressort aussi rapidement qu’elle l’a enfoncé, ce traitement lui fait mal, mais elle se dit que ça participera à son entraînement. Les dix premiers allers-retours sont un calvaire pour son petit trou. Jessica se réjouit de l’entendre gémir de douleur.
— Voilà, c’est ça que j’aime voir, c’est agréable maintenant ?— Non, plus du tout.— Tant mieux, c’est comme ça qu’il faut t’éduquer.
Au bout de quelques minutes, Jessica est satisfaite.
— Bon, allez, arrête, et rhabille-toi.
Lise replonge une dernière fois le plug dans son cul et ne tarde pas à se rhabiller.
— Regarde-moi dans les yeux, lui ordonna Jessica.— Oui.— Tu sais ce que tu es ?— Non.— Tu es ma pute, dis-le !
Sans lâcher Jessica du regard, Lise répète.
— Je suis ta pute.— Voilà, et ne t’avise pas de te mettre en travers de mon chemin, sinon je te fais bouffer le machin que t’as dans le cul.
Et si tu refuses, je te garantis que tout le lycée sera au courant.
— Oui j’ai compris.— Tu préfères quoi ? Que j’envoie la photo à tout le monde, ou bouffer ton plug ? — Heu...— Tu me répondras par texto, voilà mon num, t’as 10 minutes !
Lise s’empresse de quitter les lieux, elle vient d’avoir la honte de sa vie, elle n’oserait même pas en parler à son chéri. La sonnerie retentit et elle file en cours.
Elle n’arrive pas à se décider, que Jessica montre la photo à tout le monde lui est inimaginable, elle devrait sans doute changer de lycée tant elle aurait honte du regard de ses camarades. Sucer le plug qui a passé la journée dans son cul serait répugnant et le faire devant cette gamine lui retirerait toute dignité. Elle finit par répondre "Je t’en supplie, tout ce que tu veux, mais pas ça". La réponse ne se fit pas attendre "Tu l’auras voulu".
Lise est dépitée et ne sait pas quoi faire, elle se décide enfin et répond "OK, je le mettrai dans ma bouche", mais ne reçoit aucune réponse. Au bout d’un quart d’heure, Lise commence à paniquer et n’arrive plus à suivre son cours, en se disant que Jessica avait tout montré. Dans une lueur d’espoir, elle reformule son message, en donnant tout ce qu’elle peut "Je sucerai le plug qui est dans mon cul. Je me mettrai à genoux à tes pieds et le nettoierai avec ma bouche jusqu’à ce qu’il soit bien propre." Cette fois, elle eut enfin une réponse "Très bien, et tu le feras en me regardant dans les yeux. Donc je te conseille de te tenir à distance si tu ne veux pas que ça arrive"
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