Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 55 J'aime
  • 0 Commentaire

Lucie : fantasme, surveillante et cupidon

Chapitre 7

Vengeance et soirée "épées et fourreaux"

Orgie / Partouze
—      Paul ! C’est déjà la deuxième fois que je vous rappelle à l’ordre. Encore une dernière fois à vous surprendre piquer du nez, et c’est chez la directrice. —      Je crois qu’il ne se sent pas bien, Monsieur. Je vais l’accompagner à l’infirmerie… —      Ah ? En effet, ce n’est pas à son habitude, plutôt la vôtre d’ailleurs, Lucas… 

C’est en laissant une classe hilare derrière eux, sous le charme du professeur de Physique Chimie Monsieur Graillou, que Paul et Lucas (un de ses amis d’enfance) s’éloignent d’un pas lourd vers la petite salle lugubre située de l’autre côté du campus. 

—      T’as pas l’air en forme, Paul. Depuis quelques semaines on ne te reconnaît pas. Reprends toi, merde ! 
D’un coup de coude assez mou, Lucas, qui est un peu rond, fait littéralement voler Paul qui vient s’écraser sur le mur le plus proche. Amorphe, ce dernier ne ressent pas la douleur et ne cherche surtout pas à répliquer. Quelque chose semble effectivement lui miner le moral : de longues cernes creusent son visage assez mignon d’ordinaire. Son teint est plus gris, ses cheveux n’ont pas l’air d’être bien entretenus et les plis sur ses habits se multiplient à chacun de ses pas de mollusque. 

—      Je te l’ai dit. Elle m’a niqué le cœur, la queue, et tout le reste. C’était qu’un jeu. —      Oui tu m’as dit, et Gabriel et Mathieu sont de beaux enfoirés. Mais à un moment il faut passer à autre chose. Cette Cassandre là, dont tu m’as parlé, plus rien ? Vous avez quand même fait la totale !—      T’es con. —      Ah oui… Avec eux. —      Je suis sûr que depuis tout ce temps, elles se les tape tous. Tous font le tour de sa piaule, le tour de sa chatte, le tour de son cœur et c’est tout. Et moi, j’ai quedalle, et la seule fois où j’ai un peu plus que rien, c’est pour amuser la galerie… —      C’est toujours ça de pris… Moi il a fallu que tu sortes du groupe pour que tu m’en parles, de vos sauteries. —      Pardon. Encore. 
Alors qu’ils sont bien arrivés devant l’infirmerie, Paul, toujours aussi miné, poireaute un peu, il relance son ami : 
—      Tu veux pas rentrer avec moi ? On se pose un peu et dans dix minutes on retourne en classe l’air de rien. —      Hors de question ! Là t’es juste un déchet qui voit le mal partout et tu débordes de frustration de ne pas avoir trempé le biscuit jusqu’au bout avec ta surveillante adorée. Je me casse, Graillou il sait me divertir, lui. Tu devrais prendre exemple, ciao Paul, à toute ! 
 
Lucas, qui ne se rend pas compte de l’ironie de sa dernière remarque, est assez vite trop loin pour que Paul puisse le rappeler, tant pis. Le jeune homme tente de glisser la tête entre les rideaux qui couvrent l’entrée de l’infirmerie mais il y surprend des bruits suspects, comme des chuchotements qui se faufilent sous des draps. Il n’a pas envie, encore une fois, de surprendre des filles de seconde discuter de leurs garçons préférés par peur de déprimer encore plus, alors il poursuit son chemin et va faire traîner son malheur sur d’autres murs du campus. De toute façon, à cette heure c’est Lucie qui est chargée de l’ordre dans les couloirs. Si elle le croise elle l’évitera, comme à son habitude de ces dernières semaines. 
En longeant les murs Paul se perd à son nouvel exercice préféré : se repasser les évènements de la dernière soirée. D’abord ils rigolent, puis ils s’embrassent, puis ils se touchent et se frottent, puis il remarque les trois connards sur le toit d’en face. Puis Lucie se marre, tout simplement. Elle essaye de l’embrasser encore une fois, mais cette fois en faisant coucou aux trois terminales, elle se dandine, colle son cul contre la rambarde, essaye de sortir la queue de Paul mais là, il disparaît. Il quitte la pièce, le couloir, le bâtiment pour reprendre conscience dans sa chambre. Depuis : rien. 
Gabriel et Mathieu l’ignorent, même pas une remarque, une moquerie ou une référence. Cassandre a un emploi du temps de fille, donc impossible de se revoir de toute façon. Et Lucie, qu’il croise pourtant plusieurs fois par semaine, rien non plus. Elle ne l’engueule pas, oublie son nom lors des appels, sort son téléphone quand ils sont seuls. Au moins ça a des avantages : il a commencé à sécher les heures d’étude sans aucune répercussion. Paul n’a jamais été populaire, mais il a cru l’être un instant. Les cours n’ont jamais été un sujet, les amis non plus enfait. Les filles peut-être, mais Lucie donnait du sens à ces journées incestueuses qui partagent la même gueule et la même vanité. Maintenant, il est devenu pire que rien : comme avant.  C’est bientôt l’heure du premier service du dîner, autant profiter de son avance pour récupérer un des rares sandwichs et aller manger dans sa chambre. Depuis quelques semaines, depuis les évènements, il a même arrêté de se toucher.  

 Quelques minutes après son départ de l’infirmerie, sous les draps : 
—      T’as réussi à voir qui c’était ? —      Pas du tout, je te rappelle que j’avais la tête sous le drap. Attends j’en ai marre, pousse-toi un peu… —      Mais j’ai même pas fini, tu m’avais dit ok pour cette fois… —      Eh non ma belle, c’est pour te forcer à venir ce soir. 
Sasha expire douloureusement, elle a perdu le contrôle de son corps depuis que cette petite langue agile s’est installée sur ses parties intimes. La grande brune élancée, à la peau d’ambre et aux cheveux frisés maintenant en bordel, s’est découverte une passion : cette fille, ce corps, cette passion.  
Avant de l’abandonner seule sur ce lit rudimentaire, la petite silhouette roucoule face à ses protestations. Elle lui glisse quelques mots doux et d’n coup vient aspirer de toutes ses forces un carré de peau sous la clavicule, y laissant un suçon palpitant. Surprise, Sasha lâche un petit cri mal étouffé et avance ses mains pour repousser l’adorable agresseur qui refuse catégoriquement de la laisser jouir. Ses mains rencontrent furtivement une grosse poitrine sans protection, à peine recouverte d’une chemise largement ouverte. Sasha en profite un instant, laisse ses doigts jouer avec la rondeur et la pesanteur de ces deux globes si bien tenus, elle les malaxe, les presse timidement et vient en chatouiller les tétons mais est interrompue par un dernier baiser. 
—      À tout à l’heure ma Gazelle, n’oublie pas ton épée surtout. —      Promis ! 
Sasha répond avec trop d’entrain, encore noyée sous ses propres fluides et rouge à en crever, amoureuse presque. Sous ses yeux envoutés l’assaillante se rhabille lentement, sans la perdre du regard. La silhouette commence par remonter sa jupe en se dandinant, puis ses chaussettes longues jusqu’à la moitié de ses cuisses, en se penchant bien en avant comme il faut. Son buste subit la gravité et ses seins la suivent quand elle se courbe ; Sasha n’en manque pas une miette et ose presque deux doigts entre ses lèvres lubrifiées. Puis, la divine créature referme sa chemise, bouton après bouton, n’hésitant pas à serrer le fin tissu blanc contre son imposante poitrine, et s’en va dans un soupir. 
—      Je te laisse mon soutif et ma culotte pour te finir, on sait jamais.—      Merci… À tout à l’heure Lucie… 
 
En déambulant dans les couloirs la jeune surveillante se laisse prendre par un élan méditatif et nostalgique. Ce soir c’est ce fameux vendredi 13, la date choisie avec Paul pour leur supposée prochaine soirée en comité élargi. La liste des garçons est encore quelque part sur son ordinateur, sur un document laissé abandonné. Celle des filles est sur son téléphone par contre, dans un groupe de discussion bien actif. 
Lucie, depuis le désastre qu’est sa soirée en privé avec Paul, a préféré concentrer son affection sur le genre féminin, pour ses courbes et sa grâce féline. Plutôt que de courir après son étudiant adoré, celui pour qui elle aurait pu aller jusqu’à s’engager, elle passe à autre chose. Alors elle a rangé ses envies de queues, de mains trop grandes et de fantasmes tirés de pornos avec tous les garçons du campus, et elle est revenue aux femmes. Elles sont plus simples, plus faciles à surprendre, plus fauves et moins sentimentales. Il faudra quand même prendre garde aux émotions de Sasha, elle semble commencer à un peu trop s’attacher… Alors que les autres filles du groupe se contentent des soirées hebdomadaires et n’en demandent pas plus, la grande brune, elle, abuse un peu plus à chaque fois, faute à ses rapports exclusifs avec Lucie et un semblant de privilège… Elle devra y mettre un terme, d’une façon ou d’une autre. La surveillante pulpeuse se convainc en se disant qu’elle lui parlera ce soir à un moment de tête à tête. 
Mais le moment n’est pas très bien choisi, ce soir c’est soirée « épées et fourreaux ». D’ailleurs elle ne devrait pas tarder, si elle veut avoir le temps de bien se préparer. C’est en ayant vidé son esprit de Paul, des derniers évènements, des cours et de son travail que Lucie se concentre sur ce soir. Souriante, elle rentre dans ses quartiers et se prépare.   

  Plus tard, à la fameuse soirée : 
—      Comment ça tu ne veux plus qu’on se voit ?? T’es pas sérieuse ?? —      Si complètement, ma Gazelle. On jouera ensemble pendant les soirées si tu veux encore venir. Mais en dehors, c’est dangereux. Et j’ai pas envie que les autres filles se sent lésées. 
Sasha est confuse, elle se sent trahie par son amour naissant. Comment une fleur même pas éclose peut elle piquer autant. La grande brune, maquillée avec soin et le visage constellé de paillettes argentées pour l’occasion, réarrange sa robe argentée et rentre, prête à partir.  Un peu saoulée, et pompette, Lucie éteint sa cigarette a moitié fumée. Elle contemple un instant la campagne qui entoure les murs froids et jaunis par des générations d’enfants privilégiés et de professeurs abusifs, par toute cette crasse, et envoie rapidement un message sur son téléphone. Elle ne sait pas si ce message redore les murs crades qui entourent son nouveau paradis, si elle est en droit d’attendre une réponse, même. 
C’est l’esprit un peu plus léger qu’elle rentre à son tour dans le laboratoire. Ce lieu assez commun a fini par devenir le QG de leurs partouzes. Bien qu’il n’ait servi qu’une seule fois pour leurs soirées mixtes, c’est devenu un véritable temple aux relations femmes femmes depuis quelques temps. Sasha est un élément important de ces soirées, peut-être la plus belle des terminales majeures qu’elle a réussi à dégoter pour ses sauteries, mais il reste tout de même du beau monde après son départ. 
Lucie regagne vite l’excitation qui l’avait quittée en larguant Sasha à l’extérieur, elle redevient d’humeur coquine en un instant. Sous ses yeux plusieurs couples de femmes, toutes sublimes à leur manière, se font prendre et prennent leurs camarades avec des sex-toys de toutes les tailles et toutes les formes. 

Sur sa gauche une rousse, à peine plus grande que Lucie, dévore goulument une chatte surmontée d’un de ces énormes chibres en silicone soir. Elle passe des lèvres béantes à la queue en un éclair, enfonce deux doigts en bas et avale dix centimètres en un seul geste. Une petite robe noire pendouille sur ses hanches, seul vestige d’une tenue soignée. 
La demoiselle qui se fait sucer, lécher et doigter est la fameuse Cassandre qui a aussi séparé la surveillante et le professeur de physique chimie lors de leurs préliminaires sauvages. Heureusement pour elles deux, pas de rancœur dans un sens ou dans l’autre. La brune couverte de taches de rousseurs a l’air satisfaite, la bouche trempée et les tétons très rouges. Elle est vraiment mignonne, se dit Lucie en repensant à ce qu’elle a vu pas si loin d’ici. 
Une deuxième femme derrière la petite rousse, une brune plus âgée, a la tête complètement enfoncée entre ses fesses occupée à lui prodiguer un anulingus bruyant. Elle a un autre gode dans la main, tout aussi long mais bleu, qu’elle claque avec force sur les fesses cramoisies qui tremblent au bout de sa langue. De son autre main, elle se touche avec frénésie : la chaîne de femmes plus ou moins dénudées convulse et gémit comme un seul corps. 
En passant près d’elles Lucie glisse sa langue dans la bouche grande ouverte de Cassandre, lui roule une pelle aussi brève que possible, et s’approche des deux autres femmes invitées à la soirée. 

Cette fois c’est Alysson, la belle blonde style Marylin, qui se fait dévorer l’entre jambe tandis qu’elle s’occupe la bouche avec un gode type tentacule. C’est Lucie qui les a initiées à ce nouveau genre de faux sexe masculin. Il a très vite été adopté par sa forme irrégulière et sa base extrêmement large. Alysson a également le visage couvert de mouille et le tentacule qui rentre de plus en plus profondément entre ses lèvres pulpeuses fait frémir Lucie : comme elle aurait aimé avoir une bite à la place de la chatte à ce moment précis. Elle aurait tué pour baiser cette bouche et se répandre en de longues giclées sur ces énormes seins. 
Heureusement, la surveillante a également apporté son arme et c’est déterminée à défoncer la belle blonde plantureuse qu’elle s’approche et écarte la délicieuse Camille. C’est une autre terminale, plus discrète que la déléguée ou sa suppléante et leurs confidentes, mais tout aussi avide de plaisirs charnels. Camille a de belles mèches blondes qui éclairent sa chevelure caramel, un mignon grain de beauté sur le sourcil et un piercing sur la langue, ce qui aide pour les cunis, c’est sûr. Camille est mignonne comme tout, d’ailleurs elle a encore son chemisier noué autour de la taille et des chaussettes à imprimé, mais elle s’écarte sans résister face à leurs maîtresses à toutes. 
Dégoulinante de désir, Lucie remonte d’un coup sa robe courte au-dessus de sa taille et accroche son sex-toy fétiche aux sangles préinstallées. Il est plus épais que les autres, un peu moins long, et recouvert de petits bulbes mous que l’on sent très bien lorsque Richard, c’est ainsi qu’il est nommé, vous écarte les entrailles. Lucie, la robe flottante au-dessus de son nouveau pénis brillant, se présente à genoux devant une Alysson retournée sur le dos et encore pantelante. Pas besoin d’ordonner quoi que ce soit, la blonde plantureuse s’avance à quatre pattes et vient déposer ses lèvres autour de Richard. 
Camille commence à se toucher juste à côté de Lucie après l’avoir embrassée quelques secondes, alors que celle-ci entame directement d’amples allers retours dans la gorge d’Alysson. Les pans de sa robe viennent fouetter les joues de la blonde, sa tête est fermement tenue en place par les mains de la surveillante. Le bassin de cette dernière accélère un bon coup ses allers et venues entre ces lèvres rougies par la pression, puis s’écarte sans crie garde. 
Alysson reprend un peu ses esprits, vient récupérer sa salive sur le long de la verge à paillette qui vient de lui baiser furtivement la bouche, puis elle se redresse tant bien que mal pour rejoindre celle de Lucie. Les deux filles les plus plantureuses de la soirée, voire de l’établissement entier, s’échangent alors un long baiser, partageant leurs salives et celles de toutes leurs partenaires précédentes. La bouche de Lucie s’affaire autour de celle de son étudiante mais ses mains semblent déconnectées et pétrissent avec violence les gros seins d’Alysson. Cette dernière s’occupe de son cul pendant ce temps. Les deux se malaxent avec ferveur, cherchant peut-être à déshabiller encore plus l’autre en allant au-delà de la peau. 
Puis la blonde se retourne, soumise, se positionne à quatre pattes et se cambre tandis que la brune prépare son entrée fracassante. Lucie remonte un peu sa robe, écarte les jambes et se positionne au bon niveau entre les lèvres d’Alysson. Enfin, elle entre en un seul grand geste souple. La blonde pulpeuse gémit fort et très vite, les allers retours de Lucie étant brutaux et frénétiques. Comme en transe, cette dernière ne calcule pas son rythme et vient frapper jusqu’à la garde son Richard au fond d’Alysson. La petite brune essaye de supporter son rythme en s’agrippant de son mieux au cul bombé de sa soumise, mais elle ne peut résister aux obus de cette dernière et s’enfonce vite des deux mains entre les pans du chemisier grand ouvert. 
Camille n’ose pas interrompre cette danse épouvantablement sensuelle. Lucie démonte avec force la chatte qu’elle avait au bout de langue il y a peu, ses mains pétrissent deux énormes seins qui ballottent sous une Alysson épuisée et transie. La surveillante l’intimide, alors Camille se positionne du côté de la bouche du fourreau et glisse entre les lèvres à moitié ouvertes de la blonde un second jouet en silicone. Mais elle n’a pas le temps de profiter de ce superbe plan à trois, les mouvements de son idole sont interrompus par une quatrième présence. 

—      Bah alors, ma belle surveillante, on aime baiser mais pas se faire baiser ? —      Ahh, ahh, Cassandre ? Lucie a du mal à articuler entre ses soupirs d’épuisement —      Entre Graillou, Paul, Sasha, personne n’a le droit de s’enfoncer en toi, hein ? —      De quoi tu parles… attends qu’est-ce que tu fais… 

Lucie est interrompue par les lèvres de Cassandre plaquées avec force contre les siennes, elle tente pour se défendre de marmonner quelque chose mais la terminale est déjà partie à l’étape suivante. Alors que la surveillante est encore enfoncée jusqu’aux hanches dans Alysson, qui se repose d’ailleurs la joue contre le sol, le cul toujours cambré, la petite constellation de taches de rousseur et de malice soulève sa robe et fouille entre ses cuisses. Elle écarte les fesses tremblantes de Lucie, y glisse un doigt puis deux, agace l’ouverture de son anus, passe ses doigts à ses lèvres pour en goutter l’humidité et y approche une masse colossale. 
Avant que Lucie ne puisse protester elle se retrouve, sous la même allure qu’il y a instant, à pilonner Alysson avec sa queue bien épaisse. La principale différence, avec il y a un instant, étant que le mouvement ne part pas d’elle mais de Cassandre. Une queue plus longue et encore plus épaisse que son Richard adoré lui cisaille l’intérieur avec une brutalité enivrante, avec à son contrôle l’esprit fourbe et lubrique de Cassandre. Elle n’a même pas senti ce nouveau gode la pénétrer : toutes les sensations arrivent à son cerveau fondu par le plaisir en même temps. 
—      Ah… Ah… Ahh… attends, Lucie voudrait au moins souffler mais la terminale la tient fermement par les hanches —      Comment il s’appelle déjà ton gode ? Richard c’est ça ? Eh bah devine le nom du mien ? —      Ahhhh… Ahh.. Quoi ? De quoi tu parles ? —      Paul ! 
Sur cette note cruelle Cassandre donne un grand coup de boutoir dans Lucie, lui arrachant un cri de plaisir, et éjecte Alysson de leur baise à sens unique de plus en plus violente. Ce n’est pas trop grave : la blonde plantureuse a déjà joui depuis longtemps sous les précédents assauts de Lucie. 
Une fois Alysson et Camille retirées de son affaire, Cassandre peut se livrer à la punition qu’elle prévoyait sans aucune gêne. Les bras ballants et prise par derrière, Lucie tressaute, impuissante. Elle ne peut même pas s’appuyer sur le sol, en se mettant à quatre pattes, Cassandre la retient fermement par cheveux. Sans le savoir la terminale active un des points les plus sensibles de la surveillante, qui se fait facilement dominer quand on la tire par sa chevelure. 
Avec les cheveux de Lucie dans une main et une autre sur les hanches pour bien la tenir pendant qu’elle la baise, Cassandre poursuit son humiliation par le plaisir en mordillant de plus en plus fort les épaules et la nuque dégagée de la petite brune. Après avoir pénétré son fantasme quelques longues minutes la terminale ralentit pour finir de répliquer l’acte manqué auquel elle a assisté dans le couloir. Frustrée, Cassandre fantasme sur ce moment précis depuis des semaines entières. Toutes ces soirées passées à regarder des pucelles se goûter la chatte de loin, à voir Lucie dans sa robe sans même se mouiller sinon avec Sasha, elle les a endurées pour ce moment précis. 
D’un coup sec, sortant Lucie de sa courte pause, Cassandre baisse le haut de sa robe fluide et libère l’imposante poitrine qui lui fait tant d’effet, et reprend ses monumentaux coup de boutoir. Les seins de Lucie, ainsi arrachés de leur protection, rebondissent un peu en l’air avant d’être fermement agrippés par une étudiante débordant de désir et de rage. 
Cassandre pousse de ses hanches un peu plus et Lucie sent en elle la vingtaine de centimètres de « Paul » la remplir jusqu’aux étoiles, puis, alors qu’elle se croit tomber vers l’avant, la brune tachetée la retient et la ramène vers elle en appuyant fort sur ses seins. Entre deux coups de hanches l’étudiante prend parfois le temps de mordre une épaule ou de pincer un téton. Sinon, elle ne fait qu’écraser. Ecraser les fesses généreuses de Lucie contre ses hanches pointues, les entendre claquer, écraser cet énorme gourdin profondément à l’intérieur de cette surveillante si inaccessible, écraser ces seins arrogants l’un contre l’autre et les deux dans le creux de ses mains. 

A ce moment, Cassandre voudrait juste se décharger, la remplir de foutre, s’essuyer sur sa gueule parfaite et qu’elle lui lèche le gland. Mais Cassandre n’a pas de bite. Alors elle se contente de ce nouveau visage, rouge et couvert de sueur qui demande grâce, de cette voix aigue qui ne communique plus que par cris et gémissements sensuels. Cassandre voudrait poursuivre et l’achever mais le signal survient. 
Un rapide coup d’œil autour d’elle lui indique que les autres filles se sont rhabillées, godes à la main. Sasha est revenue et l’attend sur le palier du laboratoire. La lumière s’éteint, la prochaine étape du plan peut commencer.
Diffuse en direct !
Regarder son live