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Ma longue vie de "petit pénis"

Chapitre 5

Une fille vraiment honnête.

Voyeur / Exhibition
Bonjour. Tout d’abord, j’aurais voulu poster cette suite bien plus tôt, mais je suis beaucoup trop occupé ces derniers temps par des choses du quotidien. Mais allez, je me force à prendre quelques dizaines de minutes pour écrire cette suite, inspirée de faits et de paroles réelles, bien que légèrement romancée, disons-le-nous. N’hésitez pas à reprendre le chapitre 4 pour vous remettre les idées en place.
Reprise :— Nan nan, mais arrête ! Tu ne vas pas le faire rassure-moi ?! S’exclama Coraline alors que j’avais déjà le pantalon baissé et une bosse visible qui sortait légèrement de mon boxer. Je suis ravie de voir que je te fasse cet effet-là n’empêche ! Renchérit-elle !— Disons que c’est plutôt la situation qui m’excite ! Me retrouver presque à poil devant une femme que je trouve plutôt mignonne, ça fait forcément de l’effet, lui rétorquai-je.
— Je comprends, mais t’es mon pote ! Allez hop hop hop rhabille-toi sinon je sens qu’on va faire une grosse bêtise mon petit Roro ! C’est de ma faute, j’éviterais de te chauffer la prochaine fois ! Je ne savais pas que tu avais ce petit côté exhib ! Si t’es en manque, je peux te présenter des copines.
— Une suffira ! répondis-je à Coraline !

Quelques semaines plus tard, j’avais sympathisé avec Mathilde, la petite sœur d’une pote de Coraline que j’avais rencontrée à une soirée plus ou moins organisée. Le genre de soirée où - comme par hasard - se retrouvent des potes de sphères différentes, célibs, et où les portraits tracés par notre amie en commun sont parfaitement élogieux. Un vrai petit speed dating bien organisé.
Ne mettant pas la charrue avant les bœufs, j’attendis le troisième rencard pour inviter Mathilde chez moi. Nous avions un petit écart d’âge, j’approchais les 25 ans et étais dans la vie active pendant que Mathilde venait d’avoir 18 ans et finissait ses années de lycée, brillamment d’ailleurs.
Sans forcément mettre les petits plats dans les grands, j’avais préparé un bon petit plat à mon invitée et débouché une petite bouteille de blanc sans prétention, histoire de se désinhiber facilement. Un verre de blanc pour éviter les blancs des discussions.

Qui dit troisième rencard dit... Conclusion. Ça ne manqua pas !Canapé, un rapprochement, d’abord des petites papouilles sur les bras, puis un gros câlin, puis un baiser, puis deux, puis trois ! Et on ne s’arrêta plus. Dans le feu de l’action, Mathilde étant venue de suite chez moi après sa journée au lycée, me demanda de passer à la doucher. Elle avait raconté à ses parents qu’elle dormait chez une amie pour réviser et n’était pas repassée chez elle.

— Et si tu la prenais avec moi ? Me demanda-t-elle.

J’acquiesçai de la tête et lui proposai de lui laver le dos. Sans plus attendre, après avoir trouvé une serviette pour mon invitée, nous allâmes dans ma petite cabine de douche. Je me déshabillai avant elle et j’arrivai encore à ce moment à contrôler le fait de ne pas avoir d’érection pendant quelques instants. Mathilde, tout en se déshabillant, fixa mon sexe pendant plusieurs secondes sans rien dire, ne laissant paraître aucune expression, hormis peut-être celle d’une femme légèrement voyeuse qui me mata la bite sans bouger un œil pendant un long moment. Elle était à présent nue devant moi alors que je commençais à faire couler l’eau.

Mathilde est une femme d’1m65, bien en chair, mais pas non plus ronde. Une paire de seins énorme ! Je n’en avais jamais vu des aussi gros, et pourtant j’en avais vu quelques paires ! Châtain, les cheveux mi-longs, les yeux bleus, de bonnes petites joues, une petite chatte totalement et parfaitement épilée.
Je pris soin un long moment de ma charmante invitée : je lui frottai le dos, puis la massai, le tout en laissant la douche couler... Tant pis pour la facture. Ce moment a bien dû durer 20 minutes, sans exagérer !

J’étais évidemment devenu tout dur, mon sexe frottait parfois contre les grosses fesses de Mathilde, même si j’essayais de faire en sorte de rester sérieux dans ma mission dans un premier temps.
Puis Mathilde se retourna et prit mon sexe dans sa main, encore une fois, elle ne disait rien, baissait les yeux et matait ma bite comme si c’était la première fois qu’elle en voyait une. Je ne savais pas si c’était sa première fois ! C’est vrai que je ne lui avais pas posé la question ! Je me dis qu’elle était peut-être simplement concentrée sur le fait de me branler presque à la perfection.
Le contact de sa main associé à celui du gel douche sur mon sexe commença à me faire chavirer, j’embrassai son cou et lui passai la main dans ses cheveux, je la voulais ! Je n’en pouvais plus, je voulais la baiser, quitte à ce que ça se passe mal ! Il n’y a que ceux qui tentent leur chance qui réussissent !
Comprenant que je commençais à être bien chaud, Mathilde me murmura quelque chose à l’oreille :

— On va s’essuyer puis tu vas bien me lécher la chatte aussi longuement que tu m’as massé le dos et ensuite tu me prendras !

Dans le feu de l’action, mon cerveau se déconnecta et j’obéis au doigt et à l’œil de Mathilde.Je mis tout mon cœur dans ce cuni qui sembla lui plaire ! Mon cœur et ma langue, bien au fond de son vagin comme sur son petit clito.
Puis Mathilde m’autorisa à venir en elle ! D’abord extrêmement tendre, je sentis ses ongles se planter dans mon dos, puis petit à petit, je la pilonnai autant que possible, je fis vraiment de mon mieux pour la satisfaire ! Et heureusement que je bossais bien mon cardio à l’époque !
Cependant après quelques instants vint un problème pour Mathilde, visiblement elle avait un reste de ses règles et semblait totalement refroidie. Elle partit aux toilettes pendant quelques instants.
Un peu penaud, allongé sur le dos, je tentai de cacher ma déception alors que mon sexe était dur comme du béton ! Un roc, un cap ! Que dis-je ?... Bon OK, stop. Mathilde ressortit des toilettes quelques minutes plus tard avec une culotte et une serviette au niveau de son sexe... Bon, pas de doute alors !

Elle accepta de me masturber et je jouis en quelques minutes. Quelques instants, avant que je jouisse, certainement pour me faire venir, j’entendis de sa bouche plusieurs fois une phrase sans équivoque comme "je veux que tu jouisses dans ma bouche".
Ni une ni deux, je ne me fis pas prier ! J’éjaculai de grosses giclées de sperme dans sa bouche qui ne lâchait plus mon sexe en béton armé. Après avoir avalé, Mathilde me roula une grosse pelle que je ne pouvais refuser. Quelques minutes après, elle et moi avions rejoint Morphée.

Au réveil, petit-déj’, petite douche beaucoup plus sage, et puis le moment de partir chacun vers nos occupations professionnelles.
Je demandai à Mathilde s’il était pour se revoir d’ici quelques jours, en fonction de son emploi du temps, sans la forcer. Elle me répondit que c’était OK, mais qu’il faudrait se parler un peu quand même.

— De quoi ? Lui demandai-je.
— Bah... Tu ne te doutes pas un peu ? Hier soir... Me répondit-elle.

Je la coupai brusquement pour la rassurer en lui disant : 

— Nan, mais ne t’excuse pas, ça arrive à tout le monde, c’est rien cette histoire de règles.
— Nan, mais tu ne comprends pas Romain ! C’était une excuse !
Un silence de plusieurs secondes.— On a déjà dû te le dire, non ? Je vais être honnête, car j’ai passé une excellente soirée, mais je ne te sens pas du tout.
— Me sentir ?

J’avais bien compris le sens bien entendu, mais au fond je ressentais une certaine humiliation qui commençait à m’exciter.— Bah t’as clairement une petite bite ! On ne va pas se mentir ! Je ne savais pas que ça pouvait exister un truc comme ça. Quand je t’ai vu sous la douche, j’ai bloqué... Je me suis dit : il doit être malade ou fatigué, ce n’est pas possible, elle est plus petite que celle de mon petit frère au CM2. Puis je me suis dit de pas être conne, que ça pouvait le faire si tu m’excitais à fond la caisse, et franchement ton cuni ce n’était pas si mal ! Mais ensuite, je ne te sentais pas du tout comme il le fallait !
Je ne pouvais plus interrompre cette fille, elle lâchait totalement sa frustration comme si elle parlait à ses potes alors que j’étais le premier visé. Certainement un défaut de sa jeunesse, Mathilde commença à me donner un cours de masturbation ainsi qu’un historique des bites qu’elle avait pu voir dans sa jeunesse.

— Tu vois, j’ai déjà couché avec plusieurs mecs et à chaque fois tu peux mettre les deux mains sur leur bite ! Soit il y a encore le gland qui dépasse, soit les deux mains couvrent, mais de peu ! Toi, je peux mettre une main et y a juste le gland qui dépasse ! Mais si je veux bien te branler correctement, il faut juste que je laisse deux doigts avec le pouce, visiblement tu avais l’air d’apprécier hier !" Me dit-elle avec un grand sourire.— Tu mesures combien ? Moins de 15, c’est sûr ! Et au repos c’est juste incroyable comment elle est toute petite ! Bon... faut vraiment que je file ! On en reparle ? J’ai envie de te revoir, mais on doit régler ce problème, faut qu’on trouve des positions où ta bite me fasse jouir.
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