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Lucie, mon premier Gangbang

Chapitre 2

suite et correction fautes

Avec plusieurs hommes
Note pour les administrateurs : j’ai corrigé les fautes d’orthographe, amélioré certains passages, et rajouté une suite, ce n’est donc pas un nouveau chapitre, mais comme je ne sais pas comment modifier mon histoire, je vous envoie le nouveau texte.
PS Un second volet est en cours

***

Arrivée dans l’immeuble, je commençais à ressentir des petites fourmis dans le bas-ventre, peut-être l’excitation qui s’intensifiait, mêlée à l’appréhension que j’éprouvais à faire, ce que j’étais sur le point de me livrer à faire. Nous prîmes les escaliers, ce qui faisait bouger mon gode anal à chaque marche. Monsieur M le savait bien et c’était dans cette perverse, mais combien excitante, situation que je le laissais me guider en silence. Presque tout en haut, nous nous arrêtâmes devant une porte en métal blanc munie d’une poignée à clé magnétique comme on en trouve dans les grands hôtels.
Alors, ma belle, ça y est, si tu franchis cette porte, plus moyen de faire marche arrière.Monsieur M inséra sa carte dans la fente qui servait de serrure et ouvrit la porte, m’invitant à entrer. La pièce qui se révélait devant moi était spacieuse et luxueuse. Un bar en bois s’ouvrait sur un grand living-room qui comportait plusieurs petits espaces cosys en contrebas, le tout cerné par une immense baie vitrée d’où on pouvait avoir une magnifique vue sur les toits de la ville.
Un peu hésitante, je finis par rentrer et fus tout de suite soulagée de voir que nous étions seuls.Monsieur M me fit faire le tour des lieux. La salle de bain était gigantesque et la chambre comportait un grand miroir, un lit king-size d’au moins 3m sur 2 ainsi que deux poufs et un sofa.
— Il est 18h ma chérie, les autres vont bientôt arriver...
Il m’attira vers lui et m’embrassa en passant sa main entre mes cuisses
— Tu mouilles ma petite salope !
Je me laissais faire jusqu’à ce qu’il se retire de mes lèvres pour lui administrer une petite tape sur la joue.«Je t’ai dit que je n’aimais pas que tu m’appelles comme ça... c’est dénigrant !«Ha bon, mais c’est pourtant ce que tu es ma grande, regarde-toi en face, tu n’es pas venu ici par hasard non ?»C’est vrai, sur ce point, il n’avait pas tort. Maintenant que j’étais ici, il fallait que j’assume. J’aime le sexe et l’attitude dominatrice qu’exerce Monsieur M sur moi, ça ne fait aucun doute. J’ai un peu honte de l’admettre, mais je regarde des pornos aussi, seulement là, c’est moi qui allais être dans le rôle principal. Je m’apprêtais à passer tout le week-end dans cette suite comme poupée sexuelle.
— Combien de personnes viennent ce soir ?— Pourquoi veux-tu absolument savoir ? Ça fait trois fois que tu me demandes et trois fois que je te dis que tu verras bien, c’est une surprise ! Assez pour te rassasier en tout cas, ne t’en fais pas !
On s’était mis d’accord, je devais faire un marathon sexuel. Nous allions passer tout le week-end dans une suite et j’allais être baisée par des inconnus, mais ils devaient tous être jeunes et beaux. Je croisais les doigts pour que ce soit vraiment le cas, mais de toute façon, je n’avais plus le choix, je ne pouvais plus faire marche arrière, car déjà, des bruits dans le couloir précédèrent l’arrivée de trois hommes.Monsieur M se chargea des présentations. J’étais agréablement surprise de voir qu’il n’avait pas manqué à son devoir. Physiquement parlant, les trois arrivants me plaisaient vraiment beaucoup.Ils m’embrassèrent en guise de salutation tout en me palpant les fesses et les seins comme on teste un fruit au toucher et à l’odeur pour en apprécier les saveurs avant de le croquer.
— Mais c’est une véritable bombe sexuelle que tu nous as ramenée là, Max.— Ohlala, regarde-moi ce corps ! — Oui, un vrai petit bonbon ! Je bande déjà comme un âne.— C’est fou, moi aussi.
Je sais que je suis très excitante, j’ai 20 ans, mes fesses et mes seins sont bien fermes. J’ai une belle poitrine, pas très grosse, mais assez pour tenir dans des mains généreuses. On m’a même souvent demandé si je me l’étais fait refaire, mais non, ce sont bien mes seins naturels. Je ne suis pas très grande 1,65 pour environ 52 kilos., mais mon petit cul est bien rebondi, mes jambes et mes bras sont fins.
— Ho, mais elle a pris de l’avance ! remarqua un des trois en faisant allusion à mon gode anal qu’on pouvait sentir et qui formait un relief sur le derrière de mon minishort en jeans.
Ça faisait maintenant 7 h que je portais ce gode en moi et je m’y étais complètement habitué au point de l’oublier par moments quand je ne bougeais plus. Je me mis à rougir. Je m’efforçais de cacher la pudeur qui, malgré moi, me faisait me sentir mal à l’aise. Je devais absolument faire abstraction de ce qu’on pouvait penser de moi afin de me libérer complètement à mes fantasmes.
— Bon allez, un petit cocktail pour tout le monde ! Allez vous détendre, je vous apporte ça !
Monsieur M se dirigea derrière le bar, tandis que je partais m’installer sur un des sofas avec mes trois cavaliers. Très vite, je me suis retrouvé seins nus et caressée par plusieurs mains alors que Monsieur M apportait des gins tonics dans de grands verres à ballon. J’étais de plus en plus excitée et l’alcool m’aida à me désinhiber complètement. J’avais déjà fait un plan à 3, mais jamais plus de 2 partenaires et voilà que j’avais le double à satisfaire. Au bout de quelques minutes, je me retrouvais entièrement nue, en train de sucer une bite et d’en branler deux autres.
C’est alors que du bruit dans le couloir se fit entendre et quelques instants plus tard, la porte de l’appartement s’ouvrit pour laisser entrer une dizaine de personnes.Surprise, j’eus comme premier réflexe de me redresser et de me cacher les seins avec mes bras. Je ne m’attendais vraiment pas à ça... Monsieur M m’avait bien dit que ce serait une sorte de Gang bang party, mais je ne pensais pas du tout à voir débarquer tant de monde... Seulement quatre ou cinq personnes auraient suffi.
— Hé bien, je vois que vous ne nous avez pas attendus !— Ben voyons... — ... Ca va ?...— ... Et toi ?...— ...
En quelques secondes, c’était l’effervescence. Les nouveaux arrivants avaient l’air de tous se connaître et de bien s’apprécier. Apparemment, j’étais la seule à ne connaître personne excepté Monsieur M, et je me sentis bizarrement le centre de tous les regards.A voir le sourire ravi que chacun exprimait à mon encontre, je devais avoir l’air appétissante, car déjà plusieurs hommes se mirent torse nu et vinrent nous rejoindre.
— Et alors t’es timide ?
Sans m’en rendre compte, j’étais restée les bras croisés sur mes seins et un des hommes me prit délicatement les poignets pour m’ouvrir les bras tandis qu’un autre me caressait le ventre.
J’émis de petits gémissements en guise de réponse et m’efforçais de me relâcher. Je sentis plusieurs mains parcourir mon corps et écarter doucement mes cuisses. Je me laissais tomber sur le dos alors que la sensation d’une bouche humide venant parcourir mon sexe épilé me fit frissonner.
Ça y est, c’était parti, j’avais une demi-douzaine d’hommes autour de moi, les autres restaient en retrait à discuter et à regarder. J’ouvris la bouche pour accepter une belle queue bien raide pendant que je me faisais titiller le clito à coups de langue. Mes tétons commencèrent à devenir plus durs et plus sensibles. Je sentais que je montais vite et je devais faire attention à contenir mon excitation pour ne pas venir trop vite. Je savais que si je jouissais pendant qu’il me faisait un cunni, mon clito allait devenir trop sensible et que le contact prolongé sur mon petit bouton allait finir par devenir désagréable.
Je me concentrais donc sur ma bouche, pour que mes lèvres et ma langue guident au mieux les va-et-vient de la belle queue qui s’attelait à la tâche. Puis un autre homme prit sa place, et les queues commencèrent à s’enchaîner les unes après les autres dans ma bouche. Ça devenait de plus en plus difficile de garder le contrôle et heureusement que le type qui s’occupait de mon sexe finit par se relever, car je commençais à sentir mon sphincter anal qui tentait de se refermer par petits spasmes. Il me souleva pour me remettre à genoux en position verticale pendant qu’un autre me retirait mon gode pour se mettre sous moi en appuyant son gland sur mon anus.
La sensation de vide ne dura pas bien longtemps. Sa bite entra très facilement et il poussa un gémissement de plaisir quand ses bourses vinrent se caler contre mon périnée. Il faut dire que le gode que j’avais porté toute la journée m’avait bien préparée, j’allais pouvoir avoir des rapports anaux sans problèmes.
— Hummm... Han... Han...
Il m’enlaça de ses bras et me plaqua à plat dos sur lui. Je commençais à gémir de plus en plus fort quand un type me fit basculer la tête en arrière et m’enfonça sa queue jusqu’à buter contre mon aluette. Dans cette position, sa bite rentrait déjà au ¾ dans ma bouche et me bloquait la respiration. Les mains en collier sur mon coup, agrippées sous ma mâchoire, il s’amusait à rester de plus en plus longtemps au fond de ma gorge avant de se retirer à moitié pour me laisser respirer et revenir de plus belle. Puis dans un effort un peu plus poussé, il força le passage avec son gland pour enfoncer sa queue entière dans ma gorge. Je ne m’en serai jamais senti capable et voilà que je faisais une gorge profonde en me faisant enculer, et ce n’était que le début.
La scène dut en exciter plus d’un, car je sentis une agitation et quelques commentaires accompagnés de mains baladeuses de plus en plus fermes m’attrapant les seins et les fesses. Ils se mirent à tourner les uns à la suite des autres, se servant de ma gorge comme d’un vagin, ce qui me fit saliver abondamment. Certains en profitèrent pour me tapoter le visage avec leur queue et étaler la salive sur mon front mon nez et mes yeux.Un type finit par me relever et j’en profitais pour m’essuyer les yeux, ce qui contraria un des mecs qui me cracha au visage. Je n’aimais pas comment tournaient les événements, je m’apprêtais à émettre une objection, mais il m’en empêcha en m’embrassant. Je sentis que j’étais encerclée d’étalons surexcités et désormais, je devais m’y résigner, mon corps ne m’appartenait plus.
Ils étaient tous assez grands et bien musclés. Je me sentais, petite puce au milieu d’une équipe de footballeurs américains qu’on aurait privés de sexe pendant des mois et qui venaient de toucher leur récompense. Celui qui m’embrassait me souleva comme une plume et m’emmena dans la chambre pour me poser sur le lit, suivi par toute la clic. Très vite, ils se replacèrent autour de moi et me firent me positionner à quatre pattes. Je ne mis pas longtemps à avoir une queue dans la bouche et une autre dans les fesses.Agrippée par le bassin, je me faisais pilonner le cul et chaque va-et-vient me faisait m’empaler buccalement sur la queue que j’étais en train de sucer.
J’enchaînais ainsi les bites pendant plusieurs minutes jusqu’à sentir la queue d’un mec gonfler et rugir de plaisir en libérant des giclées de foutre au fond de ma gorge. La tête fermement maintenue pour éviter que je me retire, je m’appliquais à avaler ce que je pouvais au fur et à mesure que le sperme pulsait dans ma gorge. Heureusement, le type qui s’occupait de me ramoner le cul à ce moment-là s’était calmé et restait ancré au fond de mes intestins en me caressant le dos et me palpant les fesses, ce qui me permit de ne pas m’étouffer avec la quantité hallucinante de foutre et la queue toujours bien raide qui restait dans ma bouche.
— Avale bien ma chérie, car tu n’auras que ça à manger durant tout le week-end.
J’en avais oublié, Monsieur M qui s’était joint aux autres.Une fois la trachée dégagée, je sentis mon cœur qui battait particulièrement vite et fort, la respiration haletante, je m’efforçais de reprendre mon souffle.
J’avais besoin d’un peu de répit, mais déjà, les mains se refermaient sur mes crêtes iliaques, la machine se remettait en route et les mouvements bassin contre bassin reprenaient du rythme. Ça devait faire moins d’une heure que le deuxième groupe était arrivé et j’avais déjà le cul en feu.5min plus tard, c’était le type derrière moi qui se relâchait dans mes entrailles.
Les autres hommes prirent le relais, je me retrouvais alors à califourchon sur un type qui me pénétrât enfin par la chatte, mais tout de suite, je sentis quelqu’un se positionner pour me prendre en même temps par-derrière. La double pénétration me faisait encore plus ressentir les pressions sur mes muqueuses. C’était comme si leurs bites avaient doublé de volume. La paroi entre mon vagin et mon anus doit être très fine, car j’avais l’impression que leurs queues se touchaient à chaque secousse, comme si elles pénétraient le même orifice.
Le mec derrière moi m’attrapa les bras et les tira en arrière, ce qui força ma cambrure, dévoilant ma poitrine. Celui du dessous en profita pour exercer une pression sur mes tétons qui étaient devenus tout durs, tandis que trois ou quatre mains se joignirent dans la mêlée, me malaxant les seins, les flans et les cotes.
Une troisième queue s’introduisit dans ma bouche, étouffant mes gémissements. J’étais prise en sandwich, totalement à la merci de ces étalons en rûte, comme si j’étais une poupée de silicone. Je ne pouvais que subir les secousses.
Mon cœur battait de plus en plus vite. Mon cerveau inondé de stimuli sensoriels se mit à saturer. Mes yeux humides voyaient trouble. Un bourdonnement commençait à s’intensifier dans mes oreilles. J’étais rentré dans un état second. Impossible de savoir combien de temps cela dura. J’en perdais la notion du temps...
Au fur et à mesure, ma gorge, mon vagin, et mon colon n’étaient plus que brulure. Je commençais à vraiment avoir mal. Physiquement comme psychologiquement, j’étais au bord de l’épuisement. J’avais l’impression d’avoir eu plusieurs orgasmes, et que mon corps arrivait à ses limites de l’endurance.Durant un répit buccal et entre plusieurs râles de plaisir, je tentais un « stop... s’il... vous plaît... c’est... bon ».Je pensais avoir eu ma dose et être de toute façon au bout de mes forces. A vrai dire depuis le début, eux se relayaient alors que moi, j’étais non-stop sollicitée.
— Quoi ? BB ? Tu es rassasiée ? Sérieusement ? Et bien, mon ange, t’es mal barrée, le soleil est à peine couché... Je suis au regret de te dire que ce n’est que le début de la soirée !
Manifestement, je n’avais pas vraiment réalisé dans quoi je m’étais embarqué. Je me trouvais tout d’un coup folle d’avoir voulu réaliser ce fantasme et j’étais engagée à rester l’esclave sexuel de Monsieur M et ses acolytes pour tout le week-end, enfermée dans ce loft.
Je n’eus pas du tout le temps de souffler et de reprendre mes esprits que je me retrouvais une nouvelle fois en proie à de nombreuses queues en manque de sexe, baisée de tous les côtés. Les douleurs de pénétrations s’intensifièrent jusqu’à ce que je n’eus vraiment plus aucune force de luter.J’étais sur le point de m’évanouir, mais en m’abandonnant, les douleurs s’estompèrent. Je me relâchais totalement et à demi consciente, je m’aperçus que les douleurs que j’éprouvais précédemment s’étaient transformées en sensations de fourmis et en chaleur dans mes entrailles.
Petit à petit, les fourmillements et la chaleur s’accentuèrent et remontèrent dans mon ventre jusqu’à m’envahir totalement. Je pensais avoir déjà eu des orgasmes, mais, à vrai dire, on ne peut pas vraiment appeler ça des orgasmes par rapport à ce que je vécus à ce moment-là.
Je fus parcouru de frissons et de spasmes d’une intensité et d’une longueur incroyable. Comme si je recevais des décharges électriques de hautes tensions. Mes muscles vaginaux et anaux se contractaient et se relâchaient tandis que mes membres étaient parcourus de tremblements incontrôlables. Je crois qu’un des deux qui me pénétrait à ce moment-là éjacula. Peut-être même les deux en même temps.
Je fus baisée encore pendant un long moment par les autres membres du groupe, jusqu’à ce que tout le monde se soit complètement vidé les bourses dans moi et sur moi.Alors que certains avaient déjà quitté la chambre, les derniers rassasiés partirent se doucher avant de rejoindre les autres dans le salon, me laissant comme une épave sur le lit mouillé, le sperme dégoulinant de mes cuisses et de mes lèvres. J’étais encore parcourue de petits spasmes épisodiques comme des rappels du gigantesque orgasme qui m’avait foudroyée, incapable de bouger encore moins de me lever.
Monsieur M vint s’assoir à mes côtés, me caressant les hanches et les courbes de mon corps. En remontant le long de mes mâchoires, il récupérera un épais filament de sperme avec son pouce et glissa jusqu’à mes lèvres pour le réintroduire dans ma bouche puis il rapprocha sa tête et me chuchota à l’oreille :
— Alors ma chérie, tu vois que c’est bon d’être une salope.— Je vais aller profiter de la soirée avec mes amis, repose-toi un peu avant le second round...
Je crois que Monsieur M n’avait pas encore quitté la pièce que je sombrais déjà, mais mon sommeil fut bref. Les bruits dans le salon laissaient penser que de nouvelles personnes étaient arrivées et pas longtemps après la porte de la chambre s’ouvrit et six inconnus entrèrent. Je n’avais pas dû m’assoupir bien longtemps, car j’étais encore toute humide, recouverte d’un mélange de transpirations de mouille et de sperme.
— Elle est là la petite ? — Ho mais oui ! — Quel canon !
Monsieur M rentra après eux.
— Allez-y doucement les gars, mais faites-vous plaisir ... Et vous qui êtes venu après manger, s’il vous plaît, pensez à elle, faites-lui la faveur de vous vider dans sa bouche ! — Avec plaisir.— A vos ordres, chef !
En deux secondes, les six nouveaux se mirent à poil et se précipitèrent autour de moi. J’étais encore à demi consciente alors qu’eux étaient en pleine forme, bandant comme des chiens.
Leurs queues glissèrent en moi comme dans du beurre et comme leur avait demandé Monsieur M, au bout d’au moins une heure de baise acharnée, ils me déchargèrent toutes leurs semences dans la gorge à tour de rôle... J’ai bien dû en avaler les trois quarts et quand ils m’abandonnèrent sur le matelas, je me vis dans le miroir dégoulinant de sperme et les cheveux en bataille. J’avais vraiment l’air d’une traînée, mais en y repensant, sur le coup je n’avais aucun jugement de valeur. C’était comme si tout ça était normal. J’étais devenue indifférente ou fataliste, je ne sais pas trop.
Monsieur M rentra un peu plus tard dans la chambre pour m’annoncer que la soirée touchait à sa fin. Presque tout le monde était parti, à part quelques-uns qui voulaient remettre le couvert, mais comme j’avais été « une bonne petite ! » je méritais d’abord un « massage ».J’étais encore toute poisseuse, à la fois vidée de toute énergie et remplie de sperme. Je regardais Monsieur M sans parler, mais il discerna sûrement dans mon regard mon interrogation et ma préoccupation, car il ajouta comme pour chercher à me rassurer :
— Tu es toujours magnifique !
Quatre hommes se déshabillèrent et vinrent rejoindre Monsieur M qui s’occupait de moi. Ils me mirent sur le ventre et leurs mains parcoururent mon corps en étalant le sperme, la salive et la mouille, comme si c’était de l’huile de massage. Je me laissais faire et c’était vraiment agréable de se faire masser par dix mains en même temps. Rien ne fut laissé pour compte des orteils jusqu’aux lobes des oreilles, réveillant chaque parcelle de mon corps. Après de longues minutes d’extase, ils me retournèrent pour me mettre sur le dos, on me versa une huile ou une sorte de lubrifiant gras sur le ventre et les massages reprirent.
Évidemment, leurs mains furent de plus en plus insistantes sur les parties érogènes et finirent par s’introduire dans mon anus et mon vagin pour atteindre mon point G. Je gesticulais de plus en plus sous la stimulation, mais mes bras et mes jambes étaient fortement maintenus de façon à garder mes cuisses bien ouvertes. Je gémissais en me cambrant jusqu’à atteindre l’orgasme.
Après quoi je n’eus pas le temps de reprendre mes esprits, car une bite bien dure se présenta devant ma bouche. Sans rentrer dans les détails, je fus prise une nouvelle fois en triple pénétration encore, encore et encore... Je m’abandonnais à être leur sex-toy jusqu’à qu’ils jouissent en moi.
Enfin, tout le monde partit pour de bon, excepté Monsieur M qui une fois douché se coucha contre moi. Je n’avais pas la force de partir me doucher, mais ça n’avait pas l’air de déranger Monsieur M. Je restais dans les draps souillés par tous ces hommes qui m’avaient baisée et pour certain rebaisée ce soir. Il devait être aux alentours de minuit. La tête posée sur son torse, je me laissais bercer dans ses bras. Comme à son habitude, après nos ébats sexuels, il me demanda si j’avais aimé et ce que j’avais aimé. Je ne pus qu’admettre que malgré tout, j’avais réalisé un de mes fantasmes et j’avais particulièrement aimé ce sentiment de vulnérabilité et de lâcher-prise ainsi que cette soumission au désir d’autrui.
Quant à lui, il me confessa qu’il aimait par-dessus tout me voir me sentir poussée dans mes retranchements et me chuchota que ça collait tout à fait avec ce qu’il avait prévu pour moi le samedi. Je fermais les yeux et sans doute provoqué par la sur-sollicitation de mes muqueuses, je m’étonnais d’avoir l’impression que les fantômes des hommes qui m’avaient baisée continuaient à me pénétrer. Ma bouche, ma gorge, et mon ventre gardaient l’empreinte invisible de corps étrangers. C’est en me mordillant la lèvre en proie à ces sensations et à la petite appréhension existante du lendemain que je m’endormais.
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