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Lola et Luc

Chapitre 2

Bilitis, l'infirmière

Erotique
(Toc, toc, toc)—Entrez ! (Une voix féminine derrière la porte de l’infirmerie vient de répondre).Luc ouvre la porte blanche. En face de lui, une jeune femme en blouse blanche assise derrière son bureau.—Entrez donc, ne rester pas devant la porte. Dit-elle avec un sourire. Je ne vais pas vous manger. —Bonjour. Dit timidement Luc.—Bonjour Madame, dit à son tour Lola en se décalant de derrière Luc afin de montrer sa petite frimousse. Avec une petite main en guise de coucou.L’infirmière remarque la jolie fille derrière Luc. Elle ouvre ses grands yeux clairs. Elle semble troublée. Elle se lève d’un bond pour enfin les accueillir.Elle s’approche du petit couple, tout sourire. Elle est surprise d’avoir des patients de si bonne heure. —Euh, bien. Approchez. Prenez une chaise devant mon bureau je dois juste prendre des renseignements avant la consultation, dit-elle en fermant la porte derrière eux.Lola et Luc s’installent chacun sur un siège blanc. L’infirmière revient s’assoir derrière son petit bureau. Il y a juste un ordinateur, son clavier et deux, trois brochures publicitaires médicales sur le côté. Son regard à peine maquillé agrémente un joli petit minois et une chevelure en cascade sur ses épaules. Sa petite bouche délicieusement dessinée, colorée par un rouge brillant. Elle est habillée d’une simple blouse blanche et d’une toque. Luc et Lola la regardent avec attention. Ce petit bout de femme ne les laisse pas indifférent. Le fantasme de la jolie infirmière est devant eux.—Je suis Bilitis, l’infirmière du lundi, mardi et du mercredi dans cette université. Je ne pensais pas avoir des patients de si bonne heure. Et surtout le jour de la rentrée. Non, je plaisante. Je sais bien que si vous êtes là, c’est pour de bonnes raisons. La plaisanterie amène toujours une ambiance décontractée face aux problèmes qui nous entraînent à consulter ici. Elle commence à pianoter sur son clavier. —Bon, qui de vous deux vient consulter ?—Moi, dit Luc en levant la main comme dans une classe d’école. —Bien, comment t’appelle-tu ?—Luc, Luc Koisuru, K-O-I-S-U-R-U—Tu es en qu’elle année ?—Première année d’art—Tu as quel âge ?—Dix-neuf. —Tu fumes ? drogue ?—Non, une cigarette de temps en temps pour tousser, plaisante Luc.—Mouais, c’est comme tu veux. Du moment que tu ne te fasses pas du mal, sourit l’infirmière.
—Des antécédents, une maladie, hôpital, problèmes de diabète dans la famille ?—Non, heureusement. Répond Luc avec simplicité. —Bien, que t’arrive-t-il, alors ?—Je suis tombé. —J’avais bien remarqué une égratignure sur ton genou, lorsque vous êtes entrés. —Oui, je m’excuse, c’est moi qui l’ai bousculé, interrompe Lola en levant la main.L’infirmière devient toute rouge.—Oh, mais elle n’a pas du tout fait exprès, ajoute Luc.—C’est gentil Luc, sourit la jeune fille en lui mettant la main sur le dos. Ce qui le fit frissonner.—En effet, premier jour de fac, une bonne gamelle… sourit l’infirmière. Pardon, je voulais juste détendre l’atmosphère. Hi ! hi !—On voulait vous demander de désinfecter ses plaies. Je trouve qu’elles sont profondes, dit Lola.—C’est exactement ce qu’il faut faire. Sourit l’infirmière. Tu peux rester là si tu veux, comment t’appelles-tu ? demande l’infirmière en s’adressant à Lola,—Lola, mais je peux attendre dehors.—Non, ce n’est pas nécessaire, je n’en n’aurai pas pour longtemps. Cela ne vous dérange pas si je vous tutoie ? Nous avons presque le même âge, alors… Je sors de l’école d’infirmière de Lyon. Je n’ai que vingt-deux ans. Vous pouvez même m’appeler Bilitis. Ça me ferait plaisir. Je ne connais personne à Montpellier, je suis arrivée il y a juste une semaine, pour la rentrée. Vous êtes les premières personnes avec qui je parle. —Mais moi aussi, dit Lola. Je suis nouvelle dans cette ville. Je viens de Nîmes, je ne connais personne ici. Mes copines du lycée sont toutes restées à Nîmes. C’est horrible, hier, je n’ai fait que pleurer dans ma chambre cité U. J’aimerais bien rencontrer des gens. Ça me plaît si on peut se voir en dehors de la fac. En dehors de ce contexte d’étude.—Je comprend, acquiesce Bilitis, les deux filles se regardent avec tendresse. —Tu es en cité U, laquelle ? Parce que moi aussi, dit Luc surpris.—Mais vous ne vous connaissez pas ? coupe Bilitis. —Non, du tout, dit Luc. On vient juste de se rencontrer grâce à la chute. Moi, je viens de Toulouse. J’avais envie du soleil méditerranéen pour mes études. Même si j’ai eu bien mal en tombant. La journée commence plutôt bien, souri Luc.—Nous sommes donc trois nouvelles âmes en terres inconnues, sourit Bilitis à son tour. Moi qui croyais avoir affaire à un joli petit couple. Vous êtes pourtant très mignons tous les deux ensembles. —Bin non, nous ne sommes pas en couple. Dit Lola. Je viens juste d’être plaqué par ma petite amie.—Oh, pardon, je suis désolé Lola, dit l’infirmière, ça doit être encore douloureux pour toi.—Non, ça va. Ça fait Maintenant quatre mois. Je m’en remets, avoue tristement Lola.—Si vous êtes d’accord, j’ai envie de vous inviter samedi soir chez moi. On se fera une petite bouf ensemble ? à moins que vous soyez chez vous le week-end ?—Non, répond Lola en sautant sur sa chaise. J’accepte avec plaisir ton invitation.—C’est ok pour moi aussi, s’empresse de répondre Luc.Une amitié s’est formée entre ces trois jeunes personnes. En l’espace d’un instant, les regards se font beaucoup plus tendres. Luc remarque les yeux brillants de Lola. Elle est émue. Il croise le regard de Bilitis qui lui sourit. Il devient tout rouge. Finalement, ils rient dans une connivence amicale. Chacun sait que cette première journée sera gravée dans leur mémoire.Bilitis se lève de sa chaise. —Allez Luc, installe-toi sur la table d’auscultation, tu peux te déshabiller se sera plus pratique pour moi. Il nous reste juste trente minutes avant que les premiers cours de l’année commencent. Heureusement que vous êtes venu tôt ce matin. Dépêchons-nous. Je vais désinfecter tes plaies. Luc se lève tranquillement. La table d’auscultation est à côté du bureau. La pièce de l’infirmerie n’est pas spacieuse mais le nécessaire est là. Des étagères avec de quoi soigner le plus grand blessé de guerre. Un lavabo dans le coin. Une grande fenêtre opaque qui amène la lumière du soleil dans la pièce. Il déboutonne sa chemise. L’enlève. La pose sur sa chaise à côté de Lola.—Humm ! Ça va être intéressant, lance Lola en regardant Luc dans les yeux.—Ah ! ah ! mais pourquoi tu dis ça Lola, je croyais que tu n’aimais que les filles. Rit Bilitis. —Un joli torse masculin ne me déplaît pas, rétorque Lola en faisant un clin d’œil à l’infirmière.—Je sais que vous êtes en majorité les filles. Mais je ne vais pas me laisser intimider par deux jolies petites gonzesses, sourit Luc. Il enlève ses chaussures. Il déboutonne son bermuda. Il se tourne. Le descend doucement pour que Lola puisse bien mâter ses fesses. Il espère qu’elle appréciera cet aveu d’exhibition. Ce cadeau exclusivement pour elle.La réaction de Lola ne se fait pas attendre. —C’est magnifique ! dit Lola dans un murmure en mettant son doigt sur ses lèvres. Il la regarde en souriant, un clin d’œil pour un merci. Elle devient toute rouge. Il adore ça. Finalement, il rougit aussi. Submergé par l’excitante situation.Pendant ce temps, Bilitis installe du papier hygiénique sur sa table. Luc s’approche nu de la table. L’infirmière se retourne. Elle est surprise de le voir dans le plus simple appareil. —Tu pouvais garder ton caleçon ou ton slip ? dit-elle tranquillement. —Je n’en porte jamais, répond Luc.—Comme tu veux. Viens, allonge-toi sur le dos, la tête de ce côté.Bilitis est concentrée par son travail d’infirmière, mais elle ne reste pas moins émoustillée par le corps nu de Luc. Un regard rapide sur sa peau bronzée lui chauffe déjà son bas ventre. Lola n’en perd pas une miette. Elle le regarde s’installer sur la table molletonnée. Luc est un beau garçon de dix-neuf ans. Il n’est pas épais mais ses muscles du corps sont saillants, épousant sa silhouette à chaque mouvement. Ses fesses sont bien dessinées. Un dos galbé comme il faut. Des épaules carrées.Luc utilise le marchepied, il pivote pour s’assoir sur le matelas. Il se laisse tomber sur le dos faisant suivre ses jambes.Lola apprécie la ceinture abdominale musclé du garçon. Il n’a pas une grande pilosité, juste sur les jambes. Pas de marque de bronzage sur le corps. Elle est enfin conquise quand elle aperçoit son sexe épilé. L’image est passée très vite. Mais avant qu’il se couche, elle a pu apercevoir une magnifique verge de quelques centimètres. Elle était rosé. Elle était avec son petit chapeau.Lola regarde ses paumes de main et elle imagine à cette instant ce membre entre ses doigts. Avec le peu d’information qu’elle a, ce sexe au repos doit juste tenir dans sa petite main. Elle décroise et recroise ses jambes dans l’autre sens. Une intense chaleur s’installe dans son ventre. Un frisson la fait trembler des mains.Bilitis attend un peu que Luc soit bien allongé. Elle commence son examen.—Ça va Luc ? tu es bien installé ?—Oui, merci.—Tu as mal quelque part ? continue t’elle en examinant du regard le corps entier du patient. —Non, nulle part. —Bien, tes plaies sont nettoyées mais, du désinfectant serait bienvenue, dit-elle en soulevant le coude de Luc. Tu n’as pas mal quand je bouge comme ça ton bras ?—NonBilitis continue son examen du regard. Luc se sent fébrile sous le beau regard de l’infirmière. Il perçoit une poitrine généreuse sous se tablier fermé. Il tremble un peu. Il est intimidé.Le regard magnifique de Bilitis sur son corps nu l’excite au plus haut point. Il sent son périnée se durcir, se contracter. Sa verge bouge légèrement sur le haut de sa cuisse. Il ne la voit pas mais il la sent se déplacer sur sa peau. Il retient son souffle.L’infirmière tire sur la peau à proximité des plaies. Elle se baisse pour mieux voir. Des égratignures sur chaque genou et chaque coude. Elle lui prend une de ses mains. Elle constate qu’elle est épargnée par la chute. L’autre également. Bilitis se tourne vers son établi où plusieurs flacons et instruments médicaux sont rangés.Luc respire enfin. Il sent doucement son sexe prendre du volume. Il adore.—Bon, rien de grave, je vais d’abord te nettoyer ces quatre blessures. Ensuite j’appliquerai un spray désinfectant. Ça va Luc ?—Oui. Je n’ai pas peur, dit-il avec humour.—Tant mieux, je suis la plus gentille des infirmières. Après cette intervention. A chaque fois que tu auras un petit bobo, tu penseras à venir consulter vers moi, dit-elle avec un clin d’œil en tournant sa tête vers lui.—Je suis déjà conquis…—Voilà, une compresse nettoyante. Ne bouge pas, ça ne pique pas. Lève ton bras s’il te plaît Bilitis, s’approche de Luc. Elle le soigne. Son parfum arrive aux neurones olfactifs du patient. Une odeur de fruit. Il reconnaît l’odeur de la pêche. Il rêve…Il ferme les yeux pendant qu’il se fait soigner…Lola remarque quelque chose qui traverse sa ligne d’horizon au-dessus du corps nu de son nouvel ami. C’est l’objet de son désir qui apparaît doucement. La bite de Luc grossit doucement. Il bande. Lola croise et recroise encore ses jambes. Elle ajoute sa main entre ses cuisses serrées.Luc sent sa verge grossir. Il ne peut l’arrêter. Bilitis change de bras. Luc lève machinalement son autre bras.—Bien, lance Bilitis concentrer par son travail. Elle sait que son patient est sous l’emprise de ses émotions mais rien ne la perturbe. Elle jette un petit coup d’œil à sa verge. Elle est encore de petite taille. Mais Bilitis profite du moment pour admirer le prépuce glisser.La petite peau fine se retire doucement. Elle laisse apparaître le petit corps spongieux tout rose. Un gland lisse, surement très doux. Bilitis admire la largeur de l’organe avec en son sommet : sa petite bouche.Lola s’était levée pour mieux voir « l’instant nature vivante ».Pendant que Bilitis repose doucement le bras de Luc, elle regarde Lola qui est debout presque à côté d’elle.Lola lui dit en articulant sa bouche, et sans voix : « Ma-Gni-Fi-Que ».« Oui » lui répond Bilitis de la même façon. Bilitis remarque les petits tétons de Lola. Ils sont bien dressés derrière le tissu de son top. Elle lui fait signe de la tête pour lui montrer l’état de détresse de sa poitrine.Lola passe un doigt délicat sur la pointe d’un de ses seins. Elle frissonne. Elle lui sourit en rougissant, les yeux brillants. Elle lui fait comprendre que son excitation est au plus haut. Bilitis continue son nettoyage sur les deux genoux de Luc. Avec douceur, elle pose une main sur la cuisse de son patient. Est-ce pour parvenir au bon déroulement du soin ? Ou peut-être pour entretenir le processus érotique de la situation ? Luc garde les yeux fermés. Il sait qu’il est en érection. Il sent les regards sur lui.Sa verge est maintenant bien grosse. Elle a bien pris en volume. Sa taille n’évolue plus. Elle est soumis par des soubresauts incontrôlable. Elle est le long de son bas-ventre, à l’horizontale. Ainsi, elle oscille en hauteur à chaque coup de périnée.Luc ressent progressivement le liquide séminal suivre le conduit de sa verge. De sa base des testicules, le long de l’urètre jusqu’à son méat. Il adore.Lola n’en peut plus. Elle est toujours debout à un mètre de Luc. Elle sert ses jambes pour mieux sentir son vagin qui s’emballe. Elle déglutit et recharge sa bouche de salive. Sa langue touche son palais et passe ensuite sur ses lèvres. Elle aimerait sentir se membre dans sa bouche.Bilitis a maintenant pris son spray désinfectant. Toujours une main en contact avec la peau de Luc, afin de ne pas le surprendre pendant l’opération soin. La très jolie infirmière ne se laisse pas perturber par le beau patient. Certes, il ne lui est pas indifférent mais le travail avant tout. Elle veut surtout le travail bien fait. La sonnerie de l’Université retentit. Puissante, Longue. Lola se rassis. Luc ouvre les yeux. Il regarde Bilitis. Celle-ci lui sourit. —Ne bouge pas Luc, s’il te plaît. Je n’ai pas fini mon examen. Ce n’est que la première sonnerie. Nous avons encore dix minutes à profiter d’être ensemble… Ça va ? dit-elle. —Oui, dit-il, la voix enrouée.—Super, tu peux garder les yeux fermés si tu veux. Je vais prendre ta température, ton pouls, écouter ton cœur, tes poumons, palper ta rate, ton foi, prendre ta tensions… enfin, pas mal de petites choses.—Ok Bilitis. —Lola tu reste avec nous, je n’en ai plus pour longtemps ?—Bien sûr j’attends. Tout est ma faute si nous sommes là. Je suis redevable. —Toi, tu es vraiment une gentille fille, je t’aime. Je l’ai senti dès que je t’ai vu, dit Bilitis. —Merci beaucoup Bilitis, tu me fais énormément plaisir. Tu vas me rendre amoureuse, sourit-elle.L’infirmière palpe maintenant le ventre de Luc. Sa verge se balance de droite à gauche et de gauche à droite. Elle n’a pas dégonflé. Une goutte visqueuse se détache de son méat laissant son filet en suspens. Lola enfonce sa main entre ses cuisses. Son mini short l’empêche de titiller son petit clito. Elle le sent brulant, en pleine détresse.Luc a refermé ses paupières et profite des mains chaudes de son infirmière. Il ressent évidemment les deux regards sur son corps. Ce qui le comblent assurément. Il est au milieu de l’attention. Cette exhibition entretient son érection. Son sexe gonflé à bloc tressaille…Une deuxième goutte apparait sur le bout de son gland rouge. Son gland plus large que le tronc de sa bite attire inexorablement l’envie gustative de Lola. Une envie de sucer. Une envie de pomper. Une envie d’aspirer tout ce qui pourrait sortir de ce méat. Un méat fin tellement le gland est gonflé.Lola imagine cette bite dure entre sa langue et son palais. Elle pourrait l’enfoncer jusque dans sa gorge. Jusqu’à perdre sa respiration, sa raison. Pour enfin que cette douce verge gicle, propulse son sperme en des vagues chaudes. Ce nectar brûlant s’étalera dans sa petite bouche. Elle prendra le temps de le goûter. D’évaluer la texture avant d’avaler avec délice.—Oh là là ! Luc ! s’exclame l’infirmière, ta tension est sacrément élevée.—Hein ? sursaute Luc.—Tu vas me dire, vu ta magnifique érection. C’est tout à fait normal. Sourit Bilitis.Luc relève la tête. Regarde son sexe bien droit. Une belle goutte translucide est sur son méat. Il regarde Bilitis, dans les yeux. Elle lui sourit en détachant son tensiomètre.—Ça te dérange, si je sors de mon cadre de travail ? demande Bilitis. —Tu es déjà mon infirmière préférée. Si je peux être ton patient préféré et par la même occasion ton ami, je suis d’accord, répond Luc en devenant écarlate. —Je suis heureuse. Merci, du fond du cœur, ajoute Bilitis avec ses petites pommettes rosées. Tu permets ? reprend-elle en regardant le phallus gonflé de sang.—Je t’en prie Bilitis, si ça te fait plaisir, ça me fera plaisir aussi, rassure Luc.Bilitis approche son index du gland turgescent. Elle s’applique à prélever délicatement la goutte de liquide séminal encore toute chaude. Luc tressaille. Il est au bord de l’explosion.—J’ai une petite amie qui meurt de soif. C’est vrai qu’il règne ici une ambiance d’Amour. Dans cette atmosphère, les gorges se dessèchent. Il est temps de faire le nécessaire, dit Bilitis en s’approchant doucement de Lola. —J’ai tellement soif, ajoute Lola en se mettant à genoux devant Bilitis. La tête levée, attendant l’offrande. —Tiens ma chérie. Luc se tourne pour regarder la scène.Bilitis tend son doigt devant la bouche ouverte de Lola.Celle-ci suce doucement la phalange. Le liquide s’étale sur les terminaisons gustatives de sa langue. Elle rougit de plaisir.—C’est sucré… c’est délicieux, soupir Lola, merci Luc, tu es un Amour. —Merci à vous deux d’être aujourd’hui mes amies, j’ai une chance incroyable. Mais, je n’ose pas toucher mon sexe, j’ai peur d’éjaculer dans la seconde, ajoute Luc, j’ai ma bite au bord du non-retour.Bilitis sourit à Lola. Elle lui prend la main pour qu’elle se relève. Elles se regardent intensément. Leurs yeux brillent de mille éclats. Elles sont toutes les deux émues. Elles se sont trouvées. Elles s’aiment d’Amour. Leurs cœurs battent la chamade. —Vas-y ma chérie, je t’aime. Dit Bilitis. —Moi aussi je t’aime, répond Lola. Lola s’approche de Luc et lui dit. —Tu es vraiment beau Luc. J’ai ma petite chatte qui miaule tellement tu l’excites. N’ai pas peur, j’ai juste soif. Ne bouge surtout pas. —Non, je ne bouge pas, dit Luc dans un murmure. Elle pose ses mains sur le bord de la table d’auscultation. Approche doucement sa bouche devant le gland qui saute sous les à-coups du muscle périnéal de Luc. Son sexe n’est plus sous contrôle. Il va décharger comme un feu de Bengale. La mèche est entamée, elle se consume à une vitesse phénoménale. Lola ouvre sa bouche à deux centimètres de la fontaine encore fermée. Elle laisse échapper l’air chaud de ses poumons sur ce gland rouge sang.—Ouiii ! dit Luc en serrant les dents.Tout son corps se raidi. Ses abdos se dessinent sur son ventre. Ses bras le long de son corps le soulèvent droit comme une planche. Son visage devient rouge écarlate, crispé. Lola gobe le gland et referme sa bouche sur la hampe. Le sexe est dur comme du bois. Sa bouche humide est prête à recevoir la semence. Luc sert les poings. L’urètre se gonfle en laissant passer les saccades de sperme. Le liquide chaud gicle sur les parois douces de la bouche de Lola. Elle pleure tellement c’est exaltant. Elle reçoit le plaisir de Luc comme un cadeau. Les larmes coulent le long de ses joues. Elle ne bouge plus. Elle sent les mains de Bilitis sur ses hanches. Le corps de son amie est venue se coller contre ses fesses. Bilitis la sert contre son pubis. Luc essaie de ne pas bouger mais à chaque giclée, tout son corps se soulève. Son corps en arc vers cette bouche qui le retient. Il sent sa bite se faire aspirer par le haut. Il regarde son bas-ventre. Lola vient d’avaler en une fois son sperme. Sans lâché le phallus, ses joues se creusent. Elle aspire de toute ses forces pour ne laisser aucun regret derrière elle.Luc regarde Bilitis. Celle-ci lui sourit comme une amoureuse. Lola se retire doucement avec un dernier coup de langue sur le méat. Elle se relève et se tourne vers Bilitis. Elle met ses bras autour du cou de Bilitis et l’embrasse. Dans une étreinte d’Amour. Les deux langues se cherchent, se caressent, s’interpellent. Bilitis glisse ses mains sur les fesses rondes de Lola et la tire fortement contre elle.Luc regarde la scène. Son cœur tambourine. Il écoute le bruit délicieux des deux bouches qui s’aiment dans une tendresse incommensurable.Elles sont belles…—Dépêchez- vous, dit Bilitis —T’inquiètes, ce sont les inscriptions aux activités aujourd’hui. La journée est banalisée, répond Luc.—Oui, c’est la journée des rencontres, ajoute Lola en s’accrochant au cou de Bilitis pour lui refaire un baiser… Leurs langues s’amusent, leurs bouches se mangent…—Vous m’excitez les filles. J’ai mon sexe qui regrossi, dit Luc en caressant la bosse en haut de son bermuda.Bilitis se détache de Lola à regret. Lola se retourne et prend la main de Luc. Bilitis en profite pour reluquer la cambrure de Lola. Bien serrées dans son mini short. Ses fesses doivent être délicieuses. —Attend Luc, dit-elle.—Hein, répond Luc en se retournant vers Bilitis.—Merci, sourit Bilitis en lui sautant au cou à son tour.Elle lui roule une pelle comme jamais il aurait espéré. Leur langue se rencontre. Leur salive se mélange et déborde de leurs lèvres. —Arrêtez, maintenant c’est moi qui mouille comme une fontaine dans ma petite culotte, rit Lola. —Je t’aime Bilitis, rougit Luc.—Attendez !!! on a oublié pour Samedi. Bilitis sort son portable de sa poche de tablier. S’il vous plaît mes amours, prenez mon numéro de portable. Appelez-moi de temps en temps, ça me fera plaisir avant samedi.Ils s’échangent leur numéro de portable...—C’est très gentil Bilitis. Moi, je t’appelle dès ce soir. Je ne peux déjà plus me passer de toi, répond Lola. Celle-ci est en excitation permanente. Elle se caresse la poitrine.—Allez-y, on se voit samedi soir, gros bisous, partez, sinon je vous enferme dans l’infirmerie. Et je vous fais subir les pires sévices, rit BilitisLola et Luc parte main dans la main vers les inscriptions.
Luc n’en revient pas de la tournure pleine d’érotisme qu’a pris cette première heure. La première heure de la Rentrée Universitaire.Il a rencontré Lola. Une très jolie jeune fille de son âge. Certes, lesbiennes, mais elle lui tient la main. Elle le regarde avec tendresse. Et ça lui fait énormément plaisir. Il n’en demandera pas plus de peur de perdre son amitié naissante. Elle a pourtant bien aspiré sa verge. Il espère que ce n’était pas qu’un accident. Qu’elle voudra revenir goûter sa bite bien dure.Il la regarde plus attentivement. Ses petits seins sautillent à chacun de ses pas. Ses tétons restent dressés à travers son top bleu ciel. Ses cheveux sont caressés par le vent, ils volent. Ses pommettes rosées, son petit nez retroussé, ses yeux brillent de plaisir. Elle est belle. Luc profite de Cette Beauté Naturelle. Il imagine Lola nue devant lui. Cette pensée entretient une petite érection à sa bite. Il la sent ballotté de gauche à droite, de bas en haut. Sans aucune cadence. Son méat reste dans une excitation permanente grâce au frottement du tissus du bermuda. Il adore ça.Il pense à Bilitis. Elle est tout aussi mignonne que Lola. Une très jolie infirmière. Ses grands yeux bruns. Il s’est perdu un instant à l’intérieur. Une très jolie brune. Il n’a pas mentionné ses formes sous son tablier blanc. Peut-être une poitrine plus importante que Lola. Il saurait le dire. Tout s’est passé tellement vite. Mais elle est une vraie coquine. Il pense que lui aussi est un grand coquin, avec son audace de s’exhiber nu devant elles. Il repense au doigt de Bilitis. Ce doigt venant prélever la goutte transparente, visqueuse. Sortant de son gland, de sa verge gonflée au plus haut point. Il se souvient du contact entre la phalange et sont méat qui tremblait. Il failli éjaculer sur l’instant.

Quelle magnifique Rentrée Universitaire.
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