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Lucie : fantasme, surveillante et cupidon

Chapitre 8

Orgie / Partouze
Paul est sorti d’un rêve flou, dans lequel se battent des géants en costumes de pirate, par une vibration de son téléphone. Cela fait des semaine qu’il n’a pas reçu ce signal divin : un message de Lucie. Son sang circule un instant au ralenti, surpris par l’évènement, s’attarde un peu trop dans son bas ventre et finit par émerger dans son crâne. Elle ne l’a pas oublié. 
Le jeune homme hésite un peu avant d’ouvrir le message. Il pense à l’image que ça renverrait de lui si directement Lucie voit que son message est ouvert. Cela dirait de lui qu’il a attendu le message, bondi sur son téléphone, qu’il a pardonné l’humiliation et qu’elle peut le traiter comme elle veut, il revient au premier message. Ce n’est pas le cas, Paul est passé à autre chose. Mais il ouvre quand même le message, à peu près trente secondes après la douce vibration.     

—      Bah alors Lucie, on tient pas debout ? Cassandre s’étonne du manque de réactivité de sa conquête.  —      Elle a bien changé notre surveillante, notre fantasme absolu, répond Sasha, dépitée. 

Cassandre, encore nue et équipée de son gode ceinture, se retire d’un coup sec de l’antre de la fameuse surveillante et la laisse retomber mollement sur le sol du laboratoire. Le jouet en silicone est recouvert sur toute sa longueur des fluides corporels de cette dernière, Cassandre ne peut s’empêcher de venir recueillir un peu de cette mouille sur ses lèvres. 
Les deux terminales assistent à un spectacle nouveau. La jeune surveillante fait la loi dans le cœur et les slips d’une grande partie des terminales, voire de l’établissement tout entier, sans presque jamais céder une partie de son intimité à qui que ce soit. Les rares exceptions ont été écartées sans somation : Paul, Sasha et le professeur de physique chimie.
Et là, sous leurs yeux déçus et encore un poil excités, elle s’étend de tout son long, pantelante et trempée de sueur et de mouille. Sa robe si mignonne, qui met si bien en valeur sa peau blanche parfaite, sa taille et ses jambes est ramassée autour de ses hanches comme une vulgaire ceinture en chiffon. Ses jambes sont écartées, inertes, et à leur base ses fesses rougies semblent être passées sous un car de lycéens affamés de cul. Entre ses jambes on voit bien son con, tout aussi rouge, qui palpite et semble crier merci après avoir subi les assauts répétés et virulents du chibre de Cassandre. 
À cet instant cette dernière ne sait pas si Lucie a bien fini mais elle en a la respiration et les soubresauts. Son torse se soulève de manière irrégulière, écrasant par à-coups ses seins sur le carrelage. Le dos de la surveillante est d’ailleurs couvert de griffures et en s’approchant de la nuque, entre les cheveux trempés et éparpillés, on trouverait plusieurs suçons assez volumineux.  

—      Tu l’as pas ménagée hein. Tu l’as baisée combien de temps, chanceuse ? —      Même pas un quart d’heure, par contre j’ai tout mis dedans. —      Bon, c’est mon tour je suppose. On a pas beaucoup de temps, dit Sasha, avant de regarder furtivement dans le couloir. —      T’as raison, je vais en profiter pour me finir en vous regardant, moi…
—      … Bande de salopes… Quitte à me traiter comme une merde autant me finir. J’aurais honte à ta place Cassandre. 

Que Lucie reprenne assez de force pour répondre aux deux étudiantes, aussi vite, les surprend toutes les deux. Mais le sourire qui barre bientôt le visage de la petite brune pulpeuse, qui s’est retournée non sans difficulté, les aide à s’activer encore plus vite. 
Dans cette situation tendue Lucie n’a pas le temps de souffler et de s’endormir sur son plaisir. Cassandre et Sasha semblent particulièrement remontées contre elle, prêtes à la défoncer comme pas permis avec une rage qui l’effraye un peu. D’un autre côté, comme souvent dans l’esprit de la surveillante, l’envie de sexe et celle de goûter à l’interdit ou au risqué se côtoient dans son crâne embrumé de scénarios érotiques. Elle s’est refusé à Graillou juste avant la pénétration, à Paul aussi juste avant la pénétration, il est temps qu’elle se lâche. 
Alors la petite brune, après s’être retournée, écarte les jambes de son mieux, repousse quelques mèches de cheveux de ses lèvres, chope un de ses tétons qu’elle commence à triturer et vient masser son clitoris avec empressement. Très vite, les sensations provoquées par Cassandre dans l’étendue de ses parois internes lui reviennent et elle recommence à manifester vocalement son plaisir grandissant. 

—      Ahh… allez viens Sasha, viens récolter ce que tu mérites. 
Sasha, déjà séparée de sa robe argentée, se retrouve debout face à ce petit bout de paradis qui l’attend ouvert et gémissant. Contempler son amour sous cet angle, allongée en train de se toucher, lui suffirait amplement dans d’autres circonstances. Maintenant, elle lubrifie « Paul », le sex-toy de Cassandre, et s’apprête à s’enfoncer sans précaution dans sa chatte. La rencontre de ces deux corps si différents est particulière à voir de l’extérieur : l’une est grande et mate de peau, aux cheveux frisés brun clair et aux petits seins, petit cul, et l’autre est petite et aux cheveux presque noirs, aux gros seins et au fessier généreux. Pourtant elles s’accordent rapidement sur un rythme et bientôt leurs langues dansent ensemble, leurs hanches glissent en harmonie et leurs gémissements ne font vite plus qu’un.  La grande brune originaire d’Egypte pénètre sans difficulté le vagin bien préparé de Lucie, elle varie les mouvements de bassin et fouille chacun de ses recoins avec minutie. Le gode qu’elle a autour de la taille est positionné parfaitement pour qu’à chacun de ses mouvements le jouet vienne aussi la stimuler. Les lèvres de Lucie sont avides, sa langue farouche, ses petites mains ne ménagent pas les fesses de son étudiante en les griffant, en les pressant, et ses seins sont divins. Parfois Sasha se retire de leur long baiser pour venir les cajoler, en mordiller les tétons et les suçoter bruyamment, mais elle revient toujours à cette gueule d’ange pour continuer à l’embrasser. 
Lucie est plus bruyante que tout à l’heure avec Cassandre, mais ne semble pas s’approcher de l’orgasme tant attendu pour autant. Sasha ne contrôle pas complètement ce faux sexe en silicone, ça la dérange un peu, elle se sent coincée et appelle donc son amie Cassandre pour un peu de soutien. 

—      Ca y est tu t’es assez amusée ? Répond Cassandre, surprise —      Non… mais je pense qu’on devrait la prendre à deux maintenant. —      Pardon ?? répond Lucie, surprise par ce nouveau retournement de situation. 
Avant qu’elle ne puisse protester Cassandre vient, encore une fois, la faire taire en collant sauvagement sa bouche contre la sienne. Il ne faut pas attendre longtemps avant que Lucie cesse de répondre et rentre dans le jeu de la belle brune tachetée. Cette dernière, positionnée au-dessus de sa tête toujours contre le sol, déverse entre ses lèvres un torrent de salive mené par une langue qu’elle enfonce intégralement dans sa petite bouche. Sa langue fait de grandes rondes, chasse celle de Lucie et la capture pour la relâcher brièvement, comme le ferait un chat avec un petit rongeur. De ses mains Cassandre repart à l’assaut de seins de Lucie, dont elle n’a pas encore assez jouis, et les triture, les malaxe avec brutalité. De temps en temps elle les claque comme on fesserait un beau cul bien rebondi, les faisant dodeliner un peu, et se contracter Lucie sous la décharge et la surprise. 
Sasha, de son côté, a remonté les jambes de Lucie et les tient fermement pour pouvoir accélérer ses allers et venues dans son vagin bien inondé. Elle regrette de ne pas pouvoir profiter de l’entièreté du corps de son fantasme seule, mais la voir aussi soumise duplique son excitation. 
Après être partie chercher un autre godemichet, Cassandre fait un signe à son amie et toutes les deux tournent Lucie de côté. Sasha peut s’enfoncer en ciseaux entre ses jambes, tenant une de ses cuisses fuselées en l’air, et libérant l’accès aux parties supérieures de sa vulve. Cette nouvelle position lui permet de s’enfoncer encore un peu plus loin en elle, et de s’attaquer à son clitoris à l’aide d’un de ses pouces. Très vite la surveillante répond favorablement et reprend des gémissements nettement plus forts. 
Alors que Lucie veut lever la tête pour regarder Sasha dans les yeux et souffler un peu, Cassandre lui attrape la tête et colle contre sa bouche l’extrémité de son gode. Sans lui laisser le temps de goûter la verge elle s’enfonce d’un bon coup entre ses lèvres pulpeuses. Les deux terminales trouvent alors un nouveau rythme de croisière qui semble satisfaire tout le monde : 
Sasha enfonce intégralement « Paul » dans la chatte de Lucie, qui est allongée sur le côté, tenant fermement sa cuisse levée d’un bras et venant tour à tour lui claquer le cul de l’autre main, ou alors lui masser le clitoris énergiquement. Parfois, elle revient se caresser elle-même mais la tentation de finir sa surveillante la rappelle au devoir. 
Cassandre laisse son bras droit pilonner la bouche de Lucie en mode automatique, tandis que ses lèvres et son autre main sont occupés à mordre et sucer les deux énormes seins de Lucie qui ballottent au rythme de Sasha. Les deux sphères sont très bien tenus en temps normal, même sans soutien elles gardent une forme ronde et ne semblent pas souffrir de la gravité. Mais dans cette position, de biais, ils se cognent l’un contre l’autre et s’allongent ou rebondissent de façon chaotique. Cassandre vient se nourrir de ce chaos et enfonce toute sa tête au sein de sa poitrine volumineuse et rougie par les assauts. 
Lucie de son côté est complètement submergée d’informations. Elle voudrait gémir et crier son plaisir mais une bonne dizaine de centimètres invalident sa langue et remplissent sa bouche jusqu’à la gorge. Elle voudrait répondre aux coups de boutoir de Sasha mais elle est tenue trop fermement par les cuisses, les cheveux ou mêmes les seins. Partout elle est bloquée, condamnée à suffoquer dans son propre plaisir. D’ailleurs, ce sont bientôt des flaques entières qui se créent sous elle, une sous ses hanches, une sous sa bouche qui coule le long de la bite au bout du bras de Cassandre. Lucie en vient à oublier par instants ce qu’elle fait là, est-ce que ces bites sont réelles, pourquoi elle a envoyé un message à Paul après avoir quitté Sasha la veille, et pourquoi des gens parlent. Des gens parlent ? Et pas que des voix féminines. 

—      Oh le joli morceau. —      Merci de nous avoir préparé le terrain les filles, vous pouvez nous laisser maintenant. —      Je ne crois pas Gabriel, tous ensemble ou rien. —      J’ai peut-être mon mot à dire, non ? La surveillante surprend la petite assemblée de terminales en se joignant à la conversation. 
Entre deux quintes de toux, les jambes qui tremblent comme des arbres sous tempête, Lucie parvient à se dégager de l’emprise de Sasha et a vidé sa bouche de la queue enfoncée par Cassandre. En quelques gestes maladroits, par miracle presque, elle parvient à remonter le haut de sa robe pour couvrir ses seins et à en baisser les pans pour couvrir sa vulve et les longues traces de mouille qui recouvrent ses cuisses comme des rayures. C’est donc plus ou moins vêtue qu’elle se redresse devant Gabriel et Mathieu, les deux terminales invités à la dernière soirée mixte en compagnie de Paul dans ce même laboratoire. Elle se souvient des avances ratées de Mathieu quand ils sont partis fumer, et de l’imposante musculature de Gabriel, mais pas de les avoir invités ce soir. 

—      C’est quoi ce bordel Cassandre, Sasha ? Barrez vous les mecs, merde ! Je vais tous vous éclater ! —      C’est de ma faute, dit Sasha après s’être aussi redressée mais pas rhabillée. Après notre discussion de tout à l’heure j’ai craqué, je leur ai tout raconté. Je leur ai dit qu’on baisait toutes dans le labo et je me suis dit que les faire venir pourrait pimenter la soirée… 
Sasha prend un masque honteux et doux pour essayer de convaincre Lucie de ne pas être trop dure avec eux, ce qui ne devrait pas marcher du tout en temps normal. Mais Lucie a encore le cerveau entre ses cuisses, et, au milieu de tout son maquillage qui a bavé sous les nombreux assauts de ses différentes partenaires, ses yeux démontrent une faiblesse de volonté certaine. C’est Cassandre qui revient à la charge pour achever ses dernières barrières morales : 
—      Elle te dit de la merde, jolie Lucie, on prévoyait déjà de les ramener. En même temps une soirée gode entre filles c’est rigolo, mais c’est seulement avec de vraies queues qu’on se serait faites grimper les unes les autres. Et puis ils nous ont promis qu’on pourrait les enculer si on te les offre sur un plateau d’argent. Cassandre prend la parole sans gêne, alors qu’elle fait mine de masturber le gode dans sa main. —      Après… commence Mathieu, si c’est non c’est non hein. On est des gentils nous. Si on peut baiser avec toi c’est seulement si tu le veux bien… 

Gabriel doit se retenir de ne pas frapper son suppléant, ce n’est pas la bonne méthode. Il voit aussi que Lucie pourrait craquer, mais ce n’est pas en se soumettant qu’elle cèdera. Alors il prend les choses en main et attrape la tête de Sasha entre ses mains puissantes, puis enfonce entre ses lèvres dociles sa langue virile. La déléguée des terminales filles se laisse facilement embarquer par le délégué des garçons, elle l’aide à se déshabiller et a bientôt en main son chibre épais, une fois débarrassée du sien en silicone. 
Sous les yeux ébahis de Lucie, Gabriel invite Sasha à se mettre à genoux et de commencer à le sucer. Sous leur exemple, Cassandre s’attaque à Mathieu et se met à l’embrasser tout en le branlant énergiquement. 
Lucie doit alors faire un choix : fermer la porte en partant et dormir sur sa frustration ou prendre part au combat et recevoir enfin un dénouement à toute cette soirée de baises sauvages. La sensation d’une véritable queue dans son corps lui manque terriblement. Elle en a côtoyées trop sans rien en faire sinon mettre le feu à ses pulsions. Entre celle de Graillou et celle de Paul, celles qu’elle devine sous les pantalons tendus des professeurs en conseil de classe et celles des élèves quand elle passe ramasser les copies, elle est entourée de désirs sans jamais satisfaire les siens. Perdue dans ses pensées elle n’a pas remarqué l’évolution de la situation autour d’elle : Sasha se fait maintenant pilonner en levrette par Gabriel, elle a la bouche grande ouverte et n’étouffe pas du tout de grands cris de jouissance. Cassandre se fait aussi prendre par derrière par Mathieu, et redressée, elle embrasse Gabriel à pleine bouche. Ils sont tous occupés pourtant en détaillant leurs corps musclés, la sueur qui s’empare de leurs peaux ou les contours de leur beauté, Lucie remarque que tous la fixent du coin de l’œil. Ils attendent sa décision.
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