Nous nous endormons après cette soirée quelque peu mouvementée, mais pleine de plaisir.
Je me réveille le premier, après avoir bien récupéré des efforts de la veille. Déjà excité et mon sexe déjà en érection, je décide de réveiller Lucie très délicatement. Elle avait décidé la veille de dormir nue, ce qui me rend bien service ce matin. Je me glisse directement sous la couette, et écarte doucement ses cuisses pour pouvoir me glisser entre. J’approche ma bouche de son entrejambe et commence par embrasser ses cuisses en me rapprochant de son sexe. C’est alors que je la sens se réveiller. Je continue de l’embrasser, jusqu’à atteindre sa chatte. J’humidifie ma bouche de salive avant de passer sur ses lèvres. Je donne ensuite de légers coups de langue tout autour de son sexe ainsi que sur ses lèvres, alors même que je sens ses mains glisser sous la couette jusqu’à atteindre mon visage. Elle passe ses mains douces sur mon visage, dans mes cheveux, sur mon cou, mes épaules, tandis que j’écarte ses lèvres avec ma langue. J’approche ensuite ma bouche de son clitoris, que j’aspire rapidement tout en passant ma langue de plus en plus rapidement dessus. Comme la veille, je sens Lucie se tortiller et approcher de l’orgasme, et en seulement quelques minutes, elle saisit ma tête, appuie intensément dessus pour plaquer mon visage contre sa chatte trempée, alors que je continue de la lécher rapidement.
Après avoir joui, elle reste allongée sur le dos, à peine réveillée, et profite du moment intense qu’elle vient de passer. Alors je décide de passer rapidement à la suite, je récupère un préservatif que j’enfile, me positionne au-dessus d’elle, commence à l’embrasser, avant de la pénétrer en missionnaire. Je commence par des mouvements lents tout en l’embrassant, alors qu’elle passe ses mains dans mon dos, et rapidement, en entendant son souffle accélérer et s’intensifier, j’accélère également la pénétration. Elle pose alors ses mains sur mes fesses, alors que je continue de la pénétrer de plus en plus rapidement. Après deux minutes de pénétration, elle m’attrape par le cou pour approcher ma tête de la sienne, et me glisse à l’oreille: "Je veux que tu me prennes par derrière..." — Tu es sûre ?— Oui, je veux essayer avec toi.— OK, je reviens alors.
Je me lève pour aller chercher le tube de lubrifiant dans mon sac. Je reviens et pose le tube sur le lit. Je sens Lucie un peu stressée, alors je lui demande de se positionner en levrette comme la veille, le dos bien cambré et les fesses vers l’arrière. Je m’approche d’elle, et dépose sur mes doigts un peu de salive, avant de l’étaler très délicatement au niveau de son anus. Je sens qu’elle est toujours un peu anxieuse, alors pour la détendre, je commence par faire de petits cercles avec mes doigts autour de son trou. Pendant quelques secondes, je répète ce mouvement avant d’essayer d’introduire seulement une phalange de mon index pour commencer à l’habituer à la pénétration. Au bout de quelques essais, elle commence à se détendre un tout petit peu. Je prends alors le tube de lubrifiant, écarte un peu son anus et en verse généreusement dessus. Je recommence alors en essayant de faire pénétrer mon doigt de plus en plus. Après avoir réussi à faire pénétrer plusieurs fois mon index entier, je décide d’essayer avec ma verge.Je remets une certaine quantité de lubrifiant que j’étale le long de la capote que j’avais gardée, puis je m’approche de son cul, positionne mon gland au niveau de son anus, et commence à pousser tout doucement. Au fur et à mesure, je sens Lucie prendre confiance, et alors que mon gland s’insère dans son anus, je fais quelques aller-retour uniquement avec le bout de mon sexe pour l’habituer tranquillement à la pénétration. J’avoue que je commence à bouillir et à avoir envie de la pénétrer sauvagement, mais je sais qu’il est important de prendre son temps. Petit à petit, je m’insère en elle de plus en plus profondément. Elle semble réagir plutôt bien à la pénétration, alors je continue, toujours lentement. Après quelques minutes comme cela, j’arrive à présent à la pénétrer avec la quasi-totalité de ma bite, elle me dit alors: "Tu peux accélérer un peu". Ravi de ses mots, je la saisis alors par les fesses et commence à accélérer la pénétration. À chaque mouvement, j’essaie de faire pénétrer ma verge jusqu’à sentir ses fesses sur la base de mon pénis. Je vais de plus en plus vite à mesure que je l’entends gémir, d’abord doucement puis de plus en plus bruyamment. Elle semble apprécier ce moment. Je prends un pied incroyable, cette sensation de resserrement autour de ma bite est jouissive, et après quelques minutes très intenses à la pénétrer sauvagement, je finis par jouir en elle, alors même que mon sexe est complètement absorbé par son cul rempli de lubrifiant.
Je me retire, enlève la capote que je jette à la poubelle, tandis que Lucie s’écroule sur le matelas, visiblement encore sous l’émotion de ce qu’il venait de se passer. Je m’approche alors et m’allonge à côté d’elle, l’embrasse, puis elle me dit: — J’avais un peu peur au début, mais c’était trop bon ! Merci d’avoir été si doux, j’ai adoré te sentir derrière !— J’ai pris mon pied moi aussi, je me sentais bien dans ton petit cul pour jouir.— Tu mérites des remerciements à la hauteur de ce que tu m’as fait découvrir quand même !
Elle se lève alors du lit, ouvre le tiroir de sa commode, et en ressort une cordelette noire. Un peu perplexe, je lui demande: — Tu comptes faire quoi avec ça ?— Tu m’as dit n’avoir jamais essayé, alors je vais t’attacher, je veux que tu sois à moi, je veux te voir à ma merci, pouvoir te toucher, te caresser, te branler, te sucer, te chevaucher, sans que tu puisses bouger... Et te faire jouir quand JE le veux et comme JE le veux sans que tu aies le moindre contrôle.
Elle s’approche m’embrasse et commence à m’attacher les mains...
