Toujours à la correction et à la finition AlexisPC, un vrai bourreau de travail. Les commentaires sont apprécié, bonne lecture.
Je m’étais, à présent, bien trop avancé dans la luxure pour lui refuser cette caresse. Toujours sur le dos, les poignets liés aux chevilles, j’aurais voulu mettre toutes mes fautes sur l’alcool, la chaleur, la musique, mais je savais aussi qu’une partie de moi adorait cette cérémonie. La partie de mon être que j’avais voulu anéantir en devenant un religieux, celle qui avilit l’homme et la femme, celle qui fait que l’humanité a tant besoin de Dieu.Un rondin de bois d’une cinquantaine de centimètres de haut, de la taille d’un banc, fut placé tout proche du cercle de lianes. Macoura s’y assit sous de multiples exclamations de ses camarades. Il prit mon épouse par la main pour la placer face à moi, debout entre ses genoux. Comme pour Rofili, je constatais qu’avoir sucé le jeune homme avait beaucoup excité mon épouse. Sa toison rousse était imbibée de nectar, sa vulve gonflée de plaisir m’attirait comme un aimant. Les rythmes des tam-tams, la chaleur moite, les danseurs surexcités qui se déhanchaient en poussant de cris de concert me donnèrent l’impression, en cette nuit, que tout était lié contre moi pour me pousser vers ma perte. Comme si tous, y compris Katharina, savait que plus rien ne pourrait m’aider depuis que j’avais accepter cette cérémonie païenne créée uniquement dans le but d’avilir les hommes en révélant leurs plus bas instincts, ceux que la Nature a placé en eux.Marie et Rofili s’agenouillèrent de chaque côté de moi, leurs mains passaient sur mes vêtements trempés de sueur. Je leur aurais presque demandé de me déshabiller tant cela était devenu incommodant. Le cœur à tout rompre, je savais ce qu’elles voulaient avant même qu’elles ouvrent la bouche. — Nos esprits nous ont fait un grand cadeau en te conduisant à nous, me souffla Rofili. Tu lis dans le cœur des femmes si facilement, je suis certaine que tu seras aussi doué avec les hommes. Avant que je ne m’attarde sur ’’les hommes’’, Marie frôla de ses doigts mon sexe tendu en reprenant d’une voix presque envoûtante. — Ça t’a beaucoup excité de voir ton épouse sucer un homme, tu vas voir, mon petit momocou, que la suite va aussi te plaire. Regarde ton épouse et avoue-lui ton désir de faire éclore sa fleur pour qu’elle accueille la queue de son élu. Supplie-là de laisser ta langue passer entres ses pétales, de faire couler son nectar pour qu’il la baise sans mal. Katharina luisait sous les rayons lunaires et les flammes environnantes, des mèches de cheveux collé à sa peau contournaient un lourd sein pour venir mourir non loin de sa toison rousse, elle me fit l’effet d’une déesse grecque bien connu pour sa beauté et ses mœurs légères. Il émanait d’elle une attraction sexuelle irrésistible, presque surnaturelle. Rofili me mit sur les genoux face à mon dilemme, lécher mon épouse au risque qu’elle succombe ou arriver à contenir mes viles pulsions, me reprendre, trouver de l’aide dans la prière et finir cette cérémonie la tête haute. Entre les jambes de mon épouse, en arrière-plan, comme une mise en garde, l’épaisse et longue queue était fièrement dressé. Une infime partie de moi l’imagina pourtant s’enfoncer dans le sacré de mon épouse. Avouer mes déviances devant toute la tribu était hors de question, à un souffle de la vulve de mon épouse, faisant fi de la demande humiliante, je tendais le cou. Rofili poussa un gloussement pendant que Marie me retint par la gorge. Macoura, lui, retint le bassin de mon épouse qui expira sa frustration. Katharina me regarda comme si j’étais le coupable de ses tourments, notre écart d’âge de sept ne me parut jamais aussi criant. Agenouillé à ses pieds, j’avais l’impression d’être devenu un enfant attendant d’être puni par sa grande sœur. — Mon lapin, je ne te pardonnerai pas si, après avoir léché Rofili, tu me refusais pareille caresse. Penaud, je voulais plus que tout au monde lui faire plaisir, mais la phrase à dire étaient bien trop humiliante, Katharina reprit d’une voix plus douce. — Tu es l’amour de ma vie, je te resterai fidèle quoi que tu dises. Les grosses mains de Macouro toujours sur ses hanches, elle poussa néanmoins son bassin en me défiant des yeux de lui refuser sa demande tacite. — Tu me resterais fidèle ? demandais-je pour me rassurer. — Oui mon lapin, à tout jamais ! Je restais un instant sur sa vulve, entre ses poils cuivrés, j’apercevais son clitoris luisant. Je comprenais qu’un commandement de l’ancien testament interdise de regarder le sexe d’une femme, car il transformait mon sang à lave, ma volonté en servitude. — J’avoue, bredouillais-je à la fois mortifié et surexcité, que cela me plairait de faire éclore ta fleur... Pour qu’elle accueille sans mal la queue... De... De ton élu. — C’est bien, me dit Marie. Maintenant, supplie ton épouse d’accéder à ta demande et que tous t’entendent. Les percussions avaient faibli, elles résonnaient comme un bourdonnement. Les hommes, tout autour de nous, tapèrent du pied ou frappaient de leurs lances le sol en murmurant mon titre humiliant. Leurs regards m’écrasaient, j’aurais voulu me cacher dans un trou mais le désir impérieux de mon épouse était bien plus puissant que ma honte. — Je t’en supplie, dis-je de vive voix. Laisse-moi passer ma langue entre tes pétales, laisse moi faire couler ton nectar pour que ton élu te baise sans mal. — Encore, ne t’arrête pas de supplier, me dit Marie. Que tous nos esprits protecteurs entendent avec joie qu’un étranger reconnaît la supériorité de nos hommes en lui abandonnant son épouse. À mesure que je pliais à toutes les exigences, le mot « momocu » résonna dans la faille avec toujours plus de force. J’étais épuisé de me battre avec moi-même, épuisé par la chaleur, épuisé par le vacarme assourdissant, épuisé par la masse qui m’entourait. Mes plus bas instincts prenaient inexorablement le pas sur ma Foi et ma raison. Quand les deux tentatrices guidèrent ma tête vers la fleur de Katharina, comme elles l’appelaient, je les en aurais remerciées. Au contact de la fente brûlante de Katharina, je poussais un soupir de libération et je passais doucement ma langue sur cette organe envoûtant. Contempler mon épouse expirer son plaisir, les yeux transis d’amour posés sur moi, valait cent fois le prix de ma fierté piétinée. Enfonçant ma langue dans son vagin en m’abreuvant de son jus d’amour, j’oubliais peu à peu mon environnement pour n’avoir d’yeux que pour elle. J’avais toujours pris beaucoup de plaisir à passer ma langue entre ses lèvres intimes, mais en cette nuit si particulière, j’en fus étourdi. Toutes les particules de mon corps étaient devenues sensibles et j’avais l’impression de retomber dans mon adolescence tant mes pulsions étaient vives. Agenouillé, les poignets attachés aux chevilles encadrées par deux jolies jeunes femmes qui me caressaient par-dessus mes vêtements, accentuaient encore mon état. Poussé par un courant chaud qui irradiait tout mon corps, je lâchais prise pour me laisser définitivement transporter. Le son des tam-tams prit un rythme lent, mon épouse se dodelinait en gémissant. Je poussais régulièrement ma langue dans son vagin, avant de lécher chaque recoin de ses lèvres intimes. Une petite voix intérieure me disait que je courais à ma perte, mais je m’en fichais. Le bonheur de Katharina était devenu ma raison de vivre. Debout, écartant d’avantage les jambes, elle ondulait en fermant les yeux. Je poussais ma langue vers son bourgeon, tournant autour un instant. Sous des expirations suppliantes, je le pris entre mes lèvres, mon épouse se figea pour me laisser le lui sucer. Son souffle devint lourd, elle était proche de l’orgasme et, sans mes liens, je l’aurais doigtée en même temps. Attentives, les deux tentatrices me tirèrent soudainement la tête en arrière et Macoura, assit derrière Katharina, prit le relais de ses mains. L’une flatta une fesse, l’autre glissa sur la vulve. Loin de se plaindre du changement de partenaire, mon épouse continua de poussa des gémissements en ondulant. — Un parfait petit momocou, me dit Marie. Tu as compris que ton épouse a besoin de se faire baiser par un homme qui lui donnera des enfants forts. Comment avais-je pu ignorer cette possibilité pourtant évidente ? J’avais été si sur de moi et de mon épouse, que, dans mon esprit, la cérémonie finirait sans plus que quelques attouchements. Rofili se pencha sur mon autre oreille en m’agrippant les couilles par-dessus mon pantalon. — En engrossant ton épouse, Macoura va te faire un grand cadeau. Ta faible race laissera place à la sienne, mais ce serra bien ton enfant, jamais il ne te le contestera. Mon épouse avait tout entendu, j’attendais une réaction outrée, un renouvellement de sa promesse de me rester fidèle, mais non contente de me laisser dans le doute, elle ferma les yeux en continuant à gémir sous les doigts noirs qui s’activaient contre sa vulve. Depuis le début de la cérémonie, je n’avais jamais été aussi déstabilisé, je voulais faire confiance à mon épouse, la laisser passer cette épreuve pour accéder à mon rêve le plus cher, mais le doute s’insinua dans mon esprit. Je la contemplais nue, les mains attachées dans le dos, soupirant sous des doigts visqueux de son nectar. Elle offrait sa croupe au jeune homme assit derrière elle qui bandait comme un âne. Déjà dans la tourmente, les tentatrices enfoncèrent le clou, Rofili malaxant mes couilles par-dessus mon pantalon reprit. — Une fois que ton épouse aura goûté à la puissance des hommes de notre tribu, elle ne pourra plus s’en passer. En tant que momocou, que tu vas devenir sous peu, ton rôle serra de la servir pour faciliter ses unions. — Cela n’arrivera jamais, je ne sortirai pas du cercle et mon épouse me restera fidèle. À l’intention de Katharina, j’avais haussé le ton aux cinq derniers mots, je fus estomaqué de l’entendre pousser une plainte. — Katharina, dis-je indigné. — Ce n’est pas pour ce que tu as dit que je souffle. Macouro, ce salaud, ne fait qu’effleurer ma chatte sans y enfoncer ne serait-ce qu’un doigt. Il m’excite comme je ne l’ai jamais été, pardonne-moi mon lapin. Mais je ne tiendrai plus. Je ne tiendrai plus...Oh mon Dieeeeu....Elle me regarda avec des yeux d’ivrognes, elle en avait le langage, mais c’était bien plus la frustration que l’alcool qui la mettait dans cet état d’énervement. — La nuit est bien avancée, dis-je pour l’encourager à tenir bon. Nous serons bientôt libérés de cette épreuve. Marie prit la parole en me donnant ses doigts à sucer, ils étaient poisseux de son nectar. — Pasteur, aucun étranger n’a jamais tenu jusqu’à l’aurore, vous êtes bien trop faible. Ton épouse va te tromper sous tes yeux et tu y prendras beaucoup de plaisir. Avant la venue du jour, tu finiras par te soumettre à son élu. Malgré la dureté de ses paroles, je fus incapable de m’empêcher de lui sucer les doigts. Charles-Michel et son épouse avaient donc succombé à la tentation. Je ne connaissais pas son épouse, mais ses filles sont métisses. La vérité éclata dans mon esprit. C’était ma faute, je ne lui avais rien demandé, supposant qu’un pasteur ne pouvait que triompher. Mais pourquoi ne me l’avait-il pas dit ? La honte, le déshonneur de son titre, ou bien un autre sentiment ?Les petites plaintes de mon épouse me rappelèrent à l’instant présent, elle se frottait contre la main entre ses jambes, cherchant clairement à jouir. Macoura dans son dos s’amusait à dérober ses doigts, l’obligeant à fléchir les jambes pour les retrouver. J’eus le souffle coupé en comprenant qu’il l’entraînait vers son sexe. Mon épouse ne pouvait l’ignorer, mais elle continua à rentrer dans son jeu. Et le pire, c’est que c’était moi qui l’avais mise dans cet état. Continuant à sucer les doigts de Marie, j’avais l’impression d’une prophétie autoréalisatrice se mettait en place. Je commençais à prendre au sérieux les dire des jeunes femmes. Moi, un momocou, et mon épouse à jamais souillée. J’aurais dû ressentir une vive révulsion, mais un plaisir malsain m’envahit. Le cœur au bord de la rupture, je retins mon souffle quand mon épouse finit par effleurer d’une fesse l’épaisse et longue queue. Elle me regarda mi-gênée, mi-agacée. Puis elle me dit— Je ne vais pas te tromper mon lapin. Sans attendre ma réponse elle s’adossa, contre Macoura qui, par-dessus son épaule, me nargua du regard. Ma jalousie bondit. Katharina passa ses jambes de chaque côté de celles de son élu puis, elle poussa une expiration de bonheur en appuyant sa vulve contre la base de l’engin. Se penchant vers moi, comme pour se faire pardonner, Marie la retint pour qu’elle puisse trouver mes lèvres sans tomber à la reverse. Je m’étais un peu calmé à l’annonce de la possible conception, mais d’un simple baiser, mon épouse souffla sur le feu qui consumait ma raison, je soupirais sous sa langue chaude comme la braise. Notre amour était fusionnel, malgré le fait que je la sentais onduler contre la queue d’un autre, je n’avais aucun doute sur ses sentiments pour moi. Pétrissant sa langue de la mienne, sous les caresses de quatre mains, je fermais les yeux pour me laisser aller à ce tendre baiser. Accoutumés aux cris virils des hommes des bois, qui accompagnaient les percutions, je me prêtais à rêver d’atteindre l’aurore sans plus commettre d’autre péché. Marie finit par redresser mon épouse et je crus, un instant, que Macoura avait quitté son rondin. Mais il s’était simplement allongé sur le dos, les mollets pendants. Sa queue maintenant à l’horizontale me parut moins dangereuse pour mon épouse mais celle-ci, se reposant sur les cuisses ouvertes du jeune homme, poussait ses fesses en arrière en cherchant de sa vulve le contact de la colonne de chair. Katharina jouait avec le feu, à chaque va-et-vient de son bassin, elle poussait une expiration mi-plainte mi-plaisir. Agenouillé entre les deux paires de jambes, j’étais au première loge de ce spectacle obscène. Je pouvais voir les lèvres intimes de mon épouse épouser parfaitement le manche couleur ébène en le faisant luire de son nectar. Je remarquais que Macoura ne la caressait plus, ses mains étaient sagement le longs de son corps, et sans son érection, on aurait pu le croire endormi. Ainsi, la tribu démontrait toute la faiblesse de mon épouse, plus personne ne la pousserait à succomber. La mélodie des tam-tams changea, un rythme entêtant résonna dans la faille. Les brûlots dans les parois furent suralimentés illuminant bien mieux mon épouse dont la chevelure se mélangeait aux couleurs des flammes. Les hommes autour de nous, les bustes en avant, accompagnèrent les percutions de cris secs en frappant le sol de leurs pieds. Cette mélodie, issue de la nuit des temps, me toucha jusqu’au tréfonds de mon âme. Mon épouse, perlée de sueur, se laissa entraîner, suivant le rythme sa vulve qui allait et venait sur l’engin. Haletante, elle poussa plusieurs plaintes. Je voyais, dans ses yeux posés sur moi, l’envie d’aller plus loin et je comprenais pourquoi la tribu lui avait attaché, dans le dos, les avants bras l’un contre l’autre, elle ne pouvait plus, en aucun cas, lever le mat qui commençait à l’obséder. Sa position assise ne lui convint plus. Montant sur le rondin, elle posa ses genoux de chaque côté du bassin du jeune homme pour reprendre sa caresse sexe contre sexe. Rofili et Marie continuaient à me caresser, mais même sans ces gestes, je n’aurais pu contenir mon excitation à contempler mon épouse onduler sur une épaisse et longue queue, en appelant de ses soupirs son besoin de l’avoir en elle. Par moments, l’engin, en palpitant, se levait légèrement, mon épouse alors essayait de le redresser de son pubis. J’aurais dû lui rappeler ses engagements, mais j’en étais si troublé, ma poitrine était écrasée par une boule de chaleur. Mon sexe compressé était, lui aussi, prit de soubresauts. Les deux tentatrices me maintenaient, volontairement et avec une adresse impressionnante, à la frontière de la jouissance. Mes joues me brûlèrent quand mon épouse réussit à faire basculer, à la vertical, l’épaisse et longue queue. Pointant dans ma direction, le gland noir, perlant de nectar était tellement proche, tellement menaçant, que j’eus un mouvement de recul. Le bassin de mon épouse, qui poussait l’engin à droite à gauche, lui donnait comme une vie propre. Katharina trouva vite le coup de main pour qu’il reste plaqué contre sa fente, amorçant un lent va-et-vient, elle poussait des expirations de bonheur à chaque fois que le gland massif poussait ses lèvres intimes. J’étais au supplice, tant d’un simple mouvement de bassin, elle pouvait s’empaler sur l’engin, rompant sa promesse de fidélité éternelle. Mon épouse me décocha un sourire complice, comme si c’était sur ma queue qu’elle se masturbait, et je le lui rendis bien malgré moi. La musique tonnait à mes oreilles comme mon sang à mes tempes, j’avais du mal à respirer, je sentais l’inéluctable arriver, je le désirais presque. La vulve remontait toujours plus sur le gland noir en épousant sa courbe, puis repartait en répandant son nectar. Mon épouse ne me quittait plus des yeux, heureuse de mon émoi, elle me souriait en gémissement son envie impérieuse. Remontant une énième foi sa vulve contre le gland massif, Katharina resta ainsi en ondulant doucement, ses beaux yeux vert ne me demandaient pas mon accord mais ma complicité. Ses lèvres intimes enveloppèrent peu à peu le gland massif, elle grimaça tant sa vulve s’étirait comme jamais pour avaler la tête de l’engin. Elle poussa une expiration de soulagement quand le gland passa entièrement. J’étais fait cocu à un souffle des sexes unis, loin de m’en accabler mon corps s’enflammait comme jamais. À cheval sur son étalon, Katharina un sourire extatique aux lèvres, s’empala lentement sur l’engin. Sans remord, sans honte, sans pudeur, elle continua, en ondulant, à me couver d’un hardant désir. J’aurais pu croire que c’était avec moi qu’elle baisait. J’étais si près que je sentais ses effluves bestiales. Nous étions connectés sans l’être physiquement. Les tam-tams donnaient le rythme de la dépravation de mon épouse. S’accoutumant à l’engin, elle amorça, un mouvement de haut en bas. Autour de nous les hommes surexcités donnaient de la voix à chaque percussions. C’était une cavalière sur sa monture qui galopait vers l’extase, ses lourds seins ballottaient à un rythme régulier, sa vulve recrachait presque tout l’engin avant de l’avaler jusqu’aux couilles inondées par sa mouille, perlant sur les testicules. Sur Macoura, mon épouse était épanouie, elle était dans son élément au milieu de la tribu sauvage. Ses yeux, toujours sur moi, exprimaient une perversité qui avait commencé à se faire jour à notre premier jour dans cette jungle. Me voir agenouillé, pieds et poings lié, totalement impuissant, l’excitait indubitablement. Elle prenait un malin plaisir à sortir entièrement l’engin pour, d’un simple mouvement du bassin, le pointer dans ma direction. Le gland noir ruisselait de son nectar à quelques centimètres de mon nez, elle ondulait alors doucement sur le manche veineux en reprenant son souffle puis d’un mouvement de bassin, enfonçait à nouveau l’engin au fond de sa chatte, faisant ainsi durer son plaisir tout comme mon supplice. Mes tourmenteuses, qui m’encadraient en me caressant par-dessus mes vêtements, revinrent à la charge de leurs langues acides. — Alors pasteur, tu jouis bien du spectacle ? Me demanda Rofili. Ça t’excite de contempler ton épouse se faire baiser sous ton nez. — Il est heureux d’abandonner son droit de se multiplier, enchaîna Marie une main ferme sur mes couilles. Macoura va t’offrir un enfant valeureux qui fera la fierté de ta faible tribu. Je ne pouvais plus raisonner, tant je brûlais littéralement sous un plaisir inassouvi. Sans mes liens, je me serais masturber sur le champs. Mais tout ce que je pouvais faire, c’était de lever les yeux vers mon épouse pour qu’elle défende enfin ma paternité. — Laissons Dieu en décider, me dit-elle malicieusement. Je fus bien plus affligé par ses paroles, que de la voir me cocufier avec un jeune homme monté comme un âne. Cette phrase, plus que tout, me prouvait à quel point je m’étais trompé la concernant. Je ne la connaissais pas. Et j’eus terriblement peur de la perdre si un tel désastre arrivait. — Tu as entendu ton épouse, me dit Rofili ! Laisse ton Dieu décider qui la fécondera. — Tu as déjà perdu, renchéri Marie ! Ton épouse ne pourra plus se passer d’une telle puissance virile. Regarde comment elle vibre tout son être appelle la semence de Macoura. Empalée jusqu’aux couilles, Katharina dessinait de larges cercles avec son bassin en gémissant sous la tension que la colonne de chair lui procurait. — Maintenant mon petit momocou, reprit Marie. Je veux que tu dises à ton épouse combien tu es content qu’elle baise avec un homme. — Jamais, dis-je piqué au vif. Et je ne suis pas un momocou. — Nous allons voir ça, me dit Rofili. Elle défit aussitôt ma braguette, d’un tour de main, elle fit jaillir ma queue dressée. Je fus mortifié d’être ainsi exposé à tous les regards, mon gland à moitié décalotté était baveux de liquide pré-séminal que Rofili toucha du bout des doigts avant de les sucer. Une parcelle de fierté m’empêcha de la supplier de me branler, tant ce simple contact m’avait électrifié. Les deux tentatrices n’eurent pas de mal à le deviner, elles me soufflèrent à chaque oreille mes rêves les plus fou. — Soumets-toi comme un bon momocou et nous te sucerons la bite, me dit l’une. — Soumets-toi pasteur, et tu pourras me lécher la chatte, me dit l’autre. Agenouillé devant mon épouse qui baisait avec un autre ne suffisait pas à mon humiliation, elles voulaient me dépouiller de tout amour-propre, me faire ramper plus bas que terre. J’avais beau le savoir, leurs propositions cochonne pliaient ma volonté déjà bien amoindrie. Une petite voix pernicieuse me soufflait qu’une humiliation de plus ne changerait rien. — Vous allez me sucer, demandais-je honteusement. — Et bien plus encore, répondit Marie. Tu vas avoir un avant-goût de ce que peut avoir un momocou. — Regarde ton épouse, me dit Rofili. Dis-lui que ça te fait plaisir de la voir baiser avec à un homme. Haletante, Katharina, dressée sur son amant, ralentit ses ondulations en entendant les deux jeunes filles me parler. Elle se délectait du petit jeu sadique que je subissais. Et, alors que je pensais qu’elle allait enfin venir à mon secours, elle me dit, d’une voix dans laquelle elle mit toute sa perversité — Je t’écoute mon lapin ! Je bandais comme un âne, je ne pouvais pas nier l’évidence alors à quoi bon. — Ça me fait plaisir de te voir baiser avec un homme. Comme un chien obéissant qu’on récompense, Rofili fit courir un doigt sur ma verge, j’avançais le bassin pour qu’elle la prenne en main. — Doucement pasteur, rit-elle. Nous ne faisons que commencer ton éducation de momocou. — Dis-lui que tu renonces à l’engrosser, reprit Marie. Que tu abandonnes ce devoir aux hommes de ma tribu. Le coup était dur, mais dans mon état, j’aurais dit presque n’importe quoi. Face à la vulve étirée de mon épouse qui allait et venait sur l’épaisse et longue queue ébène, la même petite voix pernicieuse me souffla que c’était déjà le cas. Elle ne voudrait plus de moi, à présent. J’étais certain que c’est ce qu’elle avait toujours souhaité et elle l’obtenait enfin, au fond d’une jungle qui devait devenir notre Paradis mais qui était mon propre Enfer. Son seul souhait était de m’humilier et de m’abandonner. Alors à quoi bon lutter ?— Je renonce à t’engrosser, j’abandonne ce devoir aux hommes de la tribu. Katharina les yeux pétillants de malice sortie presque entièrement la queue, elle voulait que je voie à quoi je l’abandonnais. L’épais manche couvert de sa mouille palpitait, les veines étaient saillantes, Macoura pouvait jouir à tout moment. — Et toi Katharina, demanda Marie ? Tu rejetteras de toutes tes forces les momocous qui voudront t’engrosser ?— Oui, je les rejetterai avec force, même mon époux.Elle venait, par ses mensonges et ses actes, en conscience et volontairement, de briser le dernier lien qui nous unissait.