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Lou, sa mère et moi. Des vacances merveilleuses

Chapitre 1

Enfin les vacances

Inceste
Cette histoire est la suite de la première série racontant l’évolution des rapports avec ma belle-fille, Lou et sa mère Valérie, ma compagne.
Autant la première série était véridique, autant celle-ci, en se basant sur ce qui s’est réellement passé contiendra une partie tirée de mes fantasmes et envies. A vous d’imaginer ce qui s’est réellement passé et ce que peuvent être mes fantasmes !
Pour ceux qui n’ont pas lu les premières histoires, Valérie est ma compagne depuis une dizaine d’année. Jolie brune, mince avec deux jolis seins en poire sur lesquels la gravité n’a pas trop d’effet et des fesses que j’adore. Elle a un peu plus de 45 ans. Lou sa fille est sa copie conforme, mais avec trois ou quatre centimètres de plus en taille et l’avantage de ses 18 ans... Son père ne s’est jamais occupé d’elle et de ce fait, je fais office de père de remplacement depuis ces dix dernières années au point qu’elle m’appelle "Paps".  Moi, grand et mince, prenant soin de moi, j’ai 56 ans. 
Cela faisait un peu plus d’un mois que Lou m’avait donné son corps pour la première fois et que depuis nous vivions, à trois, avec sa mère, une merveilleuse histoire de sexe et d’amour.
Les vacances, prévues de longue date nous envoyaient dans le Périgord ou j’ai (merci mes très chers parents) une jolie maison à une vingtaine de kilomètres de Sarlat avec une piscine que j’ai fait aménager il y a quelques années et de la place pour accueillir amis et famille (très restreinte de mon côté puisque enfant unique).
Nous avions donc prévu trois semaines au calme avec la première semaine le frère récemment divorcé de Valérie et son fils, et les deux dernières semaines deux couples d’excellents amis sans leurs enfants.
Lou, elle devait rester les deux premières semaines pour partir dans les landes ensuite. Elle se faisait une joie de retrouver son cousin, Léo, du même âge qu’elle, mais qu’elle voyait trop peu depuis le départ de son père pour Lyon il y a deux ans.
Valérie était ravie, tant de retrouver son frère ainé et son neveu, mais aussi ses deux meilleures amies Laetitia et Anne avec leurs maris respectifs.
Nous arrivons donc le vendredi 23 juillet, ayant ainsi évité tous les bouchons habituels. Les premières heures à la maison se déroulaient de manière assez habituelle. Valérie s’occupait d’aller faire les courses de première urgence pour nous nourrir le soir et le lendemain matin et avec Lou, nous nous occupions d’ouvrir la maison. Heureusement, nos voisins, qui surveillent la maison régulièrement était venue démarrer la pompe à chaleur de la piscine quelques jours avant car la météo n’était pas au top.
J’avais réparti les valises et sacs dans nos chambres respectives. Nous avions en effet convenu que du fait de la présence du frère de Valérie et de son fils Léo, il fallait que Lou ait sa chambre....
Vers 19 h 30, nous nous retrouvions à trois, sous la terrasse couverte à boire un petit rosé bien frais pendant que sur le barbecue quelques saucisses et merguez cuisaient.
La discussion portait sur Pierre (le frère ainé de Valérie) et Léo son fils. Nous ne les avions pas vu depuis l’été dernier à cause du Covid. Je savais que Lou adorait Léo qui était effectivement un garçon adorable. Gentil, attentionné, réussissant bien dans ses études et beau garçon de surcroit ! En résumé, il avait tout pour lui.
Valérie et moi trouvions que Lou ne fréquentait pas assez de garçons de son âge et nous savions que nous ne devions pas la garder pour nous deux. 
 Etant donné nos relations avec Lou et sa mère, cela facilitait les questions délicates. Valérie attaqua donc
J’imagine que Léo te plait beaucoup physiquement ma chérie ! Arrête maman. C’est mon cousin ! Valérie et moi ne pûmes nous empêcher de rireC’est peut-être ton cousin, mais Paps est ton beau-père et cela ne t’empêche pas de te faire baiser par lui et aussi par moi, ta mère ! Lou rougit un peuC’est vrai qu’il est très mignon et me plait beaucoup, mais j’aurais trop peur de le choquer. C’est Paps qui a tout fait pour nous trois.Tu plaisantes ma chérie. Evidemment, j’ai fait avancer les choses, mais c’est bien parce que je sentais que tu en avais envie. Lou ne répondit pas. Visiblement ma remarque la faisait réfléchir. Cela dit, tu as raison. Léo est charmant et même en tant qu’homme, il peut donner envie dis-je avec un grand sourire. Valérie me regardait avec un petit sourire en coin. Visiblement certaines de nos conversations lui revenaient en tête alors que Lou, elle, avait un air étonné.
Ceci dit, la conversation n’alla pas plus loin, le repas se passa de manière tranquille comme la soirée. Nous profitions d’une accalmie de la pluie pour aller nous promener à trois dans la campagne. J’étais bien au milieu de mes deux petites femmes. J’avais passé mes mains dans les poches arrière de leurs deux pantalons et profitais de la balade pour leur caresser doucement les fesses.
Régulièrement, nous nous arrêtions pour nous bécoter et nous caresser tendrement. Chacun de nous trois avait en tête que le lendemain arrivaient Pierre et Léo et qu’il nous serait plus difficile de marquer notre tendresse entre nous trois.
En rentrant à la maison, une fois la porte d’entrée fermée, nous avons filé vers notre chambre tout en continuant à nous caresser à qui mieux mieux.
A peine dans notre chambre, je prends Lou dans mes bras et me collant à elle je l’embrasse avec passion. Mon envie se fait fortement sentir contre son bassin tant je suis tendu dans mon boxer. Valérie pendant ce temps se colle dans son dos et glissant ses mains sous le top de Lou commence à lui caresser les seins. Je sens Lou fondre complètement sous nos caresses.
Je me recule de quelques centimètres et Valérie en profite pour enlever le top de Lou. Elle est alors seins nus devant moi. Comme ils sont beaux. Deux superbes poires de taille moyenne, tenant parfaitement et avec deux jolies framboises bien mures ! Je ne peux m’empêcher de baisser la tête pour attraper l’une de ces framboises et la faire doucement rouler entre mes lèvres tout en l’agaçant du bout de la langue.
Valérie prend alors le visage de Lou entre ses mains et amène sa bouche au contact de celle de sa fille. Je les entends plus que je ne les vois s’embrasser de manière passionnée.
Mes mains se placent sur les hanches de Lou et après quelques caresses commencent à défaire sa ceinture et enlever les boutons de son pantalon en lin. Celui-ci glisse librement sur les jambes de Lou pendant qu’une de mes mains se place sur son pubis et l’autre va attraper une de ses fesses. Je la caresse alors doucement, devant et derrière par-dessus son Tanga noir.
Lou est entièrement passive. Elle a dû comprendre que sa mère comme moi avions décidé de nous occuper d’elle pour cette dernière soirée de liberté avant l’arrivée d’autres personnes.
Pendant ce temps, les mains de Valérie ne restent pas inactives. L’une vient se placer sur le sein que ma bouche n’occupe pas et l’autre se glissant sous le tanga vient caresser les fesses de Lou et fait des passages de plus en plus appuyés sur son sexe. Visiblement tout cela plait à Lou qui bien qu’ayant la bouche occupée par sa mère gémit de plus en plus fort.
J’enlève ma main du sexe de Lou puisque Valérie s’en occupe déjà et je défais mon pantalon et mon boxer. Ma queue est déjà bien raide et pointe d’envie vers Lou.
Valérie appuie alors doucement mais fermement sur les épaules de Lou. Immédiatement celle-ci s’agenouille devant moi et approche sa bouche de ma queue. Ce n’est pas la première fois qu’elle me suce dans cette position, mais qu’elle le fasse poussée par sa mère ne fait que renforcer mon excitation. Elle m’offre une vue magnifique avec sa bouche qui s’ouvre doucement pour me prendre en elle.
Valérie place ses deux mains sur les côtés de la tête de Lou et doucement mais fermement lui impulse le mouvement pour me sucer.
Lou toujours passive se laisse guider par sa mère. Les mouvements sont de plus en plus profonds et je sens ma queue s’enfoncer de plus en plus loin dans la bouche de Lou. Le regard de Valérie est plein d’envies et de passions. Je sens son excitation à me faire baiser la bouche de sa fille. Celle-ci commence même à avoir quelques hauts le cœur, mais aucun mouvement de rejet.
J’en profite pour finir de me déshabiller et enlever le haut de Valérie. D’elle-même elle enlève son pantalon et son string.
 Sentant que Lou à force de me sucer comme une possédée va me faire jouir je dis à Valérie : Va t’allonger sur le dos ma chérie.
J’attrape la main de Lou : Va lécher ta mère ma petite suceuse. 
Docilement Lou se lève et va se placer à 4 pattes sur le lit, le visage entre les cuisses de sa mère qui l’attend. Immédiatement je me glisse derrière elle et je viens placer ma bouche contre son cul et je fais aller ma langue de sa petite chatte lisse à son anus que j’aime tant posséder. 
Avec les mains je commence à la caresser. L’une lui attrape un sein tandis que l’autre se place sur ses fesses. Plus les minutes passent et moins je suis doux. Je lui malaxe le sein de plus en plus fort et n’hésite pas à lui mettre des claques sur les fesses pendant que ma bouche essaie de lui dévorer la chatte et son petit trou du cul. D’ailleurs, vu les gémissements de Lou je comprends que Valérie doit lui tenir la tête collée à sa chatte et qu’elle aime cette situation où elle devient notre jouet.
Je sens qu’elle mouille de plus en plus et se tortille comme pour échapper à ma douce torture. Ses gémissements eux aussi s’amplifient. Je saisis son téton et le pince de plus en plus fort. S’en est trop pour Lou ! Je l’entends gémir fortement et longuement et me lâcher dans la bouche un petit jet de mouille. Elle écroule son bassin comme pour m’empêcher de continuer à la lécher mais j’arrive à maintenir ses deux fesses suffisamment écartées pour continuer quelques minutes à lui lécher l’anus.
La jouissance de Lou est de trop pour Valérie qui émet elle aussi un long gémissement. Mes deux petites femmes, mes deux belles femelles, mes deux superbes salopes viennent de prendre leur pied.
Je me redresse la queue bien raide. Valérie me regarde et me dit : Encule la fort, qu’elle se souvienne longtemps de sa première soirée des vacances.
Sans hésiter je viens positionner ma queue contre l’anus de Lou. Jusqu’ici chaque fois que je l’avais enculée, c’est elle qui me l’avait demandé. J’hésite quelques secondes. Valérie des yeux m’encourage. Doucement je pousse ma queue dans l’anus de Lou. Heureusement que je l’ai beaucoup léché car c’est la première fois que je vais l’enculer sans sa demande et surtout sans lubrifiant.
Lou se laisse entièrement faire. Comme depuis le début de cette soirée elle est totalement passive. Les bras le long du corps, écartant simplement légèrement les jambes. Je vois pourtant mon gland passer son anus sans aucune difficulté. Seulement un gémissement dont je ne sais s’il est de plaisir ou douleur de Lou l’accompagne. En quelques secondes ma queue qui était posée contre son anus est au plus profond de son cul. Et sans attendre je commence à aller et venir entre ses reins. Et simultanément Lou se mets à gémir de plus en plus. Chaque butée de mon bassin contre ses fesses entraine un gémissement. Chaque gémissement de sa part entraine pour moi une envie de la prendre plus fort, plus loin.
Valérie nous regarde. Elle se dégage de Lou et vient se placer sur le côté. Elle nous caresse. Une main sur le dos de Lou l’autre sur le mien.
Plus j’encule fort sa fille et plus sa main descend dans mon dos pour venir me caresser les fesses puis doucement la raie des fesses. Je suis tellement absorbé par ma queue plantée dans le superbe cul de Lou que j’ai à peine le temps de comprendre que c’est maintenant un doigt de Valérie qui se pose sur mon anus à moi et cela pour la première fois en presque dix années de relation avec Valérie. 
Lou ne voit rien de cela et seule ma queue en elle semble la porter vers un nouvel orgasme. Pourtant au fur et à mesure que celui-ci approche Valérie pousse son doigt un peu plus jusqu’à lui faire doucement passer la limite de mon sphincter. Actif et passif, mon excitation monte de plus en plus. Je la traduis par des coups de bassin de plus en plus forts contre les fesses de Lou. Je ne l’encule plus, je lui démonte le cul ! Jamais je ne l’avais prise ainsi et pourtant elle aime. Elle adore. Elle crie et enfin elle jouit d’un long cri.
Valérie pousse alors son doigt le plus loin qu’elle peut et provoque ma jouissance. L’irruption de mon sperme dans le cul de sa fille. Et qu’elle jouissance. Moi aussi je crie et me vide d’une folle quantité de mon jus dans Lou dont cela prolonge la jouissance.
Complètement lessivé, je m’écroule un peu sur ma belle enculée et doucement me retire. Je vois Valérie qui se couche contre Lou et la câline. J’entends celle-ci dire à sa mère "je vous aime Maman" et épuisé, vidé de toute ma substance je m’endors. 
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