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La liste de Noël

Chapitre 2

Trash
2) J’ai été désagréable avec mes parents.
Selon la liste, je devais être plus gentille avec mes parents. Je ne pensais pourtant pas avoir été si désagréable que ça. C’est vrai que je ne m’occupais de rien à la maison, que j’avais tendance à leur parler mal et à me montrer parfois odieuse. Mais c’est normal, ils sont cons, ennuyeux et j’ai toujours l’impression de les avoir sur le dos. C’est vrai aussi que je leur piquais un peu de fric en secret, ou que lors d’une fête organisée à la maison, les choses avaient un peu mal tourné et il y avait eu du dégât. Mais c’était des trucs sans importance qui avaient été cassés, genre vaisselle, ou commode, et pourtant ma mère avait piqué une crise comme quoi c’était l’héritage de son grand-père... Elle s’était montrée encore plus chiante que d’habitude, ce qui était un exploit.
Ç’aurait dû à eux de s’excuser d’être les pires casse-bonbons de l’univers, mais visiblement, l’univers en avait après moi.
Je m’étais donc réveillée tôt le matin pour partir acheter des croissants chauds à la boulangerie. Le temps était clair, mais il faisait froid et des flocons de neige tombaient sur mes épaules. Un vrai hiver comme on n’en avait pas vu depuis bien longtemps. Arrivée devant la boulangerie, elle était fermée. J’avais oublié qu’on était le 25 décembre et que c’était férié. Je rentrais à la maison assez dépitée.
À dix heures, j’entendis du bruit dans la chambre de mes parents, je me dépêchais de partir dans la cuisine. Je préparais des toasts grillés avec du beurre et de la confiture de fraise, je savais qu’ils aimaient ça. Je fis chauffer le café, et lorsque mes parents arrivèrent, ils n’en crurent pas leurs yeux de voir leur petit-déjeuner servi.
« Régalez-vous !
— Eh bien... quelle surprise ! s’exclama mon père. Tu étais tellement impatiente d’ouvrir tes cadeaux que tu ne savais pas quoi faire en nous attendant ?
— Pas du tout, j’ai été désagréable avec vous cette année, alors je voulais me faire pardonner.
— C’est vraiment toi Jeanne ? Le père Noël ne t’aurait pas échangée cette nuit avec une gentille jeune fille, rigola ma mère.
— Non, vraiment, je débarrasserais la table maintenant, et je ferais même le ménage ! Alors vous pardonnez ?
— Te pardonner de quoi ?
— Me pardonner d’avoir été méchante ! »
Décidément, ils ne comprenaient rien. Je ne pouvais quand même pas leur expliquer que s’ils refusaient, le père Fouettard viendrait me chercher dans une semaine pour me faire rôtir. Au mieux, ils penseraient que je leur faisais une blague ; au pire, ils m’enverraient à l’asile de fou.

« Eh bien, si tu y tiens vraiment, bien sûr qu’on te pardonne, condescendit sa mère.
— Parfait ! dorénavant, je préparerais le petit-déjeuner chaque matin, et je promets de m’occuper des tâches ménagères. »
Je jetais un coup d’œil sur la liste, la phrase était à moitié barrée. Ce n’était pas assez, je relevais les yeux pour voir mes parents me dévisager comme si j’étais une extra-terrestre. Je ne me laissais pas distraire :
« Merci maman, mais je crois que j’ai parfois dépassé les bornes... je mérite aussi une punition.
— Mais non, voyons.
— Mais si !
— Qu’est-ce qui te prend aujourd’hui ? Tu ne veux pas ouvrir tes cadeaux plutôt ?
— Oui, d’accord comme tu veux... mais je voudrais vraiment être puni. »
Disant cela, j’allais voir mes cadeaux placés sous le sapin, je déballais deux boîtes de chocolats, des vêtements -dont la robe que j’avais lourdement indiqué vouloir recevoir lors d’une sortie shopping-, ainsi que le dernier iPhone.
« Merci papa, merci maman, vous êtes trop gentils ! »
En fait, ils ne s’étaient vraiment pas foulés, mais je les remerciais comme s’ils avaient vendu leur rein pour me sauver. Je voulais vraiment passer pour une fille serviable et attentionnée.
« Allons, calme-toi ma grande. Et ne pense plus à ces idées de punition, tu es trop grande pour ça.
— Mais non ! Il faut me punir.
— Alors pour te punir, tu dois bien travailler en classe.
— Non ! Une punition rapide ! Aujourd’hui ! »
En plus, bien travailler en classe, c’était le genre de promesse que je n’étais pas sûre de pouvoir tenir même avec la meilleure volonté du monde. Je ne tenais pas à me faire chopper par le père Fouettard parce que j’aurais foiré une diserte de philo à la con.
« Tu deviens exigeante, même sur les punitions... bon, alors... pourquoi n’irais-tu pas voir ton papi Lucien, passer un peu de temps avec lui ?
— OK ! J’y vais immédiatement ! »
Sous le regard éberlué de ses parents, je partis en trombe de la maison et enfournais ma mobylette. Je n’avais pas mis les pieds à la maison de retraite médicalisée depuis que mon grand-père y avait aménagée. C’était normal, il était gâteux et je n’avais rien à lui dire.
En ce jour de Noël, il faisait un froid de canard et les rues étaient presque désertes. Je roulais lentement, ne voulant pas déraper sur une plaque de givre. Lorsque j’arrivais à l’EHPAD, je grelottais. C’était ma faute ; je ne m’étais pas habillée assez chaudement avant de quitter la maison. Je portais une petite doudoune matelassée et une robe en laine. Je garais ma mobylette et entrais dans le mini-parc déserté en cette saison, l’EHPAD proprement dit était un grand bâtiment à l’architecture moderne et aérée, mais impersonnelle. Je me présentais à l’accueil. Une femme nommée Marie m’indiqua gentiment le numéro de chambre de mon grand-père Lucien. Je m’y rendais en empruntant des couloirs aux couleurs fades et où étaient accrochés aux murs des tableaux de paysages mornes. Pour couronner le tout, il y avait une odeur tenace de vieux. Un genre de mix d’effluve de vieilles peaux et de médicaments. Si je devais rester ici un jour entier, j’aurais de quoi me flinguer. J’arrivais à la porte du pépé et frappais, avant de me rappeler qu’il était presque sourd, et qu’il n’y avait aucune chance qu’il me dise d’ouvrir.
J’entrais donc sans attendre. La chambre faisait vingt mètres carrés, était de couleur jaune champagne et débordait de photos et de souvenirs hideux. Mon papi était encore en pyjama assis sur son fauteuil roulant à regarder la télé. Il lui fallut plusieurs secondes avant de remarquer ma présence, je le saluais chaleureusement :
« Bonjour papi !
— Annette !
— Non papi, moi, c’est Jeanne.
— Jeanne ?
— Oui ta petite-fille, tu sais ? Non ? Peu importe, je voulais passer un peu de temps avec toi. »
Je regardais la liste que m’avait confiée le père Fouettard. La barre n’avait progressé que de quelques millimètres et ne semblait pas bouger. Je passais dix minutes de plus à parler à mon grand-père sénile, mais avec des résultats quasi nuls quant à l’avancement de la barre. Si je devais passer des jours ici comme punition, je n’aurais jamais le temps de finir le reste de la liste. Je devais trouver un moyen d’accélérer les choses.
« Au fait, c’est qui Annette ?
— Annette !
— Oui, c’était qui ?
— Anette, elle faisait sucette ! Sucette !
— Du calme ! Moins fort... »
Un peu gênée, je remarquais du mouvement dans le pyjama du papi, au niveau de son entrejambe.
— Annette ! Sucette ! Annette ! »
Qui qu’ait été cette Annette, mon grand-père s’en souvenait pour une raison évidente, c’était sans doute un de ses anciens amours. Et il semblait penser que je lui ressemblais. Je regardais la liste avec un soupir de résignation. C’était soit ça, soit un chaudron brulant. Je fermais la porte de la chambre. Il n’y avait pas de serrure ; la direction ne pouvait pas risquer qu’un patient s’enferme et meurt d’une crise cardiaque. Mais aucune assistante ne risquait d’arriver par surprise, pour cela, il aurait fallu que Lucien appuie sur le bouton rouge d’urgence. Je retirais le pantalon de pyjama de mon grand-père. En voyant son sexe long, mou et fripé pendre de son entrejambe, j’eus un frémissement de dégoût. J’aurais aimé être atteinte d’Alzheimer, moi aussi, pour ne pas avoir à me souvenir de ce que j’allais faire. Heureusement, personne ne serait au courant, ou ne s’en souviendrait de cette humiliation à part moi.
Je me mis à genoux devant son fauteuil et me mis à lécher le gland, pas de réaction... j’ouvris grand la bouche et commençais à sucer le chibre comme une sucette. Le sexe flasque grossissait progressivement dans ma bouche. Je dus faire preuve de patience, ma langue passait et repassait inlassablement contre le pénis à peine ferme. Je hochais la tête dans un mouvement de va-et-vient régulier afin de l’exciter, laissant entrer l’entièreté du membre dans ma bouche.
Cela me semblait durer des heures, mes genoux me faisaient un peu à mal à force de rester posés sur le carrelage froid. C’était à croire que jamais je ne parviendrais au but. À ma décharge, je n’étais pas une suceuse bien experte, les quelques garçons auxquels j’avais accordé une gâterie n’avaient pas duré longtemps dans ma bouche, tout ce que j’avais eu à faire était de lécher avant qu’ils ne giclent leur crème chaude. Mais j’avais maintenant affaire à un client bien plus difficile. Je ne me contentais plus de le sucer à fond ; d’une main, je lui massais doucement les bourses.
Et au bout d’un bon quart d’heure, le résultat était là : une bite bien dure.
Le vieillard battait des mains, heureux. Et j’étais assez satisfaite, cette corvée allait bientôt prendre fin. Elle s’acheva même plus tôt que prévu, quand la porte s’ouvrit inopinément. Surpris, le vieillard m’aspergea de son sperme alors que je me retournais pour voir qui avait ainsi surgi sans crier gare. Mes lèvres et mes joues dégoulinaient de foutre craignos.
« Qu’est-ce qui se passe ici ?! »
C’était une aide-soignante, une grosse dame métisse avec un fort accent antillais. Pourquoi était-elle entrée juste à ce moment-là ?! Mon cerveau se mit à se remémorer les moments précédents et je compris vite ; le pépé avec ses mouvements désordonnés avait appuyé sur le bouton d’appel. Plutôt que de rester stupidement coite, je déclarais assez gênée :
« Attendez, ce n’est pas ce que vous croyez...
— Vraiment ? Alors vous avez une bonne raison d’avoir la bouche pleine de sperme ?
— Euh... C’est euh, mon papi et euh...
— Et c’est votre grand-père que vous sucez en plus ! Vous devriez avoir honte ! »
C’était le cas, bien plus qu’elle ne l’imaginait. Mais au bout du compte, cela ne la concernait en rien, je tentais la stratégie de la dépravée :
— Mais... C’est que ça lui fait du bien. Alors, hein, occupez-vous de vos oignons.
— C’est une maison de retraite ici. Ils sont déjà calmes. Mais si vous, vous êtes surexcitée, allez vous trouver des jeunes de votre âge dehors pour vous envoyer en l’air. En tout cas, je vais devoir appeler vos parents...
— Non, ne faites pas ça ! Ils seront fâchés, ils risquent de ne plus vouloir me pardonner.
— Vous auriez dû y penser avant. »
L’assistante repartit en direction de la réception. Je me remettais debout et la poursuivais. Je jetais juste un œil à ma liste, « J’ai été désagréable avec mes parents. » et constatais qu’elle était maintenant complètement barrée. Je me sentis plus légère, mais sans être complètement rassurée. Je devais faire gaffe à ce que mes parents ne soient pas mis au courant des cochonneries que je venais de faire avec papi Lucien. Si c’était le cas, ils risquaient de revenir sur leur pardon, et je ne pouvais pas laisser faire ça. J’arrivais à rattraper l’aide-soignante et plaidais ma cause :
« Écoutez, je sais que vous êtes surchargée ici, je peux revenir dans la semaine, faire du bénévolat.
— Les promesses des petites traînées comme vous, je sais quoi en faire, vous n’avez aucun honneur ! »
À l’accueil, une autre assistante était derrière un bureau de réception. Elle nous regarda arriver, surtout moi. Elle semblait assez perplexe, plissant les yeux. Me dévisageant comme si j’avais chié sur son bureau :
« Qu’est-ce qu’il y a ? Ma tête vous revient pas ?
— Euh... je crois que vous avez du euh, du sperme sur les lèvres. »
Je rougis de la tête aux pieds, tandis que l’autre assistante avait un sourire narquois. Ne sachant que faire, je plaquais ma main sur ma bouche pour faire disparaître les traces de mon facial en les avalant.
« Vous vouliez un mouchoir peut-être ? » demanda l’assistante avec le badge Marie.
Je ne répondis rien, me contentant de baisser les yeux, tellement j’avais honte.
« Bon, Géraldine ! Le vieux Marcel fait encore des histoires.
— Encore ! J’irais le calmer tout à l’heure.
— C’est-à-dire, que je l’ai peut-être un peu bousculé... il était tellement emmerdant... »
Géraldine me dévisagea, je pouvais presque sentir une arrière-pensée tourner dans sa tête.
« Toi, me dit-elle. Tu viens avec moi, si tu ne veux pas qu’on sache quelle petite suceuse tu es... On peut peut-être trouver un accord. »
J’étais toujours en train de digérer le foutre de mon papi en arrivant devant la chambre de ce fameux Marcel. À peine avait-on ouvert sa porte que le vieillard se mit à gueuler :
« C’est inadmissible ! Au prix où je paye ! Vraiment, je vais me plaindre à la presse, j’ai été député, MOI, j’ai encore assez de contacts pour faire fermer votre taudis.
— Allons, allons, Monsieur Marcel, qu’est-ce qui ne va pas ?
— Votre copine, qu’elle fasse la fine bouche quand elle lave mes slips passe encore, mais elle m’a carrément frappé !
— Vous exagérez, je suis sûre que ce devait être un simple mouvement involontaire.
— Mon cul, oui ! regardez mon bras, j’ai un bleu ! Elle me l’a fait juste après que je l’ai traitée de grosse conne paresseuse ! C’était volontaire ! Je vais porter plainte, vous allez m’entendre !
— Je suis sûre qu’elle n’a pas voulu vous frapper. Elle a dû avoir un mauvais réflexe, pas de quoi se fâcher... Ma petite, » dit-elle en s’adressant à moi. « Examine Monsieur Marcel, vois s’il n’est pas blessé.
— D’accord... »
Je ne savais trop quoi faire ; je tournais autour du papi, touchant son bras sans grande conviction.
« Mais qu’est-ce que c’est que cette bécasse, s’indigna l’ex-député. Où l’avez-vous trouvée, dans une poubelle ?
— C’est Jeanne. Elle est gourde, mais de bonne compagnie. Je vous la laisse, si vous êtes toujours fâché de nos services après qu’elle se soit occupée de vous, je vous garantis qu’elle sera renvoyée. » Elle allait refermer la porte de la chambre avant de préciser à mon attention : « et je téléphonerais à qui de droit, si Monsieur Marcel n’est pas content de toi... »
Elle voulait parler du coup de fil à mes parents pour rapporter ce que j’avais fait avec pépé Lucien. C’était presque du chantage. J’espérais qu’elle finirait elle aussi sur la liste du père Fouettard.
« A-alors... heu, vous avez mal quelque part ? »
Marcel réfléchit un petit peu.
« J’ai mal aux couilles, cette conne d’infirmière devait me faire pisser, mais elle a serré ma queue trop fort.
— Ahh...
— Eh bien, qu’est-ce que tu attends ? Regarde si elle m’a abimé la bite.
— Oui, tout de suite...»
Je me mis à genoux, et baissais le pyjama du vieillard. Je me trouvai face à ma deuxième queue de grabataire. À bien y réfléchir, cette bite devait être au moins quatre fois mon âge. Il avait de grosses veines bleues tout autour et une flétrissure peu ragoutante. Les couilles étaient sèches comme des grains de raisin. Moins j’aurais à la regarder, mieux je me porterais.
— Elle a l’air très bien comme ça, Monsieur Marcel. Elle semble dotée de euh... toutes ses facultés.
— Et comment tu sais ça ?
— Euh... est-ce que vous voulez que je vous suive jusqu’aux w.c. pour vérifier ?
— Non, je vais pas aux W.C. ! Apporte-moi mon pot. Je ne me déplace pas pour rien.»
Il y avait un pot de chambre juste à côté du lit. Visiblement, le vieillard avait une vessie incontinente et n’avait pas toujours le temps de se déplacer jusqu’aux toilettes pour pisser. Je pris le pot et me demandais comment j’allais me débrouiller avec. Devais-je le placer devant moi et prendre le sexe du vieillard à la main ou le laisser faire son affaire pendant que je tournais le dos ? J’optais pour la seconde solution et me baissais pour poser le pot à distance adéquate... lorsqu’un jet de pisse me frappa en plein visage. La bite semi-molle de Marcel m’aspergeait d’un gros jet de pisse bien épaisse et bien odorante. Il tenait sa bite pour viser le pot, mais ses mains tremblaient tellement qu’il m’arrosait bien plus qu’il ne touchait le pot.
En quelques secondes, je me retrouvais trempée par l’urine, la pisse avait touché en premier mes yeux et je me trouvais incapable de voir ce qui se passait.
« Arrêtez de... »
En ouvrant la bouche pour lui crier dessus, l’urine venait de me rentrer dans la gorge. C’était horrible ! j’avais la pisse de ce connard encrouté qui se déversait dans mon estomac. Je fermais la bouche aussi hermétiquement que possible et me protégeais du jet chaud de mes mains.
Le jet cessa assez rapidement, je m’essuyai les yeux, et vis que mes vêtements étaient imbibés du liquide puant. Une mare de pisse s’était formée par terre.
« Pauvre conne ! T’es même pas capable de mettre un pot de chambre en face de moi ! Mais t’es une putain d’incapable !
— Hey ! »
Son sans-gêne était tel que je me retrouvais à court de réponses. Non seulement il ne s’excusait pas pour être un porc maladroit, mais il trouvait en plus le moyen de me critiquer. Je m’exclamais :
« Comment avez-vous pu...
— Et tu me réponds en plus ! Tu sais qui je suis ? Des poulettes comme toi, j’en mangeais une dizaine au petit-déjeuner. Alors maintenant, tu nettoies cette cochonnerie vite fait avant que ça commence à sentir. »
J’étais rouge de colère. Je m’étais levée et étais prête à lui foutre une mandale telle qu’il s’en souviendrait. Que ce soit un vieux grabataire parkinsonien, je n’en avais rien à foutre. Mais je me retins. Je ne devais pas oublier pourquoi j’étais là : pour la liste. Inutile que le père Fouettard y rajoute “tape des vieux sans défense”.
Je lui tournais le dos et allais dans la salle de bain chercher une éponge ou une serpillère. Je ne trouvai qu’un gant de toilette et un seau pour éponger la pisse. Cela ne sembla pas au goût du vieil homme :
« Putain de débile ! Tu vas pas utiliser mon gant pour nettoyer par terre.
— Non ?
— Non ! Je l’utilise pour me laver espèce de gourde stupide ! Tu veux que je me lave avec de la pisse ?
— Bon, attendez, je vais chercher une éponge dehors.
— Si tu sors dehors, tu ne reviens pas sale pute. Tu te prends pour qui ? Utilise ta culotte, si t’en as une... ça fera bien l’affaire.
— Ma culotte ?
— Ben quoi ? Elle est déjà trempée de ta mouille, hein ? Une souillon comme toi je sais porte des dessous bien sales...
— Mais non !
— Vas-y essuie. »
Je ne voyais pas trop d’alternatives, je ne pouvais pas le mécontenter. Je fis descendre sa culotte de sous sa jupe.
Malgré ma répugnance, je plaquais ma culotte blanche au sol, immédiatement, elle vira au jaune dégueu. J’essuyais l’urine puis la pressais au-dessus du seau, ça n’allait pas vite... En plus, la pisse me coulait entre les doigts, j’avais envie de courir me laver les mains, mais je devais d’abord finir ma tâche.
Alors que j’étais toujours à genoux à éponger le sol, je sentis deux mains se poser sur mes hanches. Occupée comme je l’étais, mon attention avait été détournée du vieillard, je levais les yeux pour me rendre compte qu’il s’était placé derrière moi. Il était en train de soulever ma robe :
« Qu’est-ce que vous faites !? »
Même si je posais la question, la réponse était assez évidente, surtout que je le sentais se rapprocher de plus en plus de moi.
« Continue à travailler, petite souillon, moi je vais vérifier si ma queue est encore capable de bander. »
J’étais horriblement mal à l’aise, à genoux, ma culotte en train de servir de serpillère, et ayant promis à l’aide-soignante de combler toutes ses demandes. Je sentis son gland commencer à frotter contre mes fesses, je savais ce qui allait suivre, j’en frissonnais. Je sentis le sexe frotter contre le creux de mes fesses, puis descendre plus, jusqu’à mon minou.
La queue du vieillard entra en moi.
Son ventre cogna contre mes fesses, il était en train de me baiser. Ce sale vieux con lubrique était en train de me pistonner la chatte pendant que, moi, j’étais à quatre pattes en train d’éponger sa pisse avec ma petite culotte. Ses mains étaient posées sur mes côtes, me tenant fermement, il avait raison de le faire, j’avais envie de m’échapper. Mais je serrais les dents et le laissais me baiser tout son saoul. J’essayais de penser à autre chose, mais lui me ramena sur terre :
« Espèce de feignante ! Tu crois que t’es là pour quoi ? Bayer aux corneilles ?
— Mais...
— Il n’y a pas de mais ! Continue à faire le ménage, pourquoi tu crois qu’on te paie ? »
L’injustice de ces paroles me meurtrit. Non seulement je n’étais pas payée, mais en plus, je lui servais de pute. Et non seulement il me fourrait comme une chienne, mais je lui servais de bonniche. Encore une fois, je dus combattre mon envie de me relever et de lui flanquer une baffe comme il s’en serait souvenu tout le reste de sa misérable vie. Au lieu de quoi, résignée à mon sort, j’épongeais et essorais ma culotte au-dessus du seau.
Pendant que j’effectuais ces tâches ménagères, Marcel augmentait sa vitesse, son bide cognait de plus en plus fort sur mes fesses, il prenait un pied d’enfer à me culbuter pendant que je m’adonnais aux tâches les plus ingrates. Il n’allait d’ailleurs pas tarder à finir tellement il se régalait de sa position dominante, de me sentir moi la petite jeune se faire humilier par un vieux barbon comme lui. Deux minutes plus tard, alors que je finissais de nettoyer le sol, ça ne manqua pas, je sentis son sperme se mettre à me remplir la chatte. Il poussait un long grognement de plaisir.
Sa queue se retira de mon abricot, je sentis son foutre dégorger de ma fente.
« Tu nettoieras ça aussi, sale catin. »
Me sentant misérable, c’est ce que je fis. Ma petite culotte blanche était maintenant devenue couleur jaune pisse et maculée de sperme. À peine étais-je sortie de la chambre que je la jetais à la poubelle. La simple idée de la remettre un jour m’écœurait.
Alors que j’allais quitter l’EHPAD, une des femmes de l’accueil me lança :
« Hey là, la bénévole, la journée n’est pas finie ! »
Elle me retint toute la journée, je dus m’occuper de petits vieux, me montrer charmante avec ces crétins décérébrés. Martin passa la journée à me tourner autour, à me donner des ordres et à me toucher de façon perverse. Heureusement, il n’était pas assez vigoureux pour assurer deux parties de jambes en l’air dans une même journée. Le soleil était couché quand je quittais L’EHPAD, épuisée, rêvant d’aller, moi aussi, me coucher. Une des aides-soignantes me cria :
« On vous revoie la semaine prochaine, n’oubliez pas ! »
J’avais promis. Et je ne pouvais pas rompre mes promesses, j’espérais juste que je n’aurais pas à réparer les conneries des autres cette fois.
[s]- J’ai été désagréable avec mes parents.[/s]— J’ai été une garce avec Jean, Rémi et Nicolas.— J’ai fait des blagues racistes.— J’ai fraudé dans les transports en commun.— J’ai donné des coups de pieds à un chien.— J’ai été responsable de dégradation de propriété publique.— Je me suis moqué fréquemment et méchamment de Linda.[s]- J’ai lu des histoires pornographiques.[/s]— J’ai été insupportable en classe.— J’ai été une horrible baby-sitter
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