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La Loi de la jungle.

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Merci AlexisPC qui s’occupe de la correction et de rajouts pour plus de compréhension. J’aime lire vos commentaires, flatteurs de préférence, mais si vous voulez vous défouler ou apporter des critiques constructives, faites-vous plaisir. Bonne lecture.


Mon épouse et moi, nous trouvâmes rapidement nos marques en République Démocratique du Congo. Thérèse, la jeune fille qui nous avait accueillis à notre arrivée dans le petit village perdu au fin fond de la jungle africaine, nous donna de nombreux conseils pour faciliter notre vie dans cet endroit hostile pour des Européens.Se lever très tôt, faire une sieste aux heures les plus chaudes, utiliser une huile essentielle pour chasser les moustiques, suspendre nos chaussures pour éviter que des araignées et autres insectes venimeux ne s’y logent subrepticement, être parcimonieux avec l’eau potable.
En attendant que le pasteur Charles-Michel revienne avec du ravitaillement, je passais une dizaine de jours à étudier les meilleures approches pour évangéliser les animistes. Pendant ce temps, Katharina partait souvent avec Thérèse découvrir les environs, elle nous rassura en disant que léopards et autres dangers inhérents à cette nouvelle vie seraient tenus à distance avec son fusil de chasse. Elle emmenait aussi toujours une trousse de premier secours.
Laissé à moi-même dans la grande maison, la solitude qui me faisait un peu peur au départ était, en fait, agréable. Souvent sur la terrasse face à la rivière, je me sentais un peu comme Robinson Crusoé, ma bible était mon vendredi. Je n’avais rien promis au pasteur Charles-Michel, mais en moins d’une semaine, je savais pouvoir rester des années dans ce lieu qui oscillait entre l’enfer et le paradis, pour l’aider à répandre la Bonne Nouvelle.
Un début d’après-midi comme les autres, alors que le soleil brûlait tout ce qui n’était pas dans une ombre, au lieu de faire une sieste comme à l’accoutumée, je profitais de l’absence des femmes pour aller me laver. À mi-chemin entre la maison et la cascade, j’entendis des éclats de voix et des rires, je m’arrêtais pour tendre l’oreille. Les femmes étaient rentrées, ça ne faisait plus de doute, je trouvais curieux qu’elles ne soient pas passées à la maison prendre des affaires de rechange. De mauvaises pensées me vinrent, Katharina et Thérèse ne s’étaient jamais lavées ensemble, cette perspective fouetta mon sang. Je n’avais aucun mal à imaginer le corps voluptueux de mon épouse, pour ce qui est de la jeune métisse, la silhouette de son corps m’était maintenant familière.
Élancée, des seins moyens, des fesses rebondies à l’européenne, des jambes à n’en plus finir. J’arrivais presque à me l’imaginer nue, mon esprit parfois m’effrayait, bien trop éloigné des pensées nobles d’un pasteur. Je savais que ce n’était qu’une excuse, mais une partie de moi avait envie de s’assurer que c’est bien elles. Mes pas me conduisirent jusqu’au moment où je me trouvais en vue de la cascade. Sous une accablante chaleur, pourtant atténuée par la canopée, j’aperçus derrière la clôture qui fermait le point d’eau, les cheveux flamboyants de mon épouse. Ce qui m’intrigua, c’est qu’ils étaient comme coiffés par des noirs crépus de la jeune métisse. La perspective pouvait me tromper, elles pouvaient simplement se baigner dans l’axe de ma vision, mais je notais que plus un rire ni une discussion ne résonnaient avec le chant des oiseaux.
À pas de loup, je m’approchais pour en avoir le cœur net. Je connaissais à présent assez l’endroit pour savoir qu’un sentier montait au sommet de la falaise, le ruisseau qui s’y jetait, couvrait le bruit de mes pas. Je n’étais même pas sûr qu’elles s’embrassaient, pourtant je n’hésitais pas à m’approcher à quatre pattes du précipice pour les épier. En contre bas, à moins de cinq mètres, j’eus la confirmation de mes soupçons.
Debout, totalement nues, de l’eau jusqu’à mi-cuisses, elles étaient enlacées l’une contre l’autre. Même si j’avais été à plus de cent mètres, le contraste des peaux ne laissait plus aucun doute. Mon épouse dos à moi avait son fessier, d’une blancheur très claire, pris par deux mains chocolat au lait. Mon cœur se serra, pas de peine, mais d’une violente excitation. Allongé, relevé sur les coudes, je sentis ma queue se tendre en un instant. J’aurais dû rebrousser chemin, puis appeler mon épouse à bonne distance pour la sermonner. Pourtant je restais les yeux rivés sur les deux sirènes dépareillés, à la beauté troublante.
Sous la pression des doigts de la métisse, les fesses de mon épouse s’ouvraient et se fermaient. J’aperçus clairement qu’elle relevait la croupe exposant son anus et une partie de sa vulve, j’en avais le souffle coupé. Mon épouse me trompait, cela avait beau être avec une femme, on s’était juré fidélité devant Dieu. Je ne ressentais pourtant aucune déception, bien au contraire, mon corps réagissait en dépit du bon sens. Une vague de chaleur me compressa le torse à m’en faire mal. Les mains de Thérèse, par mouvement giratoire, s’approchèrent de la raie des fesses de mon épouse, j’entendis distinctement Katharina pousser un soupir quand les doigts passèrent sur son anus. Thérèse s’y arrêta, caressant de deux doigts la rondelle, elle fit pousser d’autres soupirs à mon épouse. Encore une fois, je restais sidéré que ce geste d’une rare perversité qui m’enflamma de plus belle.
Je me couvrais ma bouche d’une main de peur que ma respiration haletante ne leur parvienne. Je me comportais comme un voyeur, j’en demandais pardon à Dieu, mais le spectacle obscène auquel j’assistais me clouait sur place. Thérèse quitta la bouche de mon épouse pour lui sucer le cou, son majeur s’enfonça dans l’anus, l’index glissa contre la fente.
— Tu me fais du bien ma belle, dit mon épouse.
— Tu n’as encore rien vu, je vais te lécher le cul jusqu’à ce qu’il fonde.
Dire que le matin même, devant notre petit-déjeuner, nous rendions grâce à Dieu. J’avais plus honte de mon comportement que du leur, pourtant malgré tout, je restais à regarder. Je devrais plutôt dire, admirer. L’annulaire de la métisse rejoint le majeur dans le cul de ma femme. Je me berçais des petits soupirs que Katharina poussait au va-et-vient des doigts. Thérèse lui suça le cou tendrement en caressant son corps de l’autre main, elles poussaient de concert des expirations de contentement.
Le temps d’un battement de cils, les yeux de Thérèse se levèrent vers les miens. Le cœur prêt à sortir de ma poitrine, je m’aplatissais aussitôt au sol. M’avait-elle vu ? Je n’en savais rien, mais la peur d’être percé à jour me calma. Soufflant dans mes mains comme un bœuf, j’hésitais à reculer pour rejoindre la maison. Les gémissements de mon épouse me firent redresser la tête, je n’aurais jamais imaginé une position aussi obscène. Katharina, ma bien-aimée, était allongée sur la rive. Pliée en deux, ses genoux quasi ramenés contre ses épaules. Agenouillée derrière elle, Thérèse maintenait son cul pointant vers le ciel. Elles s’étaient mises dans mon axe comme pour me donner la meilleure vue possible. Thérèse s’amusait à mordiller une des fesses, mon épouse qui poussa un soupir d’énervement.
— Je parie princesse, que ton époux ne t’a jamais bouffé le cul ? — Il commence à peine à me bouffer la chatte, je ne vais pas le brusquer !
Je n’en revenais pas que mon épouse parle de mes perversités. J’avais déjà du mal à assumer mes actes devant Dieu, maintenant je devrais chaque jour faire face au jugement de Thérèse. Celle-ci, par de petits mouvements, s’approcha de l’anus de mon épouse qui poussa un gémissement quand la langue passa dessus. La tête reposée sur sa chevelure cuivrée, fermant les yeux, Katharina se laissa complètement aller à la caresse buccale. Infatigable, Thérèse tournait sa langue sur la rosette, l’enfonçait, puis recommençait.
À nouveau, son regard passa sur le mien, une fraction de seconde. J’en fus bouleversé, un mélange de peur, de honte et d’excitation qui afflua dans mon corps déjà chauffé à blanc. Perlant de sueur, le visage rougi à un point que ses taches de rousseurs disparaissaient, mon épouse commença à pousser des gémissements plus nets. Sa vulve luisante de nectar s’ouvrait comme une fleur, sa toison cuivrée brillait de mouille, un filet descendant, de par sa position recroquevillée, sur son nombril. Elle m’avait fait découvrir son goût intime, j’avais, à présent, envie de descendre les rejoindre pour m’en abreuver. Ma conscience et ma Foi m’empêchèrent de devenir une bête. Pendant un moment, Thérèse continua à lécher l’anus en caressant les cuisses de mon épouse. D’où j’étais positionné, j’avais l’impression que l’anus se dilatait, la langue y rentrait avec de plus en plus de facilité.
La jeune métisse finit par se redresser, son regard se posa sur moi et y resta. J’étais comme un lapin pris dans les phares, pétrifié par mon excitation qui monta encore d’un cran. J’avais l’impression d’être face à une tentation que le pasteur que j’étais avait du mal à rejeter. Thérèse me sourit en enfonçant deux doigts dans l’anus de mon épouse qui poussa un cri d’allégresse. Puis la boule de cheveux crépus, en se penchant en avant, me boucha la vue de la toison cuivrée.
Aux soupirs que poussa mon épouse, nul doute qu’elle lui léchait la chatte. Les yeux toujours clos, Katharina poussa d’autres bruits toujours plus obscènes. J’épiais ma propre femme, m’enflammant de ses infidélités, ma queue tendue plaquée contre le sol me faisait mal. Je dus lutter pour ne pas ajouter à mes péchés, celui de la masturbation. Tourmenté par mes manquements de pasteur, de croyant, de mari. Je haletais dans mes mains, incapables d’une décision tranchée. Restant à mon poste, je fus étourdi par le changement de position. Toujours face à moi, Thérèse s’était maintenant agenouillée de part et d’autre de la tête de mon épouse. Je passais mon regard sur ses seins moyens qui pointaient de désir, son ventre plat perlé de sueur. Je restais accroché par sa toison noire taillée en triangle. J’étais si obnubilé par son sexe sous le nez de mon épouse, que je sursautais quand mes yeux revinrent se planter dans les miens. Ses lèvres esquissèrent un sourire coquin.
Sans me quitter des yeux, Thérèse baissa son bassin, mon épouse passa aussitôt sa langue entre ses lèvres intimes. Je pouvais distinguer le rose de la langue pousser la vulve noire.
Thérèse poussa un gémissement en amorçant un petit mouvement de bassin.
— C’est la première fois que tu lèches une femme ?
Thérèse releva le bassin pour laisser ma femme répondre, me répondre. Je devinais que la métisse voulait me tourmenter, ses yeux marron clair posés sur moi brillaient de perversité.
— J’ai fait quelques expériences au lycée.
Je n’en croyais pas mes oreilles, ’’quelques’’ donc plusieurs femmes. Mon épouse avait dévié du chemin de Dieu bien avant d’arriver dans cette jungle. Disant cela, elle tendit le cou pour lécher la vulve avec un plaisir certain.
Sous les bruits de la cascade, je captais néanmoins les soupirs étouffés. Ondulant sur le visage rougi de plaisir, Thérèse se malaxa les seins en me dévorant des yeux. Elle était belle, me montrait son corps sans réserve, et après l’aveu inconscient de mon épouse, j’étais plus en clin à ’’quelques’’ entorses à notre serment.
Je déraisonnais complètement, m’imaginant descendre de mon perchoir pour les posséder toutes les deux. La chaleur alliée au spectacle allait me rendre fou. Thérèse commença à pousser des gémissements réguliers, mon épouse s’activait à lui sucer le clitoris. J’aperçus le petit bourgeon, étonnamment rose, pointer entre les poils noirs.
— Sors ta langue princesse !
Thérèse ondula d’abord doucement sur la langue de mon épouse, puis peu à peu, en gémissant de plus belle, elle accéléra. J’avais l’impression qu’elle baisait uniquement avec la langue dardée, pénétrant systématiquement sa chatte baveuse. Son bassin fut pris de mouvements saccadés, puis se cabrant en s’immobilisant, Thérèse poussa un énième gémissement, j’arrivais à voir ses muscles se tendre sous l’orgasme qui la traversait.
Tandis qu’elle reprenait sa respiration, mon épouse lui donnait de petits baisers à l’intérieur de la cuisse. Retournant dans l’eau, elles s’embrassèrent tendrement. Pendant qu’elles se rhabillaient, je fonçais à la maison en espérant pouvoir, d’ici leur retour, cacher mon érection. La bible sur la commode de ma chambre me rappela à mes obligations. Je devais me reprendre, arrêter de pécher, aider mon épouse à faire de même.
J’étais un pasteur, ce n’était pas un vœu pieux, mais l’essence même de ma fonction.
Je ne savais pas encore à quel point je me fourvoyais.
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