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Logement provisoire : Virginia

Chapitre 8

Avec plusieurs femmes
Jeudi 17 mai Les lunchs chez Sophia sont vite devenus une très agréable habitude et ce jeudi ne déroge pas à la règle. La belle vous accueille dans un déshabillé léger qui vous plaît beaucoup. Mais surtout, elle vous avoue rapidement qu’elle se masturbe depuis plus d’une heure. Au lit, vous constatez que Sophia ne s’est pas contentée d’exciter son clitoris et son vagin : son anus a également reçu la visite de son gode. Quand vous léchez son anus, votre langue plonge loin dans son petit trou et cela la rend folle. A tel point que votre rapport est uniquement anal. La belle jouit très intensément.
Pour autant, le temps qu’elle a pris pour s’occuper d’elle en fin de matinée n’a aucunement altéré la qualité du repas. Vous vous régalez une nouvelle fois. Avec émotion, Sophia vous montre le SMS qu’elle a reçu de sa fille un peu avant midi : “Maman, tu mérites plus que n’importe qui d’être heureuse. Alors profite de ce moment avec Florent, prends du plaisir autant que j’en prends avec lui. Je t’aime.”. Vous souriez et Sophia vous demande pourquoi. Vous répondez :— Je ne suis pas sûr que je peux te montrer celui que j’ai reçu.— Oh ! Elle sourit :— Je crois que je peux tout lire.Vous sortez votre smartphone et le tendez à Sophia qui lit à haute voix :— “Passe un bon moment avec Maman. Baise-la, fais-la jouir et crier, comme tu le feras avec moi samedi !”Sophia rit et vous indique qu’elle veillera sur Ilario samedi en fin de journée :— Il y a un match de son club de football favori à 18h. Il va être scotché à la télévision, aucun souci pour vous. Vous retournez rapidement dans la chambre où vous restez allongés, enlacés, à papoter de la vie et de Virginia. Sophia prend un selfie de vos visages et l’envoie à sa fille avec un cœur. Quand vous reprenez de la vigueur, Sophia vous suce longuement avant de venir à califourchon sur votre queue. Après quelques minutes, dans un sourire, elle se redresse et dit :— J’aime beaucoup trop cela…Ajoutant le geste à la parole, elle passe votre bite de son vagin à son cul, non sans l’avoir lubrifiée entretemps. Les yeux mi-clos, comme dans un état second, Sophia va-et-vient sur votre chibre :— Je ne peux plus m’en passer.Pour la seconde fois de votre visite, vous jouissez dans son cul. Puis vous repartez au travail.
Samedi 19 mai Par message, Virginia vous avait fait comprendre que cette soirée était d’une importance particulière pour elle. Il est vrai que c’est votre dernière semaine dans l’appartement de Sandrine et Olivier puisque vous emménagez dans votre maison le week-end prochain. Aussi, vous ne faites pas les choses à moitié : coiffeur, institut de beauté et achat de lingerie. Oui, en plus de vous raser les couilles et sublimer vos ongles, vous vous offrez votre premier string. Mais pourquoi donc ? Parce que la belle Virginia vous a soufflé l’idée et que vous estimez qu’il ne faut pas mourir idiot. Et quand votre voisine entre chez vous vers 18h, vous comprenez immédiatement qu’elle a, elle aussi, fait un tour chez l’esthéticienne. — J’aurais aimé que tu découvres ça en fin de soirée, mais j’ai trop envie de toi.“Ça”, c’est son sexe glabre pour la première fois. Exit le parfait petit triangle bien touffu qui vous plaisait tant ! Mais vous vous consolez rapidement de sa disparition, tant son sexe nu vous excite. Virginia est ravie que vous ayez tout rasé également et gobe vos couilles comme jamais auparavant. Sa fellation vous enchante et votre 69 est sans fin.
Après votre rapport, Virginia reste dans la chambre tandis que vous allez vous préparer dans le bureau d’Olivier. A 19h30, vous vous retrouvez dans le hall d’entrée et votre cœur semble cesser de battre durant de longues secondes tant la jeune femme est éblouissante. “Torride élégante”, “Catin distinguée”, elle est un fantasme sur talons vertigineux : jupe crayon taille haute anthracite, chemisier en mousseline ivoire, cheveux tirés en arrière dans un chignon strict, lunettes cerclées, lèvres rouge vif. Elle sourit :
— Visiblement, je te plais. Et t’es carrément canon aussi.Vous vous souvenez à peine que vous avez mis un costume pour l’occasion, parce que vous vous rendez compte que Virginia ne porte pas de soutien-gorge. Et peut-être pas de string ?
Vous partez manger dans une ville voisine d’une vingtaine de kilomètres et la belle se garde bien de dévoiler ce qu’elle porte sous son tailleur. Tout juste apprenez-vous que ce qu’elle porte dessous n’appartient pas à Sandrine, contrairement à la jupe, au chemisier et au blazer.
Marcher main dans la main avec cette créature est une expérience qui emballe le cœur, autant qu’elle gonfle l’orgueil et la fierté. 90% des personnes que vous croisez, tout sexe confondu, regardent Virginia. Laquelle ne semble pas être dérangée outre mesure par cette notoriété soudaine. Et quand vous lui faites remarquer, elle répond :  — Je suis à l’aise dans mes vêtements, à l’aise à tes côtés. Il n’y a que ton attention qu’il m’importe d’attirer. Les autres…L’arrivée sur la place du Château est un moment unique où le temps se suspend quelques instants. Vous la traversez pour vous rendre à un petit restaurant dont on ne vous a dit que du bien.
Le repas est délicieux et vous buvez une bouteille de vin à deux. Lorsqu’elle se lève pour partir, Virginia tangue légèrement et vous riez de bon cœur tous les deux. La belle n’avait jamais bu plus d’un verre de vin et elle en a bu trois. Vous sortez et marchez, enlacés, en direction de la place du Château, en haut des remparts de la petite ville. Vous vous asseyez sur un muret. La douceur de la soirée, et l’effet du vin, invite Virginia à quitter son blazer. En caressant les fesses de la jeune femme, vous avez la confirmation qu’elle a revêtu un porte-jarretelles sous sa jupe. Par contre, vous êtes surpris de trouver les agrafes d’un soutien-gorge derrière son dos et vous êtes très curieux de savoir ce qu’elle porte sous son chemisier. Virginia s’en amuse et vous invite à être patient.
Sur la place, vous achetez des glaces. La soirée est infiniment agréable et malgré votre désir de coucher ensemble, vous avez tous deux envie de prolonger ce moment de vie de couple. Virginia vous caresse discrètement mais fréquemment le sexe à travers votre pantalon. Vous l’embrassez.— J’ai envie d’en voir plus.— Moi aussi. On rentre ?— Je pensais que tu pouvais me donner un avant-goût avant que nous ne reprenions la voiture.Elle sourit.— Ici ? Trop de monde à mon goût.— On va se promener ?Virginia ne se le fait pas dire deux fois. Main dans la main, vous longez les remparts, une sorte de petite corniche, avant d’atteindre une autre rue. Là, vous croisez un groupe de plusieurs femmes auquel vous ne prêtez pas attention. Vous redescendez la rue et entrez dans des jardins. Il n’y plus question que de vagues lueurs et de pénombre. Virginia murmure :— Cet endroit m’excite.Vous descendez quelques escaliers, empruntez un petit chemin et apparaît un petit banc. Isolé, dissimulé, rouge, vide, parfait.
Vous vous y asseyez à peine lorsqu’une femme surgit du même chemin que vous :— Florent ! Il me semblait bien que c’était toi ! Tu n’es pas avec... Virginia se lève d’un bond.— Maman ?!?— Virginia ! Oh mon Dieu, je ne t’ai pas reconnue !— Que fais-tu là ?!— Je t’avais dit que je sortais avec des copines. On vient de vous croiser et j’ai reconnu Florent, mais… ma fille… cette tenue… tu… Je n’en reviens pas !— “Tu” quoi ? Tu aimes ou tu détestes ?Sophia enlace alors sa fille et la couvre de compliments. Elle adore sa tenue. Puis elle se tourne vers vous.— Tu es magnifique également, Florent. Que faites-vous par là ?La pénombre empêche certainement Sophia de voir vos joues rougir, mais votre sourire partagé vous trahit. Vous avouez.— Virginia a envie de voir ma queue et je crève d’envie de savoir ce qu’elle porte sous son chemisier. Alors nous essayions de nous isoler un peu.— Intéressante initiative. Je ne vais pas vous déranger plus longtemps alors.Vous vous levez et retenez Sophia.— Avant de partir, tu pourrais peut-être montrer l’exemple, n’est-ce pas Virginia ?La jeune femme bafouille :— Je… Heu… Non… Enfin oui…Vous vous approchez de Sophia et l’enlacez.— Un élégant chemisier rouge en satin, une jupe plissée noire, des talons. Vous êtes en beauté dessus, Madame.  En l’embrassant, vous déboutonnez les trois-quarts de son chemisier et la pelotez allègrement devant Virginia. Vous écartez ensuite les pans de son haut et dévoilez un soutien-gorge noir en dentelles.— Ta mère est l’élégance incarnée, Virginia.
Tandis que la jeune femme se rassied sur la banc, Sophia gémit doucement. Vous remontez lentement sa jupe. Son tanga est assorti au soutien-gorge. Vous n’en doutiez pas un instant. Alors, vous passez la main dans le tanga et la doigtez. Si Virginia ne manque pas une miette du spectacle des doigts de votre main droite qui pénètrent la chatte de sa mère, elle ne voit pas le majeur de votre main gauche qui s’enfonce profondément dans le cul de sa mère. Sophia gémit bruyamment et fouille maladroitement votre entrejambe. Elle parvient à vous déboutonner et sortir votre bite. Sophia ne tient plus et vous repousse.— Arrête… Tu… tu me rends folle… Je file…Et elle s’en va aussi subitement qu’elle est arrivée.
Vous vous asseyez à côté de Virginia. La jeune femme à l’air hébétée.— Je n’avais jamais vu ma mère comme ça ! Elle était tellement en chaleur !— Elle est incroyablement intense quand elle est excitée, quand nous faisons l’amour.— Je lui ressemble ?— De plus en plus, oui.— Parce que je vais te montrer mes seins en pleine ville ?— Si ça te plait et t’excite de le faire. J’ai cru comprendre que les jeux à caractère sexuels et autres rapports en extérieur plaisaient effectivement à ta mère.— Tu veux me déboutonner ou tu préfères que je le fasse moi-même ?— Toi.
Confortablement posé sur le banc, vous vous masturbez lentement en regardant Virginia se lever et déboutonner son chemisier jusqu’à la jupe avant d’en écarter largement les pans : un soutien-gorge demi-sein blanc. Vous y aviez songé, mais vous ne pensiez pas Virginia capable de cela. Son sourire triomphal marque sa fierté. Elle s’approche de vous.— Quant au bas…Elle remonte lentement sa jupe. Jarretelles blanches… et pas de string. Virginia se tourne, vous fait admirer ce cul dont vous raffolez. Puis elle rajuste sa jupe et vient s’asseoir sur vos genoux. Elle vous embrasse. Vous dites :— Parfaite. De la tête aux pieds, dessus comme dessous. Tu me rends fou.Virginia se saisit ensuite de votre sexe. — Je suis très excitée de m’être exhibée. Vous pelotez son sein gauche. Nouveau baiser torride.— Pince-moi le téton… Virginia gémit bruyamment à votre caresse. — Ça t’excite de faire mouiller la mère et la fille ?Vous souriez et montez vos doigts à hauteur de la bouche de Virginia.— Maman était effectivement très excitée également. Tu veux goûter ?Elle gobe votre majeur puis votre index, léchant ainsi la mouille de sa mère en vous fixant d’un regard de braise.— Je veux trop baiser, Florent, il faut qu’on rentre !
Virginia se lève et se reboutonne, mais vous restez assis. Elle sourit :— Je sens que tu vas me demander quelque chose.— Gagné. Avant de partir, j’aimerais que tu me fasses goûter ta mouille.La jeune femme remonte sa jupe, s’approche de vous et vous la doigtez doucement. Sa chatte est détrempée, tout comme son entrejambe et le haut de ses cuisses. Elle gémit. Vous vous délectez ensuite de vos doigts. Mais vous ne bougez pas. Échange de regards.— Derrière aussi.— Quoi ?!— Je veux goûter à ton gros cul.— Tu es fou…Virginia revient vers vous et se tourne, la jupe au-dessus des fesses.— Il te plait tant que ça, mon gros cul ?— Plus que ça encore. Et je pense que tu sais maintenant que je ne suis pas le seul.Le majeur recouvert de mouille, vous caressez son petit trou et enfoncez une phalange avec d’aller et venir. Virginia souffle doucement. Vous la regardez.— Tu aimes ?— Pas désagréable. — Plus loin ?— Un peu.Lentement, votre majeur pénètre jusqu’à la moitié de la seconde phalange. Vous masturbez doucement, Virginia gémit. Puis vous retirez votre doigt et le léchez. La belle vous regarde, bouche bée, excitée. — On y va maintenant ?Vous vous levez.— Presque. Tu ne trouves pas que tu as un peu trop boutonné ton chemisier ?Sans attendre sa réponse, vous le déboutonnez à nouveau jusqu’à la jupe, avant d’ajuster le col afin que les pans du chemisier soient lâches. Vous regardez Virginia.— Oses-tu aller jusqu’à la voiture ainsi ? Tu n’es absolument pas obligée, Virginia.Elle vous embrasse avec passion.— Je crois que je suis capable de tout ce soir…Elle vous prend la main et vous repartez en direction du parking.
Vous croisez deux couples dans les jardins qui vous saluent avec un sourire complice. Vous atteignez l’ascenseur du parking. En l’attendant, vous enlacez la jeune femme par derrière et elle ne se fait pas prier pour frotter son cul à votre dure gaule. Vous passez la main sur son sein droit et pincez le téton. L’excitation de Virginia remonte en flèche. Elle gémit, halète. — J’ai trop envie que tu lèches mes seins…L’ascenseur arrive. Vous entrez et alors que les portes se referment, Virginia dénude ses seins. Vous vous penchez sur sa poitrine et goûtez à ses tétons durant les trois étages de descente.
Les portes s’ouvrent, Virginia remet précipitamment les pans de son chemisier en place. Excitée et joueuse, elle vous montre à trois reprises ses seins entre la caisse du parking et votre voiture. A l’intérieur du véhicule, vous vous embrassez avec passion avant de prendre la route.
Vous êtes à peine sorti de la ville que Virginia remonte sa jupe. Vous la doigtez doucement. Elle gémit.— J’ai hâte que nous arrivions, je n’en peux plus. Elle caresse votre entrejambe et vous bandez durement. Quelques instants plus tard, vous entrez sur l’autoroute :— Tu veux sortir ma queue ?Pas de réponse, mais des actes : Virginia vous déboutonne et vous masturbe. Vous la regardez.— Tu me suces ?— Pendant que tu conduis ?— Oui.Elle sourit et se penche sur vous. Elle vous sucera jusqu’au parking de l’immeuble, soit plus de vingt minutes. Votre rapport est torride et votre désir est tel qu’il est relativement court. Mais quelle intensité ! L’orgasme de Virginia est exceptionnel.
Au matin, pendant un nouveau rapport, Virginia vous dit qu’elle a des sentiments pour vous et qu’elle aimerait vivre à nouveau avec vous, comme lors de l’absence de ses parents. Malheureusement, ce n’est pas vraiment prévu pour les semaines à venir et vous quittez l’appartement le week-end suivant. Cette information, connue de Virginia, la rend triste et elle pleure longuement.
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