Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 84 J'aime
  • 1 Commentaire

Lorenzo, mes vacances

Chapitre 2

Yasmina, l’obsession

Divers
Je me réveille, Marion est à côté de moi. On l’a enfin fait, depuis le temps qu’on se connaît. Nous déjeunons ensemble, sa mère s’est endormie, la télé allumée, un verre d’alcool renversé sur le tapis. Marion la regarde sans dire un mot. A son regard, je vois que mon amie est triste. Je la serre contre moi.
— Tu fais quoi ce matin ?— Je dois retrouver Thibault, pour vérifier le bateau avant de partir.— Bon on se retrouve ce soir alors.— D’accord.
Je pars au hangar retrouver Thibault. Il est déjà en train d’inspecter la coque. Je le rejoins.
Avec Thibault, on est né au village, c’est mon meilleur ami depuis toujours. Il est le fils du notaire, blond bien bâti, un bon mètre quatre-vingts. Il a toujours attiré les filles, même s’il n’a jamais voulu se caser. Il n’a pas trouvé l’âme sœur, m’a-t-il dit. Tous les étés, nos familles partent à la mer ensemble où on a appris la voile. Son père a acheté un bateau et cette année en récompense du bac on va pouvoir partir seul en mer avec.
Après avoir travaillé toute la matinée, nous passons au bar manger une pizza. Yasmina nous sert avec son sourire ravageur.
— Alors les gars, vous allez bien ?— Oui et toi ? Tu travailles jusqu’à quand ici ?— Fin juillet.— Ah cool, on part faire une balade en bateau début août. Tu peux venir si tu veux.— Je vais y réfléchir.— Cool, tu nous préviens.
Je regarde Thibault, sidéré de sa demande avant que mes yeux ne se collent aux fesses de Yasmina toujours superbement moulées dans son jean.
— Quoi, tout le monde sait que tu es amoureux d’elle, remercie-moi.— Arrête, je suis avec Marion.— Oui si on veut, n’empêche que tu préfères Yasmina.
— On a fait l’amour hier.— Alors c’est un bon coup ?— Mais arrête, c’est pas ça l’amour.— Donc pas terrible, tu sais, il paraît que Yasmina suce comme une déesse.— Qui t’a dit ça !?— Mehdi pardi. Elle le pompait tous les jours et elle avale qu’il m’a dit. J’aimerais bien l’essayer moi aussi.— Mais arrête, tu peux pas parler d’elle comme ça !— Tu vois, tu t’énerves, c’est la preuve que tu l’aimes.— Non j’aime Marion !— Bon on arrête d’en parler.
Il me parle rugby, du CO son club mythique. Derrière le bar, je vois Yasmina, la tête rivée sur son téléphone en attendant les clients. Je repense à ce que Thibault m’a dit. Sa bouche, ses lèvres épaisses. Je les imagine glisser sur mon sexe, alors qu’elle me regarde. Mon sexe se tend. Je ne peux plus quitter cette vision de cette bouche qui remonte sur mon sexe. Je dois aller me vider les bourses. Je pars aux toilettes et entreprends de me masturber en pensant à Yasmina. Le sexe en main, il ne faut pas longtemps pour que trois jets de semence soient expulsés dans la cuvette. Je remonte et vois Thibaud discuter avec Yasmina à la caisse du comptoir. Je suis un peu jaloux. Ils ont l’air de bien s’apprécier. Mais bon, je me console en me disant que je suis avec Marion.
— Ca devrait être bon, elle vient d’en parler à ses parents.— De quoi ?— Pour qu’elle parte avec nous.— Il y aura qui du coup ?— Nous, ma cousine, Marion et Yasmina, si elle me confirme.
L’après-midi, nous continuons à travailler sur le bateau. Vers dix-sept heures, Marion arrive. Elle fait la bise à Thibault avant de m’embrasser tendrement. On finit sur au bar. Mon regard se pose sur Yasmina. Sa poitrine est fièrement dressée sous son t-shirt. Je détourne les yeux quand elle s’approche.
— Vous prenez quelque chose ?— Un coca pour chacun.
Elle repart. Je mate ses fesses tandis que Marion et Thibault ont repris leur conversation. Je sens un coup de coude.
— T’es d’accord avec moi Lorenzo ?— Hein de quoi ?— Laisse tomber, Marion. Il regardait encore Yasmina.— T’es chiant Lorenzo, c’est moi ta copine.— Mais je la regardais pas ?— Menteur t’es tout rouge.
Thibault a raison, je sens la chaleur de la honte dans mes joues.
— Excuse-moi Marion, je le ferai plus.— J’espère.
Et je l’embrasse pour me faire pardonner. A la fin de la journée, nous repartons chez elle. Sa mère est sortie. Marion s’inquiète, elle l’appelle. Elle est chez sa tante à la ferme à la sortie du village. Nous commandons une grande pizza pour manger devant la télé. Ce soir, c’est le feuilleton de l’été. Pas très intéressant, mais tous les ans, Marion le regarde avec sa mère. Alors cet été, elle le suit à nouveau, même si sa mère n’est pas rentrée. Je passe ma main derrière son cou. Ma main passe sous son t-shirt pour titiller son téton. Rapidement, il devient dur et dardé sous mes doigts. Sa main se pose sur ma cuisse. Elle la remonte jusqu’à mon sexe et commence à le caresser sur le bermuda. Je bascule sa tête sur mes cuisses, espérant qu’elle comprenne que je veux une fellation.
— Tu fais quoi là ? Tu sais que je suis pas une pute !— Mais enfin, tout le monde en fait maintenant.— Oui, eh bien pas moi, si tu en veux une va voir ailleurs. C’est pas parce qu’on a couché ensemble hier que tu peux faire ce que tu veux de moi.— Mais non, c’est toi que j’aime. Excuse-moi. Je t’aime.— Moi aussi mon canard.
Nous nous embrassons. Je la bascule complètement sur le canapé et relève sa jupe. Ses jambes nues sont douces. Je les caresse. Mes mains arrivent à sa culotte que je retire tandis que Marion descend mon short et mon caleçon. Sa culotte retirée, mes mains caressent ses seins. Mon sexe dressé et dur s’enfonce dans son puits d’amour. Je la laboure tandis que je joue avec sa poitrine. Rapidement, la respiration de Marion s’accélère au rythme de mes va-et-vient. Je suis sur le point d’exploser quand on entend une clé dans la porte d’entrée. Vite, je tombe du canapé et enfile mon caleçon tandis que Marion descend sa jupe.
— C’est toi maman ?— Oui, je suis fatiguée, je monte me coucher.
On entend des pas lourds monter l’escalier. Je regarde Marion qui me regarde. On souffle de soulagement.
Diffuse en direct !
Regarder son live