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Mélissa, ma jolie jeune black soumise.

Chapitre 1

La rencontre inattendue.

SM / Fétichisme
Bonjour cher lecteur. Tout d’abord, les présentations. Je me prénomme Jean, tout juste 50 ans, 1m80, 80 kilos, châtain court. Un peu d’embonpoint, donc un petit bidon. Divorcé depuis environ dix ans et jamais remis en couple, trop compliqué. Je papillonne, n’emmenant jamais mes conquêtes chez moi. Pas que ce soit bordélique, mais j’aime trop mon indépendance. J’habite un petit pavillon sans vis-à-vis de la banlieue d’Aix-en-Provence, ce qui me permet de bronzer à poil et profiter de ma piscine, nu. Un petit paradis non loin de toutes les commodités. Cette histoire s’est passée l’été dernier, début juin, un samedi midi. J’étais donc chez moi en train de parfaire mon bronzage et de me siroter un petit pastis quand mon téléphone sonne.
— Allô ?— Hello, Jean, c’est Pierrot.— Oui mon Pierrot, que me vaut l’honneur de ton appel ? (Pierrot, Pierre de son vrai prénom, est l’ami de toujours. Divorcé également, il est de toutes mes sorties. Il est professeur de Yoga. Mec très zen, mais qu’il ne faut pas venir chercher. Il a été légionnaire et a fait toute sa carrière au 2e REP. On se connaît depuis tout petit, on est inséparable.)— Que fais-tu ce soir, j’ai des invits’ pour l’inauguration d’une discothèque à Miramar. Tu es des nôtres ?— Des nôtres ?— Oui, il y a Gérard et sa femme, Li. (Un pote de légion de Pierrot. Bonnard et tout et tout et sa femme. Un petit bouchon ramené d’un périple thaïlandais)— Ouais, pourquoi pas, c’est quoi le style de ta boîte ?— J’en sais rien, mais Gégé m’a dit que cela devrait nous plaire. Alors ?— OK, tu passes me chercher ? (Pierrot ne boit pas quand il conduit, le contraire de moi.)— Non, c’est LI qui conduit, ce soir, c’est quartier libre. On passera à 16h00. On ira flâner sur le bord de mer, ensuite on se fera un petit resto. T’en penses quoi ?— OK, tout est prévu. Bon à tout à l’heure.— Allez, à plus ma poule...
Je prends mon courage à deux mains et me ressers un pastaga, puis je vais grignoter un reste de lasagne. Je regarde l’heure. Bientôt 14h00. Je file sous la douche.Une fois propre et sec, je peaufine mon épilation de mon sexe (coquetterie d’une ex qui ne supportait pas les poils). Je passe vite fait une chemise en lin et un jean 501. Les godasses, j’opte pour des bateaux blanches. Je me parfume légèrement et passe mon beau collier en or.Je sais ça fait kitsch, mais ça me plaît de montrer mes signes extérieurs de richesse.16h00 pétante, ils sont là. Je leur fais la bise et décolle Li du sol.
— Alors la puce, t’en as pas marre de ton mec ?
Elle a l’air si frêle, si fragile. Mais terriblement coquine. Elle a déjà saisi mon paquet.

— Non, il est mieux équipé que toi.— Ma petite conasse d’amour. Lui dis-je avant de l’embrasser sur la bouche. Je sais que c’est faux.
Je la repose à terre. Pierrot, qui connaît la maison comme le fond de sa poche, a sorti une bouteille de rosé et trois verres, ainsi qu’une boîte de coca pour Li. On s’installe sur la terrasse et on déguste ce petit rosé bien frais. On discute et on rigole tellement que personne n’a envie de bouger. Li nous commande des pizzas, pierrot s’occupe du rosé et Gégé du pastis. Le livreur est passé. On a mangé, bien bu, bien rigolé. Les mains baladeuses se font de plus en plus indiscrètes sur le corps de la petite Viêt. Elle ne s’en offusque pas, Gégé non plus. On a déjà tous couché, baisé avec elle. On a fait des plans à quatre quoi. Ils sont comme ça, mais il faut qu’ils soient là tous les deux, hors de question de partouzer l’un sans l’autre.20h00, il est temps de partir. Li prend le volant, ce qui nous fait rire, car elle installe un coussin sous ses fesses et avance le siège de la Mercedes à fond. Gégé monte devant, Pierrot et moi à l’arrière. L’autoroute est relativement dégagée pour un samedi soir d’été. La température est agréable, ce qui nous promet une excellente soirée.On arrive bientôt à l’entrée de Miramar, Li qui connaît très bien la région, nous emmène devant l’établissement énigmatique choisit par Gégé. Il est déjà presque 23h00 et le monde afflue à l’entrée. Gégé et Pierrot nous ouvrent une voie jusqu’à l’entrée. La foule est hétéroclite. Des jeunes, des moins jeunes et surtout une majorité de black. Gégé m’a gâté, connaissant mon attirance par les nanas de cette couleur. Je l’en remercie. Il me sourit.Il tend les quatre cartons d’invitation et le passage est ouvert. L’intérieur est des plus séduisants. Je vous passerais la description des lieux, cela n’a guère d’importance. On se dirige vers le coin VIP, sous les indications d’un videur, un colosse black d’au moins deux mètres. Il nous montre deux tables qui nous ont été réservées.
— J’espère que cela vous plaît, nous demande Gégé.— Pas mal, lui répond Pierrot, mais par qui as-tu eu ces invits’ ?— Par le frère de...
Li lui file un coup dans les côtes, ce qui l’arrête net. Il lui sourit et s’embrasse tendrement. Une première bouteille de champ’ nous est servie par une serveuse de type caucasien. J’en ferais bien mon quatre-heures.
— Elle est bonne cette petite. Je vais tenter mon coup, dit Pierrot.
Et merde, encore une que je n’aurais pas. Ce Pierrot est un fieffé dragueur et je ne connais pas une nana qui résiste aux charmes de l’ancien légios. D’ailleurs, il a revêtu la tenue de combat. Il a tombé la veste et ses bras ont séduit la belle blonde. Ils se sourient. C’est déjà perdu pour moi. Je me lève pour aller au bar privé. Je me commande un Get27. La douceur de ce nectar est un régal pour mes papilles. Je zieute autour de moi. Comme un radar en recherche de cibles, je m’arrête sur une petite négresse. Pas très belle, mais bonne, elle a son charme. Elle me suffirait bien. J’aperçois Pierrot faire le "béo" avec la serveuse et Gégé en train de peloter sa promise. Alors je me lance. Je lève ma vieille carcasse du tabouret et m’avance vers cette fille. Elle est seule, j’en suis sûr. De la façon qu’elle a de regarder son verre vide, elle m’attire. Je m’installe sur un tabouret laissé libre à côté d’elle. Je la regarde, plutôt je la mâte par-dessus mon épaule. Elle est grosse, pas trop, mais quand même, son postérieur prend tout le tabouret. Elle doit être petite. Les cheveux longs et frisés lui tombent sur les épaules. Je m’aventure un peu plus bas. Ses cuisses sont énormes, sans être disgracieuses. Ses mollets sont en proportion avec ses mensurations. Je m’essaie à m’aventurer sur son décolleté. Piouffff. Énorme. Deux énormes obus qui ne demandent qu’à s’évader de leur carcan de dentelle.
Je remonte sur son visage. Elle a toujours les yeux plongés sur son verre. Elle a un visage de poupon. Jeune, très jeune, sûrement inaccessible pour un type de mon âge. Le nez empâté, des joues gonflées, des lèvres pulpeuses et des yeux d’un noir profond.
— Surtout, ne vous gênez pas. Me dit-elle sans quitter son verre des yeux.— Pardon, vous êtes si...— Grosses ?— Non, si mystérieuse... Que buvez-vous ?— Jus d’orange et vous ?— J’étais au champagne avec mes amis, là-bas et là je suis au Get.— Allez, un Get. C’est plus sympa.
Je fais signe au serveur de nous resservir. On emboîte sur une conversation puérile à mon goût mais qui m’en apprend pas mal sur cette nana. Elle a 18 ans et elle est en dernière année d’étude d’infirmière à Aix. Je lui raconte mon parcours professionnel et sentimental. Son visage s’illumine quand elle apprend que je suis libre comme l’air. Elle pose sa main gauche dans mon dos et commence à me le caresser.
— Tu danses ? Me dit-elle.
Effectivement, c’était l’heure des slows. Je me lève et l’entraîne dans la foule. Elle est vraiment petite. Son doux visage arrive au-dessus de ma poitrine, sur laquelle elle pose sa joue. Je me mets à bander. Elle sourit et se colle à moi. Impossible d’essayer de l’embrasser vu la différence de taille, alors je lui caresse sa crinière. Elle se blottit contre moi et commence à m’embrasser le haut du torse. Elle me regarde tout sourire. Discrètement, sa main est descendue sur mon sexe. J’en peux plus. Après trois mois d’abstinence, quel mec resterait stoïque à de telles avances. Pas moi !De retour dans le salon privé, je présente ma jolie black à Li, les garçons étant partis se déhancher au rythme d’un single de "DM".
— Li je te présente... Euh...— Mélissa...— Oui, Mélissa...— Enchantée de faire ta connaissance. Lui répond la petite Vietnamienne.
On lui propose du champagne, ce qu’elle accepte volontiers. Elle s’assoit sur mes cuisses et là, surprise. Ce doit être une fausse grosse. Je ne la sens pas. Peut-être les effets de l’alcool. Je passe une main sur sa hanche. Elle la tire sur sa cuisse. Elle n’a pas de bas, ni collant. Sa peau est d’une douceur incroyable. De la soie.Je la regarde, elle me mange des yeux en se pinçant les lèvres. Je sais, dès cet instant, que je ne ressortirais pas seul de cette discothèque. C’est sûr.Ma main caresse sa cuisse. Je bande comme un fou. Elle en rigole, je sens sa main me tâter mon service trois-pièces. Elle me fixe et s’approche de moi. Elle m’embrasse timidement. Je lui réponds plus fiévreusement. Elle se laisse faire.
— On se casse ? M’interroge-t-elle.— Euh... Oui. Mais je n’ai pas de voiture.— Pas grave. J’ai la mienne et je n’habite pas loin.
Je fais signe à Li que je désire partir. Elle me fait signe que c’est OK d’un clin d’œil.
— Passe une bonne nuit mon cœur. Tu le mérites.
Je me lève, Mélissa est déjà devant la porte de sortie. Li a été, avant qu’elle ne rencontre Gégé, une sex-friend. Je lui roule une pelle avant de rejoindre ma dulcinée.Elle me prend par la main et m’entraîne vers une petite Polo hors d’âge. Le démarrage est tout aussi folklorique que l’intérieur. On voit que c’est une étudiante sans le sou. Elle démarre. On prend le chemin de chez elle, un petit appartement de la banlieue de Miramas. Je la suis jusqu’à son "home suit home". Charmant petit trois-pièces, bien aménagé et décoré. Elle me sert un whisky. Je m’assois sur le seul canapé de la pièce. Elle vient me chevaucher.
— Jean ? Je crois ?— Oui, pardon...— Pas grave. — Tu invites souvent des mecs chez toi dès la première fois ?— Non, tu es le premier.— Ah...— Je ne suis plus vierge, mais les mecs que j’ai rencontrés ne sont pas à la hauteur. Dit-elle en se frottant sur ma bite encore prisonnière de mon jean. Ils sont trop jeunes et ne me comprennent pas. Avec toi j’ai compris que cela ne sera pas pareil. — Ah... Et quelles sont tes exigences ?— C’est pas facile à dire.— Lâche-toi. Que risques-tu ?— OK, mais tu vas me trouver taré...— A mon âge, j’en ai entendu, des vertes et des pas mûres.— OK, alors je me lance. Je me donne à toi, je veux être ton esclave sexuelle, ta soumise... Je veux connaître le grand frisson de la soumission. Devenir ta chose.
Je reste coite. Cet aveu me perturbe. Non pas que je sois choqué, mais qu’elle a su déceler mon côté dominateur, voir sadique en moi. Une petite jeune à dresser à ma guise, pourquoi pas.
— Tu sais que je peux être très méchant ? Lui dis-je sous un ton paternel.— Je m’en fous. Me répond-elle.— Très bien. On va aller chez moi, te faire visiter ton nouveau chez toi si tu signes le contrat.— Le contrat ?— C’est à prendre ou à laisser. Je te rappelle que c’est toi, et toi seule qui t’es mise dans cette situation. Peut-être le regretteras-tu.
Je suis fou, inviter une midinette à vivre sous mon toit. N’importe quoi ! Mais la tentation est plus grande que la raison.
— Je l’espère, mais je suis sûr que tu sauras faire de moi une bonne soubrette, ta pute, ta soumise, ta chose.
Allais-je accepter de me remettre dans mes penchants sadiques. J’ai essayé avec une ou deux conquêtes. Elles avaient lâché après trois semaines, pour la plus endurante. Mon doute allait se dissiper très vite quand elle s’est relevée, mise nue. Mon Dieu qu’elle était belle. Noire et affreusement belle. Mon sang ne fit qu’un tour. Rondelette, petite et avec une poitrine qui m’appelait, des hanches magnifiques et aucune trace de cellulite. La perfection. Je me retiens pour ne pas la violer.
— J’accepte. Tu vas faire tes valises. Prends le juste nécessaire, désormais, je m’occupe de tout. Donne-moi les clés de ta poubelle et je viens te chercher demain matin, 10h00.
Passive, elle m’a tendu les clés.
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