Lucie n’a jamais eu l’occasion de se balader nue chez elle. Du moins pas depuis qu’elle a eu 3 ans. Mais bon, elle est seule. Elle se déshabille, enlève le rosebud et prend un bain. Elle se détend, essayant d’oublier ces expériences avilissantes. Elle se sèche et reste dans le plus simple appareil. Ca lui fait tout drôle de parcourir la maison ainsi. Ces parents ne devraient pas rentrer avant minuit. Thomas, lui, ne devrait pas rentrer du tout. Le soleil se couche et c’est là qu’elle s’aperçoit que si l’un des voisins guette vers la maison, il la verra facilement à travers les grandes baies vitrées. Elle s’isole dans la cuisine, moins visible de l’extérieur. Sa mère lui a préparé des lasagnes maison. Elle avale la moitié de l’énorme plat. Lucie repart dans sa chambre et navigue sur quelques sites classés X. La moiteur de sa peau contre son siège de bureau en cuir la stimule, elle se touche. Vers 22 heures, un nouveau mail.-----Expéditeur : lycée-st-joseph@lsj.comObjet : Ce soir J’espère que ta tenue te plait. Tu va profiter de ton excitation actuelle pour prendre ton nouveau god. Installe-le sur la table basse du salon et empale toi dessus. Attention : interdiction de jouir. Kleenex interdits aussi. Prend des photos, çà me fera des souvenirs.Durée : minimum 15 minutes M. Exes----- Lucie descend au salon, engin en main, frustrée de ne pouvoir continuer de surfer. Elle le claque sur la table, vérifie qu’il se tient bien. La table est carrelée donc la ventouse adhère parfaitement. Elle enduit le jouet de gel ainsi que ses lèvres. Elle est déjà bien ouverte. Sa jambe droite posée sur la table, l’autre au sol, elle descend lentement, profitant des sensations fantastiques que lui procure cette introduction. Les aller retours se poursuivent, lorsqu’elle est sur le point de jouir, elle ralentit les mouvements. Des crampes se font sentir, elle change de position et s’agenouille sur la table puis continue l’exercice. Elle surveille les alentours. Si quelqu’un la voyait, ce serait horrible, sa famille, ses amis… Au bout de 15 minutes, elle n’en peut plus. Elle descend de la table et étale le reste de gel et le produit de sa jouissance sur ses cuisses. Comme elle n’a pas le droit aux mouchoirs, elle suce avidement le god pour le débarrasser de sa mouille. La table aussi est mouillée, elle se met à genoux au sol et entreprend de nettoyer avec sa langue. Elle prend du plaisir à gouter son jus intime. Pendant ce temps, son téléphone, posé sur le bar, prend des photos toutes les 30 secondes. Elle remballe l’attirail puis le range dans sa chambre. Elle envoie les 2 photos les moins compromettantes possibles à son bourreau. Il est 22h30. Elle décide de redescendre regarder la télé. En zappant, elle atterrit sur un film érotique des années 80 mais sa frustration la pousse à continuer de regarder. Ce n’est qu’une heure plus tard qu’elle est réveillée par un bruit de porte. C’est Thomas, son frère et un pote à lui qui viennent finir la soirée à la maison. Elle n’a pas le temps de se glisser sous le plaid…— « Qu’est-ce que tu fou à poil sur le canapé maintenant ? » gueule Thomas— « C’est que…. Tu ne devais pas rentrer maintenant et je n’arrivais pas à dormir » dit elle en se cachant rapidement.— « T’as vraiment des soucis toi en ce moment. En plus les volets sont grands ouverts, la lumière allumée ! T’es sure que t’es toute seule »— « Mais oui, je vais retourner me coucher, bonne nuit », elle s’enroule dans son plaid et monte dans sa chambre.
— «On aurait dus être plus silencieux, elle a l’air pas mal ta sœur Thomas ! » lui dit son pote— « Tu te calmes, c’est ma sœur comme tu viens de le dire ! »Lucie, honteuse, ferme la porte à double tour. -----Expéditeur : lycée-st-joseph@lsj.comObjet : Ce soir Tu aurais pu faire mieux en cadrage. Mais c’est un début. Je suis sur que tu es frustrée de n’avoir pu jouir ce soir. Je vais te faire un cadeau. Tu as le droit de jouir mais à condition que ton god soit autre part en toi que dans ta chatte. M. Exes----- Lucie répondit que suite à ce qu’elle venait de vivre, avec son frère qui l’a trouvée nue lui avait coupé toute envie pour aujourd’hui. -----Expéditeur : lycée-st-joseph@lsj.comObjet : Mercredi Très bien, tant pis pour toi, tu n’auras pas souvent l’occasion de jouir.De plus, voici ton nouveau défi pour demain. Tu va demander à aller à l’infirmerie pour des maux de ventre. Fait en sorte d’être accompagné par un garçon. M. Exes----- Ce n’est que le lendemain en s’habillant qu’elle se rend compte de la honte qu’elle va avoir devant le médecin de l’école. S’il lui demande d’enlever son maillot, il s’apercevra qu’elle ne porte rien dessous. Pour qui va-t-il la prendre. C’est durant le cours de maths de 10h qu’elle se décide à demander à sortir. Le prof demande au meilleur élève de la classe, Sylvain d’accompagner Lucie jusqu’à l’infirmerie. Ce dernier ne se fait pas prier, lui demande si elle veut qu’il la soutienne le temps de la route mais elle refuse. Arrivés à l’infirmerie, Lucie passe dans le cabinet du médecin.— « Que t’arrive-t-il Lucie ? » demande le médecin, grisonnant, la cinquantaine.— « Rien de grave, j’ai juste un peu mal au ventre, il me faudrait un cachet »— « Très bien, mais je vais d’abord t’ausculter. Enlève ton T-shirt s’il te plait et allonge toi ». Lucie le relève jusqu’au dessus de son nombril et s’installe sur le dos. Le médecin palpe son ventre puis, ne sentant rien, baisse légèrement le pantalon.Lucie est stressée qu’il découvre sa nudité mais en même temps, elle apprécie les douces mains du médecin. Le bas de son ventre se réchauffe, inconsciemment, elle aimerait qu’il aille plus loin. Ce doit être l’uniforme qui l’attire. — « Rien d’anormal Lucie, surement une indigestion. Qu’as-tu mangé hier soir ?» lui demande t’il.— « Lasagnes, une bonne part ! »— « Je vais juste te donner un cachet, çà va passer. »— « Merci docteur. » puis elle se redresse pour partir— « Lucie, une dernière question. » l’arrête t’il.— « Oui Monsieur ? »— « Pour quelle raison viens tu dans mon cabinet sans sous vêtements ? Un problème ? »— Lucie reste figée « … excusez moi… c’est que… » puis elle finit par réussir à dire « C’est un gage, rien de plus »— « Tu subis un harcèlement de la part de tes camarades ? » l’interroge le doc.— « Non,non » pleure t’elle, « c’est juste un jeu »— « Alors pourquoi pleures-tu ? »— « C’est juste que je croyais que vous ne le verrai pas »— « Ce sera notre secret alors. Allez retourne en cours ». A bientôtElle vient de sortir et Sylvain la questionne timidement.— « Qu’est ce qu’il t’arrive, pourquoi tu as les yeux rouges Lucie ? »— « C’est rien, j’ai juste mal. » ment elle.Fin du cours de maths, Matthieu et Julien s’approchent de Lucie. Ils lui demandent de la suivre, tout d’abord, elle refuse.— « Tu es sure ? » lui dit Matthieu tout en affichant la photo des sextoys.— « Ok c’est bon çà va, je vous suis ». Ils l’emmenèrent dans les toilettes hommes.— « Alors, c’est pour t’entrainer à la sodomie que tu t’es achetée tout çà ? » dit Julien— « Arrêtez de m’emmerder, c’est juste un jeu avec mon copain » dit elle en repoussant Julien qui se colle à elle.— « Oui c’est çà, tu veux juste nous allumer et après plus rien. Ca ne marche pas comme çà avec nous. Si tu ne veux pas que ta collection soit affichée dans le lycée, je te conseille de nous faire plaisir. »— Matthieu reprend les choses en main « Maintenant, à poil. On t’a tripoté dans l’eau mais on n’a pas eu l’occasion de te voir complètement. »— « Pas ici, quelqu’un peut rentrer. Et puis non, pas question ». leur dit Lucie. Julien ressort alors le téléphone de sa poche et s’apprête à transférer la photo par mail.— « C’est bon arrêtes ! Je vais le faire. » Elle retire nonchalamment son T-shirt, exposant ainsi à leur vue ses seins dressés. Matthieu la plaque, les seins contre le mur et colle sa virilité contre ses fesses. Ensuite, il s’accroupit et attrape le pantalon à la taille puis le fait glisser le long de ses jambes fuselées. Il embrasse les fesses charnues de Lucie, les lèche et les mordille. Il lui soulève une jambe puis l’autre. La voilà nue, en pleine lumière, dans les toilettes des hommes, dans son lycée. Elle peut enfin se décoller du mur froid, ses tétons pointent au maximum suite à ce contact. Les garçons la caresse sans douceur, lui pincent les seins, glissent leurs doigts devant, derrière. Julien, après lui avoir mis deux doigts, les porte à la bouche de Lucie qui n’a d’autre choix que de gouter son propre jus. « Elle est chaude dis donc ! »dis Julien à Matthieu« Je vais lui faire gouter autre chose. A genoux ! ». Lucie comprend de suite ce qu’ils attendent. Elle s’agenouille et ouvre les braguettes de ses camarades.Elle commence par les branler lentement, ils sont déjà très durs et elle espère que çà suffisent à leur faire lâcher la semence.— « Tu vas pas nous avoir comme çà, suce salope. » dit Julien en l’attrapant par les cheveux. Il force la bouche de Lucie, enfonçant son gland violacé au fond de sa gorge. Elle n’est plus maitre de ses mouvements, il se la passe tel un vulgaire objet, de bite en bite, tirée par les cheveux. A chaque coup de butoir, elle semble s’étouffer. Sa bave coule car elle n’a pas le temps de ravaler. Après quelques minutes qui lui parurent des heures, ils la repoussent en arrière et se branlent au dessus de son visage. Julien et Matthieu ne s’étaient pas vidés depuis longtemps. Quand Lucie les voit décharger, elle en prend plein le visage, les seins et les cuisses. Alors qu’elle se frotte les yeux, Julien se dépêche d’attraper son téléphone et prend une photo. Lucie ne s’en rend pas compte. Ils relèvent vite fait leur pantalon et sortent des toilettes. Lucie se relève, il faut faire vite avant que quelqu’un entre se dit elle. Dans sa malchance, elle ne trouve pas de papier, elle étale donc le sperme sur sa peau, sur son visage, sur ses seins, son ventre, ses cuisses mais la quantité est énorme. Elle finit donc par lécher le trop plein restant sur ses mains, elle enfile ses vêtements, ils lui collent à la peau, elle se sent poisseuse et l’odeur est forte. Lorsqu’elle sort des WC, Sylvain y entre. Elle lui explique sans convictions qu’il n’y avait plus de place chez les femmes. Sylvain étonné, la voit justement partir en direction des WC dames. Lucie se sèche autant que possible la peau mais l’odeur lui reste dans les narines. Pendant toute l’après midi de cours, les 2 compères la regardent en riant et zieutent leur téléphone sous la table. Qu’allait il encore lui arriver se demande t’elle….
