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Logement provisoire : Magali

Chapitre 11

Hétéro
Dimanche 10 juinVous aviez réglé votre réveil à 8h30, mais une dizaine de minutes avant la sonnerie, vous êtes réveillé par Magali. Ou plus exactement par la bouche de Magali qui suce votre bite avec un entrain magnifique. Votre gourdin du matin est si dur qu’il en est presque douloureux. Magali s’active et vous adorez ça.
— C’est tellement bon d’être réveillé ainsi !
Magali continue encore quelques instants avant de se redresser et de vous embrasser. Elle rit :
— Je ne pouvais pas laisser passer une telle occasion. Elle est plus grosse que jamais.
Sans attendre, elle vient à califourchon sur vous et dirige votre sexe dans le sien. Elle s’empale sur toute la longueur de votre bite.
— Oh mon Dieu...
Elle redresse le buste et sautille sur votre braquemart matinal avec vivacité.
— Que c’est bon... Encore... Oh oui...
Elle jouit très rapidement avant de poursuivre. Vous faites en sorte de vous retenir et lui indiquez qu’elle peut arrêter. Elle rit :
— Si j’avais su cela quand tu vivais dans l’immeuble, je serais venue te réveiller tous les matins !
Vous riez également. Vous lui dites ensuite :
— Il ne faut pas que nous tardions.— Comment cela ?
— On va vite prendre le petit-déjeuner. Ensuite, tu descendras au sous-sol et tu passeras ta robe de mariée. Tu mets tout, tu te coiffes, tu te maquilles. — Et ensuite ?— Lorsque je t’appellerai, tu montras. Mais pas avant.— Je ne peux pas en savoir plus ?— Non, c’est une surprise.
Vous roulez dans le lit en faisant semblant de vous battre. Immobilisée, Magali vous demande :
— On va baiser ?— Oui.— Alors ça me va.
Vous descendez et prenez un café avec des croissants que vous mettez à chauffer quelques instants. Puis Magali descend au sous-sol se préparer. De votre côté, vous faites de même à l’étage. Costume, chemise, cravate, chaussures. Rasé de près, parfumé, coiffé, vous attendez au salon. A 10h, ils arrivent.
Il ne leur faut qu’un quart d’heure pour tout préparer. Il ne manque que la mariée. Vous appelez Magali. Elle est surprise de voir une autre femme dans la maison. Elle lui tend la main :
— Bonjour...— Bonjour Magali, je suis Ulrika. Florent m’a dit qu’il s’agissait d’une surprise alors je vais vous expliquer la raison de ma présence ici. Je suis réalisatrice. En haut, dans la chambre, il y a un autre cadreur et un preneur de son. Je vous donne ceci. Il s’agit d’un petit scénario imaginé par Florent. Votre nuit de noces.
Le visage de Magali, jusqu’alors impassible, s’éclaire d’un grand sourire. Elle vous regarde. Vous lui dites :
— J’ai pensé que ça pourrait être une bonne idée.— C’est... c’est incroyable !
Sans attendre, Ulrika l’entraîne dans le hall d’entrée :
— Voilà. Nous allons tout d’abord tourner dehors, la sortie de la voiture. A la porte, Florent vous portera. Ici, dans le hall, au pied des escaliers, nous avons prévu un première scène de fellation. Vous vous agenouillerez devant Florent. Ensuite, vous monterez les escaliers où Florent soulèvera votre robe. Nous ferons des plans sur vos fesses. Florent vous retirera votre culotte ou string. Nous verrons la suite dans la chambre plus tard.
Tandis qu’Ulrika donne ses consignes, Magali vous dit :
— Tu es complètement fou. — Je ne connais personne d’autre que toi avec qui faire cette folie.
Soudain pensive, elle vous demande :
— Et si j’aimais ça ?— Nous reverrions Ulrika. Et envisagerions de faire un film. — Tu le ferais avec moi ?— J’adorerais.
Vous vous embrassez. Ulrika en a terminé et vous invite à vous asseoir dans la voiture.
Vous devez refaire la prise à quatre reprises, mais le résultat est satisfaisant. Ensuite, à l’intérieur, c’est plus simple. Ulrika donne plusieurs conseils à Magali comme à vous. La scène est filmé par trois caméras, notamment une que vous portez autour du front. Ulrika n’intervient même pas. Une seule prise.
— Magali, tu as été parfaite !
Vous partenaire rougit. Vous lui dites :
— J’ai adoré.
La scène de l’escalier est plus délicate, mais vous vous en sortez bien. Ulrika fait quelques rushes supplémentaires, notamment sur le visage de Magali alors que vous lui dévorez le cul.
Dans la chambre, Ulrika donne de nouvelles directives.
— Vous entrez main dans la main et vous vous embrassez là. Ensuite, Magali, tu le suces à nouveau, mais quelques instants. Vous passez sur le lit. Magali, tu suces encore Florent. Florent, tu remontes la robe de Magali pour que nous puissions faire un plan de ses fesses. Puis tu l’attires sur toi pour un 69. Tu la fais jouir. On verra la suite après.
Magali lui dit alors :
— Je ne sais pas ce que tu en penses, Florent, mais je préférerai avoir tout le déroulement du rapport maintenant pour ne pas être interrompus.
Ulrika la regarde avec un grand sourire et répond :
— OK, on va faire comme ça. Juste une chose : vous vous déplacez lentement et vous suivez bien mes directives. Je comprends que vous préfériez le faire ainsi. Mais suiviez bien ce que je dis. Plus vous réagissez rapidement, moins j’interviens.— C’est très bien pour nous aussi.
Ulrika regarde son papier.
— Après le 69, Florent va te faire un cunnilingus. Tu seras couchée sur le dos et lui entre tes jambes. Tu jouis encore. Il te retire ensuite ta robe. Il te prendra alors en missionnaire puis il relèvera tes jambes pour être très profond en toi. — Je risque de jouir aussi à ce moment-là !
Ulrika rit.
— Parfait, Magali, parfait !— Après, tu viendras sur lui un moment avant que nous ne passions à la partie anale. On va commencer au bord du lit, toi sur le dos et Florent debout. Puis une levrette anale et enfin, l’éjaculation sur ton visage et dans ta bouche. Tu es propre pour la sodomie ? — Oui, oui.— Tu as déjà sucé après ?— Oui.— Alors on le fera en plan séquence, sans coupure entre la sortie de ton cul et ta bouche. Tu le suces, il jouit sur toi, tu le suces à nouveau. OK ?
Magali rit à son tour en vous regardant :
— Je crois qu’il s’agit d’un ébat tout à fait ordinaire pour nous !
La suite se déroule comme dans un rêve. Jamais Magali n’avait été aussi brûlante, jamais elle n’avait été aussi sensuelle et sexy. Les consignes d’Ulrika furent rares tant le rapport fut parfait, de la fellation à l’éjaculation. Vous vous souviendrez longtemps de Magali vous exhortant alors que vous la sodomisez jusqu’à la hampe. De votre côté, vous avez oublié les caméras dès que Magali a commencé à vous sucer sur le lit.
Le visage maculé de sperme, l’œil pervers, Magali suce votre bite en phase descendante. A la demande d’Ulrika, elle regarde la caméra avant de laisser votre sexe pour se pourlécher les lèvres.
— Terminé !
Ulrika annonce la fin du tournage et le démontage du "plateau" débute immédiatement. Sur le lit, Magali vous dit :
— Tu multiplies mes expériences surexcitantes en ce moment !
Vous riez et l’enlacez. Ulrika s’approche :
— J’ai fait de nombreux tournages amateur et là, j’avais vraiment l’impression d’avoir à faire à des pros. Vous étiez parfaits tous les deux. Vous avez remarqué que je n’ai pratiquement rien dit. Le film sera incroyable, croyez moi ! Ça ne vous tente pas de faire quelques films X ? Magali, ton profil de MILF est très recherché. Tu es très à l’aise devant la caméra et quelle activité ! Tu sembles insatiable ! Et quand je vois la facilité avec laquelle Florent t’a sodomisée, je t’assure que tu aurais du succès. J’ai de l’expérience et je sais que tu peux prendre bien plus qu’une queue, aussi imposante que soit celle de Florent.
Magali devient écarlate et bafouille :
— Oui... heu... peut-être... enfin, je vais y réfléchir... Il faut que j’aille me doucher.
Ulrika rit alors que Magali s’en va et se ferme dans la salle de bain. La réalisatrice germanique vous dit :
— Je ne pense pas qu’elle osera. Mais toi Florent, tu imagines que des tailles comme la tienne sont toujours bienvenues. Ça ne te tente pas ?— Pas plus que ça, franchement. L’amateur me plaît bien plus. — Dommage... Vraiment dommage.
Vous comprenez aux yeux d’Ulrika qu’il y a un intérêt personnel à sa demande. Et pas uniquement financier. Vous faites celui qui n’a rien remarqué et dites :
— Je vais aller à la douche également. On se retrouve à la cuisine dans dix minutes.
Vous buvez un verre avec l’équipe puis ils vous quittent. Vous aurez le film dans une semaine. Ils s’en vont avant midi. Vous vous asseyez dans le canapé avec Magali. Elle vous embrasse sur la joue et vous dit en riant :
— Il me tarde de découvrir la suite du programme !
Vous éclatez de rire.
— Je crois que c’est terminé pour les surprises, là !
Elle vous fait un clin d’œil :
— Je ne dis rien, mais j’ai une autre tenue... disons... indécente ? Choquante ? Ou obscène ? Si on sort, je peux envisager de la porter.
Vous riez. Elle ajoute :
— Un bustier sans bretelles dont les coques taillent A. Elles ne cachent pas entièrement mes tétons. Il y a aussi une jupette volantée dont la longueur atteint juste juste le haut de mes bas, des talons vertigineux. Rien de plus.
Vous avez une bouffée de chaleur et Magali éclate de rire. Puis, comme vous ne dites rien, elle ajoute plus sérieusement :
— Tu as fait de moi une femme nouvelle, enfin épanouie sexuellement.— Tu as bien provoqué cette rencontre ?— Quoi ? C’est toi qui...
Vous la coupez :
— Dois-je te rappeler notre première rencontre ?— L’apéro quand tu avais aidé Jipé à changer les roues de la voiture. Et bien quoi ?
Elle aurait tant aimé masquer ce sourire. Mais vous avez vu sa bouche se tordre subrepticement.
— Tu avais été te changer et tu en avais profité pour te masturber.
Elle éclate de rire.
— C’était si voyant que ça ?— La tenue plus sexy, tes joues toutes rouges, tes regards, ta main sur mon torse, ton "à tout bientôt"...— Mais tu te rappelles de tout ?!— Oui, ça m’a presque autant marqué que le rendez-vous suivant.
Elle rit à nouveau.
— Oui, là, j’avoue. Je voulais vraiment me faire sauter. Dès que je t’ai vu, je t’ai désiré. Je n’ai cessé de me masturber en pensant à toi. C’était fou.— Ton désir est rapidement devenu contagieux. Et ce café a conditionné notre relation.
Elle vous regarde tristement.
— Elle ne peut pas se terminer ce soir, Florent. — Avec moi, tu sais bien qu’il y aura des conditions, les frustrations, les humiliations, les contraintes, des "oui" qui deviendront des "non", des fausses pistes, des ratés, des lapins posés, je vais à nouveau te traiter de garce, de salope, de pute...
Elle vous regarde malicieusement :
— J’adore les conditions, les frustrations, les humiliations, les contraintes...— Dans cinq minutes, je vais t’enculer sans préparation.
Magali rit, vous embrasse un peu vulgairement et glisse sa main de votre peignoir. Elle attrape vigoureusement votre chibre.
— C’est une très bonne question que tu poses là : à partir de demain, qui va s’occuper de mon gros cul ?— Tu vas trouver quelqu’un d’autre...— Je ne peux pas. Tu as l’exclusivité.
Vous souriez. Magali sourit aussi, mais étrangement. Elle vous lance un regard aussi pervers que désarmant.
— Je veux que tu continues de t’en occuper et être la nana que tu appelles quand tu as envie de baise ou de sodomie. Ou des deux. Mais je veux aussi que tu t’occupes de me trouver quelqu’un d’autre.
Vous la regardez sans comprendre.
— Hier soir, j’ai été la pute de la soirée. De ta soirée.
Elle marque un temps et reprend :
— Je veux continuer à l’être. Je veux être ta pute, Florent, que tu m’offres à tes connaissances qui ont envie de sexe. Hommes, femmes, couples, en solo, duo, trio ou plus...
Vous êtes hébété, éberlué par cette demande totalement inattendue.
— Je veux continuer à être ta femme, ta confidente, ta maîtresse, ta secrétaire lubrique, ta garce personnelle, ta salope de compagnie, ta nympho, ton exhibitionniste, ta chienne, ton sex toy, ton garage à bite, ton trou à fourrer.
Elle marque un temps.
— Je veux continuer à t’appartenir.
*
Deux semaines plus tard, samedi après-midi, vous finissez de visionner le film chez vous et vous sentez alors que les mois à venir vont être particulièrement agréables. La semaine précédente, vous aviez accepté la proposition de Magali et vous ne l’aviez jamais vue aussi heureuse. Deux jours avant, elle a déjà couché avec un de vos amis célibataire depuis plusieurs mois et il a été enchanté de la prestation de Magali.

Sur le canapé, en guêpière, bas et talons blancs, elle vous caresse lentement le torse en vous embrassant. Vous lui demandez son avis sur votre film :
— Tu as aimé ?— C’est incroyable, on dirait un vrai film, c’est la même qualité. Et puis, on est beau.
Vous riez.
— C’est vrai que c’est bluffant. On n’a pas l’impression que c’est nous.— Tu comprends pourquoi Ulrika voulait nous engager.— Elle a l’œil et on doit être particulièrement bon.
Magali vous chevauche et glisse votre sexe dans le sien.
— Je crois que j’aimerais que tu me le prouves une nouvelle fois.— Encore ? Tu exagères ! Et puis il faut que j’en garde un peu pour ce soir, non ?— Pas besoin ! Tu vas être sacrément déçu !— Attention, elle a les mêmes gênes que toi.— Je ne crois pas. A 18 ans, ça faisait belle lurette que je n’étais plus vierge, moi. Et même sans cela, un peu plus dévergondée. Une vraie vieille fille, je te dis...— Juste une étincelle suffit parfois...— Je n’y crois pas une seconde.
Pourtant, Katia, "vieille fille" âgée de 18 ans et nièce de Magali, acceptera finalement de rester dormir chez vous en rentrant de la soirée que vous avez passée tous les trois. Et lorsque sa tante vient la chercher dimanche en fin d’après-midi, Katia n’est plus vierge du tout. En outre, à 10h, elle a voulu notablement goûter à votre sperme. Avant midi, vous avez éjaculé sur ses petits seins. Et à 15h, c’est son visage que vous avez maculé. En partant, elle vous murmure :
— Je veux tout expérimenter avec toi, par derrière aussi.
L’étincelle sur les gênes...
FIN
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