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Lucie, l'amie intime !

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
Les jours suivants, je m’interroge tout de même : quel est le but de Lucie ?Elle semble connaître beaucoup de détails sur la relation que j’ai eue avec Louise.Pourquoi ma Louise racontait-elle ses rencontres alors que nous recherchions la discrétion ?Lucie avait raconté son histoire avec beaucoup de minutie. Cela voulait-il dire que Louise lui racontait nos rencontres avec aussi tous les détails ?Je profite de ces quelques jours pour relire les souvenirs que j’avais couchés sur un cahier. Cela ne se fait pas sans réaction !Il faut que je sache jusqu’où Louise avait détaillé nos sorties !Un seul moyen : revoir Lucie !J’ai attendu le jeudi avec impatience. D’une part, je voulais en savoir un peu plus et d’autre part parce que Lucie n’était pas indifférente à quelques plaisirs. Nous n’étions plus très jeunes, mais malgré tout, et j’en avais eu l’expérience, le sexe la titillait encore, alors pourquoi ne pas en profiter.
— Bonjour Charles, je suis contente de te voir. J’ai eu peur que tu ne viennes pas !— Bonjour Lucie ! Je t’avoue que oui, j’ai hésité, mais la curiosité a été la plus forte et puis j’ai repensé à notre dernière rencontre !
Je lui tends la bouteille que j’ai apportée.
— Nous n’avons pas été sages, me dit-elle, mais à notre âge, est-il bon d’être encore sage ? Installe-toi, je vais jeter un œil sur le four !
Je la détaille pendant qu’elle s’éloigne : robe collante noire courte, avec un beau décolleté, bas (ou collants noirs), chaussures à talons hauts. De belles hanches qu’il doit être bon de tenir, un beau fessier que la robe moulante fait ressortir.Elle revient, portant un plateau avec l’apéritif. Elle s’installe près de moi sur le canapé, très près même, ce qui fait que lorsqu’elle se penche pour prendre son verre ou les amuse-gueules, j’ai sous les yeux ses gros seins.Nous discutons de choses et d’autres, le temps, la nature, etc.Le repas est agréable, agrémenté par le bordeaux que j’avais apporté. Avec les 2 apéritifs avant le repas, j’avais « chaud aux oreilles ».Nous revenons au salon pour prendre le café.Lucie se cale comme la dernière fois, les jambes repliées sur la banquette, et met ses pieds directement sur ma cuisse.
— En fait, je savais que tu reviendrais ! — Pourquoi cette certitude ?— Avant tout, tu es curieux. Notre petit intermède de l’autre jour a été agréable, mais je pense que tu veux connaître la suite de mon histoire. Ensuite, tu veux aussi savoir ce que je sais de ton histoire avec Louise ! — Elle ne m’a jamais parlé de toi. Je savais que tu étais son amie depuis que nous nous sommes croisés au restaurant. Louise m’a dit à ce moment-là qu’elle ne te cachait rien, mais j’étais loin de penser qu’elle te racontait sa vie privée !— Nous avons vécu beaucoup de choses, elle et moi, pendant notre jeunesse qui ne fut pas toujours drôle avec des parents d’une autre éducation. Les baffes que nous recevions chacune de notre côté nous rapprochaient et une réelle complicité s’est créée. Nous avons connu les mêmes garçons du village et à l’époque, pas question de coucher. On se contentait de baisers et de mains baladeuses. Nous nous racontions nos flirts, la taille de leur bite, comment ils nous caressaient. Tu vois, cela ne date pas d’hier et ensuite, nous avons continué notre vie. Louise s’est mariée avec un homme plus âgé qu’elle, et moi j’ai suivi quelque temps après. J’ai été heureuse avec mon mari, même si sexuellement, et je l’ai découvert bien plus tard, j’avais raté beaucoup de choses. Mais je me suis bien rattrapée !
Louise, elle n’était pas heureuse. Son mari était jaloux et peu porté sur le sexe. Nous n’habitions plus au même endroit, mais pas très loin quand même, ce qui fait que nous nous rendions visite de temps à autre pendant que nos maris travaillaient. Je n’ai pas pu avoir d’enfant, mais Louise oui. Alors nous nous sommes un peu éloignées et puis nous nous sommes retrouvés à la mort de mon mari et nous ne sommes plus quittées, comme avant, pendant notre jeunesse. On se voyait toutes les semaines et c’est grâce à elle, mais aussi à toi que j’ai repris goût à la vie. Et me voilà en train de te parler de mes expériences.
— Parle-moi de tes expériences, justement. As-tu revu tes amis parisiens ?— Oui, nous sommes retournés plusieurs fois à Paris au siège de la société et avons revu Colette et Daniel. J’avais aimé cette soirée, et même si pendant plusieurs jours, j’ai eu mal aux seins et à la chatte, d’y penser me mettait dans tous mes émois. Marc aussi avait apprécié et je comprenais mieux pourquoi il se contentait de me bousculer sur son bureau ou dans le canapé : il était voyeur et ce n’était pas en me baisant qu’il prenait son pied.
Je me souviens de la première fois que nous y sommes retournés. Marc a proposé de nous retrouver de nouveau dans cette boîte de nuit, mais Colette préféra que nous passions la soirée chez eux.J’ai prévu le coup et me suis habillée en conséquence : pas de culotte et pas de soutien-gorge. Mes seins sont bien visibles avec mon chemisier blanc et ma jupe courte, ne cachent pas le haut de mon porte-jarretelles lorsque je suis assise. Dans le taxi qui nous amenait de l’hôtel, j’avais pris la main de Marc et l’avais mise entre mes cuisses. Il me regarda et sourit.
— Hum ! Il se pencha et me dit à l’oreille : pas de culotte ? Petite salope !
Daniel nous accueille. Il pose ses lèvres sur les miennes et y dépose un baiser. Colette nous rejoint, vêtue d’une robe d’intérieur, et m’embrasse sur les lèvres.
— Tu es ravissante !
Nous nous installons au salon, les hommes sur les fauteuils, Colette et moi sur le canapé. Nous discutons de choses et d’autres sans importance. La soirée est bien avancée.Nos verres étant vides, Colette me propose de servir une deuxième coupe. Je réalise à ce moment-là que ma jupe est vraiment courte et que ces messieurs dame vont apercevoir mon derrière dévêtu. C’est sous les compliments que je remplis de nouveau les verres.Daniel entre temps avait changé de place et était venu sur le canapé, ce qui fait que je me retrouve maintenant entre les deux époux.A peine assise, Colette ouvre mon chemisier, embrasse et suce le bout de mes seins, puis enlève ma jupe. Daniel prends mes lèvres, ses mains écartent mes cuisses et, les soulevant, les pose une sur lui et une sur Colette, ce qui fait que je suis grande ouverte devant Marc qui est juste en face.
— Tu t’es épilée, dit Colette ! — Oui, après notre visite, j’ai trouvé que c’était plus sexy. Je l’ai fait lorsque j’ai su que nous allions nous revoir. Tu apprécies ?— Voyons voir !
Elle se lève, enlève sa robe et c’est nue qu’elle se met à genoux devant moi. Elle dépose des petits bisous partout sur les cuisses en remontant vers le sexe grand ouvert qu’elle caresse de la main, semblant apprécier cette nouvelle toison.
Daniel me suce les seins et je pose ma main sur la bosse de son pantalon.La langue de Colette me titille, m’aspire le bouton, glisse jusqu’au vagin, furète un peu à l’intérieur, me lèche de bas en haut. Daniel joue avec mes seins, glisse parfois une main sur ma chatte. J’ai sa bite, que j’avais sortie, dans la main et je la branle doucement, les yeux fermés. J’appuie sur la tête de Colette, elle aspire mes lèvres, mon clito, elle met deux doigts qu’elle remue dans la chatte trempée.
J’ouvre les yeux. Marc est debout et regarde.Daniel se lève, retire ses vêtements et venant se placer derrière Colette, lui prend les seins à pleine main. Il la redresse de telle façon qu’elle est maintenant en position de levrette. D’une main, elle guide sa queue vers son antre et il la pénètre. Il la prend à grands coups de reins, ce qui fait que je ressens sur ma chatte la force de ses coups.
Je suis au bord du canapé. Je caresse le dos, les épaules et parfois les seins lorsque j’arrive à les attraper. Au bout de quelques minutes de va-et-vient, Daniel se relève, monte sur le canapé, une jambe de chaque côté de mon corps et présente sa bite à ma bouche que je garde fermée. Il me prend la tête et en la maintenant, pousse un peu plus sur la bite. Elle est trempée, sent la chatte. J’ouvre grand la bouche et son gros gland entre. D’une main, je lui caresse les couilles et de l’autre, je le branle. Je sens que je vais jouir sous les coups de langue, de lèvres et des doigts de Colette qui bougent de plus en plus vite. Le premier jet me surprend, je veux retirer cette bite, mais les ondes de jouissance arrivent en même temps, ce qui fait que je laisse Daniel vider son jus dans ma bouche. Je le recrache et le sperme coule sur mon menton, mes seins.
Colette se relève et vient étaler ce jus sur mes seins, mon ventre avant de prendre la bite de son mari pour la nettoyer complètement pendant que ses doigts continuent de titiller mon bouton, ce qui me maintient dans une douce torpeur.
Marc refait le plein des verres et nous les apporte. Nous sommes restés un petit moment sans bouger pour récupérer de nos efforts. Colette me prend par la main :
— Allons prendre une douche et puis nous passerons à table, j’ai faim et elle m’emmène...

A suivre
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