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Lucie, l'amie intime !

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Elle ne dit rien et reprit son histoire. J’avais l’impression qu’elle la vivait de nouveau.
Pendant que Colette suce son mari je pose une main sur une de ses jambes et la caresse tout en remontant jusqu’aux fesses. Elle ne réagit pas. Marc est toujours debout près de nous. Colette lâche la bite de son mari et vient déposer un baiser sur mes seins et m’embrasser sur la bouche forçant mes lèvres de sa langue.
— Si tu veux prendre une douche, la salle de bains est au fond du couloir.
Je me lève et suivant son conseil je vais prendre une douche. Je suis fourbue, j’ai la chatte en feu, les seins rouges et endoloris et à cause de l’alcool j’ai la tête qui tourne un peu. La douche me fait du bien. Je prends un peignoir et revient vers le salon. Je me blottis contre Marc sur le canapé. Il me prend dans son bras, sa main entrant aussitôt dans le peignoir pour saisir le sein.
— Doucement s’il te plaît, il me fait mal !— Oui mais d’un doux mal me semble-t-il ! Quel pied tu as pris, je me demande si les voisins du dessus ne t’ont pas entendue !
Rires de Colette, qui avait mis une nuisette, et de Daniel qui avait passé une robe de chambre.
— Et toi, tu n’as pas joui ?— Détrompe toi ma chérie, j’ai pris un pied formidable, comme rarement j’ai joui. J’ai juté sans me toucher, rien qu’à vous regarder. Regarde. Ce faisant il prend ma main et, ouvrant sa braguette, la glisse à l’intérieur. Son slip est trempé, sa bite est molle sous mes doigts. — Tu vois j’ai bien joui, crois moi ! Mon plaisir a été de te voir baiser par nos amis. Quel pied j’ai pris cette fois. — Si tu ne t’en doutais pas encore, Daniel, Colette et moi nous nous connaissons depuis longtemps et Colette a été ma première aventure parisienne avant qu’elle n’épouse Daniel. Elle était la secrétaire d’un des directeurs du groupe. C’est à l’occasion d’une visite qu’ils ont fait à notre société que nous nous sommes connus et ensuite revus à Paris lors de mes visites. Colette avait remarqué que cela m’excitait lorsque des personnes la regardaient.
Je comprends mieux maintenant leur attitude, que ce soit dans la boîte de nuit ou pendant que nous dansions Daniel et moi. Il y avait une sorte de complicité dans leurs regards.
— J’aime regarder prendre du plaisir. Colette et moi sommes allés un soir dans une boîte de nuit pour danser. C’est là que Daniel l’a draguée. Il est venu se joindre à notre table et je l’ai laissé faire. Il plaisait à Colette, je le voyais à sa façon de le regarder. J’ai prétexté un mal de tête et je les ai laissés seuls. Ensuite lorsque je venais à Paris je dormais chez eux, nous sortions en boîte et généralement nous rentrions avec une amie ou un autre couple pour des soirées comme celle-ci. Je les regardais et parfois je participai mais pas trop. — Non, coupa Daniel, on ne peut pas dire que tu participais vraiment. Lorsque tu avais joui une fois et que le plaisir se faisait de nouveau sentir, tu venais juste te faire branler par l’un ou l’autre. Tu es un voyeur, le vrai, celui qui joui sans les mains.....— Sans les pieds... dit Colette. Mais on l’aime comme ça. Cela nous excite de le voir nous observer. Même si nous rentrions à trois parce que nous n’avions pas trouvé de bonne compagnie, il dormait avec nous et il nous regardait baiser sans jamais nous toucher.

La main de Marc a fini par mettre mon sein hors du peignoir qui s’est entr’ouvert. Il me titille le bout douloureux mais cela me plaît. Colette et son mari ont une vue imprenable sur mon bas-ventre mais je ne bouge pas et les laisse me regarder. Colette s’est assise en travers des cuisses. Elle l’embrasse, se lève et vient vers le canapé pour s’asseoir près de moi. Sa main se pose sur mon ventre. Marc retire son bras et je reste appuyé contre lui.

Tout en écoutant le récit de Lucie j’avais continué de caresser ses jambes et petit à petit en me rapprochant d’elle ma main était sur ses cuisses. Elle ne disait rien et lorsqu’elle prenait son verre sur la petite table pour déguster son cognac, en le reposant sa position changeait légèrement de telle sorte qu’elle se rapprochait de moi. Je bandais comme un âne. Son histoire me rappelait mes sorties avec Louise et parfois dans mon esprit lorsqu’elle parlait je revoyais Louise offerte elle aussi.
— Je ne pensai pas que cela me mettrait dans des états pareils ni que vous aussi si j’en crois ce que je vois ! me dit Lucie en regardant la bosse de mon pantalon.
Elle se redressa, s’installa près de moi et aussitôt m’embrassa. Une main se posa sur la bosse qu’elle pelota doucement. Je la laissai faire, lui rendant son baiser. Ma main glissa sur son chemisier et je commençai à en retirer les boutons.
— Non, caressez mon bouton, j’ai envie de jouir tout de suite !
Je changeai de position pour être plus à l’aise et, reprenant possession de sa bouche je glissai ma main sous sa jupe.
Je trouvai le haut de ses bas et touchai sa culotte qui était trempée. Mes doigts se glissèrent à l’intérieur du vêtement et rencontrèrent une véritable inondation ! J’avais l’impression que son clito était énorme. J’entrepris de le caresser doucement. Elle avait sorti mon sexe, dégoulinant lui aussi et le caressait en passant son doigt sur le gland et le frein.
— Plus fort, branlez moi fort !
Je jouai avec son clito plus fortement et glissai un doigt dans sa chatte.Elle se mit à me branler pendant que je m’exécutai.
— Plus fort, plus fort, oui, oh oui, je vais jouir......
Et moi je jouis dans ses doigts. Elle eu le réflexe de mettre sa main par-dessus la bite qui jutait pour éviter d’en mettre partout et elle jouit presque aussitôt, me mordant la lèvre ..... Ma main était trempée, sa culotte et sa jupe étaient mouillées. Nous restâmes immobiles quelques minutes, le temps de reprendre notre souffle.
— Hum, que c’était bon, dit-elle en se redressant. Désolé pour votre pantalon je crois qu’il va être tâché. Ne bougez pas je vais chercher de quoi réparer un peu ces dégâts !
Elle se leva, remis sa jupe en place, sorti de la pièce, revint quelques instants plus tard avec une serviette mouillée et entrepris de nettoyer mon pantalon.
— Je vais nous faire un café !
Je ne savais que dire. J’étais avec une femme que je connaissais très peu mais qui connaissait mes aventures, qui me racontait les siennes sans aucune pudeur et qui venait de me branler. Cela m’avait fait du bien, fait retomber la « pression » mais j’avais maintenant hâte d’écouter la fin de son histoire. Lucie sortit de la cuisine portant un plateau avec deux tasses de café et s’installa face à moi sur le fauteuil.
— J’en étais arrivé où ? me demanda-t-elle — Colette s’était jointe à vous sur le canapé.....

- Ah oui ... Je suis entre elle et Marc. Elle écarte mon peignoir et je me retrouve totalement exposée aux regards.Elle prend ma main et la pose sur un de ses seins.
- Caresse moi, me dit-elle à l’oreille, Daniel adore me voir me faire caresser, surtout par une femme.
A part quelques instants plus tôt où j’avais glissé ma main sur ses fesses, je n’avais jamais caressé d’autre femme et ne m’étais, jusqu’à ce jour, jamais fait caresser par une femme mais j’avais apprécié ses caresses et ses coups de langue dans ma chatte.
Je dégage ses seins de la nuisette, je les embrasse, une de mes mains se glisse entre ses cuisses qu’elle ouvre. Je touche sa chatte. Contrairement à la mienne elle est presque lisse à part une petite touffe de poil au-dessus de la fente. Elle est humide. Je lui suce les seins, l’un après l’autre, aspirant le mamelon comme elle me l’avait fait tout à l’heure. Elle pose sa main sur ma tête m’incitant à descendre vers son pubis. Elle se tourne de façon à avoir le dos contre l’accoudoir, passe une jambe dans mon dos et offre ainsi à ma vue toute son intimité. Je dépose un baiser sur sa fente, elle appuie plus fort sur ma tête. Je passe ma langue sur son clito. L’odeur et le goût ne sont pas désagréables. Je me mets alors à la lécher, comme elle me l’avait fait, tout en aspirant ses lèvres, son clito !
Elle se trémousse, me tenant fermement la tête. En fait elle me guide. Ma langue entre dans sa grotte, elle appuie sur la tête et ma langue glisse jusqu’à son anus avant de remonter sur son bouton. Ma position n’est pas terrible ce dont a dû se rendre compte Marc. Il se dégage du canapé et me guidant me fait mettre à genoux. Il s’assoit sur l’accoudoir. Daniel s’était approché et je ne l’avais pas vu. Il pose ses deux mains sur mes fesses et écarte les deux globes offrant ainsi à Marc une vue imprenable sur ma chatte et mon cul. Il passe un doigt sur la raie ainsi dégagée et sur mon anus. Je bouge mes fesses pour montrer mon mécontentement. Colette ondule de plus en plus. Tout en continuant à me caresser la raie, Daniel s’est approché. Il avait retiré son peignoir. Je lève les yeux. Il présente sa queue devant la bouche de Colette qui l’avale d’un coup. Il la prend comme il avait pris ma chatte tout à l’heure. Il entre et sort, doucement, parfois plus rapidement.
Colette jouit d’un coup expulsant quelques gouttes d’un liquide que j’avale par surprise. Elle maintient toujours ma tête et je suis les soubresauts qu’elle fait. Daniel quitte sa bouche et vient se positionner derrière moi. Il me prend d’un coup la chatte déjà endolorie par son gros membre. Il me besogne rapidement avec de grands coups de reins. J’ai la tête bloquée par la main de Colette et par celle de Daniel qui pèse sur mon dos. Ma langue continue de lécher cette chatte toujours aussi trempée. Daniel halète de plus en plus fort et soudain il se dégage et vient offrir sa bite à la bouche de Colette qui fait quelques mouvements de va-et-vient. Je vois le jus sortir de la verge et entrer dans la bouche de Colette qui s’empresse de l’avaler. Elle a lâché ma tête. Tenant la bite de Daniel dans la main elle m’attire vers elle et offre à mes lèvres cette queue toute rouge ou perle encore un peu de jus. Je garde les lèvres serrées.
Je n’avais pas sucé de bite depuis avant mon mariage : je m’étais laissée embobinée par un copain dans des jeux de docteur. Et encore il ne bandait pas ! Là c’est différent ! Cette queue est grosse, pleine de jus et sort de ma chatte. Daniel me pousse la tête dessus et Colette la frotte contre mes lèvres. J’ouvre légèrement la bouche. C’est salé, un peu gluant. Les deux en profitent, l’un poussant l’autre forçant. Le gland est plus gros que la verge et il eu un peu de mal à rentrer. J’ai maintenant la bite entière dans la bouche. Mes lèvres touchent les poils rasés du pubis. J’ai l’impression de ne plus pouvoir respirer. Heureusement le sexe perd de sa raideur. Machinalement je fais quelques mouvements de va-et-vient et au bout de quelques instants je sens la queue qui reprend de la vigueur. C’est agréable de sentir cette grosse bite qui glisse dans ma bouche. Daniel entre temps a reposé sa main sur les fesses et son doigt joue avec mon anus. Il caresse la rosette et de temps en temps essaye de le faire entrer. Je me contracte au maximum, mais il insiste. Son doigt glisse de mon cul à ma chatte où il entreprend de le mouiller avant de revenir titiller ma rosette. J’expulse littéralement sa bite de ma bouche et me dégage de son étreinte.
— On ne rentre pas dans mon cul !
Marc est debout près de nous. Il parait surpris de ma réaction. Je me lève du canapé et il me prend dans ses bras.
— Personne ne t’obligera à faire ce que tu ne veux pas, dit-il ! Dans l’action on peut s’égarer mais on ne force jamais ma chérie. Ce que tu as donné ce soir est formidable et je crois que nos amis ne me diront pas le contraire.
Sans rien dire, Colette me prend dans ses bras, m’embrasse tendrement sur la bouche et m’emmène vers la douche.Nous nous sommes douchées ensemble, nos mains se sont un peu égarées mais sans plus.Lorsque nous avons rejoint le salon, les deux hommes avaient remis de l’ordre dans leur habillement : Marc avait remis sa veste, Daniel son pantalon. Il me tend mes vêtements un par un et m’aide à les remettre.
— Tu as été superbe. Tu nous as donné du plaisir à tous et j’espère que toi aussi tu as bien profité. Marc a de la chance de t’avoir. Nous serons ravis de vous accueillir de nouveau lors de votre prochaine venue.
Colette raccrocha le téléphone.
— Un taxi sera en bas dans cinq minutes. Tu as été très bonne Lucie. J’ai aimé ta façon de donner du plaisir et je serai ravie de recommencer cette charmante expérience avec toi. Sache que Daniel ne t’aurait pas forcé. C’est une règle que nous avons établie et que Marc t’a confirmée. Reviens nous vite.
Nous nous sommes embrassés et nous les avons quittés sur ces propos. Le taxi était arrivé. Il nous déposa à l’hôtel et nous nous sommes couchés dans les bras l’un de l’autre. J’ai mal partout, mes seins sont douloureux, mon clito est enflammé et ma chatte me brûle d’avoir été limée par cette queue énorme. C’est sans bouger que nous nous sommes endormis.Nous sommes rentrés le lendemain matin et avons retrouvé notre bureau et nos habitudes. Marc ne me toucha pas pendant plusieurs jours, où plutôt je l’empêchai de me toucher car c’était toujours un peu douloureux.

— Voilà Charles ma première aventure. Je me pose souvent la même question : si Louise ne m’avait pas titillée avec vos rencontres en voiture est-ce que je me serai embarquer dans cette première soirée ? Parce qu’il y en a eu d’autres par la suite. Contrairement à ce que je vous ai dit la dernière fois, Louise me racontait vos séances et cela m’émoustillait toujours un peu plus.

Elle est assise sur le fauteuil face à moi et me sourit.
— J’espère ne pas vous avoir choqué, d’abord à vouloir vous raconter absolument cette histoire, mais aussi pour notre étreinte de tout à l’heure !— Pour l’étreinte pas du tout, je crois que sans cela la soupape n’aurait pas tenue. Quand à l’histoire elle continue croyez-moi à faire son effet. Tout comme lorsque je relis les souvenirs que j’ai écrit. J’ai une érection à m’en faire mal et je suis obligé de me soulager à chaque fois bien que je connaisse le texte par cœur.— Revenez me voir et nous en reparlerons. Tenez, pourquoi pas la semaine prochaine, même jour, même heure ? Et puis ne croyez vous pas que l’on pourrait se tutoyer ?-Pourquoi pas en effet. Je te trouve vraiment charmante et j’aime ta façon de conter les choses.
Je lui fis une bise et rentrai chez moi.
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