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Un long chemin

Chapitre 1

Trash
Je suis Fred, 50 ans, marié à Nathalie depuis maintenant 25 ans. Nous avons deux enfants qui font leur petit bout de chemin, loin de la maison. Nath travaille dans une boutique de vêtements pour hommes, et moi, je suis ingénieur en informatique. Autant dire que nous ne vivons pas trop mal. Un vrai couple de cadres moyens. Les crédits aujourd’hui remboursés, un peu d’argent de côté, nous vivons une petite vie de propriétaires, tranquille et paisible. Pourvu que cela dure. Après des années torrides, notre activité sexuelle a légèrement décliné sans s’estomper pour autant. Je crois que nous nous sommes tout simplement assagis, naturellement, sans manque ni frustration. Pourtant quand cela nous prend, nous savons être inventifs et créatifs. Sans non plus que cela soit trop extravagant, nous sommes un couple dans la norme, il me semble.
Depuis plusieurs semaines, nous avons modifié nos habitudes en incorporant quelques scénarios dans nos ébats amoureux : la pute et son client, l’auto-stoppeuse, l’inconnue de l’hôtel...Bref, un petit jeu de rôle qui nous procure beaucoup de plaisirs en titillant un peu plus notre imaginaire et nos fantasmes.A 45 ans, la plastique de Nath est parfaite. Brune, d’un mètre soixante-dix, avec des cheveux coupés court sur un joli visage, elle possède une poitrine généreuse et une cambrure assez prononcée qui met bien en valeur son cul rond et ferme. Nombreux sont ceux qui se retournent sur son passage quand elle est drapée de ses robes légères, cintrées, qu’elle affectionne tant.
Quant à moi, j’ai su du moins, je crois, entretenir mon corps durant toutes ces années grâce à une activité sportive régulière. Oh, je ne possède pas le charme d’un Apollon, mais je ne laisse pas indifférent. Je suis, comme tout homme, j’imagine, conscient des regards que je croise en faisant les courses par exemple, ou dans le cadre de mon travail.
Enfin, nous sommes un couple heureux, sans gros nuages à l’horizon. Si je devais reprocher une seule chose à ma femme, ce serait peut-être le manque d’envie pour la fellation ou pour la sodomie. Deux pratiques qu’elle ne me refuse que très rarement, mais non s’en avoir insisté.
Après toutes ces années, je reste persuadé qu’il nous est impossible malgré une parfaite communion de connaître parfaitement la personne avec qui nous partageons notre vie. Un jardin secret est toujours caché quelque part derrière nos habitudes et nos comportements prévisibles. La découverte de l’entrée peut parfois dévoiler de vraies merveilles, d’incroyables pépites qui pour quelques-uns d’entre nous pourraient apparaître comme inconcevables.
Après une présentation de produits organisée par mon entreprise dans la salle de conférence d’un hôtel du bord de mer où nous habitons, nous nous sommes accordé un instant pour boire un verre, tous les deux, confortablement assis dans de grands fauteuils en cuirs.
À un certain moment, mon épouse me fit un signe de la tête, pointant la direction du bar où une femme assise sur un tabouret haut sirotait un verre, seule, en passant régulièrement la main dans ses cheveux longs, d’un blond platine.
— elle attend son client, me chuchota Nath en se rapprochant de moi.— Tu es bête, lui répondis-je du tac au tac. Tu regardes trop de films.— Pourquoi ?— Ce n’est pas parce qu’une femme boit un verre au bar qu’elle se prostitue. Même si elle est seule... La pauvre.— Pourquoi la pauvre ? Me demanda mon épouse. Elle recula ses fesses dans le fauteuil, fit deux, trois mouvements afin de se caler à sa guise puis ajouta : ça ne doit pas être si mal d’être une pute... par moments, finit-elle en portant le verre à ses lèvres sans me quitter du regard.
Je restai bouche bée, avec un sourire figé, sans trop savoir quoi répondre alors que je me mettais à bander instantanément. Ce soir-là, je me suis glissé sous les draps en attendant Nath qui prenait son temps dans la salle de bain. Elle apparut au bout de 10 minutes, perchée sur des talons aiguilles de 20 centimètres qu’elle avait soi-disant mis au rebut sous prétexte que ce n’était pas son style, une minijupe ne laissant aucun doute sur le fait qu’elle n’avait pas mis de culotte et un chemisier blanc, transparent. Elle avait déboutonné les 3 premiers boutons laissant à sa poitrine lourde tout le plaisir d’apparaître et de disparaître au gré de ses mouvements.
— Bonjour Monsieur, la fille que vous avez commandée vous convient-elle ? — humm, il faut voir.
J’ai agrippé ma femme par les hanches pour la coucher sur le lit, glissé ma main sous sa jupe pour trouver une chatte trempée et des lèvres gonflées par le plaisir. Elle ne put contenir ses gémissements lorsque je me mis à pincer son clito gorgé de sang entre le pouce et l’index. Elle se mordit la lèvre inférieure, le souffle court, le bassin allant à la rencontre de mes doigts qui lui trifouillaient maintenant l’intérieur du vagin. Je la fis glisser sur le côté afin de me relever pour lui mordiller au passage un téton durci par le plaisir. Elle m’attrapa la bite puis en penchant légèrement la tête elle se l’engouffra au fond de la gorge comme une affamée.
— Ah, comme ça tu aimes faire la pute ? lui dis-je en accentuant mes mouvements. Je vais faire de toi une putain alors. — Oui... Humm... Réussit-elle à articuler sans lâcher ma queue qu’elle dévorait comme une affamée. Je suis ta femme... ta pute... Hum... oui, tu fais de moi tout ce que tu veux... Tu... Hummm me fait baiser par qui tu veux... Je t’obéirai...
Ces dernières paroles me laissèrent sur le cul. Ma femme était en train de me sucer comme jamais et elle me disait que je pouvais la faire baiser par d’autres mecs si je le voulais. Je pris ses deux jambes en main, la fis pivoter pour l’attirer à moi sans ménagement afin d’enfoncer ma bite toute au fond de sa chatte brûlante. Je l’ai ramonée comme un fou durant de longues minutes, la faisant gémir, crier, demander encore et encore que je la défonce, que je la traite comme la pute qu’elle était. Je me suis enfin vidé en elle, en plusieurs jets de foutre épais avant de m’avachir à ses côtés. Nous nous sommes endormis ainsi, enlacés comme de jeunes amoureux.
Nous avons passé plusieurs jours sans reparler de ce petit évènement qui, nous ne le savions pas encore, allait modifier quelque peu notre vie intime. Et puis un soir, alors que nous regardions sans vraiment d’intérêt un film à l’eau de rose, ma femme, la tête posée sur mes genoux, allongée de tout son long, me dit sans quitter des yeux l’écran de télévision :
— Et toi, tu as de nouveaux fantasmes ? Des trucs que je ne connaîtrais pas encore ?
J’expirais bruyamment en fixant un coin de la pièce comme pour mieux trouver une réponse.
— Non... J’n’sais pas... Et toi ? mentis-je.— Moi, tu le sais... Être traitée comme une pute. Je te l’ai déjà dit. — Ca... ça peut s’arranger, lui dis-je sans pouvoir réfréner une érection à l’écoute de ses mots. — Et puis, je vois que tu as l’air d’apprécier aussi. — Je ne vais pas dire le contraire. Avoir une pute à la maison ça a de bons côtés.
Elle se retourna pour me fixer.
— Je ne plaisante pas. Tu peux faire de moi ta pute si tu en as envie. Tu pourras tout me demander. Tout ce que l’on peut demander à une vraie putain. — Méfie-toi, lui répondis-je en souriant. Je pourrais t’envoyer chez le voisin payer en nature la clim qu’il nous a posée.
Le voisin, artisan du froid, venait de climatiser la nouvelle chambre que nous avons fait faire dans la dépendance au fond du jardin, histoire de faire 4 sous en Airbnb, ou pour recevoir les amis. Il me restait encore une partie à lui régler. J’avais sorti ça comme ça, juste pour rire et il était pour moi inconcevable de prendre la chose au sérieux. Mais ce ne fut visiblement pas le cas de Nath qui se dressa sur ses jambes, laissant apercevoir son corps magnifiquement sculpté et ses gros seins fermes par les pans de son peignoir entrouvert. Tu veux que j’y aille comme ça ? Ou tu veux que ta pute se prépare un peu ?
— Arrête, fis-je simplement en levant mon bras pour qu’elle reprenne sa place. On va d’abord te préparer un peu.
J’extirpai ma bite d’une main. Elle la goba immédiatement. Elle se plaça ensuite à 4 pattes. Je pus ainsi lui insérer 2, puis trois doigts dans le cul elle qui rechignait à la sodomie. Je lui branlai jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche.
Nous reprîmes le film sans que je le suive vraiment, car c’était de toutes autres images qui me traversaient désormais l’esprit. Une semaine passa, avec notre petit train-train quotidien, entrecoupé de baises plus ou moins torrides. Je sentis tout de même un petit changement chez Nath. Elle se laissait aller plus facilement, traînait maintenant complètement à poil dans la maison et réagissait au quart de tour, à la moindre allusion sexuelle, une main aux fesses, ou encore un doigt sur son petit minou glabre depuis peu.
Un soir, je suis arrivé à la maison, les bras chargés de paquets. Nath s’était fait une beauté et nous avait préparé un petit apéro au salon. Perchée sur de fins escarpins, moulée dans une robe courte au décolleté indécent, elle arborait son petit sourire vicieux, m’indiquant qu’elle était déjà chaude comme la braise. Elle m’embrassa langoureusement tout en s’appuyant sur mon torse. Elle me saisit ensuite le menton puis passa sa langue impudique sur mes lèvres pour remonter sur ma joue.
— Qu’est-ce que tu nous as amené ? me chuchota-t-elle à l’oreille.
Je pris le premier paquet et en sortit un ensemble cuir et chaîne que j’étalais sur la table. Elle parcourut du bout de son index les lanières prévues pour enserrer la poitrine. Elle descendit sur la chaîne qui les reliait au semblant de string, composé lui aussi de lanières de cuir noir. Deux se plaçaient de chaque côté des grandes lèvres. Elles étaient fixées à une autre petite chaîne formant un anneau positionné au niveau de l’anus d’où une troisième remontait visiblement entre les fesses, pour courir dans le dos s’accrocher derrière la poitrine.
— Jolie. Dit-elle.
J’en profitai pour étaler sur la table les autres objets du paquet : un bâillon-boule, une paire de menottes, un fouet de couleur noire dont le manche n’était autre qu’un pénis de bonne taille, un rosebud, une poche transparente contenant une petite chaîne avec des pinces, et un sex-toy réalistic à ventouse. Je collai dans un claquement sec ce dernier sur la table.
— Avec ça, tu vas voir, je vais faire de toi une vraie putain, puisque c’est ce que tu veux.
Nath souriait toujours en contemplant tous ces jouets.
— Et toi, qu’est-ce que tu veux ? — Et bien, je crois... Oui je crois que j’ai envie de faire de toi ma pute, obéissante... Une vraie petite salope, une chienne qui ne refuse rien. — Beau programme, se mit-elle à roucouler tout en m’enlaçant. — Mais attention, repris-je en la prenant par les poignets pour la tenir à distance. — Quoi ? — Si tu veux que l’on se lance dans ce petit jeu, il faudra aller jusqu’au bout. Tu devras m’obéir, faire tout ce que je demanderai... Comme une pute... Si tu ne veux plus, tu le dis de suite. Je range tout ça, montrant la table d’un signe de tête, et nous n’en parlerons plus jamais. D’accord ? Alors, qu’est-ce que tu veux faire ?
Sans même réfléchir, elle répondit qu’elle voulait être ma pute, qu’elle obéirait à tout, que je pouvais faire d’elle tout ce que je voulais. Une nouvelle vie commençait pour nous. Au bout de dix minutes, Nath était vêtu de son cadeau, les mains posées sur la table à sucer et lécher le rosebud que je portai à sa bouche. Sans dire un mot, je glissai mon pied entre ses jambes pour qu’elle les écarte un peu plus. J’appuyai sur ses reins pour que sa poitrine colle au bois verni, cambrant ainsi son cul. Je passai ma main sur sa chatte. Elle était trempée. Elle lâcha un petit gémissement, la respiration saccadée, bouche ouverte. Je plaçai le cône métallique à l’entrée de son œillet et dans un mouvement lent, mais continu, je le lui ai enfoncé dans le fondement.
— Tu vas être ma pute, lui susurrai-je à l’oreille, mais je vais surtout faire de toi une chienne. — Oui... Mon amour... Je suis ta pute, fais de moi ta chienne.
Le cul maintenant rempli, la chatte trempée et les tétons dressés comme des obus, elle était offerte, prête à tous les sacrifices, prête à tous mes fantasmes, gémissant de plus en plus fort, bouche entrouverte, tortillant son cul pour mieux sentir ce sexe métallique qui la perforait. Enivré par tant d’excitation, je l’agrippai par les cheveux pour la redresser. J’attrapai la poche transparente et en sortis la chaîne et les pinces. Deux que je lui fixai sur le bout des mamelons et le troisième qui vint pincer son clitoris. Elle n’en pouvait plus. Je plaçai le bâillon boule et lui attachai les mains dans le dos avec les menottes. Je la basculai sur le dossier du fauteuil du salon et lui cinglai les fesses avec le fouet durant un bon quart d’heure. Elle eut plusieurs organismes bavant à grande eau derrière sa boule, autant que sa chatte pouvait couler. Puis je l’ai enculée sauvagement, sans ménagement.
J’ai encore recommencé avec le godemichet, lui défonçant le cul comme jamais j’aurais cru pouvoir le faire. Je commençai à y prendre un certain plaisir et elle en redemandait. Je redécouvris ma femme tout au long de nos ébats qui devenaient de plus en plus torrides, hardcore, et ce n’était jamais assez. Nous découvrions de nouveaux jeux et nous étions encore loin de nos limites.
La journée, nous retrouvions notre quotidien, sérieux, professionnel dans nos métiers respectifs, nous octroyant régulièrement des moments romantiques, faits de dîners en tête à tête ou de sorties au cinéma. Puis nous redevenions des bêtes avides de sexe, prêts à tout pour se rassasier.
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