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Lola et Luc

Chapitre 1

La Rentrée

Erotique
Lola et Luc - chapitre 1

La Rentrée 
C’est mi-septembre, il fait encore très beau et chaud à Montpellier. Une belle journée d’été. Je m’approche d’un large portail en fer. Juste à côté. Une enseigne en bois surplombe un mur de béton : 
 « Université Paul Valéry – arts et lettres – langues et sciences humaines de Lettre ».
C’est la rentrée des étudiants à l’Université.  C’est également Ma Rentrée. Cette rentrée m’excite d’autant plus, car c’est ma première année. J’intègre la très grande Ecole. L’Université. C’est carrément génial, j’ai la banane, j’ai une pêche d’enfer. Je suis inscris en histoire de l’art. Une discipline que j’ai choisie. Le cinéma, le théâtre, la musique, les livres, la peinture. Tous ce qui touchent à l’Art m’intéresse.
Je m’arrête juste devant les premières marches. Il y a beaucoup d’étudiants et d’étudiantes. Ces dernières sont toutes plus belles les unes que les autres. A croire que le passage du lycée à la Fac les a bonifiés. Elles sont maquillées à souhait et pour mon plus grand plaisir. Les petites robes d’été sont encore de rigueur. Elles sont à croquées. Elles sont parfumées d’une odeur fraîche et fruitée. Elles respirent comme les vents sur les plages méditerranéennes. Je rêve. j’adore aimer ces fleurs, ces parfums qui m’excitent mes matins. Je crois que c’est ça le bonheur. Je crois que ça, c’est la Vraie Vie.
— Oups ! pardon !
— Ahah ! …
 Je m’étalai sur les escaliers. Quelqu’un ma bousculé avec force. M’extirpant de mes rêveries.
— Je suis vraiment désolée. Je ne t’avais pas vu.
Je ne vois rien. J’a hyper mal aux genoux, aux coudes. Je suis tombé en avant. "Merde"...
J’imagine tout mon corps gisant sur les grandes marches d’escaliers en béton : la honte. J’étais dans mes rêveries et cette chute m’a réveillée. Maintenant, quelqu’un essaye de me relever en prenant mon bras.
Elle reprend :
— Oh mon dieu ! je suis vraiment une gourde, j’ai dû te faire mal ? ça va ?
— Non c’est moi qui m’excuse. c’est moi qui n’avance pas et qui bouche le passage.
Je me relève difficilement.
La Gourde m’a bien fait mal. J’ai des douleurs aux mains, aux coudes, et mes deux genoux. Je crois que tout le monde autour me regarde. Enfin, je ne sais pas car je baisse la tête, pour ne pas constater que je suis le divertissement de la rentrée. J’ai hyper chaud, je crois que je suis tout rouge de honte. Je frotte mes mains pour enlever les petits gravillons. Je constate que je saigne. Merde. Je porte une large chemise à manches courtes, blanche, toute neuve, et déjà elle se tache de gouttes de sang. Je m’aperçois que La Gourde est accroupie devant moi en train d’enlever les gravillons que j’ai sur mes genoux : La Honte.
Je porte un bermuda en toile beige, il n’a pas l’air d’être taché juste quelques poussières - Ouf. Il est tout neuf, je l’ai acheté la semaine dernière. C’est bien m’a veine !La Gourde se démène à enlever chaque petit morceau de caillou sur mes jambes. Je ne vois que ses cheveux ondulés brun roux, peut-être une de ces teintures que j’affectionne : Auburn. Ses gestes sont doux…
Alors, Ma Gourde devient plutôt une Princesse. J’ai déjà beaucoup moins mal du coup. Son parfum sucré fruité accroche mon cœur. Je ferme les yeux et je commence à chavirer. Et quand mon cœur est touché, mon sexe l’est tout autant. Je sans un petit afflux de sang le long de ma verge… Je me recentre… Je me dis intérieurement de me calmer… d’essayer de sentir autre chose que son parfum. Trop tard je suis ivre, c’est doux… Ouvre les yeux bon sang ! j’ouvre mes paupières, le soleil m’ébloui encore plus, j’ai chaud dans mon ventre. Je la regarde elle a sorti un mouchoir de son sac. Elle éponge les petites gouttes de sang sur mes genoux. Elle lève la tête et me dit.
— Oh là là ! je suis vraiment, mais vraiment désolé. Ne bouge pas, j’enlève plein de petits cailloux qui sont dans ta plaie. J’espère que je ne te fais pas mal ?
— Euh… non…
Ses yeux sont brun très clair, ils brillent, je crois que j’ai vu mon âme se jeter à l’intérieur. Merde.  Une vague de sang chaud a gonflé d’un seul coup mon gland. Je ne porte jamais de sous vêtement, et à ce moment précis d’une journée ordinaire : c’est une erreur monumentale. Une bosse apparait visuellement au niveau de mon entre-jambe. Je jette un coup d’œil discrètement autour de moi… Plus personne ne nous regarde. Ouf ! L’attraction de la chute est terminée. Les étudiants passent à côté de nous sans nous remarquer. Heureusement, que ma large chemise blanche cache l’érection naissante de ma verge.
— Ça va ? dit-elle en relevant la tête.
Sous ma chemise ample, elle remarque la forme de mon gland gonflé. A travers le tissu fin de mon bermuda, la grosseur est sans équivoque. Elle rougit tout de suite, son regard croise le mien. Je rougis aussi. Des pommettes toutes rondes accompagnent un petit sourire complice. Je brule. Ses lèvres sont roses, assorties d’une friandise transparente brillante. J’en peut plus. Elle caresse maintenant mes jambes. J’ai l’impression qu’elle effleure ma légère pilosité brune pour enlever quelques poussières. Je me dis qu’elle a compris qu’elle me fait un fort effet au niveau du bas ventre.Je tremble de tout mon corps. Mon sexe pousse le tissu par à-coup. Elle remonte doucement pour s’attaquer aux poussières qui sont sur mon bermuda. Je crois qu’elle prend plaisir. Je la vois regarder en continu cette bosse tout en s’affairant machinalement à sa tâche. Elle fait la curieuse. Ce gland gonflé de sang lui donne envie. Je crois. Elle en vient a passé dessus avec sa petite main. Une caresse appuyer qui emmène ma verge dans son mouvement. Mon sexe dressé reprend sa position initiale, prouvant sa dureté. Je vois les yeux brillants de la Princesse amoureuse. Elle se ressaisit et se lève d’un coup.
Elle est toute rouge. Ça la rend trop mignonne. Elle est à peine plus petite que moi, quelques centimètres. Elle porte un top bleu clair. Celui-ci dessine nettement les courbes de son corps. Je bloc un instant sur sa poitrine, une jolie petite poitrine. J’imagine qu’elle ne porte pas de soutien soutien-gorge. Je vois ses petits tétons dressés sous le tissu. De petits seins fermes et droits, valeurs sûres de la féminité. Ce haut est accompagné d’un mini short bleu jeans, et une paire de baskets blanches.
— Euh ! Ça va mieux ? Balbutie-t-elle.
— Oui, et c’est grâce à toi. Donne-moi ton mouchoir sale. Je vais le jeter à la poubelle.
— Oh ! mais tu saigne aussi du coude. 
— Non, ça va. Regarde c’est fini. Une croûte s’est déjà formée.
— Je m’excuse encore de t’avoir bousculé. Je ne regardais pas devant moi, je fouillais dans mon sac à main tout en marchant. C’est ma faute. En plus le jour de la rentrée, tu n’avais pas besoin de commencer ta journée en allant à l’infirmerie. 
— Mais, je ne veux pas aller à l’infirmerie !!!!
— Si, il le faut pour désinfecter les plaies, c’est important d’enlever les microbes. Viens avec moi. Je ne te laisserai pas tranquille temps que tu ne seras pas désinfecter. Je ne me le pardonnerai pas si tes blessures empirent. 
 
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