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Lucette sans détour

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Les jours suivants c’est la routine. Je passe devant le bar mais il y a toujours du monde, ce n’est pas propice à la discussion qui me semble utile.  Michèle n’est pas au courant, nous déjeunons ensemble ce midi près de son boulot.A vrai dire, elle semble plus préoccupée par l’absence de Yann que par notre dérapage. De mon côté, je respecte la promesse faite à Carol. Notre mutisme inhabituel étonne les serveurs de la brasserie, plus habitués à nos éclats de voix et nos rires!
Préférant éviter les questions indiscrètes, je prends les devants :— Tu as bien dormi l’autre jour ?— Un peu vaseuse le matin, mais oui ça allait bien sinon.— Tu crois pas qu’il faut qu’on finisse ce que nous avons commencé ? — Pas en ce moment, j’ai mes mickeys… et ça n’est pas drôle !— Mais tu ne vois pas d’inconvénient sur le principe ?— Au contraire. On se voit vendredi, j’ai envie de bouger !— D’acc !
Vendredi soir, je la retrouve comme je l’aime, pétant la forme, toujours un peu excessive et exubérante. Je suis en mode remorque, j’ai mis des vêtements passe-partout, ignorant ses intentions.Elle pousse la porte d’un petit fast food de quartier près de chez elle. — Salut, tout le monde ! Elle commande pour nous deux et nous nous installons à l’écart.Soudain elle pose son cornet de frites et sort rejoindre un livreur en train de ranger sa mobylette. Courte discussion avec le gars un peu intimidé, je la connais par cœur, elle lui fait du charme, il acquiesce deux trois fois, elle lui sort un grand sourire et me rejoint en esquissant une danse. Oh oh oh quelle histoire, il va croire que je le veux,      Oh oh oh comment faire, m’en défaire si je peux! Sa voix est proche de celle de Jeanne Moreau, un atout indéniable lorsqu’elle s’en donne la peine. Maintenant toute la petite boutique sait qu’elle a les dents du bonheur et moi que la soirée est lancée !— Et? — Et bien, tout va bien ! me répond-elle, toute guillerette.  Notre collation finie, nous allons tranquillement dans un bar où le patron donne leur chance à des groupes. Il n’y a pas encore foule et nous en profitons pour danser. Nous retrouvons des connaissances, mais Michèle ne se mélange pas trop.Elle surveille la porte et vers 23h30, fait signe à deux jeunes hommes. Le livreur de tout à l’heure accompagné d’un blondinet. Ils ont la panoplie du jeune : veste à capuche et pantalon de jogging assorti. Immaculés, je me demande comment ils font ! Au moins ça se retire vite !
Clairement, ils sont mal à l’aise. Michèle m’indique Anthony qui me serre la main en me servant un “Madame“, qui me fait pouffer mais je me contiens.Puis elle me présente et demande le prénom du second gars, Mathis. Tous deux ont la vingtaine. Pendant qu’ils vont au bar se chercher une boisson je fais signe à Mich’.— Ben ils sont mignons mais c’est pas gagné !— On verra bien ce que ça donne, sinon on bouge et on va chez moi.
Je m’attendais à ce qu’ils reviennent avec des jus de fruits, mais non, ils ont chacun une pinte à la main, bon signe. On discute un peu, on se lève pour danser, bien sûr ils restent assis, on en profite pour montrer nos atouts, ils nous matent du coin de l’œil, on se rassoit et ainsi de suite. La différence de génération n’empêche pas d’accrocher. Ils se sont détendus et doivent se dire qu’après tout, pourquoi pas une daronne? Cela se sent à leur attitude, ils sont plus proches, on se regarde dans les yeux, des petits sourires, c’est tout bon et ce qu’ils n’auront pas en expérience, ils l’auront en vigueur !
En allant chez Michèle nous prétextons le froid pour nous resserrer. Nous les voyons jubiler, ils ont compris qu’on n’y allait pas pour jouer au croquet.Dans l’appartement, où il fait bon, le whisky est sorti, nous trinquons et Anthony se jette à l’eau en embrassant Michèle qui est allée dans la cuisine en espérant bien qu’il la suive. De son côté Mathis, assis dans le divan, reste muet. Je romps la glace :— C’est pas de chance, la Nintendo est cassée ! (il me regarde bizarrement, il n’y a pas d’écran dans la pièce !). Mais on peu jouer autrement…Pas de réaction. Au temps pour le second degré !
On entend Michèle glousser, autant pour allumer Anthony que pour m’aider à décoincer la situation.Je regarde Mathis avec une mimique sans équivoque signifiant aussi bien “ben dis donc, ils ont l’air de pas s’ennuyer !“ que “qu’attends-tu pour passer à l’action !“. Mais il se cache derrière son verre.Alors je pose ma main négligemment sur son genou.— Tu es toujours comme ça avec les femmes ? — …— Tu es mignon pourtant… ça doit bien marcher !
Pas de doute, il en a autant envie que moi mais n’ose pas. Alors je brusque les choses en lui roulant une gamelle. Ma main remonte sur son sexe que je sens raidir. Je m’arrange pour que ma jupe se retrousse “comme par hasard“ sur mon cul dénudé.— Tu t’en es déjà servi ? en lui malaxant la queue à travers le tissu.— Oui…— J’ai envie que tu me prennes…Ça réagit ferme, je sens maintenant un bon bâton bien dur. L’avantage avec les survêts c’est qu’en visant bien on peut glisser la main sous l’élastique du slip dans le même mouvement. C’est chaud, c’est rigide. Je joue doucement avec, puis le serre à la base et commence à le branler.De ma main libre je dégrafe mon chemisier et libère mes seins. Depuis le temps ! Je me laisse peloter, je ronronne pour l’exciter et l’inciter à pousser plus loin. Un bon quart d’heure se passe comme ça.J’ai envie de le secouer fort mais je ne veux pas casser mon jouet !
De son côté Michèle a emmené son cavalier dans la chambre et est passée aux choses sérieuses à en juger par ce qu’on entend. Le mien est du genre passif, faudra faire avec !Je baisse d’autorité son jogging et découvre une jolie queue bien droite sur laquelle je passe un préservatif de la bouche et des doigts. Ça fait son petit effet, il ne s’y attendait pas ! Je m’accroupis ensuite lentement dessus en passant mes bras autour de son cou pour me retenir. C’est un jeu délicieux, le plaisir de me prendre une belle bite, à ma guise tout en faisant attention à ne pas le faire partir trop vite. Il s’est enfin décidé à agir en posant ses mains sur mon cul qui se trémousse. — Hmmm ! Son sourire est très parlant !Il veut accélérer mais je le freine.— Doucement, doucement…(j’ai failli ajouter “bijou“, mais je doute de son sens de l’humour).  A moins que tu veuilles t’en aller déjà ?— Oh non !— Alors, prends le temps…Et je balance mon derrière de nouveau.
Michèle beugle à la cantonade qu’elle prend son pied et il me donne de grands coups de cul. Allez ! C’est parti, je m’empale profond sur le chibre que j’essaye de serrer jusqu’à ce qu’il parte dans ma chatte en plusieurs secousses. Je reste sur lui jusqu’à ce qu’il s’éjecte. Je suis bien, au chaud dans ses bras.— Ben mon salaud, t’avais de sacrées réserves ! Lui dis-je en souriant et en faisant un nœud à la capote. (Inutile de risquer de tacher le divan…) Je ne t’écrase pas ?— Non, c’était pas mal ! Il pourrait ajouter merci, puisque j’ai tout fait ! Je ne sais pas si il a une petite amie, mais si c’est le cas elle ne doit pas être à la fête si il est toujours aussi feignant !
Ouhlala ! J’ai chaud ! Les reins et le ventre en sueur je me dégage pour me poser à côté de lui. Il reprend son verre, peut-être pas puceau, mais pas expérimenté non plus… — Tu m’en donnes un peu ? Un peu plus faraud, il me le tend, je lape avant de le lui rendre. Je n’ai pas joui, mais me suis bien amusée quand même.
— Ça va les jeunes ? C’est Michèle qui sort de la chambre en tenue d’Eve, tenue à la hanche par Anthony.— Fait soif ! dit-elle en attrapant le whisky pour remplir les verres. Nous buvons en silence. J’admire ses seins, ils sont toujours aussi splendides et tiennent parfaitement. Ils m’ont toujours fascinée, à chaque fois c’est le même ravissement.Elle est assise par terre à même la moquette, jambes repliées. Son amant l’a imité, il la caresse sur les épaules et le dos, conscient de la chance qu’il a, lui !
Je me déshabille et suggère à l’oreille de Mathis de faire pareil. Il est mignon à voir repliant soigneusement ses affaires et nous le matons, nous avons connu pire. Oh oui !Quand il se rassoit je tends une main et gratouille négligemment ses couilles, ainsi que son sexe qui reprend forme doucement, je le regarde dans les yeux en pointant ma langue entre mes lèvres. Il a compris le message, écarte un peu les jambes pour que je puisse venir le sucer confortablement.
A l’étage en-dessous, Anthony a entamé une minette qui fait gémir ma copine dont la tête n’est qu’à une vingtaine de centimètres du divan. J’avance les hanches et du pied caresse son épaule. Complice elle bouge son visage entre mes cuisses et me lèche la fente consciencieusement. Je savoure et dois parfois cesser ma succion pour reprendre mon souffle. Finalement je branle la queue comme une malade, j’ai trop envie de la voir gicler.  C’est mon côté gamine !De temps en temps je le surveille, il a une vue d’ensemble et ne perd rien du spectacle. Michèle s’est mise en levrette et se fait défoncer, du coup elle est plus à l’aise pour me grignoter le bouton en me mettant deux doigts. Lorsqu’elle les retire, l’idée qu’elle va se branler avec ma mouille dessus m’excite et, quand le sperme jaillit, je plaque sa tête et me frotte comme une damnée dessus, les pieds en appui sur le divan. Enfin! Je pars sur sa langue et libère ma pression…
Elle donne de grands coups de cul et eux aussi jouissent, lui le premier, qui s’écroule sur son dos pendant qu’elle continue de s’astiquer en soufflant comme un bébé.  
Tout le monde a eu son compte. De nouveau Mich’ est la première à rompre le silence. Voilà qu’elle a faim maintenant !— Ben, on n’a qu’a commander une pizza, propose-t-elle innocemment.Sidération des deux gars qui n’ont pas vu qu’elle les chambrait.
— Mais non! Il y a des amuse-gueule congelés, je m’en occupe.
Seules dans la cuisine,  je l’embrasse.— Heureusement que tu passais par là, sinon je restais sur ma faim !— Bah ! Les amies c’est aussi fait pour ça…

Vingt minutes plus tard, tout le monde se brûle les doigts et la langue. Ensuite Mich’ passe une robe de chambre. Les gars ne s’incrustent pas et se rhabillent vite fait. Nous, on va s’écrouler dans le lit. On n’a pas sommeil...
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