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La Loi de la jungle.

Chapitre 1

Erotique
Merci à AlexisPC qui s’est proposé de corriger une vieille histoire de sept chapitres. Pour ceux qui ont lu ’’Trois cocus volontaires’’, reconnaîtront Katharina, cette histoire retrace ses premiers pas dans la jungle. Bonne lecture.


L’évangélisation.
Un terme qui, a priori, fait souvent peur et est connoté péjorativement.
Il s’agit pourtant du fait d’annoncer la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ et donc de faire connaître la foi chrétienne en la Résurrection, celle du Fils de Dieu puis des hommes.
En tant que nouveau pasteur de vingt et un ans tout juste sorti de l’institut protestant de théologie de Montpellier, c’était la mission que j’avais à cœur d’entreprendre. Finir de répandre la parole de Jésus aux peuples encore dans les ténèbres me paraissait être un devoir sacré, contrairement à d’autres pasteurs et amis, je n’avais pas envie de passer ma vie en France à démontrer aux catholiques que vénérer le Pape, les éloignait de Jésus.
Non !
Ce n’était pas ma voie.
Je ne voulais pas perdre mon temps avec des idolâtres qui avaient toutes les connaissances de Jésus-Christ en main pour savoir pécher, alors que des hommes honnêtes dans des contrées reculées mouraient sans avoir eu la chance d’entendre la Bonne Nouvelle et donc de rejoindre le Paradis de Dieu.
Au début de mes études théologiques, un ami de classe me présenta sa sœur aînée qui tardait à trouver un mari qui pourrait lui correspondre et la rendre heureuse.
Protestante, issue d’une famille protestante, son prénom ne m’étonna pas,
Katharina, un prénom orthographié pareillement à celui de la femme de Martin Luther, le père de la Foi protestante et du schisme de l’église chrétienne.
Je me rappellerai toute ma vie la première fois que je l’aperçus dans le salon de ses parents, en train de lire dans un fauteuil club.
Je découvris alors une sublime femme de vingt-cinq ans, soit à cette époque sept ans de plus que moi, qui allais sur mes dix-neuf ans. Les derniers rayons du crépuscule qui filtraient à travers une grande porte-fenêtre faisaient luire ses cheveux de feux.
Je n’avais encore jamais vu une telle rousseur de ma vie, avec des nuances de lave volcanique qui me mirent en émoi. Ses longs cheveux étaient tressés en deux nattes qui s’enroulaient de chaque côté de son crâne pour se joindre dans son dos dégageant un visage de toute beauté. Sous des sourcils qui ne dépareillaient pas de la couleur dominante, de grands yeux verts se levaient alors de son livre pour plonger avec assurance dans les miens. Elle avait un nez fin légèrement retroussé, des pommettes hautes, le tout parsemé de taches de rousseur qui, loin de l’enlaidir, rajoutaient à son charme incendiaire. Des lèvres pleines, une mâchoire bien dessinée, un gracieux cou, dans une robe d’un vert foncé, je ne pouvais que voir les formes généreuses de ses seins, les belles lignes de ses hanches. Je devinais sous le tissu de longues jambes galbées avec une grâce divine, tant Dieu ne pouvait avoir magnifié le haut pour enlaidir le bas.
J’avais déjà eu quelques émois au lycée, mais là devant elle, j’étais comme frappé par un train à grande vitesse.
— Bonsoir, me dit-elle en me faisant la bise.
J’avais le cœur à tout rompre, je répétais le mot comme un perroquet en sentant mes joues me brûler. Perdant mes moyens, ne pouvant soutenir une conversation, même sur le temps qu’il faisait, je repartais, sûr que Katharina ne voudrait plus jamais me revoir. Il n’en était rien, le coup de foudre qui m’avait frappé avait aussi touché Katharina, je ne pouvais que penser que c’était Dieu qui nous avait réunis.

Deux ans plus tard, face à toute notre communauté, nous nous marions enfin pour le meilleur et pour le pire.J’allais découvrir plus tard que meilleur et pire peuvent se mélanger.
Mon épouse me soutenait dans mon projet d’évangéliser ceux qui ne connaissaient pas la Bonne Nouvelle et pour ne pas mettre en péril mon projet, nous nous abstenions de rapport charnel. Elle comme moi refusions les moyens de contraception, Dieu ne nous avait pas créés ainsi pour que nous détournions notre nature. Sachant qu’à notre époque, nous avions le temps d’avoir des enfants, nous avions décidé d’attendre quelques années pour que je puisse me concentrer sur la mission que je m’étais fixée.
Beaucoup de pasteurs, de par le monde, demandaient de l’aide pour évangéliser des autochtones, je laissais alors ma femme m’aider à choisir l’endroit où je pourrais être le plus utile. Après plusieurs contacts internationaux avec des pasteurs du monde entier, suivant les conseils de mon épouse et avec l’accord de ma congrégation, j’acceptais de prêter main forte à un pasteur belge nommé Charles-Michel installé depuis plus de quarante ans en République Démocratique du Congo.
Il nous rassura, mon épouse et moi, sur la sécurité du pays, qui en plus de s’être grandement améliorée, avait épargnée de la guerre plusieurs régions, dont la sienne. Dans l’avion qui survolait la méditerranée, j’étais à la fois excité et anxieux. J’avais très envie de faire connaître et de faire rentrer la parole de Jésus dans le cœur des hommes, mais j’avais aussi très peur de ne pas être à la hauteur. Il n’était pas si facile de faire abandonner une fausse religion à ceux qui n’avaient connu que celle-ci toute leur vie. De plus, bien des traditions ancestrales allaient souvent à l’encontre du chemin vers le paradis. N’y voyez pas malice ou un manque de respect pour ces traditions anciennes. Mais la religion est souvent exclusive et mes propres croyances me poussaient à la certitude du bien-fondé de ma mission d’apostolat.
Mon épouse à mes côtés, tête reposée sur mon épaule, me rassura. Et avec son amour, je me sentais prêt à gravir des montagnes. Le long vol fut une partie de plaisir à côté du périple qui nous attendait une fois sur le tarmac de Kinshasa. Le pays n’était pas loin de faire quatre fois la taille de la France. Il est recouvert en grande partie d’une forêt luxuriante. Je n’avais jamais connu une telle chaleur étouffante et humide, alors même que notre destination était bien plus au nord, quasi au niveau de l’Équateur.
Nous changeâmes plusieurs fois de véhicules, voiture, 4x4, bus, et même un gros camion dont la benne était chargée de passagers. Sur des routes de terre cabossées, notre avancée fut lente et chaotique. Les moustiques et autres mouches suceuses de sang vinrent s’ajouter à notre calvaire. Je m’en voulais d’infliger un tel traitement à mon épouse, mais, curieuse de tout, Katharina ne se plaint pas une seule fois des désagréments d’un tel périple. Elle tombait sous le charme de cet étrange pays qui regorgeait de peuples aux coutumes si différentes, de faunes et de flores inconnues des Européens.
Enfoncés dans une forêt qui nous protégeait d’un mordant soleil, après deux semaines de voyage, nous arrivâmes à destination à pied, déposés dix kilomètres plus tôt par un chauffeur qui ne voulait pas aller plus loin.
De l’autre côté d’une rivière large, je vis une maison au toit en tôle de fer qui rouillait par endroit, construite sur pilotis et sans étage. Une silhouette nous fit signe de la main de la terrasse. C’était l’une des filles du pasteur Charles-Michel, absent, qui nous accueillit dans sa maison perdue au bout du monde.
Métisse, du haut de ses dix-huit ans, Thérèse était plutôt grande et svelte. Sous une boule de cheveux crépus, son visage harmonieux avait la beauté des deux races, si c’est encore possible de nos jours d’employer ce terme. Parlons plutôt de ses deux origines. Des yeux marron, clairs comme sa peau, un nez épaté plutôt fin, des lèvres pleines, jamais avare de sourires. Sous son chemisier blanc trempé de sueur, mes yeux s’arrêtèrent un instant sur sa poitrine moyenne dont les mamelons épousaient le tissu. Elle portait un short qui dévoilait de longues jambes galbes et musclées.
Thérèse avait les atours de l’idée que je me faisais des mannequins professionnels. Après avoir fait connaissance, Thérèse nous conduisit à notre chambre qui donnait sur l’arrière de la maison. Exténué, je me serais bien jeté sur le lit en baldaquin fermé de moustiquaires, mais je macérais dans ma sueur depuis trop longtemps, Katharina ne me laissa pas le choix. Thérèse nous donna un pain de savon et des serviettes en nous indiquant un petit chemin à prendre sur une vingtaine de mètres pour trouver une salle d’eau en plein air. Une cascade se jetait dans un point d’eau bordée d’une clôture de bois, des pierres plates et polies par le temps servaient de carrelage. Je n’étais pas très à l’aise de me déshabiller en plein air, d’autant que la clôture n’arrivait même pas à mes épaules, elle devait servir simplement à éloigner les bêtes sauvages.
Sans pudeur aucune, Katharina passa par-dessous tête son tee-shirt, tomba son soutien-gorge, baissa pantalon et culotte. Puis sans attendre, passe sous la cascade en poussant un cri de joie. Ses cheveux roux, coiffés en une longue tresse, épousaient comme un serpent un de ses lourds seins et mes yeux ne purent que suivre sa direction vers une toison aux nuances plus sombre. Je pouvais distinguer les contours de son intimité.
Il n’y avait pas cinq minutes, je tombais de sommeil. À présent, j’étais plus que réveillé. Je dois avouer que le sexe m’avait toujours mis mal à l’aise, car si nous étions à l’image de Dieu, les rapports charnels nous rapprochaient bien plus des bêtes que du divin. Mon épouse sous les rayons qui filtraient des grands arbres était de toute beauté, elle posa ses yeux verts sur moi en esquissant un sourire coquin.
— Ne sois pas timide, nous sommes mari et femme, me dit-elle. Approche, je vais te frotter le dos.
Je l’avais déjà reprise sur sa façon de me parler par moments, mais en cet instant, je ne pouvais qu’obéir à mon aînée de femme. Cachant d’une main mon érection, je glissais sous la cascade d’eau fraîche. Le savon n’était qu’un prétexte, je le savais, Katharina était d’accord avec moi pour ne pas concevoir dans les premières années de ma mission, néanmoins elle me harcelait régulièrement pour que je la contente de caresses. Dans mon esprit de pasteur, ça n’avait pas de sens, mais pour mon corps, cela en devenait presque vital, face à ma sublime épouse nue, je laissais toujours le dernier l’emporter.
Je posais mes mains sur ses hanches, elle passa ses bras autour de mon cou, nos bouches se trouvèrent avec bonheur. Depuis notre départ, nous n’avions pas eu un moment d’intimité, aussi, je la sentis plus empressée qu’à l’accoutumée, sa langue passant rapidement mes lèvres. L’eau ruisselante, alliée à mon épouse entreprenante, me fit un bien fou et je rendais le baiser avec fougue en glissant mes mains sur ses fesses rondes. Mon épouse, qui déjà pressait ses seins contre mon torse, appuya son pubis contre ma queue tendue. Sous la canopée raisonnant de mille bruits d’oiseaux, j’avais l’impression d’être dans le Jardin d’Éden. Je poussais ma langue contre la sienne en malaxant ses fesses depuis un moment quand Katharina me poussa à descendre. L’épuisement physique avait aussi affaibli mon esprit, j’avais toujours refusé de lui sucer les seins, geste destiné et réservé à nos futurs enfants. Pourtant, en ce jour et sans résister, je fléchis les jambes.
Suçant son cou palpitant, j’entendais à travers le bruit d’eau ses soupirs qui m’encourageaient à continuer. Léchant une fine clavicule, je passais sur la naissance de la généreuse poitrine. Les doigts de mon épouse passèrent dans mes cheveux pour me guidant sur un sein, je les avais caressés maintes fois, mais ce ne fut rien à côté de ce que je découvris en déposant délicatement ma bouche sur un mamelon quasi plat. Une bouffée de chaleur m’envahit, je ne comprenais pas que de simples attributs destinés à l’allaitement me troublent autant.
Trouvant une petite éminence molle à sucer, je la pressais entre mes lèvres un peu plus fort. Mon épouse se crispa en soupirant plus profondément et plus longuement et je sentis le délicat mamelon pointer en durcissant contre le bout de ma langue.
— Caresse-moi la chatte en même temps, me souffla-t-elle.
Lâchant une fesse, je glissais ma main contre sa vulve, malgré l’eau fraîche qui y ruisselait, je sentis bien sa chaleur accompagnée d’une viscosité que j’avais découverte lors de notre nuit de noces. Elle m’avait appris, ce soir-là, à la caresser, aussi, je passais doucement mes doigts contre sa fente, elle leva le bassin en écartant les jambes.
— Continue mon lapin, c’est bon !
J’avais en horreur ce surnom, mais ne trouvais pas la force de lui en faire encore part, car tout me poussait à la contenter.
Suçant le deuxième mamelon, je la pénétrais d’un doigt. Elle recula pour s’adosser à un rocher poli, la cascade dans notre dos créant un rideau d’eau, cela m’incita à me détendre. Je passais un deuxième doigt dans son vagin qui déclencha un mouvement de bassin. Suçant un mamelon, je suivais le mouvement de la main. Mon épouse poussait des gémissements réguliers en me caressant la tête d’une main, j’avais l’impression d’être à son service, ça me plaisait énormément. Poussant à mon tour une expiration de bonheur, je me laissais porter par mes envies, mordillant le mamelon, je roulais ma langue dessus avant de reprendre la succion, mon épouse gémit de plus belle. Par à-coups, je sentais le vagin compresser mes doigts, mon épouse n’allait pas tarder à jouir. C’était un signal que j’avais appris, grâce à elle, à décoder et à comprendre afin de la contenter.
— Un peu plus vite mon lapin, oui comme ça continue !
Suçant le mamelon fougueusement, je faisais aller et venir mes deux doigts rapidement dans son vagin, elle haleta en ondulant du plus belle. Je pensais que mon épouse voulait jouir, mais elle m’arrêta en m’agrippant le poignet. Reprenant son souffle, le visage rougi, Katharina me couva d’un regard brillant de désir. Sans un mot, elle guida ma main poisseuse de son nectar vers ma bouche. J’avais le cœur à tout rompre par la grâce de ce qu’elle me demandait tacitement. Je sentis l’odeur entêtante de son intimité. J’aurais dû lui dire qu’elle exagérait, que ça ne se faisait pas, mais déjà, je suçais mon majeur. Cela m’enflamma, j’avais l’impression de commettre un péché, mais ne pus m’empêcher de sucer le nectar odorant sur mes autres doigts.
— Alors mon lapin, tu aimes mon jus d’amour. — Non, mentis-je en me redressant.
Je n’aurais pas dû me laisser aller de la sorte. Elle ne me laissa pas le temps de reprendre mon rôle de pasteur, ses lèvres trouvèrent les miennes, sa main, mes couilles. La frustration du voyage avait fait surgir une partie d’elle que je ne lui connaissais pas, mon épouse était bien plus entreprenante. Sous sa langue intrusive, Katharina malaxa rudement mes testicules, son autre main plaquée sur ma nuque me défendit de bouger. Je poussais une petite plainte qui la calma quelque peu. Je me laissais, alors, aller à ces caresses un peu rudes en retrouvant avec bonheur les plus belles fesses de France. Elle me dérouta, en finissant par sucer ma langue. Décidément, ce nouvel horizon lui donnait des ailes. Malgré la cascade qui éclaboussait en permanence mon dos, je commençais à avoir chaud. Les nouvelles caresses que me prodiguait mon épouse m’échauffaient de plus en plus.
Je poussais mon bassin pour lui faire comprendre de me masturber, mais Katharina n’en fit rien, ses doigts continuèrent à enserrer mes couilles, sa bouche à sucer ma langue. Elle me dominait, j’en pris conscience à cet instant, mais la chaleur de mon corps et de mon esprit qui en découlait m’empêcha d’y mettre un terme. Mon épouse dut sentir ma faiblesse, me tirant les cheveux en arrière, elle plongea son regard brillant dans le mien.
— Mon lapin, ça me faire vraiment plaisir que tu me lèches la chatte. J’avais encore en tête le goût de son intimité, ma langue brûlait de découvrir la source, ma profession de pasteur me retint. — Nous ne devons pas pervertir l’acte de la procréation, soufflais-je. — Alors, baise-moi. — Si tu tombes enceinte, je devrai repartir avec toi. — Tu vois, mon lapin, que ta langue est encore la meilleure des solutions pour me donner ce que je réclame.
Adossé contre le rochet, le visage si rougi par le plaisir que ses taches de rousseur disparaissaient presque, Katharina dévoila d’un grand sourire ses dents blanches. Elle avait gagné et le savait.
— Mets-toi à genoux mon lapin, remercie comme il se doit ton épouse qui t’a accompagné et soutenu dans ta divine mission en lui octroyant son plaisir.
Elle dégageait, dans ces moments, une telle énergie sexuelle qui me laissait totalement désarmé et incapable de raison. Ses mains sur ma tête, ses yeux brillants dans les miens, suffirent à me faire fléchir les jambes. Haletant, je regardais ce que l’Ancien Testament interdisait formellement. Des poils drus, roux foncés, encadraient une fente d’une rose chair, dont les petites lèvres dépassaient à peine. L’odeur entêtante bien plus que la pression de mon épouse me fit poser la bouche sur la vulve brûlante. J’eus la poitrine compressée d’une violente boule de chaleur, tout mon être exultait à ce contact. Fébrilement, je passais ma langue contre les lèvres intimes, mon épouse poussa une expiration de libération. Elle releva le bassin pour que j’enfonce encore plus franchement ma langue dans l’extrême douceur de son sexe. Emplissant ma bouche de nectar, je n’avais jamais connu un tel plaisir d’en donner.
M’agrippant aux cuisses de mon épouse, je ne la quittais plus des yeux en découvrant de la langue sa vulve qui me faisait tourner la tête. On était en plein jour, Thérèse pouvait nous surprendre à tout moment, au lieu de me calmer, cela m’excita de plus belle. Mon épouse ne s’en inquiéta pas le moins du monde, ses gémissements réguliers accompagnaient le bruit de la cascade. Une main toujours dans mes cheveux, elle commença de l’autre à se malaxer un sein.
— Tu aimes me lécher la chatte mon lapin ?
Un sourire malicieux aux lèvres, elle me tira la tête en arrière pour que je réponde. Reprenant ma respiration, ne pouvant nier l’évidence, j’avouais.
— Oui, j’aime beaucoup ça !
Sans me lâcher du regard, elle descendit sa main sur son pubis, ses doigts firent ressortir au sommet de sa fente une petite boule rose pointant entre des poils. D’une pression de son autre main, elle me fit poser ma bouche dessus.
— Suce délicatement mon clitoris.
En feu, j’obéis avec joie, passant ce petit bout de chair entre mes lèvres, je le suçais doucement en laissant échapper un soupir qui me fit honte. Dieu et ses commandements s’éloignaient de mon cœur, mon épouse Le remplaçait. Agenouillé entre ses cuisses, je n’avais qu’à cœur que de lui plaire. La bouche entrouverte, poussant des gémissements crescendo, Katharina amorça un petit mouvement de bassin. Plongé dans ses beaux yeux verts qui avaient perdu toute innocence, je suçais l’éminence puis le titillais de la langue.
— Petit coquin, tu cachais bien ton jeu, me dit-elle d’une voix suave. Sous tes airs de pasteur doctrinaire, tu as une nature libidineuse.
J’écoutais à peine ses provocations, tout mon être voulait la faire jouir, je glissais deux doigts dans son vagin, ce qui la fit taire. S’arquant, Katharina se mordit la lèvre en m’agrippant les cheveux des deux mains, elle était déchaînée. Ses mouvements de bassin devinrent saccadés, j’avais du mal à rester sur son clitoris, mes doigts se faisaient presser par son vagin.
— Si tu t’arrêtes, je te tue, me cria-t-elle avant de pousser un gémissement.
J’accélérais mon doigtage, je sentais le nectar couler sur mon avant-bras, sous ma langue le clitoris, en durcissant, avait pris un tel volume que cela m’effraya autant que ça m’excita. J’avais l’impression de sucer un micropénis, guidé par les soupirs de mon épouse, je roulais ma langue dessus, le titillais avec plus de fougue.
— Je vais venir, c’est bon mon lapin, vas-y encore un peu.
Plaquant mon visage sur sa vulve, mon épouse poussa de bruyants gémissements en ondulant de manière saccadée. Répondant à l’orgasme qui l’emportait, elle ferma les yeux, tourna la tête d’un côté. Son visage était défait par le plaisir, ses lourds seins se soulevaient à grande vitesse, son bassin était pris de tremblement. Je n’avais jamais vu mon épouse dans un tel état de béatitude. Reprenant sa respiration en me relâchant, ses yeux brillants de gratitude s’ouvrirent sur moi, toujours agenouillé. J’étais, à cet instant, le plus heureux des hommes.
— J’aurais dû t’amener bien plus tôt à me bouffer la chatte, me dit-elle sans pudeur.
Son pied se posa sur ma queue tendue, je laissais échapper un honteux soupir, elle poussa son ascendance sur moi en amorçant un mouvement de va-et-vient.
— On ne devrait pas faire ça, dis-je sans conviction.
Contre la paroi de roche, Katharina, avec l’assurance d’une reine, me contempla de toute sa hauteur, son gros orteil et son voisin enserrèrent ma verge.
— Ça n’a pas l’air de te déplaire, me dit-elle narquoise. Tiens-toi les mains dans le dos, laisse-moi faire ou j’arrête immédiatement.
Le besoin de jouir était si fort que j’obéis en baissant les yeux de honte. Les mains dans le dos, le souffle court, je posais mon visage contre la jambe ancrée au sol en retenant mes soupirs à cause de l’autre qui s’activait sur ma queue. J’avais l’impression d’être l’esclave de mon épouse autant que de mes pulsions. Ma raison et ma Foi étaient étouffées par mes plus bas instincts. Les deux orteils qui prenaient ma queue en étau m’approchaient toujours plus de la jouissance tant désirée. J’étouffais mes soupirs si peu virils sur la cuisse de mon épouse.
— Je veux te voir jouir mon lapin, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta jolie voix.
Honte et excitation se mélangeaient en moi comme deux violents courants qui manquaient d’un rien de me rendre fou. J’aurais voulu être assez fort pour arrêter le jeu pervers de mon épouse. Car, humilié de ne pas y arriver, je laissais échapper un soupir en croisant son regard amusé de ma situation.
— Tu aimes ça être soumis à mon bon vouloir. — Non, mentis-je. — Mon lapin ton corps est bien plus honnête, je sens ta queue palpiter. — Ça va trop loin. — Tu veux que j’arrête ? — Non. — Bien ! Dis-le, ne sois pas timide. — Continue, fais-moi jouir. — Voilà qui est mieux, mon lapin.
Les deux orteils enserrant la queue prirent enfin un rythme régulier, remontant sur mon gland avant descendre jusqu’à mes couilles. Perdu dans les yeux d’une déesse, je ne retenais plus mes petits bruits obscènes à ses caresses indignes pour un pasteur. Je ne pus retenir bien longtemps mon bassin d’aller en contresens des mouvements des orteils. Agenouillé aux pieds de mon épouse, les mains dans le dos, je gémis de plus belle en perdant toute retenue, je péchais, mais n’y pouvais rien. Ma queue fut prise de palpitation, mon épouse accéléra en me souriant. D’un dernier mouvement, elle déclencha une puissante décharge de plaisir qui partit du bout de mes pieds pour traverser tout mon corps.
Je poussais un gémissement de libération pendant que ma queue déchargeait en de grands jets de toute ma frustration et tout mon plaisir. Mon épouse continua un instant, avant de me relever pour me donner un tendre baiser. Contre son corps chaud, j’étais mortifié tant l’excitation comblée, ma honte reflua avec force. J’avais péché, je m’étais perverti, je m’étais conduit comme un dépravé. Dieu qui voit tout, devait me juger doublement coupable, moi qui étais son messager sur terre.
Étreignant mon épouse, je jurais intérieurement de ne plus me laisser aller. Ma mission sacrée en tête, j’expirais mes fautes en faisant renter Jésus dans le cœur d’hommes resté dans les ténèbres.
J’ignorais encore que l’inverse pouvait arriver.
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