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Logement provisoire : Sylvie

Chapitre 1

Hétéro
Sandrine et Olivier avaient commencé à vous en parler quelques mois auparavant. En pleine organisation de leur voyage, ils devaient trouver un locataire pour leur appartement, pour une durée d’environ quatre mois. Olivier est votre meilleur ami et il a entièrement confiance en vous, raison pour laquelle lui et Sandrine vous ont proposé leur logement en premier.Pour plusieurs raisons, vous n’aviez pas hésité très longtemps. Premièrement, leur appartement était très récent et bien plus vaste que le votre. De plus, sa situation géographique vous mettait à quelques minutes en vélo de votre lieu de travail. Ensuite, cela vous arrangeait bien, car vous aviez un acheteur pressé pour votre propre appartement, qui achetait à un prix supérieur à celui escompté. Même si vous alliez payer quatre mois de loyer et devoir mettre vos biens dans un garde-meuble, vous faisiez une sacrée bonne affaire. Aussi, vous vous étiez engagé auprès d’Olivier pour louer leur appartement quatre mois, de mars à fin juin, quand bien même vous alliez emménager dans votre nouvelle maison dès la fin mai peut-être.Semaine 8 / Samedi 24 févrierC’est le jour de votre emménagement, une semaine après le départ de vos amis. Sandrine et Olivier ont libéré une armoire à votre disposition dans leur chambre. Du même côté de l’appartement, côté est, il y a une autre pièce qui sert de bureau dans laquelle est installé un canapé. Côté ouest, un grand salon, dans lequel une cuisine est agencée, s’ouvre sur une immense baie vitrée qui permet au soleil d’inonder l’appartement de lumière dès la mi-journée et ce, jusqu’au couché du soleil. De plus, un vaste balcon aménagé avec goût par Sandrine, va vous permettre de profiter pleinement durant le printemps et une partie de l’été. Et depuis le cinquième étage, la vue est magnifique.Après avoir rangé vos affaires, vous sirotez une bière, debout au milieu du salon. Mon Dieu que vous êtes bien ! A 39 ans, divorcé, vous prenez la vie du bon côté. Et surtout, vous n’êtes pas pressé de vous remettre en couple. Votre célibat vous convient à merveilles.
Entendant des bruits de voix dans l’allée, vous vous dites qu’il pourrait être utile d’aller vous présenter et d’expliquer votre présence à vos nouveaux voisins. Sandrine et Olivier ne vous ont guère parlé du voisinage avec qui ils n’entretiennent pas de rapport. Oh, vous n’allez pas ameuter les cinq étages de l’immeuble, non ! Mais au moins vos voisins de palier et ceux du dessous. Au cas où vous feriez du bruit. Votre bière terminée, vous allez sonner chez vos voisins d’en face, dont le balcon est accolé au votre. Vous saluez un jeune garçon prénommé Gerardo et vous vous présentez. Derrière lui apparaît Virginia, un joli brin de fille dont vous doutez de la majorité.Vous descendez ensuite directement chez vos voisins du dessous. Un homme vous ouvre. Grand, fin, souriant, Louis vous est immédiatement sympathique. Sans attendre, il vous invite à boire une autre bière et vous faites la connaissance de ses deux enfants, Romane, 8 ans, et Norbert, 6 ans.Vous êtes au salon depuis une vingtaine de minutes quand arrive sa femme, Sylvie. Contraste saisissant avec Louis. Vous sentez immédiatement un malaise chez elle et son sourire est clairement forcé. Votre présence semble la déranger. Ce qui vous frappe, c’est son apparence : Sylvie ne doit pas avoir plus de 35 ans et elle en parait 10 à 15 de plus. Pas maquillée, cheveux en carré long mais non coiffés, lunettes rétro, fringues affreuses, Sylvie respire le laissez-aller et le laxisme. C’est simple, depuis qu’elle est arrivée, vous avez envie de partir, d’autant plus que Louis se montre bien moins drôle qu’auparavant. Vous finissez votre bière d’un trait et quittez la famille.Semaine 9
Vous croisez d’autres voisins durant les premiers jours et vous vous présentez. Vous sentez que votre démarche plaît et cela vous permet de vous sentir encore mieux dans ce nouvel environnement. Vous faites également la connaissance des parents de Virginia et Gerardo, un couple d’Italiens du sud, Sofia et Ilario. Pas bien grands tous les deux, mais Ilario est aussi bedonnant et gras que Sofia est sèche comme un coup de trique. Ce premier contact est rapide. Pour autant, vous n’avez pas l’intention de devenir leur meilleur ami. Mais au moins qu’il connaisse votre gueule.Vous prenez vite vos marques dans le quartier que vous connaissiez peu. Votre emploi du temps professionnel permet de vous libérer régulièrement une demi-journée, voir une journée de congé. En effet, vos journées sont longues et votre employeur tient à ce que vous compensiez chaque minute effectuée en plus par un congé. Aussi, vous posez en moyenne l’équivalent de trois jours de congé par mois.Semaine 10 / Mardi 6 marsMatinée de congé. Vous décidez d’aller faire des courses pour plusieurs jours. En revenant, vous descendez chercher le courrier et croisez Sylvie. Enjoué, vous la saluez. Mais sa réponse est pour le moins brève. Elle va promener le chien, habillée d’un jogging gris d’un autre temps et d’un improbable manteau rose bonbon. Surpris, vous regardez s’éloigner ce duo pas si mal assorti finalement.Semaine 11 / Mardi 13 marsAprès-midi de congé. De retour à la maison, vous trouvez qu’il fait plutôt bon pour la saison. C’est en partant faire un tour de vélo que vous croisez à nouveau Sylvie. Est-ce votre tenue moulante ? Ou est-elle mieux lunée ? Toujours est-il qu’elle prend cette fois le temps de vous saluer et d’échanger quelques banalités avec vous. Néanmoins, cette femme ne vous semble pas heureuse. Et elle est toujours aussi mal fagotée.
Mercredi 14 marsJournée de congé. Et en plus, dans votre ville, le jeudi 15 est férié. Cela vous fait donc deux jours. Le matin, un détour par le centre commercial du quartier vous met une nouvelle fois sur le chemin de Sylvie. Ni une ni deux, vous l’invitez à prendre un café. Sylvie proteste :
— Je n’ai pas vraiment le temps ce matin.— Sylvie, j’aimerais que vous preniez ce temps. Pour vous. Et pour nous.
Vos mots semblent la toucher et lorsque vous posez votre main sur son bras, il vous semble qu’elle frissonne. Elle finit par accepter votre invitation. Au café, vous la débarrassez de sa veste puis tirez sa chaise. Vous voyez dans ses yeux que vous marquez des points. Ses yeux justement : marrons mais clairs, ils mériteraient d’être mis en valeur par d’autres lunettes que ces affreuses montures et par un peu de maquillage. Il en est de même pour sa peau. Tout en discutant, vous vous mettez à fantasmer sur cette large bouche aux lèvres épaisses. Vous la verriez bien avec plusieurs bites dans la bouche, tiens ! Vous êtes sûr qu’elle pourrait sans problèmes en prendre trois belles queues en bouche simultanément. Mais pour l’heure, vous vous dites que ses lèvres seraient très agréables autour d’une seule barre, celle qui durcit dans votre pantalon.Et ce n’est pas la poitrine de Sylvie qui va calmer vos ardeurs. Sylvie a des seins énormes, cela ne fait aucun doute, même si sa poitrine semble tombante. Alors certes, elle porte un pullover fin, peu avenant, mais celui-ci a l’avantage d’être entièrement blanc et le soutien-gorge de mauvaise qualité qu’elle porte laisse pointer des tétons de belle taille. Vous vous contenez mais ne parvenez pas à réfréner 100% de vos coups d’œil. Vous passez près d’une heure avec votre voisine qui n’avait pas le temps. Elle sursaute soudain :
— Mon Dieu ! Il est déjà 11h ! Comme le temps passe vite !— Cela m’a fait énormément plaisir de passer cette heure avec vous, Sylvie.
Elle rougit et balbutie :
— Moi aussi. Je... C’était un plaisir.
Vous sentez qu’elle est désormais pressée. Vous vous levez, tirez une nouvelle fois sa chaise, l’aidez à remettre sa veste. Vous la raccompagnez jusqu’à sa voiture. Au moment de vous quittez, elle dit :
— Je pense que nous pourrions nous tutoyer.
Vous sentez immédiatement le trouble chez votre voisine. Cela semble signifier quelque chose d’important pour elle. Sa froideur initiale vous revient à l’esprit. Votre café a peut-être initié quelque chose. Vous acceptez et faites la bise à Sylvie. Deux jours plus tard, lorsque vous croisez Sylvie, elle a à nouveau la tête des mauvais jours, mais elle fait l’effort de vous saluer avec un sourire. Vous n’êtes néanmoins pas dupe et cela vous rend un peu curieux.
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