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Logement provisoire : Virginia

Chapitre 11

Avec plusieurs femmes
Les deux femmes vous embrassent et partent. Dans une heure, vous devez être devant chez elles. Vous ne traînez pas : vous vous préparez rapidement puis vous passez un jean bleu et une chemise blanche. Vous pensez être dans le thème indiqué par Sophia. En partant, vous passez une veste de costume bleu marine, car le temps est nuageux, frais pour un début de mois de juin, même si une très nette amélioration est attendue pour le lendemain.
En route, vous appelez Sophia qui vous demande de les attendre au parking souterrain. Vous vous garez et sortez de la voiture. Les deux femmes arrivent cinq minutes plus tard et vous restez bouche bée. Sophia porte un tailleur gris anthracite, accompagné d’un chemisier blanc en mousseline à col lavallière et de talons hauts noirs. L’étroite jupe tombe parfaitement au-dessus du genou, le blazer est strictement fermé et Sophia est divinement maquillée. Parfaite. Et que dire de Virginia ? Vous ne vous attendiez pas à un tailleur pantalon. Ni à un blazer court. La belle remarque votre surprise et sourit en se tournant :— Je crois que je suis prête à assumer mon gros cul.C’est le moins que l’on puisse dire ! Le pantalon rouge stretch dessine les moindres détails de son sublime fessier, glissant profondément dans la raie, à tel point que vous distinguez la ficelle du string.— Et pas que lui…Virginia vous fait un clin d’œil. En effet, de face, le pantalon est tout aussi moulant sur son sexe dont les lèvres se distinguent parfaitement. Sous le blazer fermé, la jeune femme porte ce qui semble être un top blanc avec un joli col en V.— Vous me comblez, Mesdames, et je suis fier de sortir à vos côtés. Vous partez et suivez les directions indiquées par Sophia.
Il est 13h lorsque vous entrez dans un restaurant au bord du lac, une adresse recommandée par une collègue de Sophia, qui s’avère excellente à tout point de vue. Le cadre est magnifique, les plats fins et parfaitement préparés, et le choix des vins au verre est parfait. Le repas est tout en détente, trois amis qui mangent ensemble, non sans quelques allusions légères et bon enfant. Alors que vous prenez le café, le soleil fait son apparition. Sophia règle l’addition et vous sortez.
Vous vous baladez sur le chemin qui longe le lac et le temps maussade du matin semble avoir effrayé les promeneurs. Pourtant, la température monte vite et Virginia est la première à retirer son blazer. Ce qui vous preniez pour un top blanc est en réalité un body dont le tissu laisse légèrement transparaitre les aréoles de la jeune femme.— Ta tenue est décidément parfaite, Virginia. Vous vous embrassez et vous ne résistez pas à l’envie de faire glisser une bretelle du body de la belle. — Tu veux voir mes seins ?— Impossible de répondre non.Lentement, Virginia fait tomber les deux bretelles de son body et se retrouve topless au milieu du chemin. À aucun moment, elle ne s’est préoccupée d’éventuels autres promeneurs sur le chemin. Vous adorez cette attitude. Elle reste ainsi une dizaine de secondes avant de se rhabiller.— Tu es tellement sexy…— Pas autant que Maman aujourd’hui. — Ah bon ?Vous vous tournez vers Sophia. Virginia rit car elle oblige ainsi sa mère à prouver ses dires. Sophia vous dit :— Je te laisse découvrir par toi-même ?Elle s’approche de vous. Vous déboutonnez le blazer et restez sans voix : sous le chemiser blanc en mousseline dont la transparence est importante, Sophia porte un redresse-sein. Vous hésitez :— Je retire le blazer ou… ?
— Oh oui, tu le retires ! Au soleil, les seins de Sophia sont quasiment aussi visibles que si elle ne portait rien. Vous marchez peut-être un kilomètre, tranquillement. Une balade digestive. Vous ne croisez que trois personnes, dont deux femmes, qui vous saluent poliment. Vous vous engagez sur une jetée au bout de laquelle, vous faites des photos. Une série de photos soft, drôles et tendres, puis une série de clichés plus coquins, pour laquelle Virginia dévoile à nouveau sa poitrine, Sophia son porte-jarretelles et vous, votre chibre bandant.
Vous faites ensuite chemin inverse et vous êtes surpris du monde qui est arrivé en une heure. Si Sophia remet son blazer, Virginia ne semble même pas y songer.
Dans la voiture, Virginia est cette fois à côté de vous et ne se fait pas prier pour vous sucer, acte que Sophia n’a apparemment jamais fait. — Je suis surpris que tu n’aie jamais fait ça à Ilario. — Jamais ! Comme quoi elle peut en apprendre à sa mère, cette petite…Virginia se redresse et sourit :— Cette petite… ?— Oui, quoi ?— J’ai cru que ta phrase n’était pas terminée. — Elle l’était, oui.Vous dites :— J’ai eu la même impression que Virginia !— Vous vouliez que j’ajoute quoi ?— Je ne sais pas, cette petite cochonne, dévergondée, coquine…Virginia rit :— Ou plus graveleux : cette petite pute, salope, putain…— Oh ! Tu penses que j’aurais pu dire cela de toi, ma fille ?— Ça ne m’aurait pas choquée le moins du monde. Vous demandez à Virginia :— Que préférerais-tu ?Elle réfléchit un instant :— “Cochonne”, bof, je pense trop à l’animal. “Dévergondée”, ce n’est pas mon vocabulaire. “Coquine”, ça allait au début et je ne m’y reconnais plus trop. “Pute, putain”, c’est déjà pris par Maman. Reste “salope” et je dois dire que ça me convient très bien !Vous éclatez tous les trois de rire. Virginia se penche vers vous :— Ta petite salope veut encore te sucer.Et elle prolonge son mouvement jusqu’à votre entrejambe.
A la maison, vous passez immédiatement dans la chambre. Les deux femmes ont eu chaud et vous vous délectez de leurs chattes et de leurs culs que vous léchez de longues minutes. Vous prenez tout d’abord Sophia pendant que vous roulez des pelles à Virginia, mais la mère, après un second orgasme, vous dit qu’elle préfère être passive. Elle se masturbe tant la chatte que le cul pendant que Virginia et vous vous caressez, embrassez, léchez et excitez. Sophia dit :— Tu as de si beaux seins, ma Virginia, je suis jalouse !Puis elle ajoute :— Et ce cul ! Tu as donné des torticolis à toute la plage tout à l’heure. — Mon gros cul de salope !Vous passez votre pouce sur l’anus de la jeune femme. Sophia vous regarde faire :— Je crois que Florent aimerait bien t’initier, ma chérie.— Et je crois que j’ai très envie d’essayer, Maman.
Dans les minutes qui suivent, vous préparez lentement Virginia, attentif à ses réactions. Vous prenez beaucoup de temps afin qu’elle s’habitue à la présence de vos doigts dans son cul. Après environ un quart d’heure, la jeune femme donne le feu vert. Et Sophia prend son téléphone : — Je suis très fière de filmer ma fille pour sa première sodomie. Florent l’a bien préparée. Il va lui mettre sa grosse queue dans le cul… Voilà… Son gland est contre son anus… Il pousse doucement et… il est entré d’un coup !Virginia a gémit bruyamment. Vous lui demandez si ça va :— Oui, oui, un peu surprenant, mais ça va bien !— Oh ma Virginia, tu es comme ta maman, tu aimes prendre dans le cul, n’est-ce pas ? Et en plus, tu commences tout de suite avec une taille XXL ! Florent pousse un peu plus… Ça y est, il la prend ! Regardez comme il baise son cul !Vous faites de courts va-et-vient sur la moitié de votre sexe. Virginia ne souhaite pas que vous alliez plus loin. Néanmoins, vous la prenez longtemps.— Cinq minutes que tu te fais enculer, ma fille ! Tu as raison, tu es vraiment une petite salope ! Florent est ravi de sodomiser la mère et la fille, Mais la fille commence à avoir mal et vous vous retirez immédiatement. Virginia dit :— Prends le relai, Maman !Sophia s’était caressée avec du lubrifiant alors que vous prépariez Virginia. Aussi, à peine sorti du cul de la fille, vous entrez dans l’anus de la mère. Virginia filme tout. Le rapport est express et particulièrement brutal. Vous défoncez le cul de Sophia avant de jouir sur son visage. De bien jolies images…
Après une douche bien méritée, vous redescendez au salon et Virginia vous quitte, car elle sort avec des amies. Ce n’est pas cela qui vous déprime ! En brassière et minijupe, Sophia est très excitante et… très excitée. Ainsi, vous passez la soirée à la pénétrer, à la cuisine, au salon, sur le plan de travail, sur la table, les chaises, debout, assis, etc. Vous ne jouissez pas, mais qu’est-ce que vous lui mettez ! La belle est aux anges :— Je n’en reviens pas, tu ne fais que bander, c’est fou !— Je peux te retourner le “compliment” : tu es constamment trempée !— Je crois qu’on adore tous les deux la pénétration et qu’on pourrait vivre comme nous le faisons ce soir. Moi, ça me plairait énormément d’avoir un mec toujours prêt à me la mettre.
Au moment du coucher, l’ambiance est plus douce. Vous dites à Sophia à quel point cette journée était spéciale et incroyable. Comme vous, elle aimerait qu’il y en ait d’autres, mais cela ne sera certainement pas possible. Vous vous endormez enlacés.
Vous lui aviez laissé la clé “au cas où” et Virginia a préféré venir dormir chez vous plutôt que chez une amie. Vous la sentez glisser dans le lit et vous vous tournez de son côté. La jeune femme a été en boite de nuit, elle sent la transpiration et cela vous excite. Elle vous prend vivement le sexe en main et vous masturbe. Vous lui murmurez :— J’ai envie de te lécher.— Et moi, de te sucer.Elle se tourne, tête bêche, et votre 69 est divin : parce qu’elle a effectivement très envie de sucer et qu’elle met beaucoup d’ardeur à la fellation, mais aussi parce que Virginia n’a jamais senti aussi fort de la chatte et son goût n’a jamais été aussi intense. Vous dévorez ce formidable sexe et faites jouir la jeune femme. Qui vient ensuite s’empaler à califourchon sur votre queue. Ses gémissements réveillent sa mère qui se tourne et observe votre rapport dans la pénombre. Déchaînée, Virginia saute sur votre chibre et vous emmène à une divine jouissance nocturne.
Alors que Virginia va à la salle de bains, Sophia entreprend de lécher votre bite ainsi que tout le sperme de votre entrejambe. Quand Virginia revient, Sophia est toujours en train de lécher et elle lui dit :— Tu en as mis de partout, je suis bien obligée de nettoyer ! Je suis ta mère, hein !Vous riez vous les trois avant de vous endormir.
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