Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 56 J'aime
  • 0 Commentaire

Lucas chez sa cousine

Chapitre 6

SM / Fétichisme
Le lundi soir Amélie les conduisit à nouveau à l’Espace Libido. Il y avait un peu plus de monde sur le parking et de nombreux clients, souvent en couple, déambulaient dans les rayons. D’autorité, la jeune rouquine fonça vers les rayons SM où ils avaient trouvé la cage de chasteté.
— Je vais choisir un bâillon, je vois qu’il y en a plein. Tiens, notre vendeuse de l’autre jour. Bonjour madame.— Bonjour mesdemoiselles. En quoi puis-je vous être utile ?— Eh bien… La cage que nous avons achetée est vraiment bien, mais Lucie a des soucis avec le poids.— Ah, le ball stretcher ! Évidemment, si vous lui demandez son avis, ces pauvres choux sont bien trop douillets. En plus, je crois me souvenir que vous avez choisi un modèle très léger. Vous devriez lui apprendre l’obéissance et lui en faire porter un plus lourd !— Ma foi, vous avez raison. Cette petite idiote est habituée à être choyée, résultat : c’est une vraie chochotte. Vous avez quoi, comme poids ?— Celui-ci pèse quatre-cents grammes, regardez ! Le tournevis est fourni.
C’était un anneau de métal chromé en deux parties qui se vissaient ensemble grâce à des écrous spéciaux. Amélie se tourna vers Lucie qui écoutait sans oser intervenir.
— Qu’en penses-tu ? Tu es impatiente de le porter, n’est-ce pas !— Je crois que je n’ai pas le choix, non ?— Elle est incroyable, cette petite. Même sa voix donne le change, et sa pomme d’Adam n’est même pas proéminente. Elle porte sa cage de chasteté ?— Lucie, soulève ta robe, montre à la vendeuse ta petite bite en cage.— Mais…
Lucie capitula en voyant l’air furibond de sa cousine. Un coup d’œil autour lui apprit que plusieurs clients étaient à proximité, dont certains regardaient à la dérobée vers les trois jeunes femmes. Tête basse, elle prit l’ourlet à deux mains et leva sa robe rouge, exposant d’abord la lisière de ses bas autofixants puis la cage étroite qui contenait sans peine sa verge à moitié bandée.
— Très jolie ! Commenta la vendeuse sans que Lucie sache si elle parlait d’elle ou de la cage. Avec ce poids sur ses mignonnes petites couilles, elle saura qui commande, croyez-moi !— Vous m’avez convaincue, je la prends. Vous auriez un gode adaptable plus gros ?— Mmm… Celui-ci fait quatre de diamètre sur quinze, j’ai la taille au-dessus, cinq sur dix-huit. Attention, c’est bien plus épais que l’autre, il faudra être prudent ! Voici l’objet, voyez comme il est déjà volumineux.— Ma petite chérie est très souple ! Et puis elle aime ça. Dis donc, Lucie, t’ai-je dit de baisser ta robe ? Il y a des gens qui sont intéressés par ton petit oiseau prisonnier.
En effet, cinq clients s’étaient approchés et semblaient fascinés par sa virilité encagée et son allure de jeune fille sexy. Lucie rougit jusqu’aux oreilles, affreusement gênée, mais elle obéit à sa cousine et releva à nouveau sa robe, dévoilant son intimité.

— Autre chose. Lucie se plaint de la sonde, elle souffre quand elle urine tout le jour qui suit. Je lui ai mis la plus longue hier, voilà le résultat, elle passe la journée à pleurnicher.— Elle fait une petite infection. Il faut persévérer et surtout bien désinfecter la sonde. Passez en pharmacie pour avoir un produit efficace, ce que je vous ai proposé n’est sûrement pas suffisant.— Mes parents sont pharmaciens, je vais demander à maman. Vous pensez que Lucie peut continuer à porter une sonde ?— Mais bien sûr ! Même avec un modèle plus long ou de plus gros diamètre. L’urètre est très souple, le seul vrai problème est l’asepsie.— Bon, d’accord. Je vous prends ce joli gode, le poids en acier et une nouvelle sonde.— J’ai un joli modèle en silicone et acier chirurgical qui se visse sur la cage, neuf millimètres de diamètre et douze centimètres de long. Il est dans un emballage aseptisé, il faut juste le lubrifier.— Je le prends. Pouvons-nous passer en cabine pour poser tout ça ?
Il fallut vingt minutes pour équiper Lucie. Elle pleurait en sortant de la cabine, se retenant pour passer les mains sous sa petite robe. Ses testicules lourdement lestés pendaient atrocement et il lui semblait qu’ils allaient se détacher. Du coup, elle supportait sans y penser le nouveau gode, pourtant bien plus intrusif, qui lui taraudait les reins. Comme ils allaient sortir, un homme bien mis, dans la cinquantaine, s’approcha d’Amélie et lui tendit un bristol.
— Bonsoir mademoiselle. Quand vous en aurez assez de cette petite chienne, appelez ce numéro.— Merci, je n’y manquerai pas, soyez en sûr.
L’homme s’approcha de Lucie et lui souleva le menton avec autorité, l’obligeant à lever la tête. Il plongea son regard glacé dans les yeux troublés de larmes de la petite blonde qui se retrouva complètement en son pouvoir.
— Toi, tu es née pour être une esclave. Quand tu seras chez un vrai Maître, il te fera découvrir ta vraie nature. Tu plongeras dans un monde de dépravation et de souffrance dont tu n’as pas idée. Bientôt.
Dans la voiture, Amélie dévisagea son souffre-douleur qui ne pipait mot, se contentant de regarder la route d’un œil vide.
— Tu ne pleures plus ? Tu n’as pas mal ?— Si. La sonde me fait mal, et j’ai envie de faire pipi.— Heureusement qu’elle comporte un embout vissé, ça te permet de te retenir. D’ailleurs j’ai décidé que nous allions au restaurant. Qu’en dis-tu ?— Je n’ai pas faim, et je n’ai pas envie d’y aller. Mais je présume que tu t’en fiches.— Heu… Oui, complètement. On va marcher jusque chez Hong, c’est un resto chinois près de l’appart.— Je ne suis pas très couverte, tu sais.— Tu as peur d’avoir froid ? C’est à deux pas de chez moi. Et puis ça te secouera les couilles de marcher un peu.
Lucie serra les dents pour retenir ses gémissements de douleur en allant au restaurant. Emmitouflée dans une veste de laine appartenant à sa cousine, elle avançait à petits pas en essayant d’éviter de trop secouer le poids. Elle s’assit avec soulagement à sa place, se crispant quand le gode se ficha encore plus dans ses reins. Amélie passait la commande : nems, canard laqué et pichet de vin rosé, quand deux hommes entrant dans le resto l’interpellèrent :
— Salut Mélie ! Tu vas bien ? — Bonsoir Fred et Jules ! Vous mangez avec nous ? On est en train de commander. Je vous présente Lucie, ma coloc.
Après une tournée de bises, les nouveaux venus s’installèrent et commandèrent dans la foulée. Pendant le repas, Jules dragua ouvertement Lucie qui lui répondait timidement. Après avoir payé, ils sortirent tous les quatre et avec aplomb, Jules prit Lucie par la taille et la serra contre lui. La petite blonde frissonna mais ne protesta pas, appréciant même la chaleur du bras sur son épaule. Elle essaya de contenir la douleur irradiant de son scrotum distendu et de sa verge gonflée et durement comprimée dans sa cage. Elle avait envie d’uriner mais devait attendre pour cela qu’Amélie la libère.
— Vous passez boire un coup à la maison ? proposa la jolie rousse. Lucie vous montrera ses talents.— S’il te plaît, Amélie, protesta Lucie, inquiète de ce que lui réservait sa perverse cousine.— Je ne t’ai pas demandé ton avis. Tu sais ce que ça va te coûter.
Lucie baissa la tête, réalisant qu’elle ne pourrait pas échapper à une nouvelle punition en plus des humiliations qui l’attendaient. Jules la regardait en coin pour savoir comment elle réagissait, et s’il fut surpris de son absence de rébellion il n’en laissa rien paraître. Il essuya une grosse larme qui glissait sur la joue pâle de la petite blonde avant de la réconforter d’une pression sur l’épaule.
Lucie faillit fondre en sanglots devant cette marque de sollicitude. Mais il se retint de justesse en pensant à ce qu’il allait devoir faire dès son arrivée dans l’appartement : Amélie avait été très claire, il devait se déshabiller dès son entrée, puis au mieux enfiler un débardeur et une petite culotte.
Diffuse en direct !
Regarder son live