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Logement provisoire : Virginia

Chapitre 9

Avec plusieurs femmes
Le dimanche soir, Virginia vous raconte par message la discussion qu’elle a eue avec sa mère à propos de sa tenue, mais également de vos goûts en la matière.
Prise par des révisions en vue de ses examens, Virginia ne peut passer chez vous le mercredi suivant et cela l’attriste énormément. Vous lui promettez qu’elle viendra dans votre nouvelle maison très rapidement. Malgré tout, il est difficile pour elle de devoir renoncer à vous voir, tant les occasions sont rares avec son père qui la surveille toujours.
Jeudi 24 maiÀ midi, vous n’allez pas manger chez Sophia. Vous lui avez en effet proposé de vous rejoindre en ville pour l’inviter au restaurant. Toujours chic, Sophia porte une robe courte et évasée verte foncée et des talons noirs. Votre lunch est tout en séduction et charme. Au dessert, Sophia vous raconte qu’elle s’est masturbée dans sa voiture avant de reprendre la route, juste après vous avoir croisé Virginia et vous. — Je me suis masturbée, mais j’avais tellement envie d’une sodomie. Ton doigt m’a mise dans tous mes états. — C’était le but. Et j’aurais aimé pouvoir te combler.— Tu étais déjà bien occupé. Elle sourit puis ajoute :— Tu sais que Virginia m’a dit comment elle était habillée, mais pas ce que vous aviez fait après mon départ. T’a-t-elle montré ce qu’elle portait dessous ?— Je ne vais pas te le dire. Mais je peux dire que la pomme tombe souvent près de l’arbre.Sophia rit. — Elle t’a donc montré ce qu’elle portait dessous !Vous profitez de la situation.— Et le porte-jarretelle que tu portes, tu me le montres quand ?— Tu ne sais rien de mes dessous.— Tu as du nylon sur les jambes. Après ce que t’as raconté Virginia, je doute que ce soit un collant. Alors je me réjouis de le découvrir.Elle sourit.— Tu risques d’être un peu déçu.— Pourquoi ?— Parce que tu le connais.— C’est celui de Virginia ?— Oui. Car je n’en ai plus depuis des années. Tu as pu constater que j’ai de belles parures composées de soutien-gorge et string, tanga ou culotte, mais je n’ai pas de lingerie fine. — C’est dommage.
— Il y a longtemps que ça n’intéresse plus Ilario. — Tu n’en portes que pour le plaisir de ton partenaire ?— Oui. Je n’ai jamais été très à l’aise d’en porter. — Je suis flatté que tu l’aies fait pour moi.Elle rougit un peu.— J’ai envie de m’en offrir un.— Veux-tu que nous y allions maintenant ?Elle sourit.— Si tu as encore un peu de temps, très volontiers.
Après avoir bu un café et payé, vous sortez du restaurant et vous vous rendez dans un grand magasin situé à deux pas. Au rayon lingerie, Sophia et vous rêvez. Devant une guêpière en dentelles, elle dit :— J’adorerais déboutonner une robe et que tu me découvres là-dedans… Et que tu la souilles de ton sperme !Elle vous chauffe et vous lui caressez les fesses, sur mais parfois sous sa robe. La température monte. Sophia aimerait se décider, mais plusieurs parures avec porte-jarretelles lui plaisent. Vous les isolez. Elle aimerait votre avis :— La noir en dentelles est magnifique, notamment le soutien-gorge. Mais je trouve dommage de prendre du noir car tu en as déjà plusieurs.— C’est plutôt juste comme remarque.— J’aime bien l’ensemble blanc, beaucoup plus moderne, mais le porte-jarretelles fait cheap. Si tu n’es pas à l’aise ce sera encore moins le cas avec celui-ci.— Ok.— Le rouge me paraît top. Parfait sous des vêtements blancs, torride dans l’intimité, lingerie de grande qualité et porte-jarretelles avec 6 attaches métalliques. Tu seras confortable et en confiance.— Le prix n’est pas non plus le même que les deux autres.— Depuis quand on regarde les prix des cadeaux ?— Non, Florent, je…Vous vous éloignez.— Viens, on va l’essayer.
Sophia vous rattrape aux cabines d’essayage et vous entrez dans l’une d’elles.— Tu me déshabilles, beau gosse ?Le baiser de Sophia vous embrase et vous ouvrez la fermeture éclair de sa robe avant de lui passer par la tête. Dans une parure blanche assortie au porte-jarretelles de sa fille, Sophia entame un striptease qui ne vous laisse pas de marbre. Vous sortez d’ailleurs votre bite pour vous branler. La belle se déshabille entièrement et s’agenouille devant vous pour vous sucer avec vivacité.
Elle se relève ensuite et passe son nouvel ensemble, bas et talons compris. Elle se regarde dans le miroir. Vous venez derrière elle :— Ça te plait ?— Beaucoup…Elle s’ausculte sous toutes les coutures.— Tu as pris quoi comme taille de soutien-gorge ?— 85B— J’aimerais bien essayer un bonnet A, il mettrait peut-être mieux ma poitrine en valeur. Tu peux aller voir s’il y a le 90A et le 85A ?— J’y vais de ce pas.— Et puis on est parti vite du rayon, mais il m’a semblé qu’il y avait un string. Je trouve mes hanches un peu chargées avec le tanga et le porte-jarretelles.
Vous embrassez Sophia et filez dans le rayon. Comme il s’agit d’un modèle d’une nouvelle collection, vous trouvez sans problème les deux soutien-gorges. Quant au string, il s’agit d’un petit triangle rouge transparent et de ficelles. Vous adorez déjà. Sophia laisse échapper un énigmatique  “Whow” en le découvrant. Le soutien-gorge en 90A s’impose rapidement et reste la seule pièce que Sophia garde pour essayer le string. Elle se regarde.— Il faudra que je me rase presque entièrement pour que ça soit joli.Derrière elle, vous avez ressorti votre queue et bandez comme un taureau. Elle sourit.— Je vois que ça te plait.Elle se penche alors en avant et vous ne vous faites pas prier pour vous plaquez contre son cul que Sophia frotte le long de votre verge. Vous écartez la ficelle et pénétrez la quadra qui réfrène un gémissement. Elle se redresse un peu et vous la prenez, face au miroir. Sans bruit, vous copulez dans cette cabine, loin du brouhaha qui vous entoure. Sophia vous repousse et vous murmure à l’oreille :— Pas encore acheté et tu me baises déjà dedans.Elle s’agenouille et s’accoude à la banquette de la cabine. Vous vous agenouillez derrière elle et revenez en elle. Vos coups de boutoir puissants obligent Sophia à mordre dans sa robe pour ne pas crier. Vous explosez en elle… et vous retenez également votre gémissement !
Quelques minutes plus tard, vous êtes dans la rue et Sophia porte fièrement le sac contenant sa nouvelle parure. Vous vous dissimulez dans une ruelle pour un dernier baiser.
Samedi 26 mai - Lundi 28 maiVous emménagez ce week-end dans votre maison. Les déménageurs amènent tous vos effets et, avec l’aide de deux amis, vous montez les meubles et mettez les cartons dans les bonnes pièces. La maison, jumelée et sur deux étages, comprend un rez-de-chaussée ouvert et lumineux, un grand espace qui fait office de cuisine, de salle à manger et de salon. A l’étage, trois chambres : une pour chacun des enfants et la votre. Dans la vôtre justement, deux employés d’un magasin de literie renommé finissent de monter un lit de taille, installé face à une large double-fenêtre et un petit balcon.
Vous passez votre week-end et votre lundi (de Pentecôte) à ranger, percer, monter et finalement, nettoyer votre nouvelle demeure. Le lundi soir, vous êtes particulièrement satisfait. De plus, les Tardelli sont partis en week-end et vous n’auriez pas pu voir Sophia ou Virginia.
Mais les deux femmes reviennent bien vite dans votre esprit, car le mardi matin, elles vous écrivent toutes les deux qu’elles veulent être la première à baiser avec vous dans votre nouvelle demeure. Vous souriez. Virginia sait que sa mère viendra jeudi. Ne pouvant venir le mercredi après-midi, révisions obligent, elle propose de sécher un cours le soir même. Vous lui répondez : “Ok. Mais tu n’en parles pas à ta mère qui pensera être la première”. La jeune femme vous répond avec un smiley clin d’oeil. De votre côté, vous quittez votre place de travail à midi et rentrez télétravailler.
À 16h, Virginia vous suce avec son sac d’école sur le dos. Malgré le temps réduit, elle tient à coucher avec vous dans le lit. Un baise toujours aussi agréable avec la jeune femme. En se rhabillant, elle indique le petit balcon et dit :— La prochaine fois que je viens, on baise dehors.De la suite dans les idées…
Vous la ramenez. Vous papotez dans la voiture :— Maman semble très excitée de venir chez toi demain. — J’espère qu’elle prendra du plaisir.— Elle est si heureuse. Je le vois bien. J’espère sincèrement que tu vas continuer à coucher avec elle.— J’adore coucher avec elle. Et je vois qu’elle aussi est en manque de tendresse aussi. — Depuis un mois, elle n’est plus la même femme. Elle est plus souriante, plus agréable. Même si elle fait en sorte de le masquer quand mon père est là, il lui a fait une remarque le week-end passé.— Il ne faudrait pas qu’il se doute de quelque chose.— Je crois qu’il ne s’en préoccupe plus beaucoup malheureusement. Je pense même que, quelque part, ça l’arrange car elle est beaucoup moins sur son dos. — Même s’il reste très présent. — Ah, tu fais bien d’en parler : je vais être assez libre de mes mouvements ce week-end, car il part vendredi en fin d’après-midi avec mon frère. Ils vont voir un match à Turin et dorment chez des amis. Ils ne rentrent que dimanche après-midi.— Tu viens dormir à la maison ?— Si tu m’invites, avec plaisir.
Baiser volé puis Virginia file.
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