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Ma longue vie de "petit pénis"

Chapitre 2

Les copines de Claire

Voyeur / Exhibition
Quelques semaines à peine après ma minuscule aventure plus ou moins virtuelle avec Sandrine, voici que je rencontrais une fille bien sympa et plutôt cultivée à la fac. Claire 19 ans, 1m65, plutôt blonde voire châtain très clair, un petit 85b tout mignon avec de tout petits tétons, un sexe lisse sur lequel il fallait chercher à la loupe le moindre petit poil, et des fesses rebondies comme les aiment généralement les mecs.
Claire n’était pas du genre allumeuse, mais qu’on se le dise, elle adorait être regardée. Avec le recul des années, c’est certain ! Claire aimait porter des strings et être seins nus lorsqu’on allait à la plage à deux, elle était bonne pote avec tous les mecs, n’avait aucun problème pour parler de sexe, racontait qu’elle aimait mater des pornos dans lequel il y avait des "vrais mecs" et se faisait des petites couettes toutes mimi. Ça lui donnait un look un peu ado, mais ce n’était pas pour me déplaire à l’époque, j’aimais bien ce délire de "petite écolière coquine". Je n’étais pas le premier mec de Claire d’après ce qu’elle me racontait, mais visiblement elle n’avait jamais été beaucoup plus loin que des échanges de "sextos" et de quelques moments tendres avec ces mecs précédents.

Depuis quelques semaines on vivait une belle histoire, nous avions fait l’amour plusieurs fois et j’avais l’impression que ça ne se passait pas trop mal au lit. Je ne l’entendais pas crier comme une folle dingue, mais nos rapports étaient tendres, on s’embrassait énormément.
Claire était très demandeuse ! Apres l’avoir pénétrée et joui, elle me demandait souvent de continuer de lui "lécher la chatte". Je m’exécutais, ne souhaitant que son bonheur, c’était généralement à ce moment-là qu’elle faisait le plus de bruit. Mettre ma langue contre son clito était pour elle une sorte de détonateur et si je travaillais correctement (d’après ses dires) alors parfois elle acceptait que je puisse jouir dans sa bouche, c’est elle qui décidait un peu de toutes ces choses-là, et moi j’étais déjà très heureux de vivre ces moments avec elle.

Un samedi soir, Claire devait dormir chez moi. J’avais ma petite chambre étudiante sans prétention tandis que Claire vivait encore dans sa famille.
Elle m’avait rejoint vers 21h. Nous mangions légèrement, puis très rapidement, l’un comme l’autre se rendions compte que nous avions surtout envie de faire l’amour ! Comme d’habitude, ma petite Claire m’avait demandé de bien utiliser ma langue, aussi bien autour de son petit clitoris que pour l’enfoncer dans son vagin. Puis, comme d’habitude... pénétration, je jouis après un bon quart d’heure, on se posa un peu quelques minutes et Claire me demanda de nouveau de m’occuper un peu de sa petite chatte avec ma langue.
Après l’acte, j’allai lui chercher un verre de manzana et je me rallongeai sur le lit.
Soudain, Claire posa son verre comme totalement désinhibée, prit mon sexe au repos entre son index et son pouce en le faisant gigoter de gauche à droite, et me dit : — C’est vrai qu’il n’est pas bien grand. Ne sachant pas quoi trop répondre, je haussai les épaules, un peu bêta.
En se rapprochant tout près de moi et en gardant mon petit pénis dans sa main gauche, Claire chuchota à mon oreille — Mes copines Angèle et Cécile m’ont posé plein de questions sur toi, ça a été dur de ne pas leur répondre sur certains sujets. Elles m’ont demandé si tu t’occupais bien de moi, si tu me faisais à manger, si tu étais romantique et puis... tu connais les filles, ça a un peu dérapé sur le sexe. Cécile demandait si tu me faisais bien l’amour, Angèle demandait si tu me léchais bien, j’ai essayé d’esquiver les questions puis elles ont insisté pour connaître aussi la taille de ton sexe. Comme je ne l’ai jamais mesuré jusque-là, j’ai montré avec mes doigts. Je crois bien que j’ai même montré un peu plus, mais les filles m’ont dit que c’était tout petit comparé aux mecs qu’elles connaissaient. Et Cécile a tenu à me montrer un nude de son plan du moment, c’était impressionnant !
Claire n’était pas spécialement choquée de mon sexe en érection, mais elle m’avoua qu’elle devait parfois s’empêcher de sourire quand elle me voyait nu au repos. Depuis ce moment-là, elle ajoutait toujours le terme "petit" dès qu’elle parlait de mon sexe, y compris en public, que ce soit devant ses deux copines ou devant sa grande sœur.
Elle me dit que je n’avais rien à craindre à partir du moment où je continuais à m’occuper d’elle comme je le faisais déjà, mais que sa curiosité la poussait à avoir envie de voir autre chose de temps à autre.

Au fil des semaines, Claire me redemanda si elle pouvait garder pour elle une photo de moi nu, au repos. Moi j’étais d’accord pour lui en laisser une où j’étais en érection pour être plus à mon avantage, mais Claire insista pour que je sois au repos. Je ne sais pas pourquoi, mais je finis par accepter cette demande loufoque, à croire que j’aimais cette situation de "dominé" car je savais très bien que cette photo allait terminer dans le téléphone de ses copines.Lorsqu’on se faisait des soirées ensemble, Angèle et Cécile m’appelaient toujours "petit Romain", y compris devant les autres gars qui heureusement ne semblaient pas être au courant de toute cette situation, parfois excitante comme souvent gênante.

Même pas 20 ans, et déjà deux situations me confrontaient à cette réalité : j’étais condamné à être une petite bite et il fallait assumer. Avec Claire pendant encore quelques mois et probablement dans mes histoires futures.
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