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Lise, de l'ennui au désir

Chapitre 4

Jeux sous la table

Voyeur / Exhibition
« - Tu sais, la nappe cache beaucoup de choses » continue-t-elle. « Et puis, d’où nous sommes à part les trois jeunes filles qui n’arrêtent pas de glousser, personne ne peut nous voir, à moins de venir à notre niveau. Si tu pars à l’exploration de mon minou qui est en train de dégouliner sur la banquette, là maintenant sous cette table, je te laisse souiller un de mes vêtements ce soir. »

...

Ses remarques ne m’étonnent même plus. Je crois que je me suis définitivement mis dans la tête que tout pouvait être possible avec cette fille. Je laisse mon regard parcourir les alentours. Personne ne semble s’intéresser à ce coin de la salle de bar. Une seule table, occupée par trois jeunes filles, pourrait bien nous surprendre, mais leurs occupantes sont en pleines discussions et ne nous prêtent aucune attention. Gagnant alors en confiance, ma main s’avance sur le tibia de Lise, puis je me mets à caresser doucement son mollet. Sa peau est douce, c’est un bonheur de passer ma main sur ses jambes.
— Il va falloir que l’on parle, si nous ne voulons pas attirer l’attention. Tu ne crois pas ? lui dis-je tout en remontant mes caresses sur l’arrière de son genou puis l’arrière de sa cuisse.— Tu as raison, un couple qui ne discute pas, c’est louche. Tu sais, j’aime les mots cochons, le langage cru. On peut faire ça pendant que tu t’occupes de moi, qu’en penses-tu ?
J’acquiesce d’un léger signe de tête alors que je m’avance un peu dans mon siège pour augmenter la portée de mon bras. Je la vois faire de même, elle pose ses fesses sur le rebord de la banquette, ce qui a pour effet de faire remonter ma main vers son entrejambe. Alors que ma main commence à glisser sous sa jupe, je la sens écarter les jambes pour me laisser libre accès à sa « salle de jeu ». Je ressens alors une chaleur humide sur ma main, signe de son excitation. Alors que mes doigts entrent en contact avec le mince tissu qui recouvre son sexe, je décide de prendre la parole en premier :
— Tu es déjà trempée ma cochonne. Ça t’excite de te faire caresser en public ?
Alors que je commence à lui masser le sexe à travers sa culotte toute mouillée, Lise me répond :
— Oui, ça m’excite de me faire toucher par un beau mâle comme toi, là quasiment à la vue de tout le monde. Je me sens comme une vraie salope ce soir... alors vas-y, écarte ce qui te gène et fous tes doigts en moi.
Un peu surpris par ses propos autoritaires, j’obéis sagement et écarte le devant de son sous-vêtement. Mes doigts commencent à caresser ses grandes lèvres humides.
— Tu vas les avoir bien au fond de ta chatte mes doigts, mais d’abord, je veux jouer avec ton clito.
Je n’obtiens comme réponse que son expression de visage qui commence à trahir sa grande excitation. Son regard, intense, est plongé dans mes yeux, me suppliant d’aller plus loin. Sa bouche est légèrement entrouverte... Je ne peux l’entendre avec le bruit de fond du bar, mais je suis certain qu’elle commence à soupirer de plaisir. Elle a les coudes et les mains posées sur la table. Je pose ma main disponible sur les siennes. Alors qu’elle commence à me caresser les mains, sous la table, je fouille littéralement son entrejambe à la recherche de son bouton de plaisir. Quand je trouve ce petit point sensible qu’elle m’offre en écartant encore un peu plus les jambes, ses yeux se ferment quelques instants et je sens ses mains se crisper sur les miennes. Alors que je lui titille le clito avec mon pouce, je sens qu’elle est en train de faire de gros efforts pour ne pas trahir son plaisir sexuel.
— Alors petite salope, je vois, tu aimes ce que font mes doigts, t’aimerais gémir, je le sens !
À ces mots, je comprends qu’elle aime qu’on la traite ainsi, car elle commence à se mordre la lèvre inférieure et à fermer les yeux. Je vois son corps faire de petits tressaillements et je sens son sexe devenir de plus en plus mouillé. Je perçois même un léger gémissement qu’elle ne réussit pas à contenir totalement.
— Putain oui, c’est trop bon Matthieu, continue. T’aimes ça, toucher les jeunes femmes dans les bars sale pervers ? Et quand elles sont mariées, c’est encore mieux ?
C’est le moment que je choisis pour passer à l’étape suivante. Je regarde rapidement autour de nous si notre petit manège n’a pas été découvert. Le fond sonore n’a pas baissé d’intensité, tout le monde semble occupé dans son coin sans se soucier de nous. A part peut-être les trois jeunes filles qui semblent avoir détourné le regard au moment où mes yeux arrivaient dans leur direction. Animé par l’excitation que procure la situation, je ne m’en préoccupe pas plus que ça et je commence à rentrer mon majeur dans l’antre de mon amie du soir. Il est rapidement rejoint par mon annulaire. Les deux compères commencent de doux va-et-vient dans cette grotte qui semble les accueillir avec grand plaisir. De son côté, Lise semble retrouver ses esprits, peut être a-t-elle sentie que nous étions observés. Elle a rouvert les yeux, elle me regarde en souriant et son expression, désormais amusée plus qu’excitée, semble moins trahir ses émotions.
J’en suis heureux, car je vois le serveur arriver dans son dos et se diriger vers notre table. Il commence à ramasser sans un mot nos verres vides. Je sens comme une légère gêne de sa part, peut-être comprend-il que quelque chose de louche se passe. Alors que mes doigts s’activent, très doucement, dans le vagin de Lise, je tente de détourner l’attention.
— Que veux-tu faire pour la suite de la soirée ma chérie, un ciné, ça te dit ? Il y a le film Le Joker que j’aimerai beaucoup voir. — Huuum pourquoi pas. Mais avant, je veux ma grosse sucette.

Le serveur, faisant mine de ne pas avoir entendu, ramasse maladroitement le deuxième verre puis repart vers l’autre côté de la salle. Alors que j’ai tenté de dissiper le gène du serveur, ma petite nympho adorée n’a rien trouvé de mieux à dire que de sous-entendre qu’elle voulait me faire une bonne pipe. Quelle allumeuse !!! Si l’expression de son visage semble montrer que l’excitation a laissé place au jeu, c’est bien différent entre ses cuisses...
Son sexe ruisselle de mouille sur mes doigts et ma main. Cette sensation me donne envie de lui dévorer la chatte. Il y a une grande nappe qui cache le dessous de la table, seuls les derniers centimètres des pieds sont à découvert. Malgré l’isolation de notre table, oserai-je m’y glisser dessous pour aller déguster ce fruit que je désire ardemment ? Tout en retirant mes doigts de Lise, je regarde vers la table des trois filles qui semblaient nous observer tout à l’heure. Les curieuses détournent la tête en rougissant, sauf une qui maintient son regard quelques secondes avant de se détourner à son tour. Ces trois petites étudiantes semblent avoir compris ce qu’il se trame sous notre table.
— Montre à ces trois coquines comme tu t’occupes bien de mon minou.

Obéissant et pris dans l’engrenage de ma propre excitation, je jette un regard du côté de la table des espionnes en me léchant les doigts qui visitaient délicatement le minou de ma partenaire. Je me glisse ensuite le plus discrètement possible sous la table en écartant la nappe. Je perçois immédiatement l’odeur de sexe qui règne ici. Malgré l’inconfort, j’arrive à approcher mon visage proche de l’entrejambe de Lise qui me facilite le travail en écartant bien les jambes. J’allais écarter sa culotte pour prendre son sexe juteux en bouche, mais je m’aperçois de la présence que deux petits boutons sur le tissu, entre ses jambes. Elle porte un body ! une jupe et un body qui font office de haut et de sous vêtement.Cette nana est vraiment sulfureuse.
Cela décuple mon excitation, mon esprit ne se soucie même plus de l’environnement, je détache vigoureusement les petits boutons qui permettent un accès facile de ma bouche à son sexe dénudé. Je commence par lui lécher les lèvres, en faisant le tour de son sexe avec ma langue. Lise mouille abondamment, et c’est avec grand plaisir que je peux me délecter de sa cyprine. Ce n’est vraiment pas confortable, et je ne suis pas certain que Lise prenne vraiment du plaisir, car mes coups de langue à l’entrée de son vagin ne sont pas fluides. Mais j’ai eu ce que je voulais, goûter son nectar à la source après l’avoir bien excitée. Après encore deux ou trois léchouilles de l’intimité de Lise, je m’arrête, car ma position n’est vraiment plus tenable, et j’ai peur d’envoyer la table valser par un geste brusque. Je me retire de sous la table. Par chance, personne ne semble me voir réapparaître.
Si ce n’est, j’imagine, les trois jeunes filles, qui je suis certain, ont dû mater Lise pendant que je lui faisais sa toilette intime.
— Tu as eu ton dessert, à mon tour d’avoir le mien !
Me lance Lise en se dandinant pour remettre ses quelques vêtements en place.
Je la vois prendre son sac et commencer à se lever. J’essaye de paraître normal, en sortant de la monnaie de mon portefeuille. Je n’ai qu’un gros billet, tant pis, je n’ai pas le courage d’aller voir le serveur. Je laisse donc 20 euros, avec l’addition sur la table. Le pourboire sera j’espère, destiné à la personne qui se payera le nettoyage de la banquette de Lise qui j’imagine n’est pas sortie indemne de la soirée...
Je marche à la suite de Lise, mon caleçon au bord de l’explosion. Le rouge me montant au visage en croisant les autres clients du bar, j’essaye de presser le pas pour sortir au plus vite et fuir les regards des potentielles personnes ayant remarqué mes jeux coquins avec Lise. Mais celle-ci, assumant visiblement totalement, marche délicatement. Elle prend même le temps de sourire aux trois jeunes filles qui nous ont observés. J’ose alors aussi un regard vers ces dernières, et je croise une des paires d’yeux. Les voyant arrêter de chuchoter à notre passage, elles semblent gênées, mais amusées de la situation. Quelque chose me dit que les petites jeunettes ont été excitées de me voir faire du bien à Lise comme ça, en plein lieu public.
Nous passons la porte, enfin ! La traversée m’a paru une éternité. En prenant mon bras, Lise me glisse à l’oreille. — Direction ta voiture !
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