Alors que je me détends tranquillement avec un bon livre, en étant entièrement nue sur la mezzanine, j’entends sonner à la porte d’entrée. Je ne prends pas la peine de me couvrir, et je descends ouvrir à mon visiteur. Lorsque j’ouvre la porte, j’y découvre un jeune livreur qui me salue, en tenant un colis. En premier lieu, il ne remarque pas que je suis nue, car il regarde quelque chose sur son bloc-notes. Mais ensuite, lorsqu’il lève les yeux vers moi, il sursaute à la vue de mon corps dévêtu. Comme pour la plupart des hommes, son regard se fixe sur mon opulente poitrine. Ça me fait sourire, et je l’invite à entrer. Une fois à l’intérieur, je referme la porte derrière lui, puis je collecte mon colis. Je vais le déposer sur la table de la salle à manger, et je sens les yeux du livreur qui ne quittent plus mon déhanché. Il faut dire que je fais en sorte d’être captivante. En revenant ensuite vers lui, je lui demande s’il a autre chose pour moi. N’arrivant pas vraiment à aligner ses mots, je regarde mon corps, et je lui demande si c’est ça qui le perturbe. Naturellement, il me le confirme, ne perdant pas non plus, l’occasion de m’en féliciter. En me rapprochant toujours plus de lui, jusqu’à n’être qu’à quelques centimètres, je lui demande si je peux faire quelque chose pour lui. D’habitude, je suis du genre à être soumise, mais j’aime parfois déstabiliser les jeunes hommes avec mes charmes. Celui-ci, se trouvant plus avenant que je ne le pensais au premier coup d’œil, pose ses mains sur mes cuisses, avant de les faire glisser jusqu’à mon derrière. Ses mains parcourent sans hésitation les courbes de mes fesses. Pendant qu’il les caresse, je déboucle sa ceinture avant de détacher son pantalon. Je sens toujours ses yeux sur moi, mais je n’établis pas d’échange de regards. Mes yeux sont tournés vers mon centre d’intérêt, son entrejambe. Je glisse mes doigts sous son pantalon, accrochant son caleçon au passage, puis je m’agenouille d’un coup, baissant au passage toutes ses couches de tissu inutiles. Mes yeux apprécient la vue de son sexe, d’une bonne taille, sans être hors normes non plus, et ma bouche sourit, en imaginant ce qu’elle va faire d’ici quelques secondes. Mes lèvres se posent tout d’abord sur son gland, que j’embrasse sensuellement, avant de prendre une bonne partie de son manche en bouche. Je le suce sensuellement, et avec envie, comme se doit de le faire une femme désireuse de satisfaire son homme. A mesure que son excitation grimpe, il passe ses mains dans mes cheveux pour les caresser. Je ne joue pas la gourmande en accélérant, je préfère rester sensuelle, pour déguster son membre en toute tranquillité. Toutefois, pour lui montrer toute l’étendue de mon savoir-faire, j’enfonce entièrement son sexe dans ma gorge, sans le moindre mal. A ce moment-là, je lève les yeux pour voir sa réaction. C’est toujours très drôle de voir la réaction d’un homme, qui ne s’attendait pas à ce que sa partenaire engouffre son sexe en entier, et le tout sans difficulté. Après quelques minutes de fellation, je sens qu’il commence à être en bout de course. Il agrippe maintenant mes cheveux, pour commencer à baiser ma bouche selon son propre rythme, beaucoup plus soutenu. Je décide de le laisser faire, nous ne nous reverrons peut-être pas, alors autant lui laisser ce beau souvenir. Je profite même de l’action, pour agrémenter ma fellation d’un massage testiculaire. On y est, il va bientôt jouir. Je sors donc son sexe de ma bouche, puis je le masturbe à toute vitesse au-dessus de mon visage. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, le livreur m’arrose le visage, et la poitrine, de son sperme chaud. Alors qu’il tire sa dernière goutte, ma bouche vient lentement faire un aller-retour sur son sexe, afin de le vider, et de le nettoyer proprement, et dans les règles de l’art. Sans prendre la peine de ranger son bazar, je me relève et, tout en le remerciant une nouvelle fois pour le colis, je le pousse vers la porte. Il sort à moitié nu, le caleçon mal remis, et le pantalon ne tenant que par ses mains, en me remerciant pour l’attention. Je referme la porte, et je me mets à rire à gorge déployée, tout en me dirigeant vers la salle de bain pour me nettoyer. Ouvrant la porte de la salle de bain, je marque un temps d’arrêt, avant de refermer la porte, sans avoir pénétré dans la pièce. Je me redirige plutôt vers la mezzanine, en me disant que je vais garder ce beau maquillage blanc encore un peu plus longtemps.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
