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Logement provisoire : Magali

Chapitre 3

Hétéro
Samedi 21 avrilQuelques jours auparavant, Magali vous avait dit que Camille, sa fille, avait un match de basket et vous avez envie de voir sa réaction lors d’une rencontre en public. Elle ne vous avait pas dit si son mari serait présent ou non.
Lorsque vous arrivez dans la salle, les équipes sont toujours à l’échauffement. Vous apercevez Magali dans les tribunes composées de hautes marches. Vous montez. Elle porte une jupe longue noire et un top à bretelles rouge :
— Salut !
Elle lève la tête vers vous et son visage marque la surprise.
— Oh, salut Florent ! Tu vas bien ?
Vous vous faites la bise.
— Oui, ça va bien, merci. Et toi ? Tu es toute seule ?— Jipé doit arriver.— J’aime beaucoup ta tenue.— Merci.— Dommage que tu aies mis un soutien-gorge. — Sans, ça bâillait trop.— Justement. Montre-les-moi.— Tu es fou, pas ici !— Mag, je veux voir tes seins !
Elle regarde à droite et à gauche puis elle tire sur son décolleté, discrètement.
— Voilà ce que je vais faire. Je vais aller m’installer quelques rangs au-dessus. Je t’enverrai des instructions par messages. Tu exécuteras sans faute. C’est ta punition pour avoir eu le cul sale hier.
Magali baisse les yeux.
— Je m’excuse encore, ne m’en veux pas. — Obéis à la lettre à mes instructions et tu seras pardonnée.— OK.
Vous vous levez et montez quatre rangs derrière elle. Quelques parents prennent place ici et là. La plupart s’installent plus bas dans la tribune, devant Magali. Entre elle et vous, il n’y a guère qu’un adolescent sur votre droite et vous supposez qu’il s’agit de grand frère d’une des joueuses. Sur votre téléphone, vous tapotez :
— 1. un selfie de ton décolleté. Je veux voir tes tétons. Applique-toi, car ce soir, je veux me branler en imaginant jouir dessus.
Vous observez Magali qui doit s’y reprendre à plusieurs reprises avant de vous envoyer la photo. Celle-ci est très réussie. Et à en juger par la taille de bouts de Magali, ce premier ordre l’a bien excitée. Vous décidez de relancer immédiatement :
— 2. tu rouleras une pelle à ton mari, au moins 10 sec, compte lentement. Je veux voir ta langue.
Jean-Pierre arrive quelques minutes plus tard alors que le match débute. Magali se lève et embrasse Jipé tel que vous le lui avez demandé. Un pelle magnifique et suffisamment obscène pour que vous voyiez leurs langues s’entremêler. Il a l’air aussi surpris que ravi. Ils s’assoient et vous laissez passer quelques minutes.
— 3. murmure à l’oreille de ton mari que tu as très très envie de le sucer.
Magali se penche, lui mordille même l’oreille. L’autre semble halluciner. Il la regarde avec des yeux ronds, un sourire béat. Magali lui fait un clin d’œil et l’embrasse. Vous enchaînez :
— 4. comme tu es assise maintenant, je veux une photo sous ta jupe.
Vous vous amusez à observer les stratagèmes utilisés par Magali pour réussir sa photo. Elle semble faire 3-4 essais avant d’être satisfaite. Le résultat est au-delà de vos espérances. Vous imaginiez que le jeu plaisait à Magali, mais vous étiez loin d’envisager une tache de mouille aussi importante. Son string est trempé.
La mi-temps approche. Vous regardez les secondes s’égrainer. Juste avant la sirène, vous envoyez :
— 5. Mission mi-temps : une photo du sperme de ton mari sur ton corps, où tu veux ; un film où tu t’enfonces entièrement index et majeur dans le cul.
Sans se tourner, Magali pose son index sur sa tempe. Non, vous n’êtes pas fou. Vous ne relevez même pas. Vous quittez votre place et allez prendre un café à la petite buvette qui se trouve à l’entrée de la salle. Vous regardez vers Magali et Jipé : ils ne sont plus à leur place.
Cinq minutes plus tard, Jipé arrive, le sourire niais de celui qui vient de se faire pomper.
— Hé, Jipé ! Tu vas bien ?— Salut, Florent ! Que fais-tu par là ?— Dans l’équipe adverse joue la fille d’un de mes collègues. Mais ce con n’a pas pu venir. — Ah, dommage... Tu es resté quand même ? Je ne t’ai pas vu.— J’étais là, vers l’entrée, mais je suis arrivé alors que ça avait déjà commencé. J’allais d’ailleurs partir.— Oh, attends un instant ! Magali ne devrait pas tarder. Ça lui fera certainement plaisir de te voir.— Où est-elle ?— Une envie pressante.
Au même moment, vous apercevez Magali qui arrive, tout sourire. En vous faisant la bise, elle attrape votre main et glisse quelque chose dedans. Vous le fourrez dans votre poche. Vous discutez encore un peu et vous remarquez alors que Magali n’a plus de soutien-gorge. La sirène retentit. Ils vous saluent et se dépêchent de reprendre leur place. Vous attendez que Jipé soit captivé par le match pour reprendre la vôtre.
Le string rouge minuscule de Magali empeste délicieusement. Vous le glissez dans votre bouche et sucez le nectar. Un délice. Vous regardez ensuite les envois de Magali. La photo est un selfie. Dans une cabine de toilettes, Magali a du foutre plein le menton et autour de la bouche. Une goutte sur le nez. Son sourire en dit long sur le plaisir qu’elle a pris à faire jouir son mari ainsi. Vous enregistrez.
Vous passez au film. Plusieurs dizaines de mégas. Vous mettez les écouteurs. Magali a visiblement posé son téléphone sur le distributeur de papiers-toilette. Adossée au mur des toilettes, Magali commence par se peloter en exhibant sa poitrine avant de se caresser l’entrejambe qu’elle vient placer en gros plan devant la caméra. Deux minutes de film se sont écoulées avant qu’elle ne se tourne et écarte largement ses fesses : son anus est magnifique. Elle glisse une phalange de son majeur qu’elle imbibe fréquemment de salive en le mettant dans sa bouche. Anus, bouche, anus bouche. Sublime. Une minute plus tard, son majeur disparaît dans son cul. Elle le suce ensuite entièrement, un sourire provocateur et victorieux aux lèvres. Il ne lui faut que quelques dizaines de secondes pour s’enfoncer index et majeur. Quelques allers-retours non demandés, mais très appréciés. Et que dire du plan final sur sa rose bien ouverte ? Magnifique. Vous regardez le film une seconde fois.
Vous bandez comme un âne.Le match va se terminer. Une dernière envie vous traverse la tête.
— 6. derrière toi, sur ta droite, un jeune homme. Tu as dit que ton décolleté bâillait. Il a certainement envie d’en profiter. Laisse-lui le temps de mater.
Fin du match. Magali et Jipé se lèvent, applaudissent. Le jeune homme fait de même, assis. Alors Magali se tourne vers lui et se penche sur son sac à main. Même de votre place, vous apercevez ses seins. A deux mètres d’elle, il va s’en dire qu’il voit tout. Il est d’ailleurs scotché. Magali reste plus de dix secondes ainsi. Une éternité pour un voyeur. En se redressant, elle vous fait un clin d’œil.
Vous vous éclipsez rapidement, sans que Jipé ne s’en aperçoive. En chemin, vous écrivez :
— Je rentre. Passe chez moi 5 min.
Magali toque doucement à votre porte trois quarts d’heure plus tard. Elle entre. Vous l’embrassez à pleine bouche et la doigtez. Elle est à nouveau trempée :
— Tu commences à être une grosse pute bien obéissante et bien élevée. Tu m’as fait bander, t’as été une sacrée salope...
Vos mots crus et avilissants semblent enflammer la voisine.
— Je... je suis pardonnée ?— Je crois, oui. Tu as même droit à une récompense. Tourne-toi.
Vous vous agenouillez derrière elle et embrassez ses fesses. De petits baisers qui se dirigent ensuite vers sa raie. Vous écartez largement les globes et descendez votre bouche jusqu’à son petit trou où votre langue entre en action. "Oh, mon Dieu...". Vous lapez, titillez, effleurez, caressez son anus de votre langue. Magali en appelle plusieurs fois au divin.
Elle gémit plus bruyamment quand votre organe buccal se fraye un passage dans son orifice qui s’ouvre plutôt facilement. Vous vous levez et replacez votre langue par deux doigts. Magali est en fusion :
— Baise-moi ! Baise-moi, Florent, je n’en peux plus !
En un instant, vous avez sorti votre bite. Vous la posez contre l’anus de Magali.
— Je vais t’enculer, Mag...— Baise-moi comme tu veux ! Mais baise-moi !
Votre esprit est bien plus malsain que vous ne l’imaginez. Vous reculez d’un pas et refermez votre pantalon.
— Non.— Mais pourquoooooi ?!?— Je t’ai pardonné, mais je n’ai pas oublié. Aujourd’hui, tu as été parfaite, plus que parfaite même. Tu as été au-delà de ce que j’attendais.
Magali se calme d’un coup.
— Tu... Tu as vraiment aimé ?— Oui. Tu as relevé tous les défis avec brio.— Tu as envie de moi ?— Terriblement. Mais je ne coucherai pas avec toi.
Elle vous enlace.
— Tu me rends folle. Je ne peux plus me contrôler et j’adore ça.
Un baiser.
— Promets-moi juste que tu me lécheras à nouveau comme tu viens de le faire.— Chaque fois que tout sera parfait comme aujourd’hui.
Magali jette le regard par le judas puis ouvre la porte. Un clin d’œil et elle s’en va.
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