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La liste de Noël

Chapitre 11

J'arrêterais de faire la crâneuse…

Trash
Résumé : Pour échapper au père Fouettard, Ophélie a accompli neuf tâches, chacune plus humiliante les unes que les autres. À cause de sa camarade Camille, la dixième tâche s’est terminée par une fessée collective assortie d’un bukkake assez honteux. Cela lui a-t-il permis de se dédouaner complètement  ? C’est ce que l’on saura dans quelques secondes lorsque minuit sonnera et que le père Fouettard délivrera son verdict…

Épilogue :
« Zéro ! BONNE ANNÉE !!!— Bonne année !!! »
Tout le monde criait, sauf moi. Moi, j’attendais l’apparition du père Fouettard. Anticipant, comme la semaine dernière, que le monde se fige. Mais pour l’instant rien n’altérait le temps. Les lycéens dansaient, jetaient des paillettes et des serpentins, soufflaient dans des sifflets de fête, se comportaient le plus normalement du monde… Qu’est-ce que ça voulait dire ? Que j’étais pardonnée ? Que je pouvais reprendre ma vie comme avant ?
« Ça va Ophélie, tu as l’air bizarre ? me demanda Camille.— Oui… je m’attendais juste à…— À voir apparaître le père Fouettard ?— Oui ! Mais comment... Comment tu sais ça ? — Tu n’as pas encore compris ? Regarde Guillaume… »
Je le regardais attentivement, plissai les yeux. Et j’eus une révélation subite, avec un peu de maquillage et un costume approprié, il ressemblait comme deux gouttes d’eau au croquemitaine que j’avais rencontré la semaine dernière. Mais c’était impossible, Guillaume ne pouvait pas être le père Fouettard, ce n’était qu’un lycéen tout à fait basique !
« Tu ne comprends toujours pas ? » Insista Camille.
Ça voulait dire… qu’il n’y ait jamais eu de père Fouettard…
« Mais… » commençai-je. « C’est impossible, le monde s’était figé et…— Si tu veux tout savoir lorsqu’on est entré dans ta chambre et que tu dormais, on t’a fait respirer du Polyesthènique. C’est un hallucinogène très efficace, tu délirais complètement quand on t’a réveillée.— Co... comment vous êtes entrés chez moi ? C’est impossible…
— Impossible ? Clairement pas, ça a juste demandé un peu d’organisation. On a fait un double de tes clefs il y a deux semaines et si tes parents nous choppaient à l’intérieur, on aurait prétendu vouloir te faire une surprise. En tout cas, on n’imaginait pas que tu tomberais dans le panneau aussi facilement !— Mais la liste…— Oh, elle est écrite sur un papier spécial, très épais. Les lignes sont barrées à l’encre invisible, et au bout de chaque ligne il y a une microcapsule. Avec une télécommande on peut relâcher un révélateur d’encre qui donne l’impression que la ligne se barre.— Mais, tu… pétasse ! Tu sais tout ce que j’ai vécu à cause de cette “blague” !?— Oh oui, je le sais… On a placé quelques micros sur tes vêtements, on est au courant de tout. On s’est beaucoup marré. D’ailleurs j’adore ton tatouage nazi et de reine de pique ! C’est tordant ! »
Heureusement que je me trouvais à genoux, car mes jambes s’étaient transformées en spaghetti trop cuit. Je commençais à avoir du mal à respirer. Entendre Camille se moquer de moi, se vanter de la façon dont j’avais été piégée était insoutenable :
« Alors… j’ai fait tout ça pour rien ?— Pour rien ? Pas du tout ! Tu as corrigé tes torts, et je crois que tu es devenu plus humble grâce à nous, pas vrai ?— Je, oui… mais…— Je crois que tu as appris quelques bonnes leçons de vie. Par exemple que tu devras accomplir chacun de tes engagements, même si certains s’annoncent très désagréables.— Quoi ? Mais pourquoi ? S’il n’y a pas de père Fouettard, c’est inutile ! J’ai rien à respecter !— Pff… Je m’attendais à mieux de ta part, après tout ce que tu as traversé, tu n’as toujours pas compris que c’était important de respecter ses promesses ? »
J’étais chamboulé. Tout ça n’avait été qu’un plan de Camille pour m’humilier ! Comment avais-je pu la sous-estimer à ce point ? Mais tout ça était fini, non ?
« Je… je suis libre, je peux faire comme je veux, et je n’ai pas à continuer à jouer à ce jeu stupide.— Allons, ne réagit pas bêtement, t’es sous le coup de l’émotion.— Sous le coup de l’émotion !? J’ai été humiliée, baisée comme une chienne, on s’est servi de moi, on m’a marquée au fer rouge, tatouée de saloperies, j’ai été baisée par des noirs et des nazis ! J’ai vécu le pire du pire.— Allons, arrête de mentir.— Comment ça ! Tout ce que je dis est vrai !— Je sais que c’est vrai, mais tu as aimé ça.— Quoi ?!— Ne joue pas à l’idiote… chaque jour tu te précipitais pour vivre une nouvelle aventure et tu attendais ça avec impatience. Tu adorais ne pas savoir ce qui allait t’arriver, à part que tu serais baisée comme une salope !— C’est n’importe quoi !— Te mens pas à toi-même. Il y a dix minutes, tu avais la chatte gluante de mouille alors que tu bouffais tout ce sperme dans cette gamelle.— Tu mens.— Vraiment ? Alors regarde… »
Elle pressa ma main dans mon intimité, et… elle avait raison, ma cyprine gouttait comme de la pisse.
« Qu’est-ce que…— Il y avait plein de façons de résoudre les tâches qu’on t’avait confiées. Et à chaque fois tu as choisi celles qu’il t’obligerait à être baisée et bafouée. C’est toi qui as inventé tous ces challenges pour te faire humilier.— Mais… J’avais pas le choix, c’était sur la liste !— Ah oui ? Tu aurais pu envoyer un simple SMS pour demander pardon, non ? Et pourtant tu es venue à la fête d’une fille qui te déteste, et lorsque j’ai commencé à exiger de toi que tu reçoives une fessée, tu n’as même pas songé à protester. Tu as mangé tout ce sperme sur une simple demande.— C’est toi qui m’as forcée à tout ça…— Non, tu as proposé des pipes et des parties de baise. Ensuite, j’ai suggéré que tu reçoives une fessée pour conclure ta proposition et tu t’es empressée d’obéir, mais rien ne t’y obligeait. T’avais juste envie de te comporter comme une salope. »
Une salope, moi ? Non, j’avais détesté chaque moment de cette semaine. J’en étais sûr… si je m’étais pervertie, c’était contrainte et forcée ! À moins que… ? Je n’en étais plus du tout sûr, je me souvenais que je me réveillais chaque matin avec une énergie folle. Une excitation qui m’accompagnait toute la journée lorsque je démarrais une nouvelle tâche. J’aurais aimé ça ? En tout cas, jamais je n’avais vécu aussi intensément et passionnément. Et quand je voyais Camille me narguer, j’avais envie de me soumettre à elle, même si c’était la pire des garces.
« Ouais, t’es une salope,  se moqua-t-elle. T’as peut-être cru que t’étais supérieur à nous, mais en vérité tout ce que tu veux c’est qu’on te donne des ordres. Avoir un maître ou une maîtresse. Et dorénavant, ce sera moi ta maîtresse, compris la vide-couille ?— Je… oui. »
Répondre servilement à Camille me fit rougir des joues. Mon cerveau n’arrivait pas à croire que je lui réponde comme une soumise, mais mon ventre papillonnait de joie.
« Réponds-moi comme une salope le ferait, où je te donne encore dix fessées !— Oui, maîtresse ! Je vous servirais, je serais votre pute si vous le souhaitez ! »
En disant ces mots, je me rendais compte que c’était la pure vérité. Une vérité que je m’étais cachée à moi-même. J’avais envie d’obéir, qu’on me dise quoi faire. Le père Fouettard m’avait servi de prétexte, et voir Camille me crier dessus comme si j’étais une esclave me donnait des frissons de plaisir. Camille se rapprocha de moi et dit :
« C’est mieux. Maintenant, tourne-toi et baise la tête sale chienne. »
J’obéis, attendant avec impatience ces prochains actes de maîtresse.
 « Un cadeau pour toi, de la part d’une végane… »  
Une pression puissante s’appliqua contre mon petit trou et quelques secondes plus tard, elle enfonça une grosse carotte dans mon fion en précisant :
« Même si t’as le cul sale, c’est pas grave, les légumes, ça a besoin de fertilisant. »
L’année dernière j’aurais été ulcérée de devoir servir de potager pour ma rivale. Mais maintenant, j’étais à deux doigts d’atteindre l’orgasme grâce au gros légume. Oui, c’est ça que je voulais, servir de salope, salement, pour ma maîtresse. Elle donna ensuite des consignes à mes camarades de classe qui me ravirent tout autant :
« Attachez "Vide-Couille" au sapin. Et si elle proteste, donnez-lui des gifles, y a que ça qu’elle comprenne. »
On me ligota au sapin et je récoltais de nombreuses gifles de la part de mes camarades, car je criais à cause des aiguilles qui me griffaient la peau. Puis Camille se chargea de me décorer : elle avait installé des clips sur des boules de Noël et les pinça sur mes tétons. C’était douloureux et humiliant, je n’étais plus un être humain, mais un simple jouet pour les autres. Un bonnet de Noël me couvrit la tête comme si j’étais une simple convive en train de faire la fête, et non une fille nue réduite à un quasi-esclavage.  
Ensuite, ils enfoncèrent des boules de Noël dans ma chatte, et j’avais l’interdiction de les laisser sortir. Je serrais autant que possible. Le pire était lorsque quelqu’un s’approchait pour m’admirer et me toucher, je devais rester là, inerte et silencieuse. Si je ne faisais que regarder la personne qui me touchait, j’avais droit à une gifle. Lorsqu’une des boules de Noël tomba, Camille se dirigea vers moi, et me cracha au visage. Elle fut rapidement imitée par le reste de la classe, et mon visage fut bientôt entièrement couvert d’énormes mollards.
La soirée me parut interminable, non seulement mon visage servait de crachoir, mais j’avais encore le goût des multiples rasades de foutre dans ma bouche. Et si je bougeais ou parlais, je recevais gifles ou crachats au choix… Ce ne fut que vers deux heures du matin que le dernier invité partit. Mais moi je restais bien plus longtemps. Camille me décrocha du sapin puis m’ordonna de tout ranger dans le salon comme si j’étais sa bonniche. Et je fus ravie de lui obéir, toujours nue et toujours avec les boules de Noël accrochées à mes seins et la carotte dans le cul.
Suivant les consignes de ma Maîtresse, je débarrassai la table, lavai les plats, me mis à quatre pattes pour nettoyer le parquet avec une éponge. Pendant ce temps, Camille sirotait du champagne, puis se mit à somnoler affalée dans son canapé. Quand j’eus fini de tout bien nettoyer, je me présentai devant elle à genoux et lui annonçai :
« Maîtresse, j’ai fini. »
Elle prit quelques secondes pour ouvrir les yeux« Q… Quoi ?— J’ai fini de nettoyer le salon maîtresse, répétai-je.— Bordel, t’es conne ou quoi ? Qu’est-ce qui te prend de me réveiller aussi brutalement ! Montre ton cul ! »
Je me retournais pour présenter mon cul nu devant elle, et comme je m’y attendais, je reçus une longue série de fessées. Je luttais très fort pour ne pas crier, car j’avais reçu tellement de claques sur les fesses depuis le début de la soirée que le plus petit souffle d’air était déjà douloureux. Heureusement, elle se lassa vite, et comme mon cul était facilement accessible, elle en profita pour retirer la carotte. Le légume coulissant contre mon étroit conduit m’échauffa les sens, avant de laisser une sensation de vide dans mon petit trou. Ayant extrait la carotte de mes entrailles, Camille me regarda une moue de mépris, puis ordonna :
«  Mange-la. »
C’est ce que je fis, c’était très mauvais, d’autant qu’elle n’était même pas épluché, mais malgré mes toussotements et mes grimaces de dégoût, Camille ne fit montre d’aucune pitié, et je dus la manger tout entière. Quand j’avalais le dernier morceau, elle me dit  :
« Dorénavant, toi aussi tu seras végane, les seuls morceaux de viande que tu as encore le droit de mettre dans ta bouche, ce sont de grosses queues bien bandantes, compris ?— Oui Maîtresse ! — Bon, je suis fatigué, alors rentre chez toi.— Je…. Maîtresse je suis nue, et vous avez coupé ma robe alors… euh…— Tu n’es pas nue, idiote, tu as un bonnet de Noël sur la tête. Et il est quatre du mat’, il n’y a personne dehors, alors me fait pas chier. »
Elle me ficha dehors avec juste mon téléphone et mes clefs. Comme il ne devait pas faire plus d’un ou deux degrés et je fus instantanément frigorifiée. Je rentrai en courant, ne croisant que deux personnes qui crurent halluciner en voyant une jeune femme à poil. Arrivée dans la chaleur du domicile, je me précipitai boire un verre d’eau pour que le goût du sperme quitte enfin mon palais.  J’aurais ensuite pu me coucher directement, mais je savais que je pourrais m’endormir tout de suite. J’étais trop excitée par l’humiliation que Camille m’avait fait vivre, et je n’avais pas encore joui. Dans la cuisine vide, je plaçais ma main dans ma foufoune et commençai à me caresser. Mon téléphone vibra, j’allumai et je pus voir que ma Maîtresse m’avait envoyé des photos de moi la face plongée dans une gamelle de sperme, j’avais l’air tellement honteuse et minable. J’imaginais le plaisir qu’avait dû ressentir Camille à me dégrader ainsi, et je sentis une chaleur m’envahir. Ma chatte se comprima sous mes doigts et l’extase m’envahit. Je montai dans ma chambre et m’endormis heureuse.
Le lendemain, je revenais chez ma Maîtresse. Elle m’ouvrit, ne me donna que très peu d’ordres. Je dus simplement lui lécher les pieds, à elle et aux trois amies qu’elle reçut dans la journée. Camille s’amusa à lire la liste des tâches que le « père Fouettard » m’avait donnée, et demanda à ce que je raconte de quelle manière humiliante j’avais accompli chacune d’elles. Elles riaient aux éclats chaque fois que je leur expliquais de quelle façon débile je me retrouvais baisée… Quand l’après-midi prit fin, j’avais perdu toute trace d’amour-propre et je me sentais la plus stupide des salopes.
Le mardi fut le retour des cours. Cela officialisa que j’étais devenue la copine de Grosse Merde, ou Nicolas comme je devais maintenant l’appeler. Cela amusa beaucoup nos camarades de classe que je sois la pétasse servile de ce crétin. Ce sale obèse m’embrassait en public, et lorsqu’il lui en prenait l’envie je devais l’accompagner aux toilettes pour qu’il puisse me sauter. Il prenait son pied toujours de la même façon, il me baissait en levrette alors que j’avais la tête au-dessus de la cuvette. C’est ainsi qu’il prenait sa revanche sur toutes les brimades que je lui avais infligées. Avec une joie sadique il choisissait la chiotte la plus sale et me pressait la tête dedans pour que mon visage touche presque l’eau et les bords bien dégueux, puis il déclarait  : « Alors c’est qui qui va sentir la merde maintenant. »
Rentrée à la maison, je passais mes soirées à lire des histoires érotiques et à les commenter. Je devins très populaire sur le site X-Histoires.com. D’autant qu’il fut vite connu que j’offrais des photos érotiques aux meilleurs auteurs. J’étais la plus grosse salope du site qui en hébergeait pourtant de sacrément cochonnes. Au bout d’un mois, l’administrateur finit par entendre parler de moi et pensant que j’étais une sorte de pute profitant gratuitement de son site pour gagner de la thune, il me bannit. Je lui en fus reconnaissante, car je me trouvais débarrassée de ce labeur.
Le jeudi suivant je reçus un appel de la police. Ils souhaitaient que je retourne au sex-shop servant de façade à un trafic de drogue. J’acceptais puisque j’en avais fait la promesse. Cette fois-ci on me fournit un appareil d’enregistrement beaucoup moins sensible à l’humidité et à la chaleur. Quand j’entrais dans le sex-shop, je fus immédiatement reconnu par le responsable des ventes : « C’est pas trop tôt, on allait envoyer un pisteur sur tes traces.— Désolée, je…— Je m’en fous de tes excuses, maintenant tu vas travailler quatre heures par jour, cinq jours par semaine.— D’accord.— Et comme t’as pris du retard, cette semaine tu vas travailler double.— Double ?— Oui, huit heures.— Mais j’ai des cours et…— Je m’en tape. D’ailleurs, assez parlé, tu descends, et tu ne recevras ta dose qu’après. Et seulement si tu t’es montrée docile.— Je… merci, monsieur. »
Je descendis dans le sous-sol du « Catlady », l’ambiance y était toujours aussi sordide, je voyais beaucoup de mecs, loin d’être des canons, plutôt des tocards. Je me dirigeais vers le vigile de la dernière fois. et il ordonna  : « Tu entres dans la salle quatre. Tu travailles huit heures, et dans quatre heures tu auras droit à une pause de dix minutes, compris ?— Oui. »
J’entrais dans la pièce qui avait la taille d’une cabine d’essayage. De multiples trous avaient été percés dans les murs, et déjà je pouvais voir deux bites attendant d’être satisfaites. Sans perdre de temps, je me mis à sucer. Une série d’idéogrammes étaient affichés sur la cloison d’en face, montrant quelle partie de mon corps je devais utiliser, ma bouche ou ma chatte. Le plus souvent c’était la bouche, je branlais alors la queue qui se présentait dans le trou jusqu’à ce qu’elle soit bien dure, puis j’ouvrais la bouche pour offrir une bonne grosse sucette. J’eus rapidement mal à la mâchoire, mais je préférais ça à l’icône chatte. Quand ce pictogramme s’illuminait, je collais mes fesses contre un trou un peu plus gros. Quelques secondes plus tard, un parfait inconnu dont je ne voyais même pas le visage me baisait. A mesure que les heures s’écoulaient, le sperme me dégueulassait de partout et je devins transpirante. Je ne pus boire qu’à la pause, au bout de quatre heures. Et ce fut un bonheur immense de pouvoir sentir de l’eau couler dans ma gorge et non du foutre. Puis je repartis pour quatre heures supplémentaires à côtoyer des queues de toutes les couleurs. Un enfer. J’essayais de me réconforter en pensant que je raconterais tout ça à Camille, que j’avais goûté de la queue comme la dernière des putes. Elle allait sans doute jouir en m’imaginant dans cette situation, et cela me rendait heureuse. Mais en attendant, c’était une corvée infernal. En sortant de la salle, je n’étais plus qu’une loque puant le sexe. Je pris la dose d’héroïne qu’on me donna, puis confiais la drogue et le micro à la police. Cette fois, l’enregistrement se montra fiable, ils allaient pouvoir embarquer tous ces salauds et je n’aurais plus à y retourner.
Les week-ends je me rendais à l’EHPAD pour effectuer mon bénévolat. Je rendais d’abord visite à mon grand-père qui avait fini par m’associer à Annette, son amoureuse secrète. Et comme un gosse, il attendait sa sucette. C’était dégradant, d’autant que toutes les infirmières étaient au courant de ce qui se passait dans sa chambre. Elles me prenaient pour une nympho, et étaient contentes de profiter de moi pour me refiler leur patient les plus insupportables. Je devais supporter les mains pleines d’arthrite qui me tâtaient les fesses et les seins. Je me retrouvais très souvent à genoux pour soulager des vieillards encore en capacité de sortir du jus. Sucer ces queues de grabataires était probablement ce que je trouvais le plus sale durant ces quelques mois avant le bac. Camille se moquait de moi, mais insistait pour que je poursuive, au cas où l’un des viocs crèverait, je serais peut-être sur le testament et ma Maîtresse exigerait alors que je lui donne ma part.
Je rencontrais aussi le contrôleur de la SNCF deux fois par semaine. C’était de petits coups rapides dans sa voiture qui lui permettaient de se libérer de sa frustration de sa journée. Baiser une jeune femme aussi souvent finit par lui redonner la joie de vivre. Il se trouva même une petite-amie et me rendit ma liberté.
Au cours du mois suivant, je reçus une visite assez sinistre : "La Tique" ce sale trafiquant de chien. Il me coinça alors que je rentrais du lycée et se montra très agressif :« Ophélie, tu peux m’expliquer comment tous les chiens ont été libérés.— C’est l’organisation L.521. Ils sont arrivés, et ont foutu le bordel.— Mais t’étais chargée de surveiller, et tu n’as pas été à la hauteur.— Je suis désolée. Mais vous me croyez au moins ?— Oui, heureusement pour toi, j’avais installé des caméras de vidéosurveillance sur le bâtiment et j’ai tout vu.— Oh…— Oui, j’ai vu tous ces chiens te baiser… Et je dois dire que c’est un mal pour un bien. En vendant des copies de ces cassettes, j’ai presque pu amortir la perte des chiens.— Vous avez vendu…—Qu’est-ce que tu crois, une jeune femme besognée par un troupeau de clebs, ça vaut un pesant de pognon. Mais mon boulot c’est les combats de dogues. C’est pour ça que je suis là, il y a un molosse qui est une vraie teigne. Avec lui, je suis sûr de gagner au moins dix combats.— Super.— Et son propriétaire est d’accord pour me le céder. Gratuitement.— Je suis contente pour vous.— Enfin gratuitement… Le propriétaire est un de ceux à qui j’ai vendu ta cassette. Et il me donnera le chien si tu lui fais une démonstration privée.— Vous… vous voulez que je baise avec ce sale type ?— Non, que tu baises le chien de ce sale type. »
J’avais du mal à croire qu’il est le culot de me proposer un truc aussi crade. Il croyait quoi ? Que j’étais zoophile. Cependant, je savais que si j’en parlais à Camille, elle voudrait que j’accepte, et parmi les choses que j’étais incapable de faire, c’était mécontenter Camille. C’est pourquoi je répondis :« J’accepte.— Vraiment ? Euh… tant mieux, alors ne traînons pas. »
Il me mena à sa voiture et verrouilla les portes une fois que je fus entrée. Il avait peur que je change d’avis, que je réalise que j’allais être baisé par un clébard et que je tente de me sauver. Mais je restais sage, et ne résistais pas quand il me conduisit jusqu’à l’appartement du pervers. Dès que la porte s’ouvrit, des aboiements menaçants éclatèrent, et quelques secondes plus tard je vis le chien : un Doberman massif ; un vrai monstre sur pattes.  
Il n’y avait pas que le chien d’inquiétant, le propriétaire n’avait rien d’amical. C’était un sexagénaire bedonnant qui me matait avec appétit. J’eus des frissons d’angoisse en me mettant nue dans son salon. "La Tique" m’intima de mettre à quatre pattes, puis il me versa sur moi une bouteille de phéromone de chienne en chaleur. Je pus voir la queue du molosse se mettre à grossir jusqu’à prendre la dimension d’une grosse matraque. Lorsque le propriétaire lâcha le chien, il se mit à me tourner autour pendant une bonne minute, me reniflant sous tous les angles. Après quelques hésitations, il finit par me trouver à son goût. Il posa ses pattes puissantes sur mon dos, et son gigantesque engin me pénétra vigoureusement. J’étais saillie par cette énorme bête, je n’en menais pas large, j’avais peur qu’il s’énerve et me morde. Je me montrais aussi docile que possible alors qu’il me limait. Le spectacle zoophile devait être incroyable pour les amateurs, c’était comme si ce chien était mon maître et qu’il me baisait à sa guise. Il continua à m’estoquer plusieurs minutes avant de relâcher sa dose de sperme canin. Quand il sortit son braquemart de mon antre poisseux, un bon quart de litre de semence devait remplir dans ma chatte. Le propriétaire s’était déplacé pour me filmer par-derrière. Il voulait absolument conserver en vidéo le foutre gluant de chien tombant en fontaine de ma fente d’humaine.
Quand il fut satisfait, je lui demandai poliment s’il pouvait envoyer une copie de l’enregistrement sur l’e-mail de Camille, j’étais sûr qu’elle allait adorer me voir servir de chienne et être saillie par un énorme doberman.

Lorsque vint le jour suivant, elle ne me félicita aucunement pour ma performance. Au contraire, elle m’engueula pour tout autre chose :
 « J’ai vu que tu baises avec des chiens, mais j’ai pas l’impression que t’aies niqué beaucoup de noirs ces derniers temps. C’est sacrément raciste de préférer les chiens aux noirs.— Maîtresse, je vous assure que des noirs me tronchent aussi. Rien qu’au “Catlady”, j’ai compté une dizaine de queues de couleur…— J’ai des doutes, et il y a un nouvel atelier de décolonisation d’ici deux semaines. Si tu n’as pas baisé vingt noirs et arabes d’ici là, t’y retourneras pour prendre des leçons… »
Cette consigne était un ordre. Mais je manquais de courage pour aller voir directement des noirs ou des arabes et leur demander de me baiser. Alors je traînais dans les quartiers périphériques de la ville et chaque fois que je rencontrais un noir, je descendais ma chaussette pour révéler le tatouage « Queen of Spade ». Hélas, la plupart ne me prêtaient pas suffisamment attention pour le remarquer, ou alors ils en ignoraient la signification : que j’étais une pute à black. Mais parfois lorsqu’un noir ou arabe le remarquait et en comprenait le sens. Il ne manquait alors pas de m’interroger, parfois poliment, mais le plus souvent assez directement :
« Hey ! t’as pas une baiseuse de black toi ?— Si, j’ai été en atelier décolonial où j’ai reçu de bonnes leçons. Servir les racisées de toutes les façons possibles est un devoir et une joie pour moi.— Ah, je ne pensais pas que ça marchait vraiment ce genre de trucs. Viens avec moi. »
Il m’emmenait dans une arrière-cour, une voiture ou l’endroit isolé le plus proche qu’ils pouvaient trouver et commençaient à me baiser. La plupart des noirs et des arabes ne baisent que peu de blanches, et pourtant ils adoraient me faire sentir que c’est moi qui avaient de la chance.  « T’aimes ça, ma grosse bite de black !— Oh oui ! Enfile-moi, donne-moi une bonne leçon de matraquage. J’aime tellement ton gros gourdin noir.— Je vais te juter dans ta petite chatte d’oie blanche, ça va te laisser un bon souvenir. »
Lorsqu’il avait fini de jouir en moi, je lui donnais l’e-mail de Camille et disais :
« Ouah ! c’était tellement bon. Tu veux bien me rendre un service ? Envoie un mail à cette adresse, c’est celle de Camille une membre de l’association antiraciste “N.A.T.E.”. Écris-lui qu’Ophélie a bien retenu les leçons et qu’elle n’est pas raciste, d’accord ? »
Le jour précédent l’atelier j’étais à genoux devant Camille à lui servir de repose-pied quand elle me dit : « J’ai fait les comptes et tu n’y es pas du tout.— Maîtresse, j’ai baisé au moins trente noirs, ces deux dernières semaines. J’ai vraiment fait de mon mieux.— Petite idiote raciste. J’ai dit vingt noir et arabe. Et tu n’as baisé au mieux que cinq beurs.— Mais… je pensais que c’était vingt racisés qui devaient me niquer, pas que…— C’est ça, tu fais pas la différence entre les arabes et les noirs… pff… Demain tu retournes à l’atelier, t’as besoin d’une bonne leçon ! »
Camille m’amena elle-même. Elle m’installa devant l’entrée de la salle, car cette fois je n’étais pas autorisé à participer en tant que membre. J’attendais dehors, en portant un t-shirt « I Fuck Nigger ! » qui fit un énorme effet. Je n’eus pas une seconde pour me reposer pendant tout l’atelier, je passais la journée à genoux à sucer ou à être prise en levrette par des racisés agacés qu’il y ait écrit « Nigger » sur mon t-shirt et qui tenait à me le faire savoir à coup de bite. Quand Camille vint me chercher, il y avait une petite flaque de sperme spongieuse à l’endroit où je me trouvais. Ce qui eut le malheur de la mettre en colère :« Comment tu oses ! cria-t-elle. Tu as tout ce sperme devant toi et tu ne fais rien. C’est parce que c’est du sperme de noir et d’arabe que tu ne l’as pas avalé ? Sale petite raciste ! Ça ne va pas se passer comme ça. »
Sous ses ordres je dus me mettre à genoux, et lapai tout le sperme qui avait coulé. Le lendemain, je restais à la maison car j’avais fait une indigestion.

Malgré tout, ce que je redoutais le plus n’était pas de participer aux ateliers décoloniaux, mais les visites conjugales mensuelles à la prison. Là, pour éviter que le père que Linda ne se fasse agresser, je me retrouvais gangbangée par une bonne partie de la confrérie aryenne. Et ces derniers ne voyant pas d’autres femmes que moi, j’étais baisée à couilles rabattues avec une intensité qui coupait le souffle. J’étais prise par les cheveux et fourrée sans interruption jusqu’à ce qu’ils éclatent de plaisir en déversant leur sperme en moi. Lorsque je ressortais de prison, je tenais à peine sur mes jambes, et j’avais la sensation d’avoir été écrabouillé et fracassé dans tous les sens.
Finalement, le quatre juillet, lorsque furent affichés les résultats du Bac, je fus la seule de la classe à ne pas l’avoir. Ce n’était pas surprenant, je n’avais pas eu une minute pour réviser. Ce fut aussi la journée la plus active de ma vie. Je me rendais de maison en maison pour honorer mon engagement, parfois je me contentais de sucer un de mes camarades, mais le plus souvent j’étais niquée sans ménagement, et je m’estimais heureuse quand je n’étais pas enculée. J’aurais vraiment aimé que l’administration se soit montrée plus sévère, car les mentions avaient été distribuées généreusement, au bout de la journée ma petite voie de déserte s’était transformé en autoroute. Le plus humiliant fut que cinq élèves eurent les félicitations, comme résultat j’eus le droit à ce tatouage juste au-dessus de ma chatte :
Théo Jean Ahmed Luc IdrissONT BAISÉ CETTE SALOPE 

Mais baiser les mecs de la classe se révéla n’être qu’une journée difficile. Les filles me firent passer un été infâme. Outre les lesbiennes que je dus brouter, je servais de bonne, de masseuse et de servante.  
Et puis j’avais un nouveau souci à l’horizon, mon ventre avait grossi, j’étais enceinte. Bien sûr, je n’avais aucune idée de l’identité du père, et je ne pouvais pas avorter, Camille me prévint qu’elle verrait ça comme un reniement de mes engagements, et que ça m’apprendrait à mieux me protéger à l’avenir.
Puis la fin de l’été arriva, et Camille partit poursuivre ses études à Paris pendant que moi je repassais une année au lycée. Une année ennuyeuse comme la mort. Aucune des filles dans ma classe n’était à la hauteur de Camille. Ce n’étaient que des brebis idiotes incapables de perversité. Je donnais naissance à un enfant métisse. Ça me rassura, au moins je n’avais pas été en cloque de Grosse Merde... Après le bac, je laissais mon bébé à mes parents et m’inscrivis dans la même fac que Camille à Paris. Mais j’appris dès le début de l’année qu’elle était partie à l’étranger dans un programme d’échange. Une déprime sévère s’ensuivit, la vie me parut d’une monotonie infernale, quand je voyais des étudiants s’embrasser dans les couloirs, je me disais que c’était ce que ma vie deviendrait sans doute : une romance à l’eau de rose d’une banalité confondante. J’allais me trouver un mari et ne connaîtrais plus jamais l’excitation que Camille m’avait procurée. Puis, un jour à la cantine, j’entendis une discussion animée :
« T’as pas pris de steak ?— Non ! Comment tu peux manger ça ? T’as jamais vu des vidéos sur les abattoirs ? Ceux qui bouffent de la viande ce sont soit c’est des ignorants, soit des gros cons. »
Cette fille végane en colère avait un aplomb phénoménal. D’ailleurs personne n’osait lui répondre… Sauf moi :
« C’est sûr que tu dois en avoir assez de la viande. Vu le boudin que tu vois chaque matin dans le miroir. »
Je vis son expression outrée. Nul doute qu’elle voudrait se venger… j’en frémis d’avance.
Fin.
J’espère que ce long récit vous a plu et que la fin a su vous surprendre un petit peu. N’hésitez pas à vous abonner et à cliquer sur "j’aime" pour m’encourager à écrire de nouvelles histoires !
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