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Lou, sa mère et moi

Chapitre 2

Réaction de sa mère

Inceste
(Suite du 1er épisode. Les dialogues sont inspirés... Je ne garantis pas que nous ayons dit cela exactement, mais le sens y est).
Je sortis de la chambre de Lou en étant très excité ! Je venais de faire jouir la fille de ma compagne. Fille que j’avais vue grandir et devenir une superbe jeune fille !
Et en plus, si je ne l’en avais pas empêché, elle m’aurait caressé et peut-être sucé pour me donner du plaisir. Mes désirs les plus fous se concrétisaient.
En descendant, je vis arriver Valérie, la mère de Lou. Elle me regardait installée dans la cuisine. Son regard était fixé sur mon boxer tendu par ma queue en érection.
M’approchant d’elle, je la pris dans mes bras pour l’embrasser. Tendrement, je lui dis : "Bonjour ma chérie, je sors de la chambre de Lou. Elle est merveilleuse".
Etonnée, elle me regardait : "explique, je ne suis pas certaine de comprendre".
— Quand je suis rentré, après ma douche, j’ai rejoint Lou dans sa chambre. Visiblement, elle m’attendait. Elle m’a laissé m’allonger sur son lit, derrière elle, collé à son corps. Je l’ai caressée, les seins d’abord et ensuite sa petite chatte, jusqu’à la faire jouir. Là, elle a voulu me caresser aussi, mais j’ai refusé, car d’une part, je ne voulais pas que tu nous trouves ensemble et d’autre part, je voulais lui donner envie de plus pour les jours à venir. — Tu l’as fait jouir. Tu es vraiment un obsédé. Je ne te suffis donc pas ? — Tu le sais que depuis plusieurs mois, j’ai envie d’elle, et même si tu me donnes énormément de plaisir, vous avoir toutes les deux m’excite. Et d’ailleurs quand on en a parlé hier au téléphone, tu n’étais pas contre. — Je sais mon amour. Je te provoque. En fait, je ne pensais pas que tu irais aussi vite. Et tu sais que moi aussi j’en ai envie.
J’étais rassuré. Non seulement Valérie n’était pas fâchée contre moi, mais en plus elle me confirmait son envie de coucher avec sa fille.
Une heure plus tard, Lou descendit. Elle semblait gênée vis-à-vis de sa mère. Elle nous annonça qu’elle partait voir une copine.
Une fois sa fille partie, Valérie s’approcha de moi et doucement commença à défaire ma ceinture puis les boutons de mon pantalon.
En même temps, elle disait : "salopard de pervers, tu veux baiser ma fille. Tu veux peut-être aussi me voir coucher avec elle."
A peine ma queue sortie, elle s’agenouilla pour la sucer. D’abord doucement, puis au fur et à mesure qu’elle durcit de plus en plus vite et profondément.
J’attrapais les côtés de son visage et poussais pour qu’elle enfonce ma queue bien raide au plus profond de sa bouche et à l’entrée de sa gorge.
— Oui, j’ai envie de la sauter. De la prendre dans tous les sens comme toi. J’ai envie de vous voir vous gouiner comme deux bonnes salopes et vous baiser chacune votre tour.
Plus j’étais vulgaire et plus elle enfonçait ma queue en elle. Je prenais tellement mon pied que je dus la repousser pour éviter de lui balancer mon sperme dans la gorge.
Je la relevais, la faisais pivoter et s’appuyer contre le mur. En relevant sa jupe, je vis qu’elle n’avait pas de culotte.
— Tu es vraiment une grosse salope. Tu es comme ta fille toujours à m’allumer.
Je positionnais ma queue contre sa chatte et sans attendre, me glissais en elle.
— Oui, vas-y, baise-moi comme la grosse salope que je suis, dit-elle en gémissant.

Je lui bourrais la chatte à grand coup. Ses gémissements, ses paroles, tout m’excitait. J’avais envie de me vider en elle à défaut d’avoir pu le faire sans sa fille. En plus, déjà qu’elles se ressemblaient de face, mais là de dos, la mère et la fille, à quelques centimètres près c’était pareil.
Après quelques minutes de ce traitement, après un dernier coup de reins plus fort, je me vidais en longs jets dans sa chatte.
Le reste de la journée fut beaucoup plus calme. Nous avons longuement parlé de nos envies. Je lui ai raconté mon fantasme, devenu envie de pouvoir coucher tant avec elle qu’avec Lou, séparément comme ensemble. Elle m’a raconté à nouveau ses années de découverte de sa sexualité avec ses parents. D’abord en les écoutant, puis en les regardant discrètement. Puis, elle m’a avoué avoir d’abord eu des relations avec sa mère. Soft, par quelques baisers et caresses, puis avoir réellement fait l’amour avec elle. Comment ensuite sa mère l’avait amenée à coucher avec son père. Et enfin comment pendant plusieurs années, elle avait couché tant avec son père que sa mère, ensemble ou séparément pour le plus grand plaisir des trois. Ce n’est que quand elle rencontra quelques années après le père de Lou que cette relation s’arrêta.
J’étais tellement stupéfait que j’écoutais sans réagir. J’imaginais mes "beaux-parents" avec Valérie. En fait comme j’avais une petite quinzaine d’années de plus qu’elle, finalement l’écart avec eux était faible. Pourtant jamais en 10 ans de vie commune avec leur fille, je n’avais pu imaginer quoi que ce soit.
Lorsque, assez tard et après avoir un peu bu, nous sommes montés nous coucher, Valérie est venue contre moi et tout en me caressant pour me faire bander, puis en venant ensuite s’installer sur moi avec ma queue au plus profond de sa chatte et ses jolis petits seins qui dansaient doucement sous mes yeux, elle m’expliqua que le lendemain après-midi, elle devait justement aller chez ses parents pour quelques heures et qu’elle voulait que je fasse l’amour à sa fille. Qu’elle voulait que je sois doux, patient, que je l’amène au plaisir en la prenant tout en douceur et qu’à la fin, je me répande en elle.
Plus elle me racontait son envie, plus je voyais son visage se crisper sous le plaisir qui montait en elle. Sa voix qui se déformait, devenant de plus en plus lente. Comme si chaque mot lui demandait un effort de concentration.
Quand elle finit en me disant qu’elle voulait que je me répande dans Lou, elle jouit dans un grand cri, comme rarement je l’avais entendue avec elle. C’était trop pour moi. Je me répandis en elle comme elle voulait que je le fasse en Lou.
Valérie s’allongea contre moi. Je sentais son cœur battre très fort et je la câlinais longtemps avant que nous nous endormions.
(La suite si vous êtes intéressé. J’espère que ma manière d’écrire vous plaira. Soyez indulgent, c’est la première fois que j’écris et raconter ce qui vient de m’arriver est très particulier).
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