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Logement provisoire : Virginia

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
Mercredi 9 maiVous vous levez à 8h. A 9h, Virginia vous écrit :"plu punie auj. tu rentres à kel heure ?""suis à la maison"Vous avez l’impression qu’elle a sonné avant que vous ayez envoyé le message. Virginia vous saute au cou. Littéralement. Vous refermez tant bien que mal la porte d’entrée, emporté par les baisers de la jeune femme.— Tu m’as tellement manqué !Elle relâche son étreinte et vous regarde droit dans les yeux.— Emmène-moi dans ta chambre !Là, Virginia vous fait une fellation fantastique et vous baisez avec un appétit féroce. C’est court, c’est puissant, c’est intense. L’orgasme de Virginia est incroyable et le votre divin.
Allongés sur le lit, Virginia vous annonce qu’elle prend désormais la pilule et qu’elle aimerait désormais le faire sans protection. Vous l’embrassez.— J’aimerais accepter Virginia, j’aimerais énormément. Mais je dois être totalement transparent avec toi.— Tu as une maladie ?— Non, non, rien de cela.Virginia vous regarde un peu inquiète.— Tu sais, du moment que tu te protèges, je n’ai pas à savoir que tu couches avec d’autres femmes.— Il s’agit de cela, oui.— Non, je ne veux pas le savoir, Florent, nous ne sommes pas ensemble.— J’ai eu un rapport non protégé récemment.— Quand ça ?— Samedi soir.Elle soupire, son visage devient triste.— On doit attendre trois mois alors.Vous la regardez dans les yeux.— Je dois t’avouer quelque chose : le rapport non-protégé que j’ai eu samedi soir, c’était avec ta maman.
— Pardon !?!Elle semble avoir le souffle coupé puis elle éclate de rire :— Mais noooooooon ?!!?Elle rit à nouveau, vous regarde et semble essayer de tout assimiler et analyser l’information que vous venez de lui délivrer.— Depuis quand vous…— Deux semaines. Juste après l’anniversaire de Jipé.— Ma mère n’est pas heureuse auprès de mon père. Je m’en rends bien compte depuis quelques années. Mais il m’avait semblé qu’elle était mieux dans ses baskets ces derniers jours. Maintenant, je comprends.— Et ?— Depuis que je comprends mieux la relation ou plutôt, la non-relation qu’entretiennent mes parents, j’espère que ma mère se trouve un amant, car elle mérite d’être heureuse et de prendre du plaisir. Alors je suis très contente pour elle que son amant, ce soit toi.Vous l’embrassez.— Tu es adorable, vraiment adorable.Elle sourit, monte à califourchon sur vous et dit :— Alors comme ma mère, j’aimerais coucher avec toi sans protection. Dès maintenant.
Quelques minutes plus tard, vous pénétrez pour la première fois la jeune femme sans préservatif et il semble que cela vous fait franchir un cap avec elle, chose que vous n’avez pas ressenti avec Sophia. Entre midi et 17h, vous aurez trois autres rapports avec la jeune femme, tous non-protégés.
Une semaine auparavant, pouviez-vous seulement imaginer une situation plus excitante ? Vous couchez avec la mère et la fille, toutes deux aussi assoiffée de sexe, l’une en manque, l’autre en découverte, mais surtout, chacune des deux se réjouit que vous couchiez avec l’autre ! Vous n’avez jamais connu cela et vous êtes bien décidé à en profiter au maximum.
Jeudi 10 maiEt vous ne tardez pas à vous rendre compte à quel point ce jeu est piquant. Alors que vous arrivez sur le palier de Sophia, votre téléphone vibre dans votre poche. Vous le sortez et voyez le nom de Virginia s’inscrire sur votre écran. Vous ouvrez le message :"Occupe-toi bien de maman à midi ! Bisous"Vous éclatez de rire puis vous sonnez.
Sophia vous ouvre. Elle porte une jolie robe jaune qui illumine cette journée grise. Son sourire est radieux. Après un baiser passionné, elle s’agenouille devant vous et vous suce quelques instants avant de vous entraîner dans la chambre où elle reprend sa caresse buccale. Lorsqu’elle vous chevauche ensuite, vous êtes au paradis.
Plus tard, tandis que vous caressez sa rondelle, elle vous dit :— Pas aujourd’hui.— Non ?— Non. On va dire que je manque d’entraînement, j’ai des courbatures.Vous riez, elle aussi. Elle ajoute :— Mais je compte bien être très vite en pleine forme.— En tant que coach, je pense qu’il est nécessaire de fixer des objectifs.Elle rit puis sourit de manière très coquine :— Je pense qu’il faudra travailler l’endurance, car j’aime quand la sodomie dure.— Parfait, je note.— La technique est importante aussi. Deux ou trois positions, c’est bien. Six ou sept, c’est mieux.— Très bien.Vous vous demandez si elle se fout de vous ou pas. Elle poursuit :— Ah ! Et aussi, je crois que nous devrons entraîner les sprints.— Oui ?— Oui, si on veut le faire vite, il est préférable que je puisse être prête rapidement, sans une longue préparation.Elle sourit et sautille de plus en plus rapidement sur votre sexe. Elle gémit de plus en plus fort. Elle se penche alors sur vous et murmure dans le creux de votre oreille :— Je te l’ai dit, je vais reprendre très vite goût à la sodomie et je vais être très demandeuse. Es-tu prêt à me satisfaire quand j’en aurai envie ? Quelque soit le lieu où nous nous trouvons ? Quelque soit mon état de propreté ?Vous ne répondez pas. Elle relève la tête, vous regarde droit dans les yeux et vous fait jouir en deux coups de rein parfaits.
Sophia s’allonge ensuite à côté de vous. Vous riez.— Tu m’as rendu fou avec ces mots !Elle sourit et vous fait un clin d’oeil :— Y crois-tu ?— Je ne sais pas. Je dois ?Elle rit.— Ce qui est valable pour le sexe en général l’est aussi pour la sodomie. Oui, j’aime quand ça dure, mais j’aime aussi quand c’est court, bref et soudain; j’aime pratiquer dans diverses positions et divers lieux.Vous riez, elle aussi.— Généralement, mon envie de sodomie va monter pendant l’ébat. Mais je peux aussi avoir envie d’un rapport uniquement anal. Et puis parfois, c’est plus… spontané !— Comment cela ?— C’est rare et difficile à définir. Une émotion forte, positive, peut me donner envie de sodomie. Dans un moment que je ressens particulièrement fort, la sodomie devient une sorte de plénitude. Mes orgasmes les plus mémorables sont tous issus d’une de ces envies spontanées.— Un exemple ?Elle sourit.— Le premier coucher de soleil aux Maldives lors de notre voyage de noces. Une beauté fantastique que j’avais absolument voulu vivre plus… intensément. Ilario m’avait sodomisée et je me souviens des moindres détails, des moindres sensations. Tout. Peut-être le plus bel orgasme de ma vie.Elle rit et dit encore :— Une autre chose que tu dois savoir : je suis très sensible, émotionnellement, mais aussi de l’anus. Ilario rêvait de me voir porter un plug, mais c’est beaucoup trop intense pour moi !Vous éclatez de rire.
Vous mangez ensuite en tête à tête avec Sophia et le repas est une nouvelle fois un délice. En plus d’être une bombe au lit, Sophia est décidément un vrai cordon bleu. Au dessert, vous demandez :— La fin de la punition de Virginia tombe bientôt, non ?— Oui, c’est mardi prochain. Elle ne cesse de nous le répéter. Mais Ilario l’aura encore à l’œil. Je ferai en sorte d’arrondir les angles et de lui permettre de sortir. En général, je suis plus sévère que mon mari. Donc ça ne devrait pas poser de problème. 
Elle vous regarde, un air coquin, et ajoute :
— Je saurais être très arrangeante vu la manière dont tu me récompenses.
Sophia se lève alors, va s’accouder au plan de travail avant de relever sa jupe :— Il est d’ailleurs temps de passer à la caisse.Vous la rejoignez et vous agenouillez derrière elle. Le combo chatte trempée / anus transpirant est le meilleur de tous les desserts du monde. Quand vous vous relevez, vous sortez votre queue et vous vous masturbez quelques instants en matant le fessier de l’Italienne.— T’as un sacré cul, putain…— Je crois que tu as oublié une préposition.— Quoi ?— "T’as un sacré cul DE putain", non ?— Oh oui !Vous pénétrez Sophia avec une facilité déconcertante, tant sa chatte est détrempée. Vous la prenez avec vigueur et la belle en redemande. Après quelques coups de rein plus brutaux, Sophia tourne légèrement la tête et vous lance un regard aussi noir que provocant :— Sono la tua puttana…Ces mots vous excitent plus encore, si tant est que ce soit possible. Vous la défoncez et jouissez. Alors que vous vous retirez, Sophia se tourne vivement, s’agenouille et vous suce en vous regardant dans les yeux, aspirant le reste de foutre de votre queue. Puis elle se doigte avant de se lécher les doigts maculés de votre semence. Obscène. Quelques minutes plus tard, vous prenez congé et retournez au travail.
Vous passez le week-end suivant au chalet d’un ami et, à votre grand regret, ne pouvez répondre aux envies de Virginia, relativement libre de ses mouvements durant le week-end.
Mercredi 16 maiVous décidez de rentrer plus tôt du travail, prétextant un violent mal de tête, pour retrouver Virginia dès 15h30. Votre rapport à votre arrivée est merveilleux et vous êtes absolument ravi de votre entente au lit. Et cela semble être le cas de Virginia également qui était nue sous sa robe :— Je suis tellement heureuse ! C’est si bon de coucher avec toi !— C’est plutôt à moi de dire cela ! J’adore notre complicité lors de nos ébats. J’ai de plus en plus l’impression que tu parviens à devancer mes envies.— J’aime que tu me dises ce que tu aimes, ce qui te plaît.
Vous embrassez avec passion votre jeune voisine et roulez dans le lit, enlacé à elle. Vous demandez :— Ça se passe comment à la maison avec ta maman ? Vous parlez de la situation ?Elle rit.— On n’en parle pas, non. Il y a des sourires entendus, par exemple tout à l’heure lorsque je rentrerai. Ou le jeudi lorsque je sais que tu l’as vue à midi. Mais c’est quand même gênant d’en parler directement.Elle réfléchit un instant :— J’ai hésité à lui écrire hier avant midi, comme je l’ai fait avec toi. Un petit mot "d’encouragement" !Vous riez tous les deux. Elle inspire et ajoute :— Il y a une partie de moi qui aimerait tout savoir, tout ce que vous faites, comment elle est au lit, comment elle se comporte. Je crois que j’aimerais aussi la voir coucher avec toi, la découvrir sous un autre jour. Je connais la mère, j’aimerais découvrir la femme. C’est malsain ou pas ?— Je ne trouve pas cela malsain, mais je comprends la difficulté de parler avec elle de cette situation inattendue. Ceci dit, lui écrire un message pourrait créer un canal de discussion.— C’est ce que je me suis dit aussi.— Si je peux d’ores et déjà te transmettre un message de ta maman, elle tenait à te dire que tous les hommes n’ont pas mes dimensions !Virginia éclate de rire.— Ce n’est pas parce que je ne l’avais pas encore fait que je ne savais rien !— Tu le savais ?— Oui. Quand j’ai vu que mon pouce et mon majeur étaient relativement loin de se toucher alors que j’avais ton sexe en main, j’ai compris qu’elle était plutôt… inhabituelle !Vous riez tous les deux.— Tu vas écrire demain à ta maman ?— Oui. Quelque chose du genre "prends autant de plaisir que moi".— Bonne idée !
Virginia vous embrasse. Son regard est doux. Elle dit :— J’ai envie de sortir avec toi.— Samedi soir ?— Je ne sais pas si je vais pouvoir. Mon père est toujours méfiant.— Ta mère nous aidera. Il faut s’organiser avec elle.— Je pourrais venir tôt ici, comme si j’allais chez une copine. Elle pourrait surveiller mon père quand nous sortirons de l’appartement.— Bonne idée.
Le gros de l’organisation est décidé. Vous écrivez à Sofia qui adhère. Cela rassure Virginia. Vous avez un second rapport avec la jeune femme avant qu’elle ne rentre chez elle. Avant le retour de son père.
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