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Lucas chez sa cousine

Chapitre 8

SM / Fétichisme
En fait il rappela une heure plus tard. Amélie lisait devant la télé avec Lucie blottie nue à ses pieds.   « Je n’ai pas de bonnes nouvelles, je vous préviens. Mes deux amis ne peuvent donner suite. Ne reste que le dernier. Mon impression est mauvaise, il m’a semblé brutal au possible. Il ne veut pas être dérangé par des  dilettantes, des bobos qui cherchent à vivre un frisson, m’a-t-il dit, il cherche un soumis dont il fera un esclave sexuel. Ou plutôt une esclave sexuelle, car il envisage une féminisation hormonale définitive, avec ou sans l’accord du soumis. Qu’en pensez-vous ? « Je pense que c’est possible. Je vais le contacter moi-même, si vous le permettez. « J’allais vous le proposer.  Amélie composa le nouveau numéro après avoir coupé la communication. « Allô, bonsoir. Je vous appelle au sujet de Lucie, j’aimerais avoir des précisions. « J’espère juste que ce n’est pas un canular. Que voulez-vous savoir ? « Vous êtes prêt à prendre en charge Lucie ? Ou Lucas, si vous préférez. C’est un jeune homme de dix-huit ans qui a des dispositions en fille. Petit, mince et doux. « Il fait quoi actuellement ? « Il est en fac de Droit. « Si j’accepte, c’est fini, vous comprenez. Il sera chez moi à plein temps. Sa famille ne risque pas de le rechercher ? « Il est majeur. Il pourrait faire un courrier à sa mère pour avertir qu’il quitte la France, non ? « Oui ; je vous laisse jusqu’à demain pour les modalités. Vous habitez Toulouse ? Alors je l’attends demain à 21 heures au bas de la rue Bayard dans un van noir aux vitres fumées. « Bon, c’est parfait pour moi. À demain.  À l’heure dite, Amélie et Lucie étaient au point de rendez-vous. Lucie, seulement vêtue d’une robe, frissonnait de froid et de peur, son sac de voyage posé à côté d’elle. Sous sa robe, point de sous-vêtement mais la cage d’acier, le poids le plus lourd à ses couilles et le plus gros plug fiché dans son anus.   Un van sombre s’arrêta à quelques mètres, Amélie comprit tout de suite que c’était le bon avant que l’homme descende côté passager. Il jeta un coup d’œil circulaire et s’arrêta sur les deux jeunes filles qui s’approchaient de lui. Il était grand et baraqué, chauve, dans la quarantaine sûrement. Vêtu de noir, polo et pantalon de toile, il avait tout d’une brute avec ses yeux durs et sa bouche épaisse et cruelle.   — Alors vous êtes là ! C’est bien, il y a trop de gens qui s’excitent à jouer au grand frisson et qui se dégonflent. Lucie, c’est la blonde ? — Oui, bonsoir ; moi c’est Amélie, que vous avez eu au téléphone hier.   L’homme jaugea Lucie puis Amélie, les déshabillant du regard sans vergogne.
   — Tu es très belle, Amélie ; tu avais oublié de le dire hier. Tu viens aussi, bien sûr. Nous somme mardi, je te libérerai dimanche matin, si tu le souhaites encore du moins. D’ici là, tu vivras une expérience qui dépassera largement tes rêves les plus fous. Montez.   Amélie était complètement immobile, paralysée par le trac, l’esprit en pleine confusion. Elle était venue là pour accompagner Lucas et le remettre à cet homme, rien de plus. Et il la revendiquait, la couvant d’un regard glacé et mortel. Elle tenta de résister, bégayant presque.   — Je… Je n’ai rien prévu, je n’ai aucune affaire avec moi… — Parce que tu crois que tu seras habillée chez moi ? Tu seras nue et tes orifices à disposition de tous les mâles. Monte.   Matée, Amélie baissa la tête et grimpa dans le van par la porte latérale. Lucie était déjà là, en attente. Les deux filles sursautèrent quand la porte se referma en claquant ; deux plafonniers s’allumèrent alors, éclairant violemment l’intérieur. Deux hommes étaient assis sur une petite banquette fixée au mur ; quand ils se levèrent, leurs têtes touchaient le plafond. Des armoires à glace à mi-chemin entre le catcheur et l’homme de main de mafieux. Amélie frissonna, se demandant dans quoi elle s’était fourvoyée.   — Bon, je vais descendre. Je vous laisse avec Lucie, prenez-en soin. Je rentre chez moi. — Tu ne vas nulle part, connasse. Tu te mets à poil, pour commencer ; je veux juger de la marchandise. Et dépêche-toi, sinon mes amis vont devenir méchants, et ils adorent ça. Toi aussi, la blonde. Vous voyez le sac de jute, vous fourrez tous vos vêtements dedans, vous ne les reverrez pas de sitôt. — Mais vous me libérez dimanche, hasarda Amélie. Vous avez promis… — J’ai menti. Pour te faire monter dans le van. Allez, à poil sinon…   Dépitée, la rouquine se déshabilla rageusement, fourrant ses vêtements dans le sac. Lucie était déjà nue, tremblant de peur entre les deux gorilles. Ils sortirent des attaches rapides d’une mallette noire et lièrent ses poignets dans le dos, puis firent de même avec ses coudes, les joignant douloureusement.   — Vous me faites mal, s’il vous plaît. — Ouvre la bouche, voilà.   Un gros bâillon boule déforma la bouche de Lucie qui se le tint pour dit. Le van roulait lentement, mais des secousses faisaient ballotter les testicules distendus par le poids, ce qui arrachait des larmes de douleur à la blonde. Pendant ce temps, Amélie connaissait le même sort, complété d’attouchements pervers. Puis les deux cousines furent couchées sur le plancher du van et leurs chevilles attachées. Dès lors, les trois hommes se désintéressèrent d’elles et s’assirent en silence. La lumière s’éteignit, plongeant l’habitacle dans la pénombre.   Le trajet dura longtemps, plus d’une heure selon Lucie. Elle comprit qu’ils approchaient du terminus quand le bruit des plneus lui apprit que le van roulait sur un chemin non goudronné, gravillonné sûrement. En effet, le véhicule stoppa peu après et le moteur s’éteignit. Les hommes se levèrent et ouvrirent la porte latérale sur une nuit noire. L’un d’eux coupa les liens des chevilles et releva facilement les deux filles.   — Tout le monde dehors, lança le patron. Nous somme arrivés, bienvenus dans mon manoir. Vous verrez, nous serons au calme pour ce qui vous attend.   Lucie avança, poussée par un des colosses, gémissant à cause du gravier qui agressait ses plantes de pieds et de la souffrance dans ses testicules distendus. Elle aperçut un bâtiment lourd dans la nuit ; sûrement un vieux corps de ferme. Un homme ouvrit une porte de service et invita Lucie à entrer. Craintive, elle obéit, soulagée de se retrouver sur du carrelage, suivant toujours son guide, elle traversa ce qui s’avéra être un simple sas et entra dans la pièce suivante. De prime abord éblouie par la vive lumière soudaine, elle promena son regard autour d’elle. Elle était dans une sorte de laboratoire à la propreté clinique. Un fauteuil gynécologique et une table de kiné trônaient d’un côté, une paillasse de labo de l’autre, avec réfrigérateur et congélateur.   — Lucie, sur le fauteuil. Tu vas recevoir tes premières injections, ordonna le chef.   Toujours bâillonnée, Lucie opina, incapable qu’elle était de s’opposer à la volonté de cet homme. Celui-ci ouvrit le frigo et sortit plusieurs tubes de plastique pleins d’un liquide incolore. Il emplit une seringue et s’approcha de Lucie qui tremblait comme une feuille.   — Tu n’as rien à craindre, ce n’est pas douloureux. C’est un concentré d’hormones féminines ; tu auras deux injections par jours, résultat rapide garanti. D’ici une semaine tes seins auront gonflé, tes hanches se seront arrondies ; ta voix changera aussi, deviendra moins mâle. Et tes organes visibles, déjà pas très flatteurs, vont diminuer de taille. Mais il faut attendre un mois pour avoir de bons résultats. Si tu réagis bien, tes seins deviendront plus gros que ceux de ton amie actuellement.   Il se tourna vers celle-ci après avoir procédé à la première injection.   — Toi aussi, tu auras ton traitement de cheval, ne t’inquiètes pas. Un ami cherche une pony-girl si possible rousse, il est prêt à payer un bon prix. Tu vas être épilée définitivement, percée, annelée et tatouée. Un cocktail d’hormones provoquera un accroissement important de ta poitrine, d’ici un mois tu produiras du lait. Et après un entraînement physique intensif, je te vendrai aux enchères.   Amélie tenta en vain de protester, incapable de s’exprimer du fait du bâillon, mais son sort était scellé. Elle était tombée dans le piège.
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