Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 12 J'aime
  • 0 Commentaire

Lucie, l'amie intime !

Chapitre 12

La rencontre inattendue

Avec plusieurs hommes
Plusieurs semaines se passent sans une nouvelle rencontre. Lucie m’appelle un jour pour prendre de mes nouvelles et ensuite reste une dizaine de jours sans me joindre. Un matin, je reçois un SMS :
— Peux-tu venir déjeuner avec nous jeudi midi ?
Je répondis aussitôt :
— J’amène le vin !
C’est lorsque la réponse est partie que je réalise qu’elle a indiqué « avec nous ». Qui est ce « nous » qu’elle a invités ? C’est avec curiosité que je me rends au rendez-vous fixé.
— Entre, nous t’attendions, me dit-elle, avant de m’embrasser sur la bouche.
Dans le salon, deux hommes !
— Je te présente Daniel et Marc. Mes amis, je vous présente Charles dont vous connaissez l’existence depuis un petit moment.— Ravi de vous rencontrer, Lucie m’a beaucoup parlé de vous.— Et elle de vous, me répondent-ils presque en chœur !
J’ai devant moi les deux amants de Lucie, et ils sont bien tels qu’elle les a évoqués. Environ du même âge que moi, Daniel, carrure sportive, mais un peu enveloppé, presque chauve, fines lunettes, et Marc, un peu plus âgé, svelte, port altier, lunettes d’écaille rouge.
— Allons nous asseoir et fêtons notre rencontre, dit Lucie en nous poussant vers le salon.
Nous nous installons sur les fauteuils et canapé pendant que Lucie apporte bouteille et verres.J’en profite pour la détailler : petit tailleur gris bien sage avec une jupe juste au-dessus du genou, bas ou collants noirs, chaussures à hauts talons, chemisier rouge déboutonné sur 2 ou 3 boutons permettant d’apercevoir, lorsqu’elle se penche pour remplir les verres, un soutien-gorge de même couleur mettant en valeur sa forte poitrine : ravissante comme d’habitude.
L’apéritif et le repas se passent dans une bonne ambiance. La discussion porte sur tout et sur rien, la météo, l’occupation du temps libre de la retraite, des voyages effectués, des voitures, etc. À aucun moment, une allusion quelconque n’est faite sur la vie privée de l’un ou de l’autre si ce n’est une évocation sur le décès de Colette.
Après le repas, nous retournons au salon pour prendre le café. Une bonne ambiance qui facilite la digestion. D’un coup, Lucie se lève et quitte la pièce sans rien dire, nous laissant en pleine discussion sur le tournoi de Roland-Garros qui se déroule à cette époque.Quelques instants plus tard, elle appelle :
— Coucou, les garçons, voulez-vous venir par ici !
Un peu surpris, nous nous levons pour répondre à son appel et nous dirigeons vers la pièce d’où elle nous appelait : sa chambre !Elle nous y attend, près du lit, appuyée sur un fauteuil. Elle s’est changée. Toute de noir vêtue, bas, string et porte-jarretelles, le tout sous un déshabillé de même couleur grand ouvert sur un bustier corset à balconnets qui fait ressortir sa poitrine opulente.
C’est la première fois que je la vois aussi peu habillée.Elle vient se placer entre Daniel et moi, nous embrassant tous les deux à tour de rôle. Marc prend place dans le fauteuil.Mes mains caressent ses seins, son dos, ses fesses et rencontrent parfois celles de Daniel. En un instant, elle quitte son déshabillé noir, grimpe sur le lit, se met à genoux. Je retire mes chaussures, ma veste, imité par Daniel et chacun d’un côté, nous allons la rejoindre. Nos bouches jouent avec la sienne pour de longs baisers tandis que nos mains prennent possession de son corps petit à petit. Sa chatte est trempée. Ses mains nous caressent à travers le pantalon. En un instant, je me mets nu et je m’allonge sous elle, la tête entre les cuisses. Ma langue trouve rapidement son petit bouton gonflé d’excitation. Je bois littéralement la cyprine qui coule de son vagin. Je la fouille partout, glissant même jusqu’à son anus. Un mouvement sur le lit me fait jeter un œil. Marc est toujours dans le fauteuil. Daniel s’est déshabillé et debout au-dessus de moi, présente sa queue à la bouche de Lucie. J’aperçois pour la première fois ce sexe qu’elle m’avait longuement détaillé et elle n’avait pas menti. La bite est grosse, avec un gland encore plus gros. Avant de reprendre mon léchage de chatte, je vois la bouche s’enfoncer sur ce pieu.
Une main touche ma bite tendue, la caresse avant de s’égarer sur mes couilles. Ma langue commence à faire ses effets. Le cul de Lucie se balance sur ma figure, cherchant par moments à échapper au titillement de ma langue sur son clitoris. J’entreprends alors son petit trou, léchant le tour fripé, appuyant la pointe de la langue en son centre.
Daniel se dégage de la bouche de Lucie et vient se placer derrière elle. Elle se penche, prend ma bite entre ses lèvres, l’aspire doucement. Daniel, à genoux derrière elle, présente sa queue à l’entrée de la chatte, juste devant mes lèvres. Il la pénètre doucement, mais malgré cela, Lucie pousse un petit cri. Elle enfonce ma queue au fond de la bouche et ébauche des va-et-vient en rythme avec les coups de reins de Daniel. Elle est pénétrée, léchée avec une bite en bouche. Daniel accélère ses mouvements, ses couilles viennent frapper les fesses et caressent par la même occasion mes lèvres. Je glisse ma langue dessus, ce qui ne semble pas lui déplaire.
Lucie halète, gémit et crie même parfois lorsque les coups de reins sont plus forts. Daniel accélère encore en poussant des grognements. Il sort de la chatte et aux mouvements du lit, je devine qu’il se met debout devant Lucie qui se redresse et avale la queue offerte. Aussitôt, Daniel pousse un grognement et se vide dans sa bouche.
J’accentue mes coups de langue sur l’anus, sachant que cela l’excite plus que sur la chatte. Elle répond à mon initiative en m’écrasant littéralement les fesses sur le visage.Ses lèvres quittent la queue de Daniel pour reprendre ma bite tendue à l’extrême. Je jouis presque aussitôt. Mon sperme coule le long de ma verge, car elle n’arrive pas à tout avaler. Ses lèvres et sa bouche finissent de me nettoyer.
Après une petite pause, elle se lève, quitte la chambre et revient quelques instants plus tard avec des verres et une bouteille de champagne.
— Buvons au souvenir de mes chères amies Colette et Louise. Sans elles deux, nous ne serions pas ici. Sans toi Charles, je ne serai pas ici.
Marc se lève pour la prendre dans ses bras. Il l’embrasse longuement. Elle se réinstalle dans le lit entre Daniel et moi.Nous buvons en devisant de choses et d’autres, de situations que nous avions vécues. Daniel me demande si je veux bien parler de Louise, comment nous nous sommes rencontrés et quels sont mes meilleurs souvenirs de sortie avec elle.
— En fait, tous les souvenirs sont bons, plus ou moins, mais ce sont tous d’agréables moments. Louise avait faim de sexe. Pas au début, car elle ignorait pratiquement tout, même sucer, elle n’avait jamais fait. Il a fallu un certain temps pour qu’elle se lâche et découvre le plaisir. Un des meilleurs moments, c’est lorsqu’elle s’est laissée caresser par le papy. C’est le premier qui posa la main sur elle et qu’elle laissa faire. Ensuite, il y a eu le déclic du bois, où là, j’ai découvert une autre Louise. Ce n’était plus une exhibitionniste, elle en voulait plus. Elle aimait montrer son corps, toujours magnifique, mais elle aimait l’on s’en occupe et de toutes les façons.
Je leur raconte ces deux moments, la rencontre avec Papy et la rencontre du jeune dans le bois.
— Je me souviens de ce que m’avait raconté Louise à chaque fois, dit Lucie. Le papy a été une révélation pour elle parce qu’elle s’est aperçue qu’en se laissant faire, tu lui donnais encore plus de plaisir et que cela décuplait ton excitation. Pour le jeune du bois, ce qui l’avait frappé en premier, c’était l’âge, et elle se demandait pourquoi un jeune, mignon comme tout, se trouvait dans le bois et puis ensuite la taille de sa bite, fine et longue, pas du tout comme la tienne mon cher ! Je sais qu’elle a beaucoup aimé se faire baiser ce jour-là et surtout de se faire prendre le cul. C’est quelque chose dont elle me parlait régulièrement, sa première fois de ce côté-là.
Marc a refait le plein des verres. L’évocation de ces souvenirs a réveillé nos ardeurs, et pendant tout le récit, Lucie avait posé une main sur le sexe tendu de Daniel qu’elle caressait du bout des doigts. Elle prend nos verres, les tend à Marc. Elle se penche sur ma queue qui est comme celle de Daniel, tendue et trempée d’excitation. Elle commence par l’embrasser, la lécher de haut en bas avant de l’engloutir doucement.Daniel, pas en reste, s’est déplacé et se place entre les cuisses qu’il a écartées et relevées. Il plonge sa bouche sur cette chatte ruisselante, la dégustant de toutes les façons, soulevant ses fesses pour atteindre sa rosette. Je sens les effets de sa langue dans la façon que Lucie a de me pomper. Cela dure un bon moment. De temps à autre, je dégage ma queue de sa bouche afin de faire retomber la pression et pour ne pas jouir rapidement.
— Viens me prendre, me dit Louise à l’oreille. Il y a ce qu’il faut dans le tiroir, mais tu n’es pas obligé. Et elle replonge sur ma bite.
J’hésite juste un instant, me redresse. Daniel comprend aussitôt et me laisse la place.Je me positionne entre les jambes qu’elle a relevées. Je lui embrasse les seins, aspire les tétons l’un après l’autre et l’embrasse. Nos langues se mêlent pendant que sa main guide mon sexe dans sa chatte inondée. Je la pénètre doucement, entrant lentement jusqu’à toucher son pubis et je reste immobile un instant, savourant la tiédeur de son antre. Je commence à la limer lentement en accélérant la cadence petit à petit. Daniel sur le côté lui relève les jambes et les cuisses pour se frayer un accès à sa rosette. Lucie devine son intention et se cabre davantage pour offrir un meilleur accès. Quand Daniel glisse un ou plusieurs doigts dans son petit trou, elle pousse un petit cri et me serre plus fort dans ses bras. Je sens sur ma bite les doigts de Daniel qui s’agitent dans l’autre antre de plaisir. Cela accentue l’arrivée de ma jouissance. Je sors ma bite et lâche mes jets de foutre sur sa chatte.
Daniel la fait mettre à quatre pattes et la prend en levrette à grands coups de reins qui lui font pousser de petits cris.
— Encore, encore, plus fort...
Alors il besogne plus fort, presque brutalement. Je passe ma main sur la vulve et lui branle le bouton, difficilement compte tenu des soubresauts dus aux coups de bélier qu’elle reçoit. Elle tourne la tête vers Marc, toujours assis, son verre à la main, et ne quitte pas son regard jusqu’au moment où la jouissance arrive. Daniel se vide en elle en poussant un grand râle.Il se redresse et présente son gros gland dégoulinant de sperme à la bouche de Lucie qui l’avale. Il lui tient la tête, l’obligeant à prendre la bite jusqu’au fond de la gorge avant de la ressortir pour qu’elle la nettoie entièrement. Nous sommes repus, assis et appuyés contre la tête de lit, Lucie entre nous regarde en souriant, Marc toujours dans son fauteuil.
— Tu as été magnifique, lui dit-il. Quel plaisir de te regarder jouir ! Il y avait si longtemps !

Nous nous sommes séparés dans la soirée. Daniel dormait chez Marc et repartait le lendemain.Daniel nous a invités, tous les trois, pour un prochain week-end à Paris.
— Nous n’y resterons peut-être pas tout le temps, je vais voir à nous trouver une occupation !
Il y a un peu plus de trois semaines que nous nous sommes quittés. Je n’ai pas revu Lucie, nous avons juste échangé des banalités lors de quelques conversations téléphoniques.Un matin, elle m’adresse un SMS :
— Daniel nous attend tous les trois le week-end prochain, si tu es disponible !
Ma réponse partit aussitôt :
— Je suis dispo !
Retour de Lucie :
— Super, Marc passera me prendre vendredi vers 15 h et nous passerons te prendre après.

C’est aujourd’hui vendredi, il est presque 15 h 30 et la voiture de Marc entre dans la cour...
Diffuse en direct !
Regarder son live