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Lorsque l'audace paye

Chapitre unique

Hétéro
Nous y voilà. J’ai enfin décidé à franchir le pas, à vous retranscrire ces intenses passages qui laissent une trace indélébile dans l’histoire de ma vie, et dont le simple souvenir éveille en moi cette sensation si particulière. Je vais le faire, pour vous et pour moi, pour me remémorer ce que peut ressentir une jeune femme de la vingtaine, en pleine découverte de sa sexualité, et sans d’autres pudeurs que celle de l’anonymat.
J’ai 27 ans, de longs cheveux châtains, des yeux verts, des lèvres pulpeuses, un petit nez, et un menton pointu. J’ose penser de moi que j’ai un visage plutôt élégant. J’ai une silhouette mince et plutôt athlétique. Lorsque j’étais adolescente, mes hanches larges m’ont longtemps complexée, je trouvais mes fesses trop « grosses » comparées au reste de mon corps, mais c’était jusqu’à ce que je comprenne que ce contraste avec ma taille toute fine plaisait beaucoup aux hommes...
Je suis en couple avec Y, de qui je suis amoureuse depuis 7 ans. Lui a été mon premier homme, ma première fois, celui qui m’a appris que je pouvais être aimée et aimer, et qui au fil des années m’a aidée à transformer l’adolescente que j’étais en une femme plus épanouie.

Avec Y, nous pouvons discuter de tout, sans tabou. Nous aimons échanger autour de nos fantasmes, et parler de ce que nous avons envie d’assouvir. Je ne suis pas très jalouse, et lui non plus. Un jour, Y m’a avoué qu’il lui arrivait souvent de m’imaginer avec d’autres hommes. Cette révélation m’avait quelque peu perturbée, ne pouvant comprendre quel plaisir il pouvait bien ressentir à m’imaginer le tromper. Il lui arrivait de demander quel autre mec j’aurais aimé « me taper » ou sur qui je fantasmais. Il me disait que ce qui lui plaisait, c’était d’imaginer le plaisir que prenait cette autre personne à voir s’offrir « une femme aussi belle que moi » (c’est ainsi qu’il l’exprimait). Je n’étais très à l’aise avec cette idée, mon cœur lui appartenant. J’ai mis un certain temps à comprendre que, pour lui, le cœur et le sexe sont deux choses différentes, qu’il arrive à dissocier facilement.
Lorsque j’ai compris que ce n’était pas le symptôme de notre couple qui battait de l’aile, mais bien un signe, qu’au contraire, je continuais à lui plaire, cela me permit de l’accepter plus aisément.
Un jour, j’ai fini par franchir cette ligne... et c’est cette première fois que j’ai envie de vous raconter. C’est arrivé lorsque j’avais 23 ans. J’effectuai ma première année en tant que professeure d’anglais dans un lycée. Nous étions un petit groupe de professeurs de langue (uniquement des femmes), qui était mené par un professeur coordinateur, M. Lebon, un homme d’une quarantaine d’années, toujours habillé impeccablement. Je ne ressentais pas d’attirance particulière pour lui, il était avant tout un collègue, mais je reconnaissais qu’il avait de beaux yeux bleus.
Lui en revanche, semblait m’apprécier particulièrement... Combien de fois l’ai-je surpris en train de me reluquer... ou de faire des signes à un autre collègue lorsque je passais ? J’aurais pu être outrée, mais je dois avouer que j’aimais ça, j’aimais parfois en jouer en me baissant près de lui pour ramasser un stylo ou en passant devant lui en prenant les escaliers. Je n’avais pas d’idée spéciale derrière la tête, mais le plaisir de se sentir désirée était intimement agréable.
Un jour, Y. me demanda s’il y avait des collègues qui me plaisaient, ou qui m’avaient draguée. Je lui racontai qu’il me semblait ne pas en laisser certains indifférents, que j’avais l’impression qu’ils mataient mon cul quand je passais et même que j’avais parfois droit à des petites remarques pleines de sous-entendus : « A mon époque, je n’avais pas de prof comme toi, ils ont de la chance tes élèves ! »
— Je te connais... Je suis sûr que ça t’excite de te sentir matée ! me dit Y.— C’est vrai que ce n’est pas désagréable... — Et encore... s’ils savaient à quel point tu peux être une vraie salope... Je suis sûr que ça les ferait bander très fort... Tu sais ma Chérie, ça fait longtemps que j’y pense, et ça m’exciterait beaucoup que tu t’offres à un autre homme. Comprends-moi bien, je ne veux pas qu’il y ait de sentiments entre vous, mais l’idée que tu vives une expérience un peu spéciale, et que tu me la racontes ensuite m’est profondément excitante... — Oui tu me l’as déjà dit, et je commence à trouver l’idée intéressante, mais je ne sais pas comment la concrétiser. J’ai toujours difficulté quand il faut passer à l’acte. — Je comprends, dis-toi juste que si l’occasion se présente, tu n’as pas à te retenir !
J’étais loin d’imaginer, à ce moment-là, que l’occasion se présenterait environ un mois après cette discussion...Le temps passant, je commençais à être de plus en plus à l’aise avec mes collègues, et notamment avec M. Lebon qui ne ratait pas une occasion pour me complimenter ou me faire de petites remarques...
Tout ça avait commencé assez subtilement, mais un jour, alors que le lycée était quasiment vide, un mercredi après-midi, il se laissait à aller à une réflexion plus équivoque : « Ce pantalon te donne vraiment un cul d’enfer ! ». Je restai sans voix pendant quelques secondes, surprise par son aveu.
— Mais qu’est-ce que tu veux dire par là ? — Que c’est dur de pas le reluquer... — Je mordillais mes lèvres à sa remarque. « Toi au moins, tu fais pas semblant, tu crois que je t’ai pas remarqué depuis le début de l’année... »— Je t’ai dit... c’est difficile d’y résister..., surtout quand tu fais exprès de trémousser tes fesses et de te pencher devant moi ! Moi aussi je t’ai remarquée !
J’avais l’impression de m’être fait prendre la main dans le sac également, et je suis sûre qu’il s’en était rendu compte. Il reprit sans me laisser lui répondre :
— Mais ne t’inquiète pas, ça reste entre nous... Et si on allait boire un verre demain soir ? — Je suis désolée, mais je suis prise demain soir. Excuse-moi, mais il faut que j’y aille.
Je commençais à être un peu mal à l’aise de cette situation, ce petit jeu allait à se retourner contre moi. Je préférais partir et me dirigeai vers les toilettes des professeurs. Elles se situent dans un long couloir qui mène à trois cabines isolées. Je fis ma petite affaire en prenant quelques instants pour repenser à la situation que je trouvais malgré tout, plutôt excitante. J’étais désormais sûre que je lui plaisais, et je me demandais si j’allais pouvoir en jouer.En ouvrant la porte pour sortir, je fus surprise de voir M. Lebon, là devant moi, il avait osé me suivre jusque dans les toilettes des femmes ! Il me fit signe de me taire avec son doigt et me poussa à l’intérieur de la cabine puis la verrouilla.
— Mais qu’est-ce que... — Je t’ai dit... Je ne peux vraiment pas te résister !
Au même moment, on entendit la porte du couloir s’ouvrir, ce qui nous surprit tous les deux. Quelqu’un venait d’entrer et s’approchait bruyamment. Je regardais mon collègue avec des yeux pleins de reproches, c’en était fini de nous si on nous trouvait tous les deux là-dedans ! Il remit son doigt sur ma bouche pour me dire d’être silencieuse tout en plongeant ses yeux bleus dans les miens. Ces beaux yeux, si hypnotisant...
A côté, la personne était entrée dans une cabine, et commençait à faire sa petite affaire. Nous entendions tout, mais restions silencieux. Puis, il osa, encore une fois...Sans quitter mon regard, il descendit sa main sur mes seins. Je restai là sans bouger et me laissais faire. Je craignais qu’on nous entende. Il continuait à me peloter ainsi, pendant de longues secondes sans que je bouge, descendant sa main sur mon ventre puis sur mes fesses. Le bruit d’une chasse d’eau retentit enfin, et la personne alla se laver les mains. J’étais concentrée sur les bruits extérieurs, et je mis un certain temps à me rendre compte qu’il avait introduit sa main dans mon pantalon. Je maudissais cette mauvaise habitude de ne reboutonner mon pantalon qu’une fois être sortie de la cabine ! Je posai ma main sur la sienne pour l’enlever, sans grande conviction, je dois l’avouer. Il ne se laissa pas faire, et au contraire, écarta mon string pour accéder à mes lèvres. Je me mordais encore les lèvres du haut. « Mais comment osait-il ? » Il retira sa main, et la remonta pour me montrer ce qu’il avait découvert.
Ses doigts étaient humides de ma mouille... Mon sexe trahissait mon excitation. Il me regarda avec un petit sourire, il savait qu’il avait gagné. Il savait que j’allais me laisser faire et m’offrir à lui.
Il m’attrapa vers lui et posa ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser. J’acceptai son baiser, mais ne fis rien de plus pour aller vers lui. Lui avait attrapé mes fesses à pleines mains en les passant dans mon pantalon, et ne se gênait pas pour les peloter comme il le voulait. Je sentais son sexe durci qui appuyait contre le mien, et cette sensation finit par faire céder le peu de réticence que j’avais. Je me rassurais en me disant que c’est ce que Y voulait, mais au fond, je me demande si j’aurais pu résister s’il n’était pas d’accord avec ça. Je passai mes bras autour de son cou, et effleura sa langue avec la mienne. On échangea pendant plusieurs secondes un baiser, mais je coupai court à cela, ne voulant pas qu’il s’imagine autre chose. Je voulais que ce soit sexuel, pas sensuel. Il me plaqua contre le mur, et fourra encore sa main dans mon string qui était bien descendu... Je me laissais faire, il me caressait la chatte, et me doigtait avec son majeur et son annulaire.
Ses gestes imprécis me montraient à quel point son désir était impulsif. J’aimais qu’il me veuille tout entière... J’aimais qu’il me prenne sans me demander la permission...Moi aussi je le voulais, je voulais le découvrir. J’essayais en même temps de défaire sa ceinture, très curieuse de voir ce que son pantalon si serré cachait. Quand il le comprit, il s’empressa de la déboucler pour me laisser toute liberté. Mon collègue était là en caleçon noir devant moi, et attendait que je m’occupe de sa queue... Rien que d’écrire ça, cela m’excite encore... Je tirai sur l’élastique de son boxer et le fis glisser. Je fus loin d’être déçue, c’est une bien belle queue qui sortit de là, toute tendue et rebondissante. C’était la première fois que je rencontrais un autre sexe que celui de mon copain. Elle était belle, bien épaisse avec un gland bien gonflé, pas particulièrement longue, juste ce qu’il fallait. Cette vision augmenta encore d’un cran mon excitation.
Je la pris dans ma main afin de ressentir toute la pression sanguine qui gonflait son sexe. Elle était tellement gonflée, j’adorais cette sensation. Je m’empressai de jouer avec elle en la décalottant. Le bout de son gland était humide, je voyais ce liquide transparent et visqueux qui venait aussi trahir son excitation. Il retira ses doigts de ma chatte, jeta un regard sur son sexe que je gardais dans la main, et remonta ses yeux dans les miens. C’était un regard autoritaire, qui me disait quoi faire. Mes genoux cédèrent sous cette pression, et je m’accroupis devant lui. Sa queue était devant mon visage, je pouvais sentir à la fois son odeur intime et celle de sa lessive. Je le branlais à quelques centimètres de ma bouche, sans le quitter des yeux... J’avais l’audace de ne pas le satisfaire directement. Je soutenais son regard comme pour le défier, pour qu’il se demande si j’allais vraiment le faire ou pas.
Son impatience grandissait, il me voulait encore plus... et j’allais lui offrir toute satisfaction...J’ouvris mes lèvres pulpeuses devant sa queue tendue, et la fourrai directement dans ma bouche. J’étais toujours accroupie devant lui et empoignais son sexe de la main droite, alors que la gauche m’aidait à garder l’équilibre. J’avais envie de tester mes compétences, je voulais savoir si j’étais vraiment la « Reine des Pipes » comme Y aime m’appeler. Je m’attelais à sucer sa belle bite avec la plus grande application, alternant de lécher cette longue hampe de bas en haut, avant de la reprendre dans la bouche. Je me concentrai parfois à lécher son frein, zone que je sais être sensible, tout en continuant à le branler lentement. Je me sentais tellement salope, accroupie à sucer mon collègue ainsi. Cette pensée m’excitait, et me faisait accélérer mon mouvement. Je voulais qu’il se dise que j’étais la meilleure suceuse qu’il ait connue, et quand je regardais les expressions de son visage, je voyais que je n’en étais pas loin !
Il mit sa main sur ma tête et commença à imprimer un mouvement avec son bassin. Il utilisait ma bouche à sa convenance, enfonçant son sexe au fond de ma gorge. Je ne pouvais pas retenir ma salive qui coulait sur mon menton. Il me baisait la bouche pendant que je tenais ses couilles bien pleines dans mes mains. Il finit par enlever sa queue, voulant probablement retarder sa jouissance, j’en profitai pour aller goûter ses couilles et les sucer. Je pouvais les sentir bien gonflées toutes pleines de foutre. C’est à peine si je me reconnaissais, mon corps semblait agir par réflexe.
La position commençait à devenir inconfortable et je me levai pour soulager mes genoux. Il prit mon initiative pour une invitation et me glissa à l’oreille :
— Putain, depuis le temps que j’ai envie de toi...
Ces mots affolèrent encore mon feu intérieur, je l’imaginais se branler en pensant à mon cul.
— Dépêche-toi, viens me baiser !
Il ne se fit pas prier.
Il me fit pivoter, me plaqua contre la paroi des toilettes et baissa une nouvelle fois mon string et mon pantalon. Je me cambrai pour lui offrir mon cul. Sa queue humide cherchait l’entrée de ma chatte dégoulinante. Il faut dire que la position n’était pas très pratique, j’étais encore à moitié habillée. J’attrapais sa queue pour la guider en moi, à peine eut-il posé son gland sur mes lèvres qu’il me pénétra. Je laissai échapper par mégarde un petit cri, surprise par l’épaisseur de ce sexe qui me dilatait la chatte. Je suis habituellement assez bruyante lors des rapports, mais je savais que je ne pouvais me laisser aller. Je mordais mes lèvres pour ne pas crier, et appréciais la sensation de ce sexe qui s’emparait de moi. Il faisait tellement chaud, je n’avais qu’une envie, c’était de tout enlever pour qu’on baise sauvagement, mais il fallait faire vite. Ses mouvements de bassin se faisaient de plus en plus profonds et intenses, et mes bras fins avaient parfois du mal à les retenir.
Chaque fois que son sexe me pénétrait, ma tête se rapprochait de la paroi. Je sentais qu’il essayait de retenir ses coups de bassin contre mes fesses pour ne pas faire trop de bruit, mais cela lui était tellement frustrant qu’il se laissait parfois aller. Il avait pris le haut de mes hanches des deux mains et me tirait vers lui pour enfoncer sa queue. Je le laissai apprécier la chaleur de ma chatte et me baiser comme il le voulait. Si quelqu’un était entré à ce moment-là, il aurait entendu le claquement de ses mouvements répétés et aurait compris que j’étais là en train de me faire prendre dans les toilettes de l’établissement.
C’était trop risqué. Je préférai lui faire signe de se retirer, mais ne voulais pas en rester là. Je voulais encore le servir, et terminer cette expérience en beauté. Je me mis à genoux devant lui, et repris sans hésiter sa bite dans ma bouche. Je reconnus le goût de ma cyprine, mais cela ne me dérangeait pas. Je le suçai là comme une vraie salope avide de sperme. Il faut savoir que j’adore le sperme, bien que je sache que cela dégoute beaucoup de femmes, moi au contraire cela m’excite, et sans dire que j’aime particulièrement ça, je sais en apprécier le goût et la consistance. Je voulais le faire jouir, à la fois pour qu’il se rappelle ce moment, mais aussi parce que j’étais curieuse de découvrir de nouvelles saveurs. Alors, encore une fois je m’y attelai, j’aspirais bruyamment son sexe et caressais de ma langue son frein, tout en le branlant. Je goûtai une dernière fois à ses couilles et les suçant, puis remontai ma langue sur tout son organe.
Je jetai un dernier regard vers lui pour qu’il puisse garder le souvenir de mes yeux verts et de sa queue sur ma bouche puis replongeai toute gourmande vers son sexe. J’accélérai encore, je le sentais se raidir, sa respiration s’accélérait elle aussi, il était tout proche de l’orgasme... encore quelque stimulation de la langue... et je lui arrachais un râle de plaisir.
Il hésita à se retirer, mais je m’assurai de garder sa queue bien en moi. Il explosa dans ma bouche, la remplissant de longs jets de sperme. La sensation était différente de ce que je connaissais habituellement. Il y avait tellement de pression, je pouvais sentir la puissance de son orgasme à chaque fois qu’il expulsait son sperme. Je n’avais pas l’habitude d’une telle quantité, et je me demandai quel aurait été le résultat de ce feu d’artifice si je l’avais fait jouir ailleurs. Le goût était assez similaire à ce que je connaissais, mais l’abondance me fit hésiter à avaler. Je laissais échapper, malencontreusement, une partie de son offrande sur mon menton, et quelques gouttes coulèrent sur mon chemisier. Je le gardais ainsi encore quelques instants, le temps qu’il finisse d’apprécier son orgasme, puis retira sa bite de ma bouche.
Je le regardais dans les yeux et la gardais grande ouverte pour qu’il voie à quel point il l’avait remplie, puis j’eus l’audace de tout avaler en accentuant le bruit de ma déglutition. Je vis son étonnement dans ses yeux, et continuais à le fixer du regard, puis me relevai lentement pour étirer mon dos.
— Tu es juste... incroyable..., laissa-t-il échapper encore tout essoufflé. — T’es vraiment dingue, de m’avoir suivi comme ça ! — Et je ne le regrette en rien ! — Oui, moi non plus, mais ce sera la seule et unique fois. Et tu as intérêt à garder ça pour toi. — Ne t’inquiète pas, je ne gâcherai pas ça. — Allez vas-y file avant que quelqu’un n’arrive.
Il se rhabilla rapidement puis sortit discrètement. Je restai là encore quelques instants, reprenant mes esprits. L’excitation commençait à redescendre et un étrange sentiment de culpabilité s’emparait de moi. Je venais de tromper Y pour la première fois. Si nous parlions souvent de nos fantasmes, les réaliser est toute autre chose et j’appréhendais quelque peu sa réaction. J’étais toute transpirante, mais il fallait que je me rhabille pour sortir vite d’ici. J’écoutais d’une oreille attentive les signes que la voie était libre, puis sortis de la cabine. J’en profitais pour me rincer le visage et attendre que mon collègue s’éloigne suffisamment. C’était un mercredi après-midi, il n’y avait plus grand monde, et je pus rejoindre ma voiture sans croiser personne.
J’attendis le soir que Y rentre du travail pour lui faire mes aveux. J’avais d’abord commencé à lui raconter ce qu’il s’était passé comme une histoire fictive, pour voir sa réaction, mais très vite j’avais décidé d’attester la véracité de ce qu’il s’était passé. Y fut surpris et posa plein de questions pour connaître les détails de mon aventure. Toujours hanté par un doute, il alla dans la salle de bain chercher mon chemisier, et remarqua les traces de sperme qui avaient coulé sur moi. C’était là un indice irrévocable sur tout ce que je lui avais avoué. Au bout d’un moment, il me regarda, me sourit, puis m’embrassa. Il m’a fait l’amour comme jamais auparavant, passionnément, je retrouvais toute la connexion qui m’avait parfois manqué. A aucun moment, je n’aurais imaginé que mon aventure aurait eu cet effet sur lui... et pourtant c’était là le début d’une nouvelle étape dans notre vie de couple...
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