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Lise, de l'ennui au désir

Chapitre 5

Bouquet final sur le parking

Voyeur / Exhibition
Nous passons la porte, enfin dehors ! La traversée du restaurant m’a paru une éternité. En prenant mon bras, Lise me glisse à l’oreille. « - Direction ta voiture ! »
...
Elle presse le pas, je ressens son impatience. De mon côté, je ne sais que penser. Je suis pris par l’excitation, mais à la fois j’ai du mal à réaliser ce qui va se passer. Je vais me faire sucer par Lise, cette fille qui me fait fantasmer depuis quelques jours, mais et que je ne connais quasiment pas. Qui plus est, elle semble vouloir faire son affaire sur ce parking. Ce dernier est désert, je me dis que c’est déjà ça. Seul résonne le son des talons de mon amie. Arrivée près de ma voiture, j’ai à peine le temps d’ouvrir la portière qu’elle me plaque littéralement contre la carrosserie et m’embrasse langoureusement. Ses mains commencent à me caresser au niveau de mon sexe par-dessus mon pantalon. Je me dégage un peu de l’étreinte de Lise pour aller m’asseoir sur le siège. Mais Lise me prend le bras et me retourne sèchement.
— Pas besoin de monter, on va faire ça ici, la porte nous couvrira.
Sans me laisser répondre, elle prend les devants et desserre déjà ma ceinture. Je me laisse faire, et je regarde les alentours pour être certain de notre solitude. Alors que Lise termine d’enlever les boutons de mon pantalon, mon regard se porte alors sur elle. Je me rends compte à quel point elle est vraiment belle, sexy... et audacieuse putain !
Elle s’est mise accroupie pour être à la hauteur de mon sexe. Elle ne me lâche pas du regard tout en se mordant les lèvres. Mon sexe est vraiment à l’étroit dans mon boxer, je n’en peux plus.Tout en plongeant ses yeux au plus profond des miens, elle baisse délicatement mon pantalon. Puis d’un coup sec, elle baisse mon boxer. Dans son geste, mon sexe vient cogner son visage. Elle esquisse un sourire et fixe maintenant ma queue en totale érection. Elle semble hypnotisée, telle une enfant devant sa glace favorite.
Sa main droite se pose sur ma verge bien raide et elle commence à me caresser. Lise me branle doucement en glissant de temps en temps quelques coups de langue experts sur mon gland.Elle s’occupe de mon sexe comme d’un jouet, me décalottant le gland puis le recouvrant de sa peau. Après quelques va-et-vient très doux, Lise finit par me regarder dans les yeux. C’est le signal qu’elle me donne pour me dire que les choses sérieuses vont débuter. Reportant ses yeux coquins vers mon gland à découvert, elle en rapproche sa bouche et le gobe directement. Tout en maintenant ses mains à la base de mon sexe, je sens sa langue s’activer autour de mon gland, et l’ensemble de son visage fait des petits mouvements d’avant en arrière pour me déguster pleinement. Relâché, détendu, je sors sans filtre :
— Putain ma salope, tu suces divinement bien.
Ces mots ont pour effet d’accélérer les mouvements de Lise qui me pompe littéralement le sexe comme une morte de faim. Ma tête tombe en arrière, se posant sur le toit de ma voiture. ... mes yeux se ferment pour mieux apprécier le moment. On peut entendre les bruits de succion venant de la bouche de Lise qui n’en finit plus de me sucer.
Un bruit m’interpelle, j’ouvre les yeux rapidement et regarde les alentours. Un couple se rapproche dangereusement. Lise occupée à me sucer ne prête attention à rien d’autre que ma queue. Ne voulant pas nous faire repérer par les bruits émis par la fellation que me procure ma partenaire, et pris un peu de panique, je mets ma main derrière la tête de Lise et enfonce sa bouche sur mon sexe. Le couple passe devant moi sans me prêter vraiment attention. Je m’assure qu’il soit assez loin pour regarder à nouveau Lise, littéralement empalée sur ma queue, la bouche dégoulinante de bave. Elle se met à tousser, ce qui me fait prendre conscience que je l’empêche sûrement de respirer depuis un peu trop longtemps. Je retire immédiatement ma main et Lise se dégage de mon sexe. Elle change de position pour se mettre à genoux, directement sur le béton et reprend sa respiration.Après à peine quelques secondes, Lise m’adresse de nouveau son regard torride, accompagné de son sourire amusé.
— Mais c’est que t’aimes ça en plus, t’es une sacrée cochonne.

Elle se rapproche à nouveau de mon sexe, ses genoux frottant sur le béton. Elle prend mes deux mains et les places derrière sa tête pour me signaler que je peux me servir d’elle comme bon me semble. Je ne me fais pas prier, je serre fermement mes mains sur ces cheveux blonds et commence à faire des va-et-vient de plus en plus en plus appuyés, ma verge rentrant complètement dans sa bouche et sa gorge.
Oubliant totalement que nous sommes dans un lieu public, des gémissements de plaisir sortent de ma bouche en sentant la jouissance arriver. Je bloque alors le visage de Lise, mon sexe au maximum de sa gorge, et pris de pulsion, je jouis et de grandes giclées de sperme vont alors inonder la bouche de ma bienfaitrice en plusieurs saccades libératrices... Après plusieurs secondes de jouissance extrême, je lâche son visage, je vais pour sortir mon sexe, mais Lise retient mon gland sur le bord de sa langue pour ne pas en perdre une goûte.
Quelques secondes s’en suivent à nouveau et tant que mon sexe est encore bien dur, Lise profite de le garder en bouche. Je finis par me retirer de sa bouche au moment où je sens que mon érection retombe sérieusement. A ce moment, un filet de sperme coule de la bouche de ma partenaire. Mais cette dernière semble garder le gros de ma semence. Elle joue avec ma semence dans sa bouche, tout en continuant de me regarder avec ses yeux aguicheurs. Je suis vidé, mais je ne me lasse pas de regarder cette véritable coquine se délecter de mon foutre. Au bout d’un moment, je la vois ouvrir la bouche et laisser ma semence mélangée à sa salive lui couler sur le menton. Il y en a tellement que cela dégouline et Lise laisse cette substance visqueuse et baveuse couler sur sa jupe. Je ne me lasse plus de la regarder et je peux ainsi voir mon sperme se déverser ainsi sur les vêtements de ma partenaire.
Provocatrice, Lise avale le sperme restant dans sa bouche puis vient prélever un peu de ma semence sur la jupe pour la remettre dans sa bouche. Après ce petit manège, elle s’essuie la main au niveau de la poitrine, laissant visibles de grandes marques claires sur le noir de son body. Elle se relève, nos visages sont face à face et tout naturellement elle me sort :
— Je pense que le cinéma sera pour une prochaine fois.
Puis tout en souriant, elle ajoute.
— Mais avant de te laisser, j’ai un petit cadeau pour toi.
Je la vois alors fouiller dans son sac pour en ressortir le string blanc que j’avais souillé la dernière fois au restaurant. Elle me le met sous le nez puis le lance en direction de la place conductrice.
— Si je te manque trop, tu pourras te masturber avec.
Dans un dernier geste provocateur, elle retire rapidement sa jupe couverte de sperme. Je remarque aussi les marques rouges sur ses genoux dues au frottement sur le béton. Je me dis qu’en plus de tous ses penchants sexuels, elle doit aimer le côté violent, voire douloureux, du sexe. Sa jupe enlevée, elle se retrouve là devant moi, désormais vêtue simplement de son body qui ne cache nullement ses fesses, et sa paire d’escarpins. Elle me tend sa jupe comme trophée.
— tu pourras me la rendre la prochaine fois qu’on se voit.
Puis elle m’embrasse tendrement sur la bouche. La sienne est toute poisseuse, mais j’accepte le baiser. Elle se retourne puis s’en va en direction de sa voiture, m’accordant un dernier signe de la main en guise d’au revoir.
Je n’arrive pas à détourner mon regard de Lise. Je suis comme envoûté par son corps, et ses fesses divines. Vidé et littéralement éberlué par le culot de cette fille, ce n’est que lorsque je la vois monter dans sa voiture que je reviens à la réalité. Je prends alors conscience que j’ai toujours la queue à l’air libre, je me rhabille rapidement en espérant ne pas avoir été remarqué. L’excitation retombée, j’ai un peu honte de la situation et je regarde autour de moi en refermant la porte de ma voiture. Je ne remarque rien d’anormal. Si ce n’est qu’avant de repartir, j’aperçois le groupe des trois jeunes filles du bar s’approcher de la voiture de Lise qui ouvre la fenêtre électrique. Les 4 femmes semblent s’échanger quelques mots, puis Lise repart.
Je jette un coup d’œil au string et à la jupe que Lise a éparpillé dans ma voiture, et je démarre enfin. C’est alors satisfait et avec des souvenirs plein la tête de cette nouvelle soirée folle que je rentre chez moi...
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