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Lucas chez sa cousine

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Ainsi, dès qu’Amélie eut ouvert la porte d’entrée, Lucie enleva sa veste et la suspendit à une patère. Pendant que les deux hommes s’asseyaient sur le canapé, submergée de honte mais incapable de se rebiffer sous le regard impitoyable de sa cousine, Lucie dézippa sa robe et la fit glisser sur ses jambes gainées de bas fumés. Les exclamations fusèrent quand Fred et Jules comprirent que la petite blonde était un garçon travesti.   Lucie dégrafa son soutien-gorge et le posa soigneusement près de sa robe sur un tabouret, puis elle quémanda du regard le droit d’enfiler un vêtement, fut-il symbolique.   — Reste comme ça, pieds nus mais avec des bas de petite salope. Et approche, nos invités désirent t’admirer de près. — Putain, c’est pas vrai ! Jules, regarde ça, c’est une sale petite lopette. — Ouais… Je me serais fait avoir, nom de Dieu ! C’est quoi, cet attirail ? Ses couilles sont violettes tellement elles sont étirées. — Explique-leur, Lucie, et dis-leur pourquoi tu portes ça. — C’est… C’est une cage de chasteté, expliqua Lucie d’une voix blanche. Parce que je me suis caressé sans demander la permission à ma cousine. — Putain, j’y crois pas… c’est ton cousin, cette petite salope ? — Eh oui, mes parents me l’ont envoyé, je suis censé l’héberger jusqu’à ce qu’il se trouve autre chose. Mais il ne vous a pas bien expliqué comment fonctionne cette cage. Tourne-toi, penche-toi, encore, écarte tes fesses… Un gode lui emplit l’anus et il ne peut pas être sodomisé avant que je le libère. Il a aussi une grosse sonde qui remonte l’urètre presque jusqu’à la vessie, il ne peut pas uriner sans moi. — Elle pleurniche, la lopette, mais elle se laisse faire ? — Elle a pas le choix, sinon je la fous dehors. Mais oui, elle aime être humiliée, et même être battue. Combien tu vas avoir de coup de ceinture, ce soir ? — Amélie, tu ne vas pas… Dix coups, je pense. — Eh non, comme tu contestes sans arrêt, ce sera vingt. Pour t’apprendre à ne pas remettre en cause mes ordres. Compris ? — Oui, répondit le pauvre d’une toute petite voix.   Triomphante, Amélie se tourna vers ses deux amis, ébahis mais aussi excités par la situation.   — Alors, vous avez envie de punir cette petite geignarde ? Elle a besoin de la poigne d’un vrai homme pour comprendre qu’elle doit être plus docile. Qui commence ? Dix chacun ? Voici sa ceinture préférée, vous la doublez en la tenant par la boucle. Et vous tapez de bon cœur, Lucie doit apprendre à être durement corrigée.    La jolie rouquine ordonna à sa colocataire de se pencher contre la table basse, jambes droites mais largement écartées, pour offrir son postérieur aux deux étudiants. Fred fut le premier à le frapper, faisant cingler la ceinture avec une puissance telle que Lucie fondit en sanglots déchirants. Mais sans jamais songer à échapper à la punition. Jules enchaîna mais sans porter autant ses coups ; cependant, à l’issue de la correction les fesses de la pauvre blonde étaient bien marquées. Elle tomba à genoux et pleura tout son saoul alors que les trois compères buvaient du whisky en se moquant d’elle.   — Vous voyez le boulet que ma mère m’a collé ! En plus cette petite salope coûte cher, entre tous ces appareillages, la bouffe, les vêtements... — Sûr ! Mais tu peux t’amuser aussi ; elle accepte tout ?
 — Je te l’ai dit, sinon je la fous dehors. Mais il y a pas de danger, elle aime ça. Et si vous avez envie de son cul ou de sa bouche, ne vous gênez pas, je vous la prête.   Les deux copains se regardèrent puis se mirent à ricaner.   — Ouais, pourquoi pas, j’ai jamais essayé, répondit Fred. Je vais lui péter le cul. — Eh, doucement, objecta Jules. Faut lui demander son avis, on va pas la violer non plus. — Alors, tu entends, demanda la rousse. Tu acceptes de te faire enculer ? Et de les sucer ?   Lucie ne pleurait plus et écoutait, mortifiée et pleine de honte. Ils voulaient la sodomiser, se faire sucer… Elle frémit puis songea que déjà ses reins étaient investis par un cylindre épais qu’elle avait appris à supporter. Alors la sodomie par de vraies bites ne devrait pas être si terrible. Au moins cela lui permettrait d’être libérée de sa cage. Et du poids aussi, elle l’espérait en tout cas.   — Oui… Ceci dit d’un filet de voix, comme si Lucie ne voulait pas être entendue, ne croyant pas elle-même à ce qu’elle acceptait de faire. — Dans ce cas, je vais libérer ton anus. Tu vas garder la cage bien sûr, ça t’évitera de bander. — Mais, commença Lucie avant de capituler. D’accord.   Dix minutes plus tard, Lucie vivait sa première pénétration anale : Fred l’avait positionnée à genoux devant lui, elle avait dû écarter ses fesses à deux mains pour présenter son œillet palpitant qu’il avait investi sans douceur. Surpris par la taille et la dureté de la verge du jeune homme, Lucie avait protesté et reçu pour la peine de puissantes claques sur les fesses. Se le tenant pour dit, elle avait laissé son premier mâle se comporter avec rudesse.   Fred la pilonnait brutalement, son pelvis claquant sèchement contre les fesses de Lucie à chaque coup de reins. Il frappait du plat de la main le cul offert, et en même temps il l’insultait en tirant violemment la chevelure blonde de sa victime. Le pauvre étudiant gémissait en pleurnichant, mais au fond il aimait être traité si rudement.   Puis Fred se vida dans le rectum de Lucie et se retira aussitôt.   — Viens nettoyer ma bite, petite salope. Vite !   À ce stade, Lucie ne se rebellait plus. Elle se tourna et s’agenouilla pour prendre en bouche la verge maculée et la lécha soigneusement, sans se soucier de l’odeur peu engageante.   — Ça suffit, donne ton cul à mon copain maintenant.   Lucie hocha servilement la tête et se retourna, toujours à genoux. Jules la sodomisa en douceur, sa verge pourtant conséquente pénétra facilement le conduit anal bien assoupli. Il prit ensuite son temps, allant et venant souplement dans les reins dociles. Bien cambrée, Lucie gémissait, offerte à son deuxième mâle. Sa petite verge bandait, comprimée dans son étui d’acier dont les pointes perçaient la chair tendre. D’elle-même elle se tourna pour nettoyer de la langue la grosse verge congestionnée après que Jules eut joui.   Après le départ des deux étudiants, Amélie approcha avec ses clés et enleva le poids qui distendait les petites couilles de sa soumise. Elle ôta ensuite la cage de métal et examina la verge, nettoya le sang et ne découvrit que de minuscules piqûres qu’elle désinfecta néanmoins.   — Tu as été parfaite, Lucie. Tu as aimé, au moins ? — Oui, avoua Lucie d’une voix à peine audible. — Bien ; je crois qu’il faut aller plus loin maintenant que ta vraie nature est révélée. Malheureusement, je n’ai pas le temps de m’en occuper, et je n’y connais rien. Je vais téléphoner à l’homme qui m’a laissé sa carte de visite, il me guidera.   La rouquine ne perdit pas de temps, elle prit son portable dès qu’elle eut mis la main sur la carte.   — Allô, bonsoir. Je suis la personne à qui vous avez remis votre carte de visite tout à l’heure. Vous avez cinq minutes à m’accorder ? — Je suis à vous, mademoiselle. — Merci. Voilà ; Lucie se révèle difficile à éduquer, pour moi qui suis novice en la matière. Je voudrais savoir si vous pourriez me guider vers quelqu’un. — Sûrement. Je ne suis pas à même de la prendre en charge actuellement, hélas. Mais je connais des gens. Mais il faut me dire vos aspirations, ce que vous souhaitez pour Lucie. — Je ne sais pas. C’est là le problème. — Je vais vous aider. Lucie est-elle soumise, maso, à quel degré ? Faut-il envisager une féminisation ? — Ah, d’accord. Elle est soumise et très maso, et pour la féminisation, oui, c’est une bonne idée. Elle est déjà plus femme qu’homme. — Attendez, je réfléchis. Je connais trois personnes susceptibles de prendre en charge Lucie. L’un d’eux est… extrême, je vais donc contacter les deux autres en premier, ce sont des amis de longue date. Je vous recontacte rapidement.
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