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Lucie, l'amie intime !

Chapitre 8

Avec plusieurs hommes
Je n’ai pas eu de nouvelles de Lucie pendant un certain temps. A chaque appel téléphonique je tombe sur la messagerie et décide de ne pas laisser de message ! Elle me rappelle un dimanche matin.
— Comment vas-tu ? Cela te dit de venir déjeuner jeudi ?— Pourquoi pas, je n’ai pas bougé de la maison depuis plus de deux semaines !— Je te laisse amener le vin, le dernier était excellent. Je t’embrasse. A jeudi !
Et elle raccroche.
Le jour dit, je me présente chez Lucie qui m’accueille par un baiser sur la bouche.
— Contente de te voir !— Moi aussi, le temps m’a semblé long depuis notre dernière rencontre !— Pareil pour moi, mais il fallait que je réfléchisse, que je mette de l’ordre dans mes idées. Viens, mets-toi à l’aise, installe-toi au salon, j’amène l’apéritif !
Je quitte mon manteau et ma veste.Elle revient presque aussitôt avec un plateau garni.Nous discutons de tout et de rien en prenant l’apéritif côte à côte sur le canapé.
— Passons à table, nous pourrons continuer à évoquer nos souvenirs ou plutôt mes souvenirs, les tiens, je les connais !
Nous avons déjeuné, vidés la bouteille de bordeaux que j’avais apportée. Elle aime le vin et l’apprécie. Nous prenons le café à table. Elle propose un digestif.
— Tu sais, j’ai la route à faire !— D’ici que tu partes, tu l’auras éliminé, et puis s’il le faut, je te ramènerai.
— Viens avec moi ! dit-elle prenant la bouteille de cognac et deux verres.
Je la suis, elle m’emmène vers sa chambre.
— On s’allonge et c’est tout, d’accord ? On sera mieux pour discuter. Tu peux te mettre un peu à l’aise si tu veux !
Je retire mes chaussures.
— Tu peux, si tu veux, retirer ton pantalon. Il ne se froissera pas !
Tout en parlant, elle retire son pull et sa jupe. Elle est en combinaison rouge, légèrement transparente ce qui me permet d’apercevoir sa culotte et ses bas noirs.
— Sage, hein !
Elle se met sous les draps, remonte son oreiller et s’installe appuyée contre la tête de lit.Je fais de même.
— Où en étions-nous la dernière fois ? me dit-elle me tendant mon verre de cognac.
J’ai son histoire bien en tête, mais je fais semblant d’hésiter.
— Je crois que c’était la soirée où tu t’es fait sodomiser !— Ah oui ! J’ai eu mal pendant deux, trois jours. Bizarrement, malgré cette petite douleur, j’ai envie de recommencer. — Marc n’a rien changé. Il jouit dans ma chatte et aussitôt vient me faire sucer sa bite pleine de jus. Mais rien d’autre. Nous allons à Paris plus souvent et nous passons nos soirées chez nos amis.— Un jour Marc m’appelle dans son bureau. — Daniel me demande si nous voulons les accompagner samedi prochain chez des amis à eux qui organisent une soirée entre couples. Ils se connaissent bien. Nous serons une quinzaine, des gens très bien.— Qu’en penses-tu, toi ? Je présume que la soirée sera mouvementée, mais pour toi qui ne participes pas cela ne va pas poser de problème ? — C’est ce j’ai dit à Daniel, mais il m’assure s’être arrangé avec eux.— Dans ce cas, pourquoi ne pas essayer ! Je veux bien si toi, tu veux y aller ! — Bien sûr que je veux y aller. Je veux te voir jouir et donner du plaisir.
La semaine suivante, je suis allé au petit magasin de lingerie, tu sais celui où tu as emmené Louise pour lui offrir son ensemble noir ! J’ai choisi un ensemble string, porte-jarretelles, et soutien-gorge à balconnets et une petite nuisette de couleur mauve juste fermée sur le devant avec un petit lacet.
Contrairement à nos déplacements précédents, il n’y a pas de réunion ce jour-là, nous y allons juste pour participer à cette soirée et pour une fois nous y sommes allés en voiture. Je me suis habillée sagement pour faire la route.
Colette et Daniel nous accueillent. Il est encore tôt, vers 19 h. Nous nous installons au salon. Colette avait préparé quelques en-cas, pour prendre des forces ! dit-elle. Nous évoquons la soirée qui va se dérouler chez Corinne et Alex pas très loin de Paris. Les participants seront pour la plupart des personnes de notre génération que Daniel côtoie parfois dans son travail. Ils se sont rencontrés ensuite hors boulot, se sont trouvé des points communs et ont passé plusieurs soirées ensemble.
— Des gens charmants, dit Colette, à qui je viens de dire que cela me stresse un peu. Tu verras, tu seras très vite à l’aise.
Colette m’entraîne vers la salle de bains. Nous faisons une rapide toilette et nous passons dans la chambre pour nous changer. Elle a opté pour un mini-ensemble de sous-vêtements rouge qui ne cache pas grand-chose, des bas noirs et une nuisette ouverte rouge. Elle me félicite pour mon ensemble mauve : de quoi faire bander un eunuque ! Nous mettrons nos nuisettes sur place, ce sera mieux.Nous partons vers 21 h dans leur voiture et arrivons chez nos hôtes presque une heure plus tard. Une dizaine de voitures sont garées dans la grande cour et sur l’allée.Alex nous accueille avec un grand sourire.
— Nous n’attendions plus que vous !
Il fait une accolade à Daniel, la bise à Colette et se dirige vers Marc et moi :
— Vous devez être Lucie et vous, vous êtes Marc dit-il en lui tendant la main. Il me fait la bise. Son parfum est agréable.— Colette, tu connais la maison, emmènes Lucie et allez vous mettre à l’aise.
Prenant les deux hommes par les épaules, il les invite à le suivre.Colette m’emmène dans une chambre au premier étage. Nous quittons nos vêtements « de ville » et après avoir mis nos nuisettes et nos chaussures à talons hauts, refait un peu notre maquillage, nous descendons. Les portes entourant l’accueil sont fermées, mais on entend un brouhaha derrière l’une d’elles. Nous entrons dans une grande pièce plongée dans la pénombre. Néanmoins, je distingue une dizaine de personnes agglutinées près d’un buffet où se trouvent des bouteilles et de quoi se restaurer. On entend un fond de musique douce, des rires et des exclamations fusent. Alex vient vers nous, nous prend chacune par une main et demande un peu de silence.
— Permettez-moi de vous présenter Colette, certains la connaissent déjà et son amie Lucie qui vient pour la première fois avec Marc que voici, dit-il en le désignant. Je vous fais confiance pour leur réserver un bon accueil.
Il dépose un baiser sur nos mains et nous laisse. Nous rejoignons nos hommes près de la table. Nous quatre non compris, je compte six femmes et neuf hommes. Toutes les femmes sont en tenue plus ou moins provocantes, les hommes en chemise, sauf un avec sa veste et son petit foulard autour du cou sur une chemise entrouverte : Marc !
Je détaille ce petit monde. Il y a des couples d’âge mûr, d’autres plus jeunes et j’aperçois Lionel. Je le désigne à Colette :
— Je ne savais pas qu’il venait, me dit-elle.
Il nous aperçoit et vient vers nous.
— Ravi de vous voir ! Cela va être une belle soirée !
La lumière baisse un peu. La musique augmente. Des couples, déjà, se forment et dansent. Alex me saisit la main et m’emmène au milieu de la pièce où l’on danse. Il y a des fauteuils, des canapés, des poufs, et même quelques matelas posés au sol, tout autour de cette grande pièce. Déjà, des soupirs s’élèvent.Les mains d’Alex me caressent partout. Ma nuisette ne cache pas grand-chose, il embrasse et suce le bout des seins. Une main me caresse le dos et puis s’immisce dans mon string : ce n’est pas celle d’Alex. Une femme brune se colle à nous. Ses bras m’entourent, ses mains prennent possession de mes seins qu’elle offre à la bouche d’Alex.
— Tu es très belle ! me glisse-t-elle à l’oreille ! Regarde comme il aime ! Elle accompagne notre danse. Petit à petit, les mains d’Alex découvrent mon corps et bientôt un de ses doigts titille mon bouton. J’ai une contraction que ressent la brune qui me tient les seins. — Humm, c’est bon de te sentir vibrer ! Je suis Corinne, la femme d’Alex. Tu es ravissante.
Nous sommes arrivés près d’un canapé. Je ne sens plus Corinne dans mon dos, mais je la vois se faire entreprendre par deux hommes. J’aperçois Colette, qui, nue à part ses bas et porte-jarretelles, est assise sur un homme et qui en suce un autre en même temps. Son corps monte et descend sur un sexe bien dressé, ses gros seins ballottent dans tous les sens.
Alex m’allonge sur le canapé. Il se met nu. Un beau corps pour son âge, un sexe gros mais court. Tout en prodiguant ses caresses, il retire ma nuisette, mon soutien-gorge et mon string. Il présente son sexe à ma bouche. Je le prends en main et le lèche doucement. Il pousse un peu et le fait entrer. Un mouvement sur le côté. Une main me saisit un sein, une autre se glisse entre les cuisses, que j’ai ouvertes pour laisser Alex s’approcher, et un doigt me pénètre. La pièce résonne de petits cris et de soupirs. Placée comme je suis, je ne peux rien voir. Alex enfile un préservatif. Le doigt libère ma chatte. Alex saisit mes jambes qu’il remonte vers le haut, les écarte, se penche et me pénètre. Je suis trempée et cela facilite l’introduction de son membre. C’est sans douceur qu’il se met à me pilonner.
L’homme qui s’est joint à nous, me présente son sexe que je prends dans la bouche, je le branle d’une main et caresse, tant bien que mal à cause des coups de reins d’Alex, ses couilles de l’autre main.
J’ai les yeux grands ouverts et je le vois près du canapé : Marc qui ne perd pas une miette de ce qu’il voit. Aussitôt, le regardant dans les yeux, j’accentue le rythme de ma bouche et de ma main et vais au-devant des coups de mon amant du moment. Un couple se tient près de Marc et nous regarde également.
Je sens à ses contractions que l’homme que je suce va jouir. Dès que sens que le premier jet arrive, je sors sa bite de la bouche et fais en sorte qu’il arrose mes seins. Alex commence lui aussi à respirer plus fort et je le sens éjaculer malgré la capote. Je reprends le sexe en bouche pour le nettoyer. Alex se retire, enlève sa protection et me présente sa bite. Je les suce l’une après l’autre, mêlant leur reste de sperme dans ma bouche.
Ils me quittent en même temps. J’ai soif. Je le dis à Marc. Avec une serviette, il essuie le sperme que j’ai sur les seins et le ventre, puis il me prend par la main et m’entraîne vers le buffet. Pendant que je bois, je fais du regard le tour de la pièce.
Il n’y a plus personne qui danse. Daniel, assis sur un fauteuil est sucé par Corinne, à genoux devant lui et elle-même se fait lécher la chatte par une blonde assez forte, allongée sur le dos la tête entre ses cuisses. Marc me prend la main et m’emmène vers un coin où sur un matelas un homme est allongé sur le dos. Une femme est accroupie sur lui, la chatte pénétrée par sa bite. L’homme la serre contre son torse et ses deux mains lui écartent les fesses. Derrière elle, Lionel, a pris son petit trou et l’encule vigoureusement. Une main me caresse les fesses et touche ma rosette.
Une onde de chaleur me parcourt la chatte.
— Tu as de belles fesses, j’aimerais bien y goûter !
Une voix féminine. Elle me prend la main et m’entraîne vers un autre matelas. Elle me tire littéralement. Elle est menue, un petit cul, des petits seins bien ronds. Elle est entièrement nue à l’exception d’une chaîne autour du ventre. Elle me couche sur le matelas et dépose délicatement un baiser sur mes lèvres. Ses mains s’activent sur mes seins, mon ventre et bientôt fouillent ma vulve.
— Je vais te baiser, te faire jouir et tu me feras la même chose en retour ! me dit-elle.
Elle se positionne en 69, m’écarte les cuisses et plonge sa langue dans ma chatte inondée. En même temps, elle offre sa chatte devant mes lèvres. Sa langue titille mon bouton, l’aspire, le mordille déclenchant des ondes de plaisir qui se propagent partout dans mon corps. Je passe ma langue sur ses lèvres trempées et touche son clitoris.
Elle relève mes cuisses et ses mains sont sous mes fesses. Elles les pelotent, leur donnent de petites tapes et puis son doigt vient titiller mon anus. Elle tourne autour, vient chercher de la mouille dans la chatte et reprend ses caresses. Sa langue travaille mon clitoris et je sens le plaisir monter. Elle met un doigt dans ma chatte, puis elle enfonce doucement un autre doigt dans mon cul.
Ma langue pénètre sa vulve, mes mains tiennent ses fesses pour la plaquer contre ma figure. Ses doigts qui remuent, qui essayent de se toucher à travers les parois, sa langue et ses lèvres finissent par avoir raison de moi. Le plaisir m’inonde, je me tords dans tous les sens, mais elle n’arrête pas ses caresses.
— Encore ! me dit-elle, j’en veux encore. Alors je prends ses fesses à pleines mains, les écarte et d’un coup sec, je lui enfonce mon doigt dans le petit trou, ma langue fouille sa chatte. Elle jouit elle aussi et m’inonde de liquide que sa chatte expulse à grands jets. J’en ai plein la bouche, mais garde ma langue sur sa chatte la léchant comme si c’était une glace. Elle n’arrête pas ses caresses, je jouis de partout.
Elle se relève, se retourne et m’embrasse à pleine bouche.
— Je n’ai pas joui comme ça depuis longtemps, quel pied j’ai pris !
Marc est là, un verre à la main et me fait un clin d’œil.Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits. Deux mains me saisissent les jambes, les relèvent et aussitôt une bite me pénètre. Une autre se présente devant ma bouche : je la reconnais aussitôt et l’avale d’un coup malgré la grosseur du gland : Daniel, qui me caresse les seins et glisse une main sur mon clitoris. Je lui saisis la main et l’éloigne de cet endroit trop chaud.
Je pompe la bite de Daniel et mordille le gland. Il s’enfonce tout au fond touchant ma luette, me fait hoqueter, mais il tient fermement ma tête, je ne peux que subir ses désirs. Celui qui me pénètre titille mon anus avec un doigt. Il retire sa queue de ma chatte et la presse contre ma rosette. D’un grand coup de reins, je le chasse : pas là ! lui dis-je. Il replonge sa queue dans ma foufoune et comme vexé me donne de grands coups de reins. Je sens ses couilles qui s’écrasent sur mes fesses. Il jouit rapidement en poussant un cri et se retire. J’ai toujours la bite de Daniel en bouche. Deux mains me saisissent les pieds et me relèvent de nouveau les jambes. Je sens deux autres mains qui me les saisissent également. J’ouvre les yeux, Daniel me tient les pieds et tire les jambes écartées vers lui pour permettre à mon cul d’être bien relevé. Je vois Colette se pencher et entreprendre un léchage de chatte et de cul. Sa langue fouille mon minou, fouille ma rondelle. Mon con, bien excité par la précédente visiteuse, commence à chauffer fortement, mais je laisse faire la langue et les doigts de fée de mon amie.
Amie qui est agitée de soubresauts, car elle se fait pénétrer en même temps. Elle met un doigt dans l’anneau après l’avoir bien humidifié avec le jus qui coule de partout. Son doigt va-et-vient, bientôt rejoint par un deuxième. Cela dure un petit moment. Daniel n’a pas joui et il me tient toujours les jambes écartées. Il se met sur le côté et laisse sa place à Corinne. Elle plonge sa langue dans ma bouche, me caresse les seins et une de ses mains va rejoindre et aider la langue de Colette à agacer mon bouton du plaisir. Colette jouit sous les coups de son amant du moment. Elle se retire de ma chatte et mon cul, remplacé aussitôt par un autre contact. Je lève les yeux et reconnais Lionel. Il m’embrasse la chatte, glisse sa langue dans ma minette. Un de ses doigts a pris possession de mon antre et je sais ce qu’il veut faire. Marc est là, je ne le vois pas, mais je sais qu’il est là. Il ne peut pas manquer cela. Alors je laisse faire.
Corinne accentue sa caresse sur le bouton, sa langue titille la mienne.Lionel met un préservatif, s’agenouille et presse son engin devant mon anneau. Il entre doucement sans s’arrêter. Une petite douleur me fait pousser un petit cri. Je tente de le repousser, mais Colette m’attrape les deux mains et les bloque.
— Cela va être bon, tu vas voir !
Et il continue sa progression. Je sens son pubis sur mes fesses écartées par je ne sais pas qui. Il bouge et commence ses mouvements, doucement au début et puis de plus en plus vite pour finir comme la dernière fois par de grands coups de reins qui m’arrachent des cris de plaisir mêlés à des cris de douleur.
— Encore, encore, oui, non, oui... Plus fort !
Il ne s’en prive pas. Ses coups de reins sont de plus en plus forts et d’un coup, il se bloque. Je sens les veines de sa verge palpiter à travers la protection et ses jets de jus dans le préservatif.Après quelques instants de répit, il se retire. Aussitôt retiré, un mouvement sur le matelas m’indique qu’un autre arrive. J’entends le bruit de la capote que l’on met et un gland vient se poser contre mon anus. Je ne peux pas voir comment il est, bloqué par Corinne et Colette, Colette qui me dit à l’oreille :
— Tu n’auras pas mal avec lui, c’est tout en douceur !— Il me pénètre doucement en effet. Je sens bien que sa bite est plus grosse que celle de Lionel, mais il ne me fait pas mal. Il prend le temps, sort et rentre sa queue lentement plusieurs fois de suite, il rentre loin dans mon conduit, je sens ses couilles qui cognent contre mes fesses, il me lime maintenant de plus en plus vite. J’ai le cul qui chauffe, j’accompagne ses mouvements pour accélérer sa jouissance et finalement, il libère son jus. Mes jambes relevées me font mal, mais Daniel les tient bien. Corinne s’écarte et Daniel replace sa bite sur mes lèvres. Je l’avale et, levant les yeux, je le vois devant moi sur le côté du matelas, avec toujours un verre à la main. Il me sourit. Marc !
Pendant ce temps, un autre bruit de capote et un nouveau mouvement sur le matelas. Et là, je devine que c’est plus gros. Mon baiseur presse son pieu pour entrer, mais je me contracte refusant d’avoir mal.Mon cul, pourtant bien limé depuis tout à l’heure, ne veut pas de cette nouvelle entrée. Daniel entreprend des mouvements de va-et-vient dans ma bouche pour essayer de me distraire, mais je chasse sa queue de ma bouche et d’un mouvement brusque, je me mets hors de portée de cette bite.Personne n’insiste. Colette m’attire à elle et me prend dans ses bras.
— Viens, allons nous rafraîchir un peu, et elle m’emmène vers la salle de bain.
Pendant tout le récit, j’ai la bite douloureuse, tendue comme un arc. Je tente bien de me rapprocher de Lucie, mais à chaque fois j’ai droit à la même réflexion :
— On a dit sage, alors sage !
A suivre
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