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Live and let die

Chapitre 10

Les amis de mon amie

Travesti / Trans
La journée passa rapidement, seulement entrecoupée d’une pause sandwich. Mélody voulait absolument finir la pièce. Elle annonça qu’elle allait prendre une douche, mais n’invita pas Franck à la rejoindre. Lorsqu’il sortit de la salle de bains, Mélody était prête. Petite robe légère, sandales plates, maquillage léger. Et pas de soutien-gorge. Elle remarqua son regard gourmand.
— Un peu de patience mon chéri. Tu auras toute la nuit pour en profiter. Mais j’aime quand tu me regardes avec envie.
Franck rougit violemment.
Ils s’installèrent dans la voiture. Franck fixait Mélody.
— Oui ? demanda-t-elle. — J’ai envie de t’embrasser, dit Franck timidement. — Eh bien fais-le !
Franck se pencha et embrassa ses lèvres longuement.
— Tu devrais demander plus souvent, dit Mélody satisfaite. En fait, non, tu ne devrais même pas demander.
La traversée de Paris fut pénible en raison des embouteillages. Mélody avait une conduite sportive qui donnait des frissons à Franck. Elle se gara dans le parking proche de la fontaine St Michel qu’ils rejoignirent rapidement.
— Ah, te voilà enfin ! dit une des personnes du groupe qu’ils approchèrent. — Bouchons ! répliqua Mélody. — T’as qu’à habiter Paris, dit une autre. — Alors là, même pas en rêve !— C’est vrai. On ne quitte pas la maison de famille.
— Marrez-vous. Je sens que je vais vous voir souvent une fois qu’elle sera finie. Enfin bref ! Je vous présente Franck, mon copain. Franck, mes amis : Louis et Floriane, Alexandre et Mylène, Maxime et Chloé et enfin Grégoire et Emma.
Chacun accueillit chaleureusement le nouveau venu dans la bande. Mais dans le groupe, Floriane dénotait. Et pour cause : elle avait une jolie peau brun clair, donnée par un père antillais et une mère métropolitaine (Frank l’apprendrait plus tard) et il ne fallait pas avoir fait de grandes études pour deviner que la jeune femme était un homme. Certes très féminine autant dans ses traits que dans sa tenue. Mais un homme quand même, que marquait un peu plus l’absence de poitrine.
— Bon, on y va ? demanda Grégoire.— C’est parti ! répliqua Floriane.
Le groupe s’ébranla. Mélody prit la main de Franck. Toutes les femmes étaient en robe. Chaleur de fin juin oblige. Floriane était la seule à marcher avec des talons hauts et dominait le groupe d’une dizaine de centimètres.
Ils s’installèrent à la terrasse d’un restaurant grec. Les discussions allaient çà et là. Mais Franck était bombardé de questions auxquels il répondait sans détour, mais sans non plus tout raconter.
— Tu es trop mignon, déclara Floriane. Mélody, le jour où tu n’en veux plus tu me le dis.
Franck la regarda ahuri.
— Mais ça va pas non ? râla Louis en donnant un coup de poing sur l’épaule du travesti.— Non, non, lui je le garde ! dit Mélody en se serrant contre son chéri. — Tu as intérêt, reprit Chloé. Le précédent était un vrai connard. Je me demande encore comment tu as pu vivre avec lui.— Oui moi aussi, répliqua Mélody maussade. Enfin bref, c’est du passé. J’ai enfin trouvé ma perle rare.
Franck osa faire un bisou sur le front de Mélody qui frissonna de plaisir.
Le repas s’éternisa sans que personne ne voit passer le temps. La nuit était tombée depuis longtemps, la foule de promeneurs et de touristes était toujours aussi dense, les restaurants ne désemplissaient pas.
— On y va ? demanda Maxime.— Oui, oui, oui ! dit Floriane en tapant dans les mains.— On va où ? murmura Franck à Mélody.— Tu verras, c’est une surprise.
Franck et Mélody marchaient au milieu du groupe, juste derrière Louis qui tenait Floriane par la taille, avec parfois une caresse sur les fesses. Floriane marchait sans gêne malgré les dix ou douze centimètres de talons fins et les rues parfois pavées. Cela rappela à Franck les quelques jours passés en femme à Barcelone. Même s’il avait vécu cette expérience sous la contrainte, il reconnaissait que les vêtements féminins n’étaient pas si désagréables. Redevenir Anna ? Pourquoi pas, finalement. Mais seulement pour quelques heures. Mais il préféra garder ses conclusions pour lui.
Après un petit quart d’heure de marche digestive, le groupe arriva devant une grille monumentale. Maxime poussa la porte.
— Max est le rejeton d’une famille ... riche, murmura Mélody. On est chez lui. — Mais il fait quoi comme job ? — Comme son père. Etudes à HEC, manager dans une grande boîte, salaire à six chiffres ...— Je vois ... dit Franck ébahi.
S’il lui était parfois arrivé de passer boulevard St-Germain, jamais il n’aurait imaginé en franchir les portes vers ces monstres de luxe qu’étaient ces hôtels particuliers. Ils entrèrent dans le vaste hall puis montèrent au premier étage où se trouvaient une cuisine aussi grande que son appartement, équipée de meubles laqués, et un salon immense. Les couples s’installèrent dans les canapés tandis que Maxime et Chloé amenaient du Champagne.
— Mél, tu as expliqué à ton chéri ce qui va se passer ? — Non. Surprise totale. — Ah ça pour être une surprise, ça va être une surprise.
Franck commença à s’inquiéter. Dans quel traquenard était-il tombé ?
Ils trinquèrent et une fois les verres vidés, les cinq couples s’égayèrent pour se reformer d’une façon très bizarre : les garçons avec les garçons et les filles avec les filles. Mélody se rapprocha de Mylène, tandis que Floriane qui se considérait comme une femme, s’acoquina avec Emma. Louis s’installa près de Franck. Puis, répondant à un appel silencieux, chacun embrassa son partenaire.
— Ce que Mélody ne t’a pas dit, murmura Louis, c’est qu’en plus d’être de très bons amis, on est aussi très, très intimes entre nous. Nos sorties restau se terminent en général en partouze, où chacun va baiser avec qui il veut, garçon ou fille.
Et effectivement, tout le monde s’embrassait à pleine bouche. Les mains s’égaraient sous les vêtements. Mélody n’était pas en reste et embrassait très tendrement sa partenaire. Un peu trop tendrement selon Franck qui sentait son ventre se nouer.
— Ne t’inquiète pas, continua Louis. Ta chérie est toujours comme ça avec ses partenaires. Elle les considère comme s’ils étaient ses petits amis ou petites amies. Mais rassure-toi, elle n’aime que toi. Tu as déjà eu des relations avec des garçons ?— Non, répondit Franck détachant difficilement son regard de Mélody.
Il ressentait de la jalousie tout en étant excité de voir deux femmes s’embrasser, chose qu’il n’avait vue que sur des sites pornos.
— Tu sais, tu n’es pas obligé de tout faire. Des bisous, des caresses et un début de fellation seront déjà très bien. Tu veux bien essayer ?
Franck voulait répondre non. Mais il sentait bien qu’une telle réponse marquerait la fin de la relation avec Mélody. Elle faisait partie de ce groupe atypique, pour qui amitié rimait avec intimité. Et s’il voulait garder Mélody, car il se rendit compte qu’il tenait à elle bien plus qu’il ne le croyait, il devait adopter les us et coutumes de cette petite communauté.
— Je veux bien essayer, dit Franck. Mais ... — Oublie-les, mais oublie tes préjugés et tes idées reçues. Laisse-toi aller simplement. On s’embrasse ?
Franck ne répondit pas. Louis s’avança et posa ses lèvres sur celle du jeune homme qui ferma les yeux. De l’autre côté, Mélody sourit de satisfaction en voyant son chéri céder aux avances de son ami. Elle abandonna la bouche de Mylène pour se glisser entre ses cuisses. Elle retira le string et plongea son visage vers le sexe de son amie.
Sur un canapé voisin, Maxime et Grégoire délaissèrent leur bouche pour passer à des caresses plus poussées. Grégoire déboutonna la chemise de son ami.
— Tu t’es fait épiler depuis la dernière fois ? s’étonna Grégoire.— Je voulais voir l’effet que ça faisait. — Et tu aimes ? — Oui beaucoup. Chloé aussi d’ailleurs. — J’aime bien aussi, dit Grégoire en titillant les tétons. — Embrasse-moi encore, souffla Maxime.
Grégoire ne se fit pas prier. Il lui mangea la bouche tout en glissant sa main dans le pantalon. Soudain, il s’arrêta, ouvrit la braguette.
— Toi aussi ! s’exclama Grégoire en découvrant une culotte en dentelle noire. C’est Floriane qui t’a donné des envies ?
Presque tout le monde s’arrêta et se tourna vers les deux hommes.
— J’avoue que oui, dit Maxime. Moi aussi j’ai eu envie de mettre des jupes et des talons hauts.— Quand il m’a annoncé ça, je n’étais pas très chaude, dit Chloé. Mais après tout, je n’avais aucune raison de le lui interdire. Et finalement, ça donne un peu plus de piment à notre couple. Chéri, tu vas te changer ? — Oui mon cœur, dit Maxime en se levant.
Il embrassa Grégoire.
— Je reviens vite.
Grégoire, désormais seul, rejoignit Mélody et Mylène.
Franck reprit les baisers avec Louis qui le caressait. Franck s’enhardit et lui rendit la pareille. Louis alla plus loin en posant sa main sur la braguette. Franck se raidit, pur réflexe, avant de se laisser faire. Adroitement, Louis déboutonna le jean et sortit le membre tendu.
— Hummm, joli, complimenta Louis. Mélody doit être aux anges. — Il semblerait, dit Franck. Et moi aussi. — Je me doute.
Franck jeta un coup d’œil à son amie qui était toujours entre les cuisses de Mylène tout en subissant les doux assauts de Grégoire. La pointe de jalousie avait presque disparu. Louis masturbait doucement Franck qui appréciait cette caresse, même venant d’un homme.
— Tu me fais la même chose ? demanda Louis.
Franck ne pouvait pas dire non. C’était trop tard maintenant pour ça. Louis l’aida à se débarrasser de ses vêtements. Franck timidement prit le sexe à moitié bandé dans sa main, comme s’il allait le brûler. Louis ne disait rien pour ne pas brusquer et braquer le novice.
— Branle-moi comme si tu te branlais toi-même.
Franck suivit les consignes.
— Tu t’en sors très bien, complimenta Louis. Embrasse-moi.
Même dit avec douceur, cela restait un ordre et Franck obéit.
— Tu veux bien me sucer ? demanda Louis cette fois. Juste essayer un peu. Goûter, découvrir de nouvelles sensations. Après je m’occupe de toi.
Surmontant ses appréhensions et son amour-propre, Franck se pencha et embrassa le sexe décalotté. Il essaya de reproduire ce qu’il voyait dans les vidéos pornos qu’il matait encore.
Un claquement de talons le fit redresser. Maxime faisait son entrée en femme. S’il n’avait pas encore le niveau de féminité de Floriane, il s’en approchait beaucoup. Grégoire abandonna Mélody et rejoignit son amant du soir.
— Tu es superbe en femme. — Merci.— Assez parlé, trancha Grégoire. Montre-moi que tu es une femme à part entière.
Floriane profita de cet intermède pour se rapprocher de Louis et Franck.
— Vous me faites une place ? demanda-t-elle.
Franck se releva et Floriane en profita pour l’embrasser.
— Enfin ! dit-elle. Depuis tout à l’heure, j’ai envie de ça.
Louis se leva et alla rejoindre un autre membre du groupe. Le travesti et Franck s’embrassèrent encore un peu. Franck trouvait Floriane vraiment féminine, même si certains détails trahissaient encore sa vraie nature. Elle avait des yeux magnifiques que le maquillage rendait encore plus beaux. Floriane se mit à genoux et se jeta sur la queue tendue.
— Baise-moi, dit-elle en se relevant.
Entre temps, Mélody avait changé de partenaires et s’occupait d’Emma tandis que Chloé la baisait avec un gode-ceinture.
Floriane déroula un préservatif sur le sexe et se mit en levrette. Franck hésita. Cette soirée était totalement délirante. Délicatement, il poussa sa queue dans le trou et, à sa grande surprise, entra tout seul. Floriane feula de bonheur. Il la besogna un moment jusqu’à ce que Floriane mette fin à la partie.
— Gardes-en pour les autres, dit-elle en l’embrassant tendrement. La soirée n’est pas finie. — Merci, répondit Franck, ne sachant pas quoi dire d’autres.— Tu n’as jamais essayé de t’habiller en fille, demanda Floriane à brûle-pourpoint.— Euh non, jamais, mentit Franck.— Dommage. Tu serais super canon. Remarque, c’est aussi bien, car je serai verte de jalousie. Allez, amuse-toi bien.
Franck suivit son conseil et s’ouvrit un peu plus. Il osa faire l’amour à d’autres femmes qui l’accueillirent sans gêne, comme s’il avait toujours fait partie du groupe. A un moment, il se retrouva avec Mylène et face à lui, Grégoire et Chloé. Et pendant que les deux femmes se roulaient des pelles tout en subissant les coups de queues de leurs amants, Grégoire demanda un baiser de Franck qu’il lui donna naturellement.
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