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Lucas chez sa cousine

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Horrifié, Lucas grimaça.   — Non, je ne suis pas gay ! — Dommage, tu as une jolie bouche, je la vois bien avec une grosse bite enfoncée dedans. Et je suis sûre que tu aimerais ça.   Amélie avait préparé une salade composée qu’ils mangèrent assis face à face. Lucas avait du mal à s’habituer à sa quasi-nudité comme à la vision de la poitrine volumineuse de sa cousine.   — Tu as cours demain ? demanda Amélie. — Juste la prérentrée, je pense. Toi aussi ? — Non, moi c’est après-demain. Je vais en profiter pour trier tes vêtements. Quand tu reviendras nous irons chercher des tenues plus adaptées, il y a des friperies pas loin. — Mais pourquoi… — Tu verras.   Lucas dormit comme un loir malgré ses craintes quant à ce que lui réservait sa cousine. À la fac de Droit, il prit connaissance de son emploi du temps dans un amphi archi-bondé. Il revint ensuite à l’appartement où sa cousine l’attendait ; dès l’entrée le blondinet enleva ses chaussures puis son pull et son jean.   — Bien ; ton slip est pourri, nous en trouverons des mieux tout-à-l’heure. À table, puis tu feras la vaisselle.   Une heure plus tard, ils entraient dans une première friperie. D’autorité, Amélie commença à fouiller dans les robes sous le regard interloqué de Lucas.   — Tu t’attendais à quoi ? expliqua-t-elle. À des costumes trois pièces ? Tu porteras des petites robes sexy ras le cul. Et des escarpins à talon haut, tu verras, c’est l’enfer pour marcher, mais tu gagneras dix centimètres. Allez, tu viens ? Tu vas essayer ces quatre robes, je t’ai pris du S.   Toute honte bue, Lucas accompagna donc sa cousine dans une cabine d’essayage. Il se déshabilla et enfila tout à tour les robes ; Amélie les arrangea et fit sortir à chaque fois son cousin de la cabine. Dire que Lucas fut surpris en se voyant dans un grand miroir serait au-dessous de la vérité : il se reconnut à peine dans cette blonde gauche et empruntée, mais terriblement sexy qui tournait devant elle.   — Bien sûr, tu n’as pas de talons encore, et pas de poitrine. Mais c’est un bon début, non ?  
 Sonné et choqué, Lucas ne put répondre ; il entra dans la cabine et tira le rideau, au bord de la syncope. C’était lui, dans le miroir ? Pas possible, il y avait un bug, un trucage… Le rideau s’ouvrit sur une Amélie furieuse :   — Tu fais quoi ? Sors de là… Putain t’es tout pâle ! Tu vas pas t’évanouir, quand même ! Remue ton petit cul ! E garde cette robe, bon sang !   Et elle fonça vers les chaussures dame, suivie par un Lucas flottant dans le brouillard, vaguement gêné de croiser des gens (surtout des étudiants) alors qu’il portait une robe. Et pas n’importe laquelle : une minirobe rouge qui moulait son corps au plus près. Le jeune homme essaya donc des escarpins pour la première fois de sa vie : il chaussait du 39 et avait du mal à marcher dès que le talon dépassait cinq centimètres. Bien sûr Amélie n’en tint aucunement compte, elle choisit deux paires d’escarpins en cuir à talons de dix centimètres.   — Bon, c’est parfait, tu pourrais même porter mes chaussures, on chausse pareil. Et pour les sous-vêtements ? On ne voit que ton affreux slip sous cette jolie robe. Et ici, il n’y a pas grand-chose. Aux grands mots les grands remèdes, direction le Sexy Center ; il faut y aller la voiture, c’est à Quint dans une zone paumée. Je paie et on se casse.   Lucas suivit donc sa cousine perverse en portant un grand sac en papier contenant deux robes choisies parmi les plus courtes. Amélie avait une place attitrée dans le parking souterrain de la Place Arnaud Bernard, non loin de son appart. Un grand box où elle garait sa Fiat 500 toute neuve. Juste avant de faire monter un Lucas grimaçant à cause des talons hauts qui meurtrissaient ses pieds et rendaient sa démarche incertaine, la rouquine lui lança :   — Avant de monter, tu enlèves ton putain de slip et tu le fourres dans le coffre, il gâche tout ! — Mais… La robe est trop courte… — Tu viens de gagner une punition, dix coups de ceinture en cuir. Ne me fais pas attendre.   Tête baissée, les oreilles brûlantes de honte, Lucas fit glisser son sous-vêtement sur ses jambes nues et le déposa dans le coffre. Assis dans la voiture, il tira nerveusement sur l’ourlet de sa robe pour masquer au mieux son sexe. Et quand il sortit de la voiture sur le petit parking du Sexy Center, il recommença sous le regard excédé de sa cousine.   — Tu arrives, oui ? Je te rappelle qu’ici, c’est un sex-shop embourgeoisé, les clients sont habitués à déambuler en petite tenue.   Il n’empêche que le jeune homme n’en menait pas large en entrant dans le magasin. Amélie ne connaissait manifestement pas trop bien les lieux, car elle demanda à un vendeur de la guider.   — Bonjour, c’est pour mon ami, nous cherchons des culottes sexy pour porter sous sa robe. — Bonjour mesdemoiselles, je vais vous montrer des strings absolument invisibles, couleur chair. — C’est que, cette jeune personne est un garçon, vous voyez, expliqua Amélie, faisant rougir Lucas qui baissa la tête. — Ah ! Compliment, je ne m’en étais pas rendu compte. Effectivement, alors j’ai des modèles de strings en mailles qui devraient aller parfaitement. Seulement la maille est ajourée et, bien évidemment, elle masque peu les attributs sexuels. — C’est parfait, c’est ce que nous cherchons. Vous avez des soutien-gorges rembourrés ? — Ça existe, mais sur commande uniquement. Mais je peux vous proposer des poches silicone à glisser dans les bonnets. — Ah ? Très bien, Lucie va essayer, n’est-ce pas ?   Lucas, déstabilisé par l’usage de son prénom féminisé, déglutit nerveusement et hocha la tête, submergé par la honte. Dans une cabine il enleva sa robe, enfila un string rose en mailles style filet de pêche puis un soutien-gorge extensible en lycra. Amélie le fit sortir ainsi devant le vendeur et  quelques couples qui déambulaient dans les rayons, elle glissa elle-même des poches de silicone dans les bonnets. Ensuite seulement elle autorisa le jeune homme à remettre sa petite robe.   — Il est pas mal, non ? s’enquit l’étudiante. — Il est époustouflant, vraiment. — Il faut revoir sa coiffure, évidemment, le maquiller aussi... — Peut-être l’épiler, quand même, suggéra le vendeur. Définitivement tant qu’à faire. — Oui, on verra, mais ce n’est pas urgent, ses jambes sont déjà bien. — Des bas ? proposa l’aimable vendeur. — Bonne idée, des bas résille qui fassent pute ; vous avez ça où ? — Avec sa robe rouge, ces noirs seront bien, montra le vendeur qui observait Lucas. Essayez cette paire, ils sont autofixants. Je reviens, je vais vous montrer quelque chose…   Le temps qu’un Lucas dépassé par les événements glisse les bas sur ses jambes et remette ses escarpins, l’homme revenait avec quatre boîtes.   — Regardez ces rosebuds, ils sont superbes, non ?   Faisant la moue, Amélie les examina l’un après l’autre devant un Lucas interloqué qui se demandait l’usage de ces petits œufs de métal chromé.   — Ils sont petits, non ? Objecta-t-elle. Vous devez avoir des modèles plus gros, je pense. — Bien sûr, il existe  même sur commande des godes d’un diamètre qui nécessite une certaine expérience anale.
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