Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 42 J'aime
  • 5 Commentaires

La liste de Noël

Chapitre 7

J’ai été une horrible baby-sitter

Trash
J’ai été une horrible baby-sitter
30 décembre - 7 h 35
Je me levais très tôt, je devais arriver chez Monsieur et Madame Durand avant qu’ils ne partent au travail. Je choisis un ensemble assez similaire à ce que je portais quand j’allais chez eux pour baby-sitter leur fils. Une jupe bleue assez longue et une blouse noire à manches longues avec un imprimé un peu abstrait. Je tenais à avoir l’air sérieuse pour pouvoir parler sur un pied d’égalité. Je me rendis chez eux en peu de temps, ils habitaient à deux rues d’ici. Quand je sonnais, ce fut le père – Antoine - qui vint ouvrir. Tant mieux, il était plus sympa que sa femme. Mais il fut étonné de me voir chez lui :
« Ophélie ?! Qu’est-ce que tu fais ici ? On n’a pas besoin de baby-sitter aujourd’hui...— Je sais, c’est juste que j’ai à vous parler d’un truc.— Vraiment... ? C’est à propos de Paul ? Il s’est passé quelque chose ? Il y a un problème avec lui ?— C’est heu... un peu compliqué à expliquer, est-ce que je peux entrer ?— Bien sûr. »
J’étais assez anxieuse en entrant dans le logement. Je ne savais pas trop comment ils allaient encaisser les annonces que j’avais à leur faire. Je craignais surtout la mère, elle me regardait souvent de haut, se montrant à la limite de la maniaquerie quand il s’agissait de son fils, établissant un emploi du temps qui ne devait pas dévier d’un poil. Justement, Jacqueline Durand était dans le salon, assise dans un canapé. Je regrettais de ne pas avoir saisi ma chance et d’avoir tout déballé au père à la porte. Quand elle me vit, Jacqueline fronça les sourcils :
« Ophélie ? Tu cherches Paul ? Il est sorti, il a reçu un vélo pour Noël...— Euh non, c’est à vous et à Antoine que j’ai quelque chose à dire.— Tu en fais des mystères, qu’est-ce qui se passe ? Tu vas finir par m’inquiéter... »
J’étais debout dans le salon alors qu’Antoine avait rejoint sa femme sur le canapé.
« Et bien voilà... » j’étais atrocement gênée, je baissais les yeux pour regarder mes souliers, n’osant pas soutenir leurs regards. « Vous savez que Paul est parfois un peu difficile ?— Ah il a fait une bêtise, c’est ça ! embraya Antoine. Il va m’entendre celui-là !— Non, pas du tout. Au contraire... c’est moi qui... en fait, pour le calmer, il m’est arrivé de... de lui donner une fessée.— Quoi ! »
Les deux parents restèrent bouche bée.
— Et j’ai aussi pu lui donner quelques claques.— Mais il a huit ans ! s’insurgea Jacqueline.— C’est pas possible ! Il nous aurait raconté tout ça, affirma Antoine, incrédule.— Non, parce que je l’ai menacé... »
J’aurais tellement voulu arrêter de me confesser, mais je devais tout avouer si je voulais échapper au Père Fouettard.
« Je lui ai dit que s’il disait du mal de moi, il serait envoyé dans un orphelinat.— J’arrive pas à le croire. C’est pas possible ! Jacqueline devenait rouge de colère.— Oh... et quand je le trouvais vraiment énervant, je l’envoyais au lit sans manger...— C’est... bordel...— Et puis le vase en porcelaine que Paul a cassé. En vérité, c’est moi qui l’ai fait tomber. Voilà, je crois que c’est tout... »
Je vis les deux parents se regarder, l’air de se demander s’ils n’étaient pas en train de cauchemarder.
« Vous avouez tout ça et vous dites, “C’est tout” ?! s’écria la mère au bord de l’apoplexie.— Et pourquoi vous nous racontez ça ? demanda le père plus raisonnablement.— Je veux changer de comportement, devenir quelqu’un de bien. Et j’espérais que vous pourriez me pardonner...— Te pardonner, SALOPE !!! cria Jacqueline. Alors que tu as frappé mon bout de chou ! »
Je ne pus m’empêcher d’esquisser un sourire à l’expression de « bout de chou ». Son gamin, Paul, était insupportable, un vrai petit monstre. Seuls ses parents pouvaient avoir de la tendresse pour lui.
« Ça te fait rire, poufiasse ?! »
Elle s’était levée et me menaçait du doigt.
« Non ! Vraiment pas... je suis profondément désolée.— T’es désolée et tu crois que tout est réglé...— Si vous voulez me punir, je veux bien, mais écoutez d’abord ce que...— On appelle la police, proposa Antoine.— La police ! Mais ils ne vont rien faire ! Ils laissent les dealers en liberté, tu crois qu’ils vont faire quoi pour une fessée ?!— Alors qu’est-ce que tu veux faire ? Elle peut nous rembourser peut-être.— Nous rembourser ? Elle tape ton fils, et tu penses au pognon !? Je vais te dire ce que je vais faire... Non, je vais te montrer directement. »
Elle s’arrêta juste devant moi, leva la main et me décrocha deux grosses gifles. Je portais la main à mon visage pour me protéger pendant qu’elle écumait de rage :
« Ce que je vais faire, c’est démolir, cette salope ! »
Elle me tira par les cheveux et me projeta à terre. Je criais « Aïïïee !! » ce qui ne l’empêcha pas de me donner un coup de pied. Mais elle n’en resta pas là, c’était une furie, elle agrippa une mèche de mes cheveux et me releva. Ça faisait super mal, elle me tira jusqu’à la table du salon, et m’y colla la tête.
« Penche-toi, conasse ! »
Je l’étais déjà pas mal, mais de peur d’envenimer sa fureur, je restais docilement dans cette position, collée contre la table, quand elle me lâcha. Je sentis alors ma jupe se faire relever, et une main faire glisser ma culotte sur mes chevilles. Si Antoine avait été derrière moi, j’aurais pensé qu’il comptait me baiser pour me punir. Mais là, je ne comprenais pas... jusqu’au premier coup. Je criais et me retournais, Jacqueline avait une longue règle carrée métallique à la main et une lueur de sadisme dans les yeux. C’était affreusement douloureux, je reçus un second coup et hurlai : « Arrêtez !!! » C’est que cette conne y mettait toutes ses forces. En rogne, elle donna dix coups d’affilée. Je pleurais, chaque frappe était plus douloureuse que la précédente, je vivais un calvaire. J’avais l’impression d’avoir les fesses en charpie, de ne plus jamais pouvoir m’assoir. Heureusement, elle finit par s’arrêter :
« Prends la règle, et corrige cette pute. »
Je l’entendis quitter la pièce, son mari leva la main et abattit la règle. Je criais à nouveau et pleurais, mais heureusement, il mettait moins de cœur à me torturer que sa femme. En tournant la tête, je pouvais voir qu’il avait l’air gêné. Il semblait obéir plus pour ne pas contrarier sa femme que par rancœur envers moi. D’ailleurs, il s’arrêta vite et s’approcha de moi. Je sentis sa main se rapprocher de mon cul. Je pensais qu’il allait me fesser à la main, mais non ; il se contenta de me caresser le croupion.
« Ça t’a fait mal ? — Oui, Monsieur. »
Ma voix était pleine de sanglots, et je ne pouvais m’empêcher de pleurnicher. Alors que ses mains se promenaient sur mon cul, comme si c’était sa propriété.
« Tu n’aurais pas dû faire de mal à mon fils. »
Il joignit le geste à la parole en me donnant une vicieuse fessée du plat de la main.
« Aïïïe ! Oui je sais, Monsieur, je regrette, je suis désolée. — Je crois que ta punition est méritée, tu ne penses pas ?— Si, Monsieur.— Et pourtant c’est dommage d’abîmer un si beau cul... »
Je ne répondis rien, sa main descendit plus bas, et caressa la fente.
« Oui, vraiment un beau cul... »
Il hésitait, n’osant sans doute pas aller plus loin, alors que sa femme devait être toute proche, et puis je me dis qu’il faudrait vraiment qu’il soit un porc pour tromper sa femme avec une baby-sitter qui frappait son fils.
« Merde... je bande trop... »
J’entendis sa braguette s’ouvrir et dix secondes plus tard, sa bite entrait en moi. Mes fesses étaient si sensibles qu’à chaque coup de reins de sa part, je criais de douleur. Ce qui lui plaisait, il pouvait ainsi faire croire à sa femme qu’il me donnait une correction. Il résolut de me donner quelques fessées quand il trouva que mes cris manquaient de force. Il était excité comme un diable, me forant la chatte sauvagement. Je me demandais ce que sa femme pouvait faire pendant ce temps. Soudain, il quitta ma chatte et me tira les cheveux pour attirer sa queue au niveau de ma bouche. Il dit :
« Avale-tout. Si Jacqueline trouve une seule goutte de sperme sur toi, je te tue. »
J’ouvris la bouche et il y enfonça sa queue, me pressant la tête contre ses couilles. Ma langue toucha à peine sa hampe turgescente qu’il gicla une épaisse gelée visqueuse dans ma bouche. J’avalai. Je n’aimais pas le goût ni la texture gluante, mais je ne tenais pas à avoir de nouveaux problèmes en étant responsable de son divorce. Ce serait encore une action que le Père Fouettard retiendrait contre moi. À peine avait-il fini de jouir qu’il retira sa queue pleine de ma salive pour la remettre dans son pantalon. Il me plaqua la tête contre la table pour que je reprenne ma position telle qu’elle était avant que Jacqueline ne quitte la pièce. Et justement, elle était de retour :
« Qu’est-ce que tu fais ? — Je la punis.— Alors pourquoi elle ne crie pas ?— C’est que heu... je voulais t’attendre pour faire ça ! »
Je sentis alors la règle carrée s’appuyer contre ma rosace avant de s’enfoncer dans mon cul brutalement. Je criais ! La froideur du métal et l’entrée soudaine me laissaient pantoise. Il fit un va-et-vient avec la règle. Jamais on ne m’avait enfoncé d’objet dans le cul, j’étais déconcertée par cette sensation et humiliée qu’on se serve ainsi de mon oignon.
« Très bien, se réjouit Jacqueline. Mais je veux qu’elle garde un souvenir tangible de ce qu’elle a fait à notre fils. »
Elle tenait un poêle qu’elle posa sur un dessous-de-plat. Il y avait des cubes alphabétiques en métal dedans. C’était des cubes que les parents donnaient aux bébés pour qu’ils se familiarisent avec les lettres de l’alphabet.
Elle saisit un des cubes avec une manique et elle l’appliqua contre mes fesses. Le cube était brûlant, elle avait dû passer les dix dernières minutes à les faire chauffer dans le four. Je sentis le métal noircir ma peau, et elle n’en resta pas là, elle continua le même processus avec au moins sept cubes.
Son mari avait apporté un torchon pour que je morde dedans pendant qu’elle me torturait avec les cubes ardents. Quand elle eut fini, elle dit :
« Tu veux voir ce que j’ai gravé sur ton cul, conasse ? »
J’avais trop mal pour répondre, mais je jetai un œil sur les cubes posés dans la poêle ; il y avait un S, un A, un L, un E, un P, un U, un T, et un E.
Jacqueline vit la direction de mon regard et déclara :
« C’est ce que tu es. Et chaque fois que tu t’assoiras, tu sauras que t’es assise sur ton cul de sale pute. Chaque fois que tu te désaperas devant un homme, il saura que tu es une sale pute. Quand il enfoncera sa queue en toi, il saura qu’il baise une sale pute. »
Sur ces mots, elle me tira par les cheveux jusqu’à la porte d’entrée et m’éjecta de sa maison, ma culotte encore sur les chevilles. Dehors, les passants me regardaient, alors je m’étalais par terre. Se demandant sans doute si j’étais la maîtresse d’Antoine et que son épouse venait de jeter dehors. Je remontais ma culotte en pleurant, autant à cause de la souffrance physique infligée à mes fesses, que de savoir ce qu’il y avait de marqué au fer rouge dessus. Je regardais la liste : « J’ai été une horrible baby-sitter » n’était rayé qu’à moitié. J’en tirais vite une conclusion, j’avais subi une punition, mais ne m’étais nullement fait pardonner. Et aucun des deux parents ne semblait disposé à le faire avant le 31 au soir. C’était injuste après ce que je venais de subir. Avec une punition aussi atroce, j’aurais mérité du repos, à la place de quoi j’étais peut-être foutue. Perdue dans mes pensées, un cycliste faillit me renverser. Je me souvins alors : leur fils ! ils lui avaient offert un vélo, et lui aussi pouvait me pardonner. Il fallait que je le trouve...
Ce fut facile ; les enfants du quartier se retrouvaient tous dans un parc à jeux à l’orée d’un petit bois. Je lui indiquai de venir vers moi, et il obéit à contrecœur, il avait un peu peur de moi à cause des gifles et fessées que je lui avais données. Mais quoique je lui fasse, ça restait un sale gosse...
« Salut, Ophélie. Mes parents t’ont demandé de me surveiller ?— Euh non... pas aujourd’hui. Ce que je voulais te dire, c’est que j’ai pu me montrer très sévère avec toi. Trop. Et je le regrette.— Ah oui ?— Oui, et ce serait vraiment bien de ta part si tu me pardonnais.— Nan, j’veux pas.— Euh... et si je te donnais des bonbons, tu voudrais bien ?— Nan, t’es une méchante.— Et qu’est-ce que tu voudrais ?— Mmmm... »
Il réfléchit intensément ; je pouvais voir son front se plisser.
« Je veux un milliard d’euros !! »
Il commençait à sérieusement m’agacer.
« J’ai pas un milliard d’euros. Disons dix euros ?— Nan, c’est pas assez. Si t’as pas un milliard, c’est que t’es pauvre. De toute façon, mes parents, ils sont riches, et toi je sais que t’es une pauvre parce que c’est pour ça que tu fais du baby-sitting.— Bon... Alors...— Et j’en ai assez de faire du vélo, je veux faire un autre jeu.— Très bien, tu veux jouer à chat ?— Mmmm... non ! Je veux jouer au petit cheval.— Aux petits chevaux ? D’accord, je dois pouvoir trouver une boîte de jeu et...— Mais non ! T’es trop bête ! Je veux pas jouer aux petits chevaux, mais au petit cheval. Tu comprends rien, t’es idiote. »
Je devais prendre sur moi pour ne pas claquer ce petit avorton.
« Et c’est quoi le jeu du petit cheval ?— Eh ben, la grande personne, elle fait le cheval à quatre pattes, et moi je fais le cavalier, c’est trop rigolo !— Je ne crois pas que...— Tu veux pas y jouer parce que t’es méchante...— Bon d’accord, va pour le petit cheval. »
Je me mis à quatre pattes, je vis les autres enfants me regarder avec de grands yeux pendant que Paul me grimpait sur le dos.
« Hue ! »
Je me mis à marcher aux ordres de ce petit connard, sous le regard éberlué du public enfantin.
« Gauche ! »
Dit-il en me tirant les cheveux sur ma gauche.
« Plus vite ! » cria-t-il en me donnant des coups de pied dans les côtes.
Je marchais, ou trottais, dans la neige, parfois sur le sol boueux qui salissait mon bas de jupe. J’avais froid aux mains et je tentai de me diriger vers un coin de verdure où je pourrais reposer mes mains du manteau blanc de la neige. Mais le petit salopard trouva rigolo d’ordonner :
« Broute ! »
Je regardais le sol, et je pouvais voir que c’était un des coins du parc où les chiens venaient faire leur besoin.
« Je peux pas faire ça !— Broute ! »
Cette fois-ci, il me donna un coup aux fesses de contrariété. Je poussai un cri, mes fesses étaient d’une sensibilité exacerbée et de sa petite main, il réussissait à m’infliger un véritable supplice. Je baissais la tête jusqu’au niveau du sol et commençais à tirer sur le gazon avec mes dents pour mettre dans ma bouche de l’herbe sale. Une fois sur ma langue, je commençais à mâcher comme une vache, je me sentais mal, j’avais l’impression d’être plus bas que terre. Les gamins s’étaient approchés et riaient de voir une grande fille s’humilier d’une telle façon, deux des plus grands avaient sorti leur téléphone et me filmaient. Un des gamins obèses demanda :
« Je peux monter dessus aussi ?— D’accord. »
Leurs deux poids combinés commencèrent à me faire mal au dos, le gros porc riait à s’en décrocher la mâchoire. Je peinais à marcher, ce qui incitait le gamin à me frapper les fesses puisqu’il avait remarqué que j’obéissais plus vite de cette façon.
« Hue ! Hue ! »
Au bout d’une demi-heure, Paul finit par se lasser. Il descendit et je demandai :
« Tu me pardonnes pour avoir été trop sévère ? »
Faisant preuve d’un altruisme qui lui était peu commun, il répondit :
« Mmmm, d’accord, si tu continues à jouer au petit cheval pour tous ceux qui le veulent jusqu’au déjeuner. »
Je grimaçai : j’allais encore devoir rester dans cette position humiliante pour deux heures. Quelques larmes coulèrent sur mes joues, mais Paul s’en foutait, il était acclamé par les autres gosses heureux comme tout qu’on leur offre un nouveau jouet. Je cherchais tout de même à le dissuader :
« Paul, est-ce que tu ne pourrais pas...— Chut ! Les chevaux, ça ne parle pas : ça hennit ! Si tu parles, tu romps ta promesse et je te pardonne plus. »
Je servis donc de cheval pour tous les gosses qui le souhaitaient. Mais cela ne dura qu’une heure. Alors qu’une petite fille montait sur mon dos et prenait un grand plaisir à me tirer les cheveux, trois loubards en blouson de cuir s’étaient approchés. Me voyant dans cette position ridicule, ils questionnèrent ma cavalière :
« Hey, gamine, tu t’amuses bien ?— Oui c’est un bon ch’val, et elle a une jolie crinière.— Je vois ça et tu peux lui faire tout ce que tu veux on dirait.— Ouais, c’est trop coool ! — Prête-la-moi.— Elle est là que pour les enfants, dit la petite fille.— Et alors ? Je suis un grand enfant moi, ça se voit pas ? Maintenant dégage, la morveuse ! »
Le chef des loubards s’assit sur mon dos, manquant de m’aplatir de son poids. Ça le fit rire, puis il posa les pieds au sol et se releva suffisamment pour que je ne sois pas écrasée et que j’ai encore la possibilité de marcher.
« Allez, avance ! »
C’est lui qui me dirigea, tirant sur mes cheveux dans la direction qu’il souhaitait. Cette direction, c’était la lisière du bois. Lui et ses amis se marraient, leurs intentions étaient claires...
« Qu’est-ce que ça bouffe, une jument ?— De bonnes grosses saucisses ! On va lui faire goûter à de la viande humaine, je suis sûr qu’elle va aimer ça. »
Je ne pouvais pas me défiler : j’avais promis de faire le cheval toute la matinée, et si je ne respectais cet engagement, la ligne ne serait pas barrée. À peine fut-on hors de vue des enfants du parc que l’un des voyous se débraguetta.
« Très bien, salope, t’as pas intérêt à crier...— T’inquiète, je crois qu’elle est muette. — Mais non, elle ferait des signes dans ce cas... Moi je crois que c’est juste une grosse pute qui est ravie de recevoir ce qu’on lui donne. »
Et il enfourna sa queue dans ma bouche. Un autre dit :
« Moi je lui prends l’arrière-train. »
Je sentis ma culotte glisser. Ils virent alors mon cul, et plus particulièrement ce qu’il y avait marqué dessus : "SALE PUTE".
« C’est dingue, regardez ça !— Bah, ça explique des trucs, c’est une grosse perverse, elle prend son pied à servir de cheval aux enfants.— Pour moi, ça confirme qu’elle est muette, et que c’est elle qui a voulu qu’on lui inscrive ça sur le cul pour prévenir les gens qu’on peut la baiser comme on veut.— Quelle pute... j’ai jamais vu ça... et j’en ai baisé des salopes... dire que des morues pareilles se baladent en liberté... elle devrait être en asile. »
Ne pouvant rien dire, ils prirent leur hypothèse pour argent comptant.
« On devrait la saigner.— On va déjà la baiser ; on va lui apprendre ce que c’est que des bites d’hommes à cette salope. »
Ils enfoncèrent leurs queues dans chacun de mes trous, alternant fréquemment leur place. Il suffisait que l’un dise « Je veux tester son cul » pour qu’une bite m’en soit retirée et qu’une autre prenne sa place. Deux mains m’agrippaient les cheveux, me forçant à prendre un chibre jusqu’au fond de la gorge. Je n’avais que quelques secondes pour reprendre mon souffle avant qu’une nouvelle bite me soit enfoncée dans le gosier. Ils me baisaient la figure autant que ma chatte. Tout ce temps, je restais à quatre pattes, j’avais les jambes frigorifiées maintenant et j’avais du mal à tenir cette position alors que je me faisais enculer.
Je grimaçais quand, après m’avoir enculée, un des mecs présentait sa queue à ma bouche pour recevoir une fellation. Je devais sucer sa queue dégoutante pendant qu’un autre me fourrait par derrière. Je sentais qu’ils prenaient plaisir à m’humilier ainsi... "Heureusement" cette tournante prit fin assez vite. Les trois me jouirent dans la chatte à tour de rôle. Mais même après s’être servi de moi comme vide-couilles, ils n’étaient pas satisfaits.
« On ne peut pas laisser une perverse comme ça sans un petit souvenir de notre part. »
J’étais outrée qu’ils ne considérassent pas de m’avoir farci la chatte de longs jets de sperme comme un "souvenir" déjà suffisamment mémorable... Je pouvais sentir leur foutre s’écouler de ma chatte pour couler le long de mes jambes. J’eus soudain très peur quand le chef sortit un couteau. Il commença à déchirer mes vêtements. Il coupa ma culotte, mon soutien-gorge, et entailla mes vêtements jusqu’à ce qu’ils soient en lambeaux. Un autre écrivit sur ma peau, au niveau de mon ventre : « Aime les bites. » Je les entendis dire : « Écris "Dégoutante" sur son dos. » Et j’ai eu le droit aussi à suceuse de queues sur mes joues avec des flèches vers ma bouche.
Satisfaits de leur œuvre de dégradation, ils partirent. Je regardai l’heure : midi dix. La ligne « J’ai été une horrible baby-sitter » était finalement barrée. En servant de "cheval" à ces sales types, j’avais rempli l’objectif donné par Paul et obtenu son pardon.

Liste des tâches barrées :
– J’ai lu des histoires pornographiques.– J’ai été désagréable avec mes parents.– J’ai fraudé dans les transports en commun.– J’ai été une garce avec Jean, Rémi et Nicolas.– Je me suis moquée fréquemment et méchamment de Linda.– J’ai fait des blagues racistes.– J’ai été une horrible baby-sitter.

Liste des tâches à accomplir :
– J’ai donné des coups de pied à un chien.– J’ai été responsable de dégradation de propriété publique.– J’ai été insupportable en classe.
Diffuse en direct !
Regarder son live