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Lucie, l'amie intime !

Chapitre 10

Avec plusieurs hommes
Bien calé dans le lit de Lucie, je la regarde. Les yeux mi-clos, elle donne l’impression de revivre entièrement sa soirée et j’en suis persuadé, bien que je ne l’aie pas vue à cause du drap qu’elle a sur elle, sa main a dû caresser son sexe.Je fais une tentative de rapprochement, mais je me fais rabrouer et je n’insiste pas.Elle me regarde en souriant et me tend la main.
— Je peux te dire que Louise a apprécié lorsque je lui ai raconté cette soirée. Elle m’a enviée et en était même jalouse. Pourtant avec les récits qu’elle m’avait faits, c’était plutôt moi qui étais jalouse. C’est l’époque où vous alliez à l’hôtel et j’avais droit au détail de ce qui s’était passé et je peux te dire que plus d’une fois, j’avais la culotte trempée lorsqu’elle me quittait pour rentrer chez elle. — J’ai l’impression, lui dis-je, que c’était presque une stimulation entre vous, non !— Non, je ne crois pas, mais il est évident que lorsque j’allais avec Marc chez nos amis, cela me titillait et des images me passaient par la tête ! Je me souviens avoir eu une conversation avec Colette, un jour que nous déambulions dans Paris. Elle n’en revenait pas de mon évolution en matière de sexe. Nous nous étions rencontrés à ce moment-là depuis plusieurs mois déjà et elle se souvenait de notre première rencontre lorsque je refusais de montrer mes fesses. Je lui ai alors parlé de mon amie qui ne me cachait rien et Colette a un peu réagi comme toi en parlant de stimulation sexuelle, ce dont elle était ravie.
Dans les soirées où nous allions parfois, j’étais la plus exhibitionniste. Pas celle qui acceptait tout, mais ce que je faisais, je le faisais naturellement en faisant profiter les autres et surtout Marc.
— En fait tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour lui, pour son plaisir. C’est un homme tellement charmant. Avec Daniel et Colette, nous allons en soirée dans de beaux domaines, de beaux appartements où nous sommes reçus comme des rois et des reines.— Mais je vois que tu es tout raide !
Lorsqu’elle m’avait tendu la main tout à l’heure, j’en avais profité pour me rapprocher, mais j’étais resté sage, bien qu’avec la main sur ma cuisse, ses doigts ne pouvaient ignorer l’état dans lequel j’étais.
— Tu crois, lui dis-je ?
Je retire le drap qu’elle a sur elle. Sa combinaison est remontée et je vois une tache d’humidité sur sa culotte.
— Et toi, cela ne t’a rien fait ?— Toi, tu es dur et moi, je crois que je suis trempée ! — Je vais trouver un moyen d’assécher cela. Je me positionne à genoux face à elle, retire l’oreiller qu’elle avait mis dans son dos. Je fais glisser sa culotte sur les cuisses. Il n’y a pas que la trace d’humidité que j’ai vue tout à l’heure, tout le fond est mouillé même la combinaison. Je veux lui écarter les grandes lèvres pour mieux la lécher, mais elle me repousse.— Non, je ne veux sentir que tes lèvres et ta langue !
Je retire donc mes doigts et donne de petits coups de langue. Aussitôt, elle écarte les cuisses, relève ses jambes, prend une cheville dans chaque main pour mieux m’offrir son sexe.Je la butine pendant un petit moment, nettoyant consciencieusement toute la cyprine qui la mouille jusqu’en haut de la raie des fesses. Elle gémit et frémit sous mes coups de langue et de lèvres. J’ai sorti mon sexe et je le caresse pendant que je la broute.Au bout d’un certain temps de ce régime, elle repose ses jambes, me prend la tête entre les mains, s’approche et m’embrasse.
— Tourne-toi, faisons-le ensemble !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je quitte mon slip et me positionne de telle façon qu’elle ait mon engin sur les lèvres. Elle l’aspire littéralement et entreprend une fellation dont elle a le secret.De mon côté, je ne reste pas inactif et ma langue papillonne du clitoris à la rosette, la faisant réagir à chaque passage à cet endroit qu’elle apprécie particulièrement.À ce régime-là, je ne peux plus me retenir davantage.Je réussis à balbutier, entre deux succions de bouton, que j’allais jouir. Aussitôt, ses mains pressent mes fesses, enfonçant un peu plus ma bite au fond de la bouche et je laisse tout mon jus s’écouler en grandes giclées qu’elle avale.
J’accélère mes succions, mes coups de langue glissant de plus en plus fréquemment sur sa rosette. Elle tente de me repousser, mais je tiens bon. Sa jouissance arrive en plusieurs vagues et j’ai du mal à garder ma tête entre ses cuisses.
Nous restons allongés un bon moment. Je tente de savoir pourquoi elle ne veut pas aller plus loin dans nos relations charnelles.
— Ne pose pas de questions tout le temps, fut sa réponse, et elle reprend son récit.— Parfois Marc n’a pas besoin de moi et je reste avec Colette. Nous en profitons pour nous balader dans Paris. Elle m’emmène dans les boutiques où nous faisons quelques folies. Nous en profitons aussi pour aller au restaurant, parfois en y retrouvant Daniel et Marc. Ce jour-là, Daniel déjeuna avec nous.— J’ai eu Marc au téléphone il y a une heure. Il ne pourra pas nous rejoindre, il doit déjeuner avec des actionnaires. Je cite ce qu’il m’a dit de te dire, dit-il en me regardant : dis à Lucie que j’aimerais la voir en noir la prochaine fois !
Colette réagit aussitôt :
— Je connais l’endroit qu’il te faut pour ça ! Et puis moi aussi, il faut que je me rhabille ! On mange et on y va.
Le repas terminé, un taxi nous amène tous les trois du côté du 18e arrondissement. Après avoir flâné en regardant quelques vitrines suggestives, nous entrons dans un grand sex-shop. Daniel part de son côté vers les cabines « voir s’il y a du monde ! ».Colette m’entraîne vers le rayon lingerie où un vendeur nous accueille et Colette expose notre recherche, à savoir une tenue adaptée pour une soirée libertine. Après avoir regardé toutes ces jolies choses plus sexy les unes que les autres qu’il nous présente, le vendeur propose que l’on choisisse chacune la même. Il nous accompagne dans une cabine d’essayage. Nous nous déshabillons, gardant nos culottes malgré tout et enfilons notre nouvelle tenue, un ensemble corset-porte-jarretelles avec soutien-gorge à balconnets et des bas, le tout noir. Le string aussi est de la même couleur. Ouvrant légèrement la porte le vendeur jette un œil et entre dans la cabine. Je lui dis que je trouve que cet ensemble va mieux sur Colette, car elle est de constitution plus forte que moi. Il conteste mon avis et sans gêne aucune resserre la petite ceinture cordon qui enserre la taille, ajuste les bretelles, replace mes seins.
Debout toutes les deux devant la glace, nous nous examinons sous toutes les coutures.
— Dommage que Daniel ne soit pas là, dit Colette en regardant le vendeur, nous aurions pu avoir son avis !— Si vous voulez vraiment un avis, je vous invite à garder cette tenue et à visiter l’étage. Il y a là-haut de nombreux visiteurs qui vous donneront leur opinion, indique le vendeur. Si vous souhaitez ne pas vous promener dans cette tenue, je peux vous prêter un peignoir et garder vos effets personnels.— C’est là-haut qu’est Daniel tel que je le connais et on va lui faire la surprise.
Le vendeur ferme la cabine d’essayage à clé et c’est en peignoir que nous nous rendons à l’étage. Le palier donne sur 2 allées assez larges avec des cabines plus ou moins grandes de chaque côté. Des portes sont fermées, d’autres ouvertes : ici un homme seul devant un film porno, ici un couple dans une grande cabine qui s’étreint sous le regard de plusieurs visiteurs dont Daniel. Notre entrée ne passe pas inaperçue. Daniel nous voit et vient nous rejoindre. Nous restons à regarder un couple d’une cinquantaine d’années entièrement nu. L’homme à genoux broute le minou de sa femme assise sur une banquette adossée au mur. Elle, offerte aux caresses, a une bite dans chaque main et regarde les mâles présents. Le mari se relève, monte sur la banquette et met sa queue dans la bouche de sa femme. Elle écarte les cuisses, les remonte sur la banquette et fait un signe à l’un des spectateurs qui aussitôt prend la place du mari et plonge sa bouche dans la chatte baveuse.
Colette entraîne Daniel dans le couloir, lui prend la main et la guide sous son peignoir, puis sous le mien. Il entreprend aussitôt de les ouvrir et découvre nos nouvelles tenues. Il retire le peignoir de Colette, puis le mien. Plusieurs hommes nous ont suivis.
— Dommage que la culotte ne soit pas assortie !
Après un coup d’œil complice à Colette, je retire la mienne, imitée aussitôt par elle.Les hommes se sont rapprochés. Daniel pose nos peignoirs et nous ramène dans la cabine.
— Nous voulions avoir ton avis et savoir si cela lui conviendra, dit Colette.
La femme est à genoux sur la banquette, son mari dans la même position à côté d’elle. Ils se font prendre tous les deux en levrette, elle s’efforçant en plus de faire pénétrer dans sa bouche une énorme bite tout en branlant une autre queue. Son mari a la langue dans la raie des fesses d’un homme penché devant lui. Nous sommes chacune dans un bras de Daniel. Colette me regarde et je comprends à son regard ce qui m’arrive aussi. Des mains glissent sur nous. Daniel resserre un peu son étreinte pour nous faire comprendre qu’il sait. J’ai une main qui me caresse un sein, une autre caresse mes fesses tout en essayant de me faire écarter les cuisses. Je m’exécute juste un peu pour qu’il puisse atteindre mon abricot qui, je le sens, est tout trempé. Colette de son côté ne doit pas être en reste à en juger par les mouvements que fait son corps.
Le couple qui a fini de baiser est assis sur la banquette et nous regarde. Ils se lèvent et Daniel nous fait asseoir. Il nous adosse à la banquette, remonte nos jambes, les écarte et pose nos pieds sur le siège. Nous sommes grandes ouvertes aux regards, les seins à l’air dans leurs balconnets. Daniel ôte son pantalon et son slip, grimpe sur la banquette et offre son gros gland à Colette qui l’entreprend aussitôt. Il fait un signe à un jeune homme et en lui montrant la chatte de Colette mime avec la langue ce qu’il attend de lui. Il se met à l’œuvre aussitôt. Deux hommes se sont approchés de moi, mais Daniel leur fait un signe et ils reculent. Je pose une main sur un sein que je caresse et de l’autre, je me frotte le bouton. Daniel quitte la bouche de Colette et venant se positionner de l’autre côté de la banquette me propose son gland que j’engloutis d’un seul coup malgré la grosseur de l’engin. Cela dure quelques minutes.
Daniel demande ensuite à Colette de se mettre à genoux devant moi. Elle comprend aussitôt et sa langue trouve rapidement mon bouton. Daniel se met derrière elle, la relève un peu, la pénètre et commence un rapide va-et-vient. Une main sur la tête de Colette et une autre sur un sein, je regarde tous ces hommes qui se branlent en nous dévorant des yeux. Daniel jouit assez rapidement. Il se retire et regardant toutes ces queues, choisit la plus grosse, celle que la femme du couple suçait plus tôt. L’homme ne se fait pas prier, enfile une capote, se met à genoux et présente son gland à l’entrée de la vulve de Colette. Elle bouge afin de trouver la bonne position et c’est elle qui va au-devant de ce pieu. Elle ne peut s’empêcher de pousser un cri, lâchant son léchage de chatte, lorsqu’il s’enfonce en elle. L’homme regarde Daniel qui lui fit signe de continuer. Colette a la tête relevée, la bouche grande ouverte !
Je ne sais pas si elle déguste ou si elle apprécie cette queue hors norme. Je devine la progression de ce pieu en regardant mon amie. Quand il commence à la limer, elle plonge sa langue dans la vulve, ses doigts se déchaînent dans mon vagin et mon anus qu’elle pénètre d’un coup sans le mouiller. Sous la douleur, je balance mon ventre en avant pour fuir cette pénétration. Elle me mord et continue sa progression. Son doigt va-et-vient au gré des coups de boutoir de son partenaire. Elle gémit dans ma chatte. Soudain, son tourmenteur, la tenant fermement par les hanches, accélère les mouvements de plus en plus brutalement, puis pousse un cri et se vide.
Il reste en elle quelques instants avant de se retirer. La tête posée sur mes cuisses, mon amie semble avoir du mal à récupérer. Daniel la relève et la prend dans ses bras. Quelqu’un nous tend les peignoirs que nous remettons. Nous allons au coin toilettes pour nous rafraîchir un peu. Colette a récupéré et retrouvé son sourire. En sortant des toilettes, nous rencontrons dans le couloir le propriétaire du pieu qui vient de la pourfendre. Elle lui fait une bise et lui dit merci pour ce moment inoubliable.
Nous retrouvons notre vendeur, nos effets personnels et payons nos achats. C’est en taxi que nous rentrons à l’appartement pour d’abord nous désaltérer et ensuite prendre une douche tous ensemble. Dans la chambre avant de nous rhabiller, j’applique sur la chatte de Colette une crème adoucissante et elle fait la même chose pour mon anus, s’excusant au passage du traitement qu’elle lui avait fait subir dans l’action.
— Mais quelle bite, dit-elle, quelle bite !
Marc rentre une heure plus tard et nous l’attendons dans le salon devisant autour d’un apéro.
— Avez-vous passé un bon après-midi ? Avez-vous fait des achats ? — Mon Cher Ami, dit Daniel, l’après-midi fut des plus agréables, avec des achats effectués selon les indications données. Mais il était temps que tu rentres, je commençais à m’ennuyer !
Il reçoit deux coussins lancés à travers la pièce.A suivre
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