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Luce et Nathalie

Chapitre 2

Hétéro
Le retour de Sue
Je m’enfonce en elle sans difficultés. Pierre se positionne derrière moi et je sens son braquemart sur mon fion. Je reçois la décharge électrique classique. Je tends la main vers cette belle bite et je constate qu’elle est enveloppée d’un préservatif. Ma rondelle se détend et le gland de Pierre s’enfonce doucement dans mon cul. Nathalie m’écarte les fesses tout en m’enfonçant en elle. Le gland franchi le sphincter, et mon cul se dilate de plus en plus. Je sens une légère douleur vite atténuée par le plaisir de sentir une si énorme bite dans mon fion. La bite de Pierre s’enfonce doucement jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mes fesses. Il commence alors des allers-retours lents et amples, augmente petit à petit son rythme jusqu’à être rapide et violent. Je suis secoué par ce pistonnage, ce qui fait que Nathalie en profite et commence à gémir faiblement. -Petite sœur, tu me sens à travers Jean, j’ai l’impression d’être en toi par l’intermédiaire de Jean. -Oh oui, je sens ton rythme, c’est comme si tu me baisais, viens mon frère chéri, viens en même temps que moi, je vais jouir, je sens la bite de Jean gonfler, il va se répandre en moi, joui en même temps, viens avec moi, viens, oh oui, je joui, je joui.N’en pouvant plus, je joui en même temps que Nathalie et je sens la bite de Pierre palpiter dans mon cul, il joui aussi.-Oh putain que c’est bon, ton cul est super, j’aime te défoncer. Je joui en même temps que toi ma petite sœur chérie.-Oh oui, jouis, jouis.Je m’effondre sur Nathalie et Pierre en fait autant sur moi, nous tombons tous les deux sur le côté, ma bite se dégage de Nathalie mais Pierre reste en moi, son sexe n’a pas débandé. Je me roule de manière à me mettre sur lui sur le dos. Je me redresse, je suis planté sur son pieu et je commence à monter et descendre dessus. Je sens cet énorme sexe me perforer le cul mais j’aime, mon cul est au bon diamètre et le plaisir est total. Pierre se saisie de mes hanches et accompagne le mouvement. Nathalie s’est redressée sur ses coudes et nous regarde fascinée. Je continu de me baiser sur sa bite, Nathalie s’allonge vers moi et vient gober ma bite. Elle est molle et je bande avec difficulté, je viens de jouir et il me faut un peu de temps. Je sens mon cul m’envoyer des messages de plaisir, cela se propage à ma bite qui petit à petit se redresse. Maintenant, c’est Pierre qui dirige la manœuvre, je suis un peu dans les vapes. Ses mains me soulèvent et me plantent sur sa bite. Je sens mes plantes de pieds s’électriser, l’onde remonte le long de mes jambes, arrive à mon ventre, va jusqu’au cœur qui accélère pour finir dans mon cerveau qui commande la jouissance. Je me crispe, me tends comme un arc, mon corps est secoué de spasmes et j’inonde la bouche de Nathalie de mon sperme. Je sens Pierre se crisper à son tour, il joui aussi. N’en pouvant plus, je me laisse aller sur Pierre avant de me coucher sur le côté. Nathalie suit ma bite pour ne rien perdre de ma semence.-Ouf, ça c’est une bite.-J’aimerais bien me la faire mettre, mais d’une part, je ne peux pas avec mon frère et d’autre part, il n’aime pas les femmes. Je l’aime comme un frère, mais j’aime le sentir jouir dans le cul du mec qui me baise. J’ai l’impression qu’il est en moi sans pour autant l’avoir en moi.-Si je comprends bien, j’ai servi d’intermédiaire, voire de prolongation de sa bite, et ce n’est pas la première fois que vous faites ça. Dommage que la mienne ne soit pas du même gabarit que celle de Pierre.-Ce n’est pas une question de taille, j’ai joui avec ta queue. Tu veux bien nous excuser Jean, mais c’est la seule façon que nous avons de nous aimer physiquement.-Je vois, je vois, vous ne voulez pas d’acte incestueux.-C’est exactement ça, nous ne nous touchons pas.Tout le monde se lève, il n’est pas loin de 11 heures. Nous allons dans la salle de bain pour une petite douche et je vais dans la cuisine pour voir ce qu’il y a pour déjeuner, le frigo est presque vide, il y a juste de quoi faire une salade un peu riche. Les deux autres arrivent dans le salon quand une clef manœuvre dans la serrure, c’est Luce qui arrive. Je vais vers la porte quand elle s’ouvre, Luce entre, elle a l’air étonnée de nous voir nus, elle voit Pierre et lui sourit.-Oh Pierre, tu es là, ça c’est une bonne surprise. Tu as toujours ta belle queue, elle est toujours réservée aux hommes ?-Oui.— Bon, ce n’est pas tout ça, il faut faire des courses si on veut manger à midi. Qui m’accompagne, sauf Jean qui doit préparer l’entrée. Je prends comme prévu ? Oseille, saumon et crème fraîche, ok Jean ?-Oui, et du vin blanc sec.Nathalie et Pierre se portent tous les deux volontaires.-Allez Pierre, vient avec moi, mais pas dans cette tenue. Nathalie, tu veux bien rester avec Jean pour préparer ?-Bien sur.Pierre se rhabille et il suit Luce pour faire des courses. Nous allons, Nathalie et moi dans la cuisine pour préparer une salade composée. Je sors les ingrédients du frigo, scarole, radis, tomates, œufs durs des haricots vers précuits et un énorme concombre.-Oh là dit donc, c’est un bel outil de travail ça.
Nathalie s’empare du concombre et le porte à l’entrée de son sexe.-Ou là, c’est froid.-Il sort du frigo, c’est normal.-Passes moi l’huile d’olive.Je lui passe la bouteille et elle en verse sur le légume. Elle le porte de nouveau sur sa vulve et l’enfonce dans son antre.-Putain que c’est bon, c’est froid mais c’est bon. Elle se recule, pose ses fesses sur la table de la cuisine, se couche sur le dos en repliant les jambes au dessus d’elle pour bien ouvrir son sexe.-Prends le s’il te plait, pistonnes moi avec.Je me saisi du concombre et je la pistonne avec vigueur. Elle enserre ses jambes avec ses bras. Au bout de 10 minutes, elle est au bord de la jouissance.-Oui, encore, plus fort, plus vite, défonces moi le con, je vais jouir comme rarement, il s’est réchauffé, c’est mon sexe qui l’a réchauffé, il est chaud, il me rempli, oh oui, je viens, je joui, encore, plus vite.Son corps se fige d’un seul coup, elle serre encore plus ses jambes sur elle avec ses bras, sa respiration s’accélère, ses yeux sont grands ouverts avec une expression d’étonnement, elle sourit, elle se met à trembler et est secouée par de brusques contractions. Elle joui en silence, profondément, de l’intérieur.Sa respiration s’apaise doucement, elle me regarde avec une expression de bonheur dans les yeux.-Ce n’est pas la première fois que j’utilise un concombre pour me masturber, mais cette fois ci c’était vraiment un cran au dessus. Quel pied.Je lui retire le concombre et le lèche, cela me rappelle Danielle et j’ai un petit coup au cœur.-Toujours aussi bonne ta cyprine.-Laisse m’en un peu.Je lui tends le concombre qu’elle porte à sa bouche pour le lécher.-Bon, maintenant au boulot, ils vont revenir et nous ne serons pas prêts.En se partageant le travail, la salade est prête en un rien de temps, nous dressons la table et nous nous servons un petit apéritif bien mérité. Luce et Pierre reviennent des courses avec tout ce qu’il faut plus une grande tarte et s’installent dans le salon avec nous.-Tu en as pour combien de temps Jean ?-Ne t’en fait pas, ce sera vite préparé, une petite dizaine de minutes. Tu seras à l’heure au travail.Le repas se passe très bien, tout le monde est détendu. Pierre nous dit au revoir et nous retournons tous à nos occupations sauf Nathalie qui veut faire une petite sieste, elle nous attendra car elle reste encore une nuit chez nous. J’ai pris l’embout fileté de la machine à baiser pour en faire faire une nouvelle version à l’atelier de la boite que j’audite. En fait j’ai eu l’idée de faire un embout double afin de pouvoir visser deux godes en même temps sur la machine à baiser. L’atelier exécute le travail en deux heures et je peux rentrer à l’appartement avec mon petit secret. Je cogite sérieux car ce soir, Virginie doit venir passer la soirée avec nous et je sais que c’est une affamée du sexe. Je pense qu’elle sera avec Sue.J’arrive à l’appartement de Luce, Nathalie est toujours là et toujours dans la même tenue.-Tu fais des économies de vêtement ?-En quelque sorte, je supporte assez mal d’être habillée.-Comme moi, je suis naturiste et je n’aime pas être habillé.Sur ces déclarations, je vais dans la chambre de Luce ou je me dépoile. Je retourne au salon pour préparer l’apéritif car tout le monde arrive vers 19 heures 30. Nous mettons tout en place et je commence à préparer le repas. Vers 19 heures, Luce arrive et s’inquiète de l’avancée des préparatifs.-Oh je vois que tout est prêt, bravo mes chéris.Elle s’avance vers moi, m’embrasse fougueusement en me caressant les fesses. Elle me regarde droit dans les yeux.-Déshabilles moi.Je l’écarte de moi, lui déboutonne doucement son corsage que je fais tomber à terre, je zippe la fermeture de sa jupe que rejoint le corsage, elle est en soutient gorge en dentelle et en string assorti. Je passe mes mains dans son dos pour lui dégrafer le soutient gorge mais deux mains m’ont précédé, celles de Nathalie qui s’occupe de lui enlever son soutif. Ses mains passent sous le sous vêtement et, contournant son dos, viennent emprisonner ses seins. J’enlève le soutient gorge remplacé par deux mains avides de caresses. Luce ferme les yeux et apprécie les mains de Nathalie sur ses seins. Je lui embrasse le nombril et descend vers son string en l’embrassant partout. Mes mains se posent sur les côtés du string et je le descends lentement en embrassant toutes les parties misent à nue par ce mouvement. Ma langue fini par se poser sur ses lèvres et remonte sur le clitoris. Je m’active sur son petit bout, elle écarte un peu les cuisses, son bas ventre ondule doucement au rythme de nos caresses. Je sens son ventre se crisper petit à petit, elle a des mouvements de plus en plus saccadés et d’un seul coup, sous l’effet de ma langue sur son clitoris, des mains de Nathalie sur ses seins ainsi que la langue de Nathalie tourbillonnant sur la sienne, elle explose dans un orgasme terrifiant. Son cri est tel que j’ai l’impression que les vitres vont exploser. C’est à ce moment que la sonnette retentie. Je me redresse et je vais voir qui a sonné par le judas. Ce sont Virginie et Sue. J’ouvre la porte et les deux filles entrent en me sautant dessus. Elles m’embrassent en même temps, j’ai deux langues qui essayent d’entrer dans ma bouche simultanément.-Du calme les filles, on a tout le temps.-En tout cas, vu ce que nous avons entendu, on ne s’ennui pas ici, je présume que c’est Luce qui prenait son pied n’est ce pas ?-Exact, vous vous valez bien toutes les deux, est ce de famille ?-Non, puisque Nathalie est assez discrète quand elle joui.-Exact. Bon, il est l’heure de l’apéro. Allez les filles, en tenue de rigueur.Les deux filles comprennent et se déshabillent mutuellement sans oublier de se caresser abondamment. Elle s’assoient l’une à côté de l’autre, je sens qu’il va être difficile de les séparer, mais ce n’est de toute façon pas notre projet. Elles ont l’ai de s’aimer profondément. L’apéritif et le diner se passent très bien, tout le monde rigole à plein poumon, l’ambiance très détendue au début du repas, devient de plus en plus câline au fur et à mesure de l’avancée du repas. Les mains disparaissent sous la table pour réapparaitre quelques secondes plus tard. Les pieds montent le long des jambes d’en face pour atterrir sur un sexe. Je suis le seul homme dans cette pièce et je sais que la soirée ne va pas être de tout repos pour moi, heureusement, pensais-je, que Virginie et Sue ne s’occupent que d’elles même. Tout le monde se retrouve dans le divan et les fauteuils autour de la table basse. Virginie se retourne vers Luce.-Tu as toujours la machine à baiser ?-Bien sur, elle est dans le placard de la chambre, tu veux l’utiliser ?-Oui, j’aimerais la faire essayer par Sue, je lui en ais parlé et elle est très impatiente de l’utiliser.Luce se retourne vers moi. -Chéri, tu peux aller la chercher s’il te plait.Je me lève et me dirige vers elle. Je me penche à son oreille et lui murmure.-Que ce passe t’il, tu m’appelle chéri maintenant.-J’ai envie de toujours t’appeler chéri car pour moi tu es mon chéri du moment et j’espère que ça va durer un peu.Je l’embrasse dans le cou et vais chercher la machine.Sue la regarde entrer dans le salon avec beaucoup d’étonnement.-Vous les français, vous ne savez pas quoi inventer pour l’amour.-Il vaut mieux inventer pour l’amour que pour la guerre.-Ok, mais vous faites les deux.-Bon, ce n’est pas le sujet, qu’en penses-tu ?-Ca m’a l’air super.-D’autant qu’aujourd’hui il y a une nouvelle possibilité. J’ai fait faire un embout sur lequel on peut mettre deux godes.-Ca, c’est super, fait voir.Je sors l’embout de la boite dans laquelle je l’avais mis et le montre à tout le monde.-Comment se fixe t il.-C’est simple, tu visses le nouvel embout sur l’embout d’origine et tu visses les godes dessus, démonstration.Je visse le nouvel embout sur l’ancien, le règle en position verticale et je visse deux godes assez gros sur les deux pas de vis. J’ai fait faire cet embout pour pouvoir mettre deux gros godes. L’entraxe est de 8 cm, cela permet de mettre des godes de 3 à 4 cm de diamètre ensembles.— Alors, qu’en pensez-vous les filles.-Super, je peux l’essayer.Luce regarde Nathalie qui vient de demander à l’essayer.-Je crois qu’on devrait commencer par demander à Sue ce qu’elle veut faire, ici tout le monde connait l’engin et l’a utilisé sauf elle, et de plus c’est la seule à nous quitter en fin de semaine. Que veux-tu faire Sue ?-Je veux bien être la première à connaitre la double pénétration, cela fera une double initiation.Tout le monde est d’accord et je demande à Sue quels godes elle veut, le stock de godes vissables étant limité à 5.-Ceux que tu as mis me conviennent parfaitement, à condition que tu mettes le plus gros pour mon cul.-C’est bon en position.Sue se met à quatre pattes sur le tapis, Virginie se met sous elle et lui aspire le sexe, elle titille son clitoris pour la faire mouiller. Luce lui enduit le fion de gel silicone et j’approche la machine vers elle. Je la positionne, je règle la course au minimum et la vitesse la plus lente. Je présente les godes devant les entrées, ils se positionnent exactement où il faut. Je les enfonce doucement à mis longueur.-Attention, je vais démarrer la machine.J’appuis sur l’interrupteur de la machine et les godes s’enfoncent un peu dans les deux orifices. Sue a un peu reflexe de survie mais aussitôt elle recule de nouveau ses fesses sur les godes. -Oui, c’est super, mais ils ne me pistonnent pas beaucoup.-Attend, j’augmente la course et la vitesse, tu vas les sentir maintenant.L’amplitude et la vitesse de pénétration augmente et Sue commence à bouger pour être la plus réceptive possible. Les godes sont à la limite de sortir de leurs orifices à chaque va et vient, Sue commence à gémir, j’ajoute un peu de lubrifiant sur le gode du cul pendant que Virginie s’active toujours sur son sexe. Sue redresse la tête, ferme les yeux, son corps commence à trembler, elle est secouée de soubresauts, c’est la dernière ligne droite. D’un seul coup, elle pousse un cri de joie.-AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH oui, oui, encore, encore.Elle s’écroule sur Virginie les fesses toujours en l’air, sa tête tombe sur l’entre jambe de Virginie. J’arrête la machine. Sue se dégage doucement et tombe définitivement sur Virginie. Elle sent l’odeur de son amour et embrasse son sexe. Sa langue sort pour lécher les lèvres et le clitoris, elle s’enfonce dans sa vulve, la titille de l’intérieur, la suce, l’aspire ; Virginie n’est pas en reste, elle s’occupe toujours du sexe de Sue qui recommence à bouger des hanches. Tout le monde regarde fasciné par le spectacle de deux être qui s’aiment et se le prouvent. Comme à la parade, elles jouissent ensemble, dans le même tempo, elles sont synchrone, elles vivent leur amour ensemble comme un seul être. Sue se redresse, pivote sur elle-même et vient poser ses lèvres sur celles de Virginie. Elles s’embrassent, se caressent, cela dure un bon moment. Sue se dégage et se penche sur l’oreille de Virginie.-Merci mon amour, merci, je t’aime.-Je t’aime Sue, je t’aime.Il règle un silence de mort dans la pièce, tout le monde veut respecter cette étreinte sans faire quoi que se soit qui puisse les déranger. Quand elles réalisent qu’elles ne sont pas seules, Sue et Virginie se lèvent et viennent tous nous embrasser.-Jean, je ne sais pas comment c’était avant, mais je peux te dire que c’est véritablement génial de se faire baiser par deux godes en même temps et au même rythme.Elle vient vers moi.-Tu seras toujours dans mon cœur car c’est grâce à toi que j’ai rencontré mon grand amour, Virginie.-Je suis heureux pour toi, mais nous, ça n’a pas duré très longtemps.-Je suis désolée, mais c’est aussi de ta faute.Nous rions tous les deux avant de s’embrasser. Virginie vient aussi nous rejoindre pour m’embrasser aussi.-Bon, à mon tour maintenant.En définitive, tout le monde, sauf moi évidemment, a essayé le double gode et a trouvé ça très intéressant. La soirée c’est terminée tôt le matin et la journée suivante a été très difficile.
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