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Lise, mère et fille

Chapitre 3

Mère et fille fessées

Trash
Toute la semaine, j’ai du mal à rester concentrée sur mes études. A mesure que le vendredi approche, je suis de plus en plus excitée.Il est plus de 18h quand je franchis le seuil du domicile familial. Il n’y a que la voiture de ma mère garée devant la maison.Ma mère répond depuis le premier étage à mon « hello, c’est moi » habituel. En passant devant le salon, un apéritif a été préparé. J’en déduis que son amant, et bientôt j’espère, notre amant vient dès ce soir. Ma mère vient à ma rencontre, elle est superbe. Léger maquillage, hauts talons. Elle est nue sous un déshabillé ultra court avec un porte jarretelles et des bas. Son sexe et ses fesses sont libres de tout morceau de tissu. Elle porte un collier en cuir autour du cou, signe d’appartenance et de soumission, je suppose. Mais le déshabillé, qui n’est pas fermé, laisse voir des sangles en cuir partant du collier pour enserrer ses seins, descendre entre les cuisses pour passer dans le dos et revenir en ceinture, puis remonter sous les seins. Je vois dans son regard qu’elle est fière de s’exhiber dans cette tenue.
-      Je t’ai préparée tes affaires sur ton lit. Tu ne mets que ce que je t’ai préparé. Va vite prendre ta douche et te maquiller, notre amant va arriver.
Le "notre amant" ne laisse plus de doute sur l’avenir. En arrivant dans la chambre, sur le lit, talons hauts, porte jarretelles et bas, ce qui est inhabituel pour moi, une jupe ultra courte qui ne couvrira même pas mes fesses, et un haut transparent qui ne faisaient pas partie de ma garde robe. L’absence de culotte et de soutien gorge ne me surprend pas. Je vais vite prendre ma douche et je laisse la porte de la salle de bain grande ouverte pour  lui indiquer qu’elle est la bienvenue. Plus question de pudeur entre nous. Alors que je me maquille, elle vient vers moi et s’aperçoit que la touffe que j’avais sur le pubis a disparue.
-      Tu es allée chez l’esthéticienne ? -      Non, je l’ai rasée ce matin.-      Je t emmènerai chez mon esthéticienne. Tu verras, elle fait cela très bien et en plus, elle est charmante.
Je finis de me réparer pour l’arrivée de notre amant.Un petit coup de sonnette et ma mère va ouvrir à son Maître. Elle a pris le soin de retirer son déshabillé avant de l’accueillir. Très élégant, il la prend dans ses bras pour l’embrasser et en profiter pour caresser ses points sensibles, fesses, descendre un doigt dans sa raie des fesses, fente, tétons qu’il fait rouler entre ses doigts. L’effet est immédiat, ils se redressent et durcissent, laissant ma mère échapper un gémissement de plaisir. Il la plaque sur le mur et ses doigts descendent pour fouiller sa fente et glisser deux doigts entre ses lèvres. A quelques mètres derrière, je n’existe pas. Puis ils avancent vers le salon, laissant ma mère frustrée, et il me fait passer devant lui. Il en profite pour me donner une claque sur les fesses et y laisser sa main.
-      Viens d’asseoir sur mes genoux, me dit il.
Ma mère lui prépare son whisky préféré, puis va s’asseoir face à nous deux sur le canapé, un verre à la main. Je remarque qu’elle s’assoit sur le bord du canapé laissant ses cuisses ouvertes. Nous avons une vue totale sur sa fente épilée, et son clitoris qui pointe déjà entre les lèvres brillantes d’humidité. Je suppose qu’elle n’a pas le droit de croiser les jambes.Jean veut en savoir plus sur moi. Il me caresse les cuisses ouvertes mais sans aller jusqu’à mon pubis. Il prend mes tétons et les fait rouler entre ses doigts, les pinces, les tire. Je gémis.
-      Tais toi, et raconte nous tes expériences. Tu n’as pas de secret pour ta mère, je suppose, et tu ne dois pas en avoir pour moi. C’est ma queue qui t’intéresse ? Tu aimes les grosses queues ?
Il m’interroge point par point sur mon intimité. Je révèle des secrets que je n’ai jamais révélés à personne. La première fois où je me suis caressée, combien de garçons j’ai pompé, est ce que j’ai déjà avalé et si j’ai aimé ça, comment j’ai perdu mon pucelage, combien de queues m’ont fait jouir, et enfin est ce que je suis déjà fait enculer, sans oublier la façon où je me suis caressée la dernière fois. Je dois être rouge pivoine. Sa main est maintenant sur ma vulve et sans prévenir, il introduit un doigt dans ma fente.

-      Mais dis moi, tu es mouillée. Tu es bien sûre de ne pas avoir menti. Je suis sûr que tu t’es caressée avant mon arrivée.
Je dois lui avouer qu’il a raison.
-      Très bien, tu vas être punie, tu ne dois jamais mentir à ton Maître. Il me fait coucher sur ses cuisses, relève ma jupette et me fesse sans violence. Je regarde ma mère dans les yeux pendant toute la fessée, pour lui montrer que j’aime autant qu’elle, me faire fesser. Mes fesses me brulent rapidement et ce ne sont pas mes gémissements et mes petits cris qui l’arrêtent. Ma mère tient mon regard et me sourit pour me montrer qu’elle apprécie de me voir accepter ce signe de soumission et partager nos fantasmes. Jugeant que la punition est suffisante, il me caresse les fesses et m’écarte les cuisses. -      Tu n’es plus mouillée, tu es trempée, petite vicieuse. Assieds toi sur le rebord du fauteuil. Et toi, s’adressant à ma mère, viens ici montrer à ta fille tes dons de suceuse.
Ma mère vient s’agenouiller entre les jambes de son Maître à quelques centimètres de moi, dégrafe son pantalon et sors sa queue mi tendue et déjà d’une taille imposante. Je ne l’avais qu’aperçue la semaine dernière. Ma mère arrive à peine à en prendre la moitié en bouche. Elle augmente de volume à chaque aller retour. C’est une queue monstrueuse avec un gland énorme. Son Maître et amant pose sa main derrière sa nuque pour l’obliger à aller plus loin. Elle a du mal à déglutir et manque de s’étouffer. Comment ma petite chatte va pouvoir absorber une telle bite ? Elle me paraît deux fois plus longue que celle de mon dernier petit copain, et aussi large que mon poignet.Nous allons tous les trois dans la chambre de mes parents où je les avais espionné.
-      Tu vas voir comment ta mère est bien dressée et comment elle jouit quand une grosse queue la prend par tous les trous. Va t’asseoir sur le fauteuil et mets tes jambes sur les accoudoirs. Tu vas mouiller mais sans te toucher. Tu vas apprendre à être frustrée et à attendre ton tour.
Il prend une cordelette dans la table de nuit et m’attache les poignets derrière le dos avant de m’attacher les cuisses bien écartées sur les accoudoirs.  Sans s’occuper de moi, il attrape ma mère par sa natte.
-      Suce moi et applique toi, apprend à ta fille comment une salope suce son Maître. Ma mère varie entre laisser couler sa salive le long de ce pieu avant de le lécher sur toute la longueur, et emboucher le gland et le pomper énergiquement sur la longueur qu’elle peut prendre en bouche. Même pas la moitié de cette bite. Elle ne se sert jamais de ses mains, comme si c’était interdit. Puis il la prend par la natte et met sa main sur ses reins pour la faire cambrer au maximum. Il délaisse sa chatte et appuie sur son œillet sans violence qui s’ouvre pour laisser passer le pieu. Ma mère émet un feulement de bonheur.-      T’aimes ça, te faire enculer. C’est ce que tu préfères, moi aussi. Ta fille aussi va aimer ça. Et avec elle, ce sera meilleur une fois dépucelée. Elle va aimer sentir son cul s’ouvrir pour accueillir ma queue et se faire remplir de semence par là.
Les claques rougissent ses fesses à chaque aller retour. Il rentre sa queue à chaque fois jusqu’à toucher ses fesses avec son pubis. Ma mère atteint vite le plaisir et son Maître se retire pour venir vers moi.
-      Eh bien, ça te fait de l’effet de voir ta mère se faire enculer. Tu as vu comment elle a pris son pied. Tu ne pouvais pas t’imaginer.
Il met ses doigts dans ma bouche pour m’éviter de lui répondre et avec son pieu qui n’a toujours pas diminué de volume, il frotte son gland sur toute ma fente depuis mon œillet jusqu’au clitoris, sans jamais chercher à rentrer en moi. Très vite, je ne me contrôle plus. Je jouis, laissant couler un flot de sécrétions.
-      Lèche ma queue pour me nettoyer.-      Maitre, je souhaite Vous appartenir
Cela a été plus fort que moi. Je n’ai pas pu me taire. Je ne sais pas ce qu’en pense ma mère. Est elle d’accord pour partager son amant et Maître ? A t elle son avis à donner ?
-      Ecoute, j’ai vu que tu aimes le sexe, que tu aimes t’exhiber et que tu as aimé te faire rougir gentiment les fesses, mais on ne prend pas cette décision sur un coup de tête. C’est une décision importante, tu ne te doutes même pas  ce que à quoi tu t’engages. Tu vas devoir obéir, me laisser te dresser comme j’en ai envie, connaître d’autres queues, être offerte à d’autres mâles, et d’autres femmes.  Ton caractère va changer et toute ta vie aussi. Tu vas, comme ta mère, vivre deux vies en parallèle dont une sera cachée, sauf aux initiés. J’ai demandé à ta mère d’être libre le week-end dans deux semaines. Réfléchis bien d’ici là et ta mère pourra répondre à toutes tes interrogations. Si c’est toujours ta décision, viens avec elle, mais il n’y aura aucun retour en arrière. D’ici là, tu oublies pantalons et culottes. En permanence, tu porteras désormais une jupe ou une robe, cul nu. Tu oublies aussi les collants, et tu mettras des bas avec  ou sans porte jarretelles. Si tu as un rendez vous médical ou autre, tu te débrouilles. Ta mère va prendre ce soir toutes tes culottes et te les supprimer.Dans deux semaines, si tu viens, tu seras seins nus et tu oublieras les soutien-gorges pour les laisser libre ou ne porter que des soutien seins qui laissent les tétons libres.            Maintenant, tu nous laisses tranquilles pour que je m’occupe de ta mère. Et tu ne nous épies pas, sinon je te punirai et tes fesses s’en souviendront pendant les deux semaines. D’ici ce soir, tu restes nue dans la maison.Je quitte la pièce, connaissant déjà ma réponse dans deux semaines. Je suis convaincue que le plaisir sera plus fort que les contraintes et la douleur.
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